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Adirodu-Roger Cyber-Notes

Les Ìndrŭ sont un peuple autochtone dela chefferie traditionnelle des Walendu Bindi qui regroupe plusieurs clans autonomes

19 Janvier 2025 , Rédigé par Équipe des Webmasters

🇨🇩Les ìndrǔ ! Un peuple autochtone de la chefferie traditionnelle des Walendu Bindi en Ituri-Rdc

🇨🇩Les ìndrǔ ! Un peuple autochtone de la chefferie traditionnelle des Walendu Bindi en Ituri-Rdc

(╭☞•́⍛•̀)╭☞Aperçu historique du milieu Ìndrŭ

 

L'espace choisi pour mener cette étude se trouve, dans l'échelle de la chefferie de Walendu-Bindi, considérés comme milieu naturel des ìndrǔs, qui est essentiellement agricole et minière, et a une histoire incontestable suivant ses multiples réalisations dans le cadre physique, démographique, historique, économique, culturel et réalités politiques, aux diversités d'ordre social, en territoire d' Irumu situé dans le nord-est dela République démocratique du Congo, où les Ìndrŭ sont identifiés sous plusieurs dénominations.

 

Pourtant selon notre constat, les différentes études menées auprès de nos informateurs nous présentent une population qui se nomme elle-même Ìndrŭ.

 

Au regard de l'histoire qui nous intéresse, l'étendu sur lequel ils vivent s'appelle Walendu-Bindi. 

 

Un nom qui symbole l'unité d'une seul chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.

 

Savoir-vivre en coutumes

 

C'est pour dire qu'avant la colonisation, le térritoire actuel de Walendu-Bindi était partagé entre différents royaumes ou chefferies.

 

Mais réunifiée, par rapport aux avis des autorités colonial belge qui procédaient aux réformes traditionnelles par le fait qu'il n'y avait même pas de chef capable de diriger toute communauté. 

 

Et si les chefs locaux se réunissaient souvent pour discutaient de questions d'intérêt commun.

 

Situation géographique

 

a. Limites géographiques :

 

La Chefferie de Walendu-Bindi est limité :

 

- Au Nord par la Chefferie d'Andisoma ;

 

- Au Sud par la Chefferie de Bahema Mitego

 

- A l'Est par une partie dela rivière semliki, et la chefferie de Bahema Sud ;

 

- A l'Ouest par la Chefferie de Walese-Vonkutu.

 

b. Coordonnées géographiques :

 

La configuration géographique de la chefferie de Walendu-Bindi, c'est-à-dire l'altitude et l'orientation de principaux ensembles topographiques jouent un rôle prépondérant et fait de lui un climat tropical de montagne qui lui confère un caractère tempéré.

 

Elle est situé entre latitude 1⁦1°13'00"Nord⁩ et⁦ longitude 30°06'51"Est, et s' étend environ sur 2.226 km2, donnés obtenu dans le quadrillage de logiciel Google Earth, avec une altitude moyenne de 800 m au dessus de la mer.

 

En supprimant la zone urbaine, la zone d’habitation, villageoise, la zone de chasse, et dela pêche, on constate que, la superficie activement exploitée correspond à environ 30% seulement du terroir. 

 

C’est pour dire qu’il s’agit d’un terroir relativement bien peu exploité,.

 

Source ; Enquête de notable Didi Osée Angaika 2008

 

Au point de vue administratif

 

La chefferie de Walendu-bindi qui conserve les tombeaux de la plupart de ses souverains et leaders d'opinion public d'une longue date, fût créé suivant le PV N⁰ 00 85 du 03 décembre 1931, par l'administrateur térritorial d'Irumu, à l'époque colonial. l'AT Halleux qui trace la carte des 5 chefferies réunifiées et la délimitation des enclaves d'une localité Lagabo, Lakpa, et Nombe, avec comme Chef-lieu Gety-Etat.

 

La décision de la réunification sera signée en 1929 et appliquée en 1933, ainsi, il est facile de voir que toutes ces six Chefferies et non cinq comme l'avait présentait l'invité Excellence Ministre provincial Honoraire del'ituri, que nous saluons sa mémoire Osée Didi Angaika au cours d'un débat consacrés à la page socio-culturel et histoire dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi avec un groupe des diplômés originaires dela chefferie de walendu-bindi, via Forum Gety Infos Total à partir de Bunia.

 

Pour lui, ces dernières ont fonctionné jusqu'à 1933, ce qui a occasionné la création de l'actuelle Chefferie des Walendu-Bindi le 15 mai 1933.

 

Donc pour plus de précision, c'est un document tiré dans les archives dela notabilité de Walendu-Bindi, grâce à Osée Didi Angaika.

 

D'une manière légal avec la loi colonial Belge, le PV cité ci-haut avait mis fin aux cinq Chefferies créés aux subdivisions administratives des royaumes-traditionnels-Ìndrŭs ont été préservés avec une autonomie limitée, essentiellement culturelle par certains clans majoritaires à partir de 1915.

 

Nos sources contactés pour la cause précisent que, le 05 décembre 1933 est considérée comme la date de la création officielle de la Chefferie de Walendu-Bind.

 

Elle aspire à un peuple uni qui jouit d'une prospérité-sociaux-culturelle.

 

Sous ce rapport, tout en sachant que, la chefferie de Walendu-Bindi est une institution culturelle qui promeut aussi la participation populaire et l'unité des différents clans par le biais de programmes de développement visant à améliorer leur niveau de vie. 

 

Mais aussi ; Avant l'époque pré-colonial, les Ìndrŭ n'ont pas connu de pouvoir politique centralisé.

 

C'est pour dire que, le pouvoir s'est limité aux familles au sein desquelles les guerriers ont joué un rôle de premier ordre car ils garantissaient la paix dans la contrée. 

 

À l'époque de la pénétration arabisée et plus tard lors de l'occupation belges firent face à la résistance farouche des Ìndrŭ, dirigés par leurs principaux guerriers. 

 

🇨🇩━☞ Subdivision administrative

 

La chefferie de Walendu-Bindi compte six groupements dont ;

 

Bukiringi, Baviba, Boloma, Ts'ritsi, Zadhu, et Bamuko, fut crée par une vague migratoire, qui date du XVI et XVII siècle.

 

CONNAISSANCE GENERALE DES ENTITES COUTUMIERES DE LA PROVINCE D’ITURI

 

▶️https://www.congovirtuel.com/page_province_ituri.php

 

À cela s'ajoute ; 200 villages, qui sont beaucoup plus tranquilles, en ce qui concerne la situation sécuritaire qui se normalise jour et nuit.

 

De toute les façons au sein de plusieurs villages, chaque famille détient une maison dans la quelle on doit obligatoirement trouver des greniers à nourriture, mêmement avoir des greniers à planter, et multiples cultures, bien que la pauvreté et les problèmes économiques préoccupe la plus part des paysans, mais les Ìndrŭ sont bénis avec un sol riche, et fertile. 

 

Et puis, l’ensemble des informations recueillies au près des villageois qui sont la plupart des clairvoyants indiquent que ;

 

Dans un mode de production basé sur le travail collectif, ces gens là donc les Ìndrŭ, sont comme des machines ; Au motif, ils peuvent travailler tout le temps, et ils épuisent rapidement les sols, où éliminer très vite, les broussailles d'une étendue de terre, considérée du point de vue de sa surface, de sa propriété et de son affectation.

 

🇨🇩👉🏿Grandes agglomérations ;

 

Bukiringi, Aveba, Gety, Olongba, Songolo, et Kagaba

 

- Fuseau Horaire ; UTC+2 ; Région d'Afrique centrale 

 

Climat et relief dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi 

 

a) Relief

 

Son relief est varié. En effet, on observe d’abord les montagnes, avec des sommets à haute et basses-terres dans des paysages variés et spectaculaires.

 

D’autant que la grande savane protège des flores et de faunes d'une grande valeur. 

 

Le relief est du type montagneux, caractérisé par la prédominance des plateaux, montagnes et des collines dont le bas se réduisent en vallées, ruisseaux et rivières. 

 

Et aussi : Le relief est très accidenté avec une altitude variant de moins de 600 mètres et plus de 1000 à 1800 mètres.

 

Ce relief est formé des plaines, des plateaux et des chaînes de montagnes avec une température de 17o et 19 o C. 

 

Le relief présente des caractéristiques de vocation agro pastorale dans cette région suite a ses variété tributaires due aux conditions climatiques, de la nature de ses écosystèmes et de la qualité de ses sols. 

 

TYPE DU CLIMAT

 

Walendu-Bindi est une chefferie traditionnelle de hauts plateaux (1800-2000 mètres) parsemée d’une grands paysages surtout dela savane. 

 

Le climat de la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi est marqué par ses précipitations, sa température, son humidité, les vents qui y soufflent, et l'altitude de cette région. 

 

Les précipitations sont fonction des températures ambiantes mais aussi des vents alizés provenant du Nord et de l'Est et parfois de l'Ouest.

 

La combinaison de ces éléments climatiques, la présence du lac Albert et des monts Bleus et sa proximité de l'équateur permettent d’affirmer que, Walendu-Bindi jouit d'un climat équatorial dont on distingue :

 

• Le climat tropical humide d'altitude, il occupe la majorité de l'Ituri dont l'altitude varie entre 1.200 et 2.200 mm. 

 

Les précipitations annuelles de l'ordre de 1.200 et 1.800 mm et de température annuelle variant entre 15° et 25°c. 

 

La savane des hauts plateaux fait la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi une région à vocation agro-pastorale.

 

• Le climat tropical domine la plaine du lac Albert à cause de son altitude se situant à 619 m. La température s'y trouve élevée avec un sol sablonneux, une végétation herbeuse clairsemée d'acacias. 

 

La végétation correspondant à une savane d'Albizzia fortement menacée par les éleveurs et agriculteurs qui envahissent l'espace.

 

Les particularités climatiques renforcent la répartition de l'élevage bovin. En effet, les bovidés importés de l'Ituri s'acclimatent bien dans les régions à climat d'altitude (Mahagi, Djugu).

 

Dans cette entité, le climat est étroitement lié au relief.

 

La température varie entre 15°et 30°C ; l'altitude comprise entre 800m et 1500m.

 

La chefferie de Walendu-Bindi est caractérisée par un climat tempéré de montagnes appelé aussi climat d’altitude distingué par une alternance d’une petite saison sèche allant de décembre à Février suivie d’une petite saison pluvieuse allant de mars à fin juin et ce, constamment annuel avec très peu de perturbation notable.

 

Avec un climat chaud et humide.

 

On y remarque l'existence de deux saisons : saison sèche et la saison pluvieuse.

 

Ce qui explique l'hydrographie assez diversifiée.

 

Les précipitations y sont abondantes presque toute l'année et leur respiration donne naissance à deux saison dont :

 

§ La saison sèche qui va de janvier à février et de juin à Août ;

 

§ La saison pluvieuse qui s'étend entre mars à mai et de septembre à décembre. La répartition des pluies, par conséquent les saisons sont devenues perturbées suite à la déforestation.

 

La température la plus basse est celle du mois de juillet avec un minimum de 9,4°C, le maximum étant de 16,20°C, la moyenne annuelle de température qui s'étend à 15,57°C17.

 

Parfois les pluies tombent en pleine période de sécheresse, c'est le cas des pluies de Juin Juillet.

 

Malheureusement à cause d'un fort changement climatique, les saisons connaissent-des-perturbations dues à la croissance de la population, population qui à son tour détruit progressivement l'environnement pour les raisons d'habitation, bois de chauffage, exploitation des bois pour planches, l'agriculture et l'élevage,... et cela influence beaucoup le climat.

 

En effet, il ne suffit pas de voir que les précipitations augmentent avec l'altitude ou considérer les quantités de pluies mais plutôt sa répartition au cours de l'année.

 

Dans les vallées et plaines le sol alluvionnaire noir et sablonné structuré alimentés en eau et humidité.

 

Très souvent la chaleur est quasi-totale pendant les heures nocturnes, ce qui est la cause de la disparition de quelques ruissellements des rivières et la carence d'eau dans la région tempérée. 

 

 La température varie selon les saisons.

 

Sur les hautes terres un moment donnée, les vents deviennent rares, hormis quelques tornades ou typhons liées à de faibles pressions locales.

 

Mais actuellement, nous connaissons des perturbations climatiques d'où il devient très difficile (délicat) de distinguer les saisons.

 

Face à ce paramètre les agriculteurs cultivent au hasard.

 

Dans la région tropicale, la température varie entre 25°C et 30°C pendant la saison de pluie et 30°C à 35°C pendant la saison sèche précisément à Gety.

 

On observe une baisse de température au fur et à mesure de l'altitude.

 

Toutefois, ce dernier temps, les caprices climatiques font que les atmosphères ou les précipitations ont subis des bouleversements.

 

En effet, il ne suffit pas de voir que les précipitations augmentent avec l'altitude ou considérer les quantités de pluies mais plutôt sa répartition au cours de l'année. 

 

Les précipitations sont abondantes et croissant avec l'altitude.

 

Dans la région tropicale, la température varie entre 25°C et 30°C pendant la saison de pluie et 30°C à 35°C pendant la saison sèche précisément à Gety.

 

Le sol, le relief et le climat sont déterminés par les grandes zones végétales du pays: la forêt, la savane, la brousse et la végétation de montagnes.

 

Végétation et sol Naturel :

 

La nature fertile de la terre de la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi favorise l’épanouissement de sa flore, sans parler de ses zones d’eaux, marécages). 

 

La végétation de dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi est caractérisée par une savane herbeuse. Il y a aussi des espèces d'arbres d'une des communautés forestières naturelles plus à feuilles persistantes et marais, après analyse des données collectées ou observables sur le terrain, la plupart des données écologiques disponibles portent sur un lieu à une biodiversité exceptionnelle. 

 

Celle-ci pousse sur des étendues favorisant ainsi une meilleure production agricole à partir des jardins des cultures maraîchères, vivrières, plantation des arbres fruitiers et autres.

 

Le décor est marqué par les plantes tropicales et les savanes broussailleuses.

 

Dans le cadre scientifique dela chefferie de Walendu-Bindi nous pouvons dire que, la terre se caractérise par sa couleur noire ou très sombre et rouge, mais sur les pentes on a les sols superficiels.

 

Les herbes se développent très rapidement pendant la saison humide et meurent pendant la saison sèche soit par le feu, soit parce qu'elles se dessèchent.

 

Le sol couvrant la chefferie est de type argile sableux et argileux.

 

La chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi comprend une gamme variée de types de sols offrant des possibilités de pratiquer plusieurs sortes de cultures. 

 

D'une façon plus générale, Walendu-Bindi semble être bien dotée en matière de sols.

 

Elle évoque des images précises : des hauts plateaux montagneuse, couvert surtout, des savanes, et quelques endroits qui abritent des forêts primaire et secondaire.

 

Les ressources du sol et du sous-sol

 

Les différentes vallées étant arrosées des cours d'eaux sont occupées par un sol alluvionnaire c'est-à-dire un sol sédimentaire formé des boues, du sable, des cailloux apportés par des eaux.

 

La savane herbeuse

 

La savane herbeuse se trouve dans les vallées drainées par des cours d'eaux et la savane arborée sur flancs des montagnes et des collines.

 

Ces deux savanes sont victimes des feux de brousse pendant la saison sèche.

 

Quant à la végétation des montagnes, elle est étagée. Elle est composée par une savane arborée puis une forêt ombrophile suivie d'une forêt des bambous et enfin des bruyères.

 

Le sous-sol est également très riche :

 

Et alors même, qu’à l’instar de d’autres chefferies, les potentialités de Walendu-Bindi sont énormes en termes d’atouts naturels : présence de différents écosystèmes très riches (forêts, grottes, hodoos, escarpements, savanes…), hydrographie importante, fertilité accrue du sol, richesse du sous-sol en minerais et pierres précieuses…

 

On trouve des gisements des minerais non encore exploités jusque là. 

 

Après l'enquête de notre rédaction mené en 2009

 

Nous avons répertoriés quelques matières premières dans la chefferie de Walendu-Bindi

 

Comme, le fer, le diamant, l'or, le mercure, l'uranium, le perle, le coltat, au côté du pétrole nouvellement découvert mais non encore exploité par les grandes puissances.

 

Cependant, le peuple Ìndrŭ offre un paradis terrestre de paix, de bonheur, d'hospitalité et de bénédictions tant, pour ses fils et filles, que pour leurs prochains qui viendraient de l'intérieur du pays ou de l'étranger afin de se mettre ensemble après les sacrifices des animaux domestique, pour l'exploitation et la mise en valeur de ses nombreuses richesses naturelles. 

 

Souvent on parle de phénomène « Perle » à Walendu Bindi : quand un fait étrange et mystérieux fait l’unanimité.

 

Dépuis quelques mois, un fait étrange et mystérieux, difficile à expliquer, fait la une dans la chefferie de Walendu Bindi au sud du territoire d’Irumu dans le nord-est de la RDC. 

 

« Perle », ce nom attribué à ce phénomène, a un sens figuré qui, pour les uns est une bénédiction et un mystère pour les autres. Malgré ce côté « flippant », plusieurs dizaines d’habitants n’hésitent pas à les entretenir « dans l’espoir de s’enrichir, sécuriser et développer leur entité ».

 

Des cailloux qui parlent et mangent

 

« Eh oui, des cailloux qui parlent … absurde n’est-ce-pas ? » À Walendu Bindi, ils sont plusieurs dizaines à avoir chacun son caillou, localement appelé « Perle ».

 

Ils sont généralement ramassés dans la maison par des membres des familles et s’identifient comme « aïeux originaires des familles où ils sont ramassés ».

 

Une fois ramassés, ces cailloux, en forme d’une personne ou d’oiseau, « communiquent » non seulement ses identités mais aussi son travail. 

 

C’est comme ça, on y retrouve des perles qui s’identifient « protectrice », « cultivatrice », « de développement » ou « perle qui vomisse d’argent ». 

 

Il suffit de faire un test par des spécialistes pour « confirmer » ou « infirmer » que son petit caillou, blanc généralement, est une « perle ».

 

“ A Karatsi, ils ont ramassé une perle passe-partout. À Batumbi, l’année dernière, c’était une perle militaire : Général d’armée qui va combattre ”, explique une autorité coutumière d’Aveba Mdogo.

 

Et comme l'or a toujours exercé une forte fascination et a été à l'origine de nombreuses conquêtes et conflits, l'Ituri en a aussi fait l'expérience en son temps.

 

Dimensions hydrographique

 

La chefferie Walendu-Bindi est l'une importante réserve d'eau. 

 

Tous les vallons et vallées drainent une importante quantité d'eau. 

 

Donc on y retrouve des rivières, des ruisseaux, des eaux thermales, des sources, des étangs.

 

Au cours de nos investigations sur terrain, nous avons remarqué de l'est à l'ouest du nord au sud que, tout les eaux de la chefferie de Walendu-Bindi appartiennent à deux bassins hydrographiques : 

 

L'examen des données et résultats obtenus indiquent que, la chefferie est située sur une crête est ouest, qui forment, dans cette région, une ligne de partage des eaux entre le bassin du Congo, et du Nil, telle que :

 

- A l'Est nous avons le bassin du Nil dont les eaux sont collectées jusqu'à attendre la Semliki.

 

- A l'Ouest, nous trouvons le basin du fleuve Congo dont les eaux sont acheminées par la rivière Loya, et se dirigent vers rivières Ituri et Lindi.

 

Il est bon aussi de faire constat avec nous que, la chefferie de Walendu-bindi est traversée par plusieurs ruisseaux et quelques rivières, lesquels deviennent dangereux pendant la période pluvieuse et parmi lesquels ont peut citer : 

 

Anjikye, Alisé, Ikpa, Alimo, Angumé, Amawu, Lamatsé, Ngere, Talulu, Atolo, Ambata, Adhina, Lowu,...

 

La présence des nombreux affluents, dela Rivière Semliki et celle del'Ituri, ainsi que, le climat tropical, permettent, une agriculture abondante.

 

Ces affluents du fleuve Nil et du Congo montre que ituri est une région bien drainée, offrant ainsi une alimentation hydrique suffisante à la population pratiquant les activités pastorale malgré les vicissitudes climatiques.

 

🇨🇩━☞Le sommet le plus élevé avec une altitude d'environ 1800m à 1400m sont ; Awi, Alimo, Omi, et Isura.

 

🇨🇩━☞La chefferie regorge aussi plusieurs collines qui permettent d'atteindre de nombreux observatoires vers l'Est du Nord au Sud, et àl'Ouest, parmi lesquelles nous pouvons citer :

 

Arukyé, Nyasumbí, Odhé, Toro, Iyá, Kabhi, Mulongo, Nyapké, Nyasona, Nyata, Kurungasa, Munziya, Balimo, Obé, Djungbelé, Nyasona, Nyasumbí, Alebhé, Kabhi, Odzé, et Karusé,...

 

En fait, les hautes montagnes dont le Mont Bleu, constituent la chaîne des montagnes qui commence de Mahagi port et se prolonge vers le Kivu.

 

Chaque fois, les données de cette étude ont été récoltées pendant la première moitié de l'an 2009 (de janvier à juillet 2009). 

 

DICTIONNAIRE FRANÇAIS INTERNAUTE 

 

clan , nom masculin

 

Sens 1 Tribu

 

Synonyme : famille

 

Sens 2

 

Ethnologie

 

Personnes ayant un ancêtre commun.

 

Synonyme : lignée, société, groupe

 

Sens 3

 

Péjoratif

 

Groupe fermé de personnes qui se soutiennent entre elles.

 

Synonyme : camp, horde, bande, groupe, association

 

Néanmoins, ce travail présente certaines données de l'an 2008, qui s' appuient de plus, en plus sur des sources orales, et par nos enquêtes que nous avons menés sur place, en collectivité de Lendu-Bindi, avec des donnés historiques qui révèlent que ;

 

Les Ìndrŭ sont un peuple autochtone dela chefferie traditionnelle des Walendu Bindi qui regroupe de personnes partageant une langue et une culture communes en territoire d'Irumu, province del'Ituri localisée dans la partie Nord-Est dela République démocratique du Congo.

 

Ils sont estimés aujourd'hui à environ 150.000 sujets, contre 100.000 Nombre de locuteurs (en 1991 (en) Constance Kutsch Lojenga : A Central-Sudanic Language of Zaire, Cologne, Rüdiger Köppe Verlag, coll.

 

 « Nilo-Saharan: linguistic analyses and documentation » (no 9), 1994, 517 p. (ISBN 978-3-927620-71-1)

 

Avertissement : Nous ne pouvons pas garantir que les informations sur cette page sont correctes à 100%.

 

Selon la considération qui varie en fonction dela communauté, nous avons donc conclus en disant que, le terme Ìndrŭ ' dont nous parlons, est considéré comme un facteur d’identité, et désigne à la fois la langue, la tradition culturelle, et la civilisation.

 

En raison de la place que celles-ci occupent dans une histoire qu'on tient des ancêtres d'au moins deux groupes de parenté. 

 

Donc du coté de la mère et père biologique , à partir des grand-parents suivants :

 

A . FUNZI

 

B . BINDI

 

C. NYIPIRI

 

D. MULEGE

 

Les renseignements recueillis auprès des Ìndrŭs et les documents écrits témoignent que, leur origine est très ancienne, remontant au soudan du sud.

 

À l'époque ; La révélation faites par notable Osée Didi Angaika raconte que, toute population appelé lendu soudanais ont quitté le plateau situé entre l'Éthiopie et le Soudan du Sud vers le 14 au 15 e siècle pour s'installer au Soudan central et oriental.

 

De là, suite à la pression démographique, des lwo et les nilotiques et rareté de terres arables, ceux du centre donc peuple bhâle lendu, et lugbara .....) se dirigèrent vers Aru, et Djugu, dans une région qui se localise justement dans la partie nord dela République démocratique du Congo, et couverte surtout dela savane.

 

Donc, l'augmentation de la population avait entraînait des besoins supplémentaires en ressources naturelles.

 

Face à cette situation, ceux de l'Oriental allèrent vers l'est et longerent la rive est du lac Albert pour séjourner pendant une longue période dans la région de Bunyoro en Ouganda d'où, ils furent poussés par les Banyoro pour traverser la rivière Semliki et s'installèrent dans la région de gety vers le 16 e et 17 e siècle.

 

Ainsi, selon la mythologie transmise dela part des anciens pères aux fils, laisse entendre qu'ils auraient traversé la rivière Semliki par la lègue de Bambous-Ongoro.

 

*MIGRATION DES POPULATIONS DE DIFFÉRENTS GROUPEMENTS DELA CHEFFERIE TRADITIONNELLE DE WALENDU-BINDI*

 

À ce sujet ; Histoire ancienne nous renseigne que, les BOLOMA, et les BAMUKO, sont venus de HOÏMA/OUGANDA ; Au côté des ADABHA /BAVIBA, 'TS'RITS'RUTS', MBALA, et KERENGEBHA qui sont venus du SOUDAN DU SUD, en passant par ARU, DJUGU pour occuper les entités ils vivent actuellement d'après Osée Didi Angaika.

 

Leurs légende raconte qu'ils auraient été chassés par l'ennemi arabe à partir du sud soudan ; en fuyant ils se sont divisés en de nombreuses clans.

 

D'après leurs traditions orales, la plus anciennes générations auraient quitté cette région suite à des invasions arabes. 

 

En effet, les guerriers arabes montés sur les chevaux et fortement armés de flèches et de lances capturaient des esclaves devant servir de main-d'oeuvre, pour la construction de leur pays.

 

Cependant, la mémoire évoque avec amertume les incursions suivies d'enlèvements de la part des tribus islamisées venu du Nord et dela corne d'Afrique, et en provenance des certains royaumes du monde arabes. 

 

Ces derniers faisaient irruption dans les villages, prenaient des enfants en otage jusqu'à ce que les parents se présentent aux fins de les embarquer. 

 

C’est ici qu’on verra les Ìndrŭ se diviser en groupes différents, en direction du sud.

 

Les sols où ils arrivèrent était déjà occupées, par éleveurs lwo et nyoro essentiellement des nilotiques.

 

Les Ìndrŭ majoritairement agriculteurs, subissent la discrimination, l'ostracisme, du tribalisme, de la xénophobie et de l'aversion raciale dela part d'autochtones lwo et les nyoro.

 

Pendant ce temp là, la sécheresse et la guerre avec le royaume voisin de ganda, font rage au XVI et XVII, et les Ìndrŭ doivent faire face à de grandes difficultés.

 

Ces derniers sont contraints d’adopter un style de vie semi-nomade, en raison des luttes continuelles.

 

Au milieu du XVII ième siècle, les Ìndrŭ dépourvus des terres et bétails se trouvent dans l’obligation de prendre la direction de Ituri actuel.

 

Caractéristiques anthropologiques et sociologiques

 

Les Ìndrŭ ont une taille normale, mais on peut trouver ceux qui sont élancés et ceux de petite taille, avec le teint surtout sombre.

 

De là, on peut noter que, parmi leurs voisins d' ethnies les plus proches figurent ; 

 

Les Bhâle et les Lugbara avec qui, ils partagent également de nombreuses similitudes socio-culturelles. 

 

Certaines traditions orales soutiennent que, ceci peut inclure l’utilisation des savoirs traditionnels, civilisation, parole de sage, mode de vie autochtone, aussi bien que la musique, la danse, les emblèmes, la cuisine, les symboles, les cérémonies, et les arts, également observés chez la population des lendu, liés aux peuples soudanais qui comprennent ;

 

Les Ngbaka, les Ngombe, les Budja les Loï, les Madi, les Moru-Mangbetu, les Zande), les Kaliko, les Logo, les Mamvu, les Mabendi et les Kakwa, ...venus du Sud-Soudan. 

 

D'autres ethnies incluent les Ukebu, les Kuku, et les Nubiens, dont la plupart sont localisés à un bon nombre croissant dans le nord de la RDC justement, vers Ubangi, Uélé, Kibali-Ituri, et dans la partie du Nil occidental géographiquement situé au nord-ouest de l'Ouganda, à proximité de la frontière avec la République démocratique du Congo. 

 

Pour parlez de la situation contemporaine des Ìndrŭ,...

 

Appellation ngiti est mal accepté par la population autochtones donc par Ìndrŭ, eux même.

 

L’appellation « ngiti » n'est pas acceptée par les natifs qui affirment ne pas s'appeler ainsi.

 

C'est pourquoi ces derniers affirment que, la dénomination Ngiti a été imposée et utilisée depuis année 1980, à partir de Bunia mais l'appellation exact utilisé par les autochtones est Ìndrŭ au singulier et les Ìndrŭs au pluriel.

 

Par ailleurs, l'orthographe « Ngiti » est contestée par ce « peuple », dont le mot approprié serait Ìndrǔ couramment utilisé dans leurs expressions.

 

Selon le témoignage d'Angaika Mbado président honoraire de la notabilité dela chefferie traditionnelle de Walendu Bindi.

 

Mais aussi en 2024 Elite MULINDO CLAVER avait noté pour sa part que, le terme Ìndrŭ est culturel tandis que Bindi est administratif.

 

Souvent, la famille nucléaire est respecté.

 

Dans plusieurs foyers l'homme et la femme collaborent pour la subsistance quotidienne.

 

Et puis les familles de nobles et certains membres dela communauté qui se disent être des guerriers sont capable de faire face à l'ennemie dela société humaine, et détiennent les positions les plus élevées, suivies des agriculteurs, des commerçants et des gens de la caste des artisans.

 

Les griots, font partie de cette dernière caste. 

 

Cependant, en tant que chanteurs de louanges pour la communauté, chargés de transmettre les traditions orales et les récits enseignés à la communauté l’histoire de l’identité, et par conséquent, ils sont très respectés. 

 

La diversité autochtone est d'une grande richesse qui correspond à la variété des cultures dela chefferie de Walendu-Bindi, découpée en village ruraux de l'est à l'ouest, du nord au sud.

 

Par rapport à la période qui suit les migrations, nos sources sont nombreuses et reposent principalement sur la perspective, des sédentarisations qui s'accélèrent depuis le XVII e siècle (ou 17 e siècle), et l'apparition des villages habités des nos jours, tout à fait quasiment, par la population qui a pénétré le territoire congolais à partir du Nord-Est et Sud-Est du Lac Albert, à une longue durée du temp... reculée. 

 

En conséquence, les villages deviennent fixes, par rapport aux indices du peuplement de cette région, qui serait fort et ancien, liés aux mouvements migratoires déclenchés à partir dela zone Sud-Soudanaise et Ougandaise, suite à la poussée des hamites bachwezis, et les nyoros.

 

On doit aussi noter que, les groupes de clans habitant dans l'actuel chefferie traditionnelle des Walendu ont une trajectoire bien remplie qu'ils trainent derrière eux d'autant plus que leurs ancêtres se sont installés sur cet espace, entre 16 et 17 ième siècle avant notre ère.

 

Pendant des siècles, ils ont assuré la maîtrise de l'environnement, façonné des grandes originalités et élaboré de systèmes politiques complexes qui ont produits des chefferies, selon le point de vue de l'administration coloniale belges indiquent nos sources.

 

Mais aussi l'histoire officiel de Walendu-Bindi nous renseigne que, le groupement forcé par l'administration colonial belge à partir de 1915 devait naturellement mécontés les gens, surtout les petits chefs qui avaient désormais des comptes à rendre aux chefs supérieur.

 

Habituellement chez les Ìndrŭ, la sédentarisation apparait comme une marque d'évolution. 

 

C'est à travers des indices visibles tels que les transformations enregistrées au niveau de la création des unités administratives, la configuration des villages, alliances et pacte relatif aux droits socio-culturelle, le respect des droits fondamentaux, la vie inter-communautaire, longue tradition variant en fonction des époques, nouvel ordre socio-économique, ainsi que la prospérité des lieux habité par la population sous les règnes, qui fait partie de la mémoire vivante et collective dela communauté.

 

Cette dernière associe des adages et des récits mettant en avant la valeur dela population Ìndrŭ.

 

Les praticiens et les gardiens de ces histoires sont traditionnellement des anciens, des sages, des conteurs, des poètes, des musiciens, des artistes et des familles locales, et régnante, associés à cette histoire. 

 

Notre équipe de rédaction note que, chaque clan est identifié par un nom de clan, appelé " dhudhudhu ", qui fait référence à leur lignée ancestrale ou à leur nom de famille.

 

Selon les explications de notable Osée Didi Angaika d'heureuse mémoire !

 

Souvent, lorsque certains Ìndrŭ utilisent des expressions « dans une culture d' heritage à partir du sud soudan » ou « dans nos coutumes », ils font référence aux valeurs et croyances des clans dominants :

 

Notamment les zadhu, boloma, adabha, bamuko, bukiringi et Ts'ritsi.

 

À ce niveau, Osée Didi Angaika avait dit qu'on a tendance à croire que les plus de 100.000 milles sujets Ìndrŭ autochtones de Walendu-Bindi ne sont constitués que de deux clans connus : zadhu, et bamuko.

 

Pourtant ces différents groupes des clans, bien que représentatifs de la population, ne sont pas les seuls en chefferie de Walendu-Bindi.

 

Organisation sociale

 

La société Ìndrŭ, étant communautaire, est basée sur la solidarité tribale ou clanique.

 

La famille patrilinéaire est un système de filiation dans lequel chacun relève du lignage de son père.

 

Cela signifie que la transmission, par héritage, de la propriété, des noms de famille et titres passe par le lignage masculin.

 

Mais aussi ; Organisation sociale des Ìndrŭ est celle des peuples segmentaires.

 

Les villages sont constitués de familles appartenant à un ou plusieurs lignages, qui fonctionnent de manière autonome.

 

Et administré par un chef de village.

 

Il représente plus le lien entre les populations et l'Administration dont il constitue le pilier de base.

 

Cette structure travaille étroitement avec les conseillers municipaux du village.

 

En maint endroit du continent africain, la famille est l’unité autour de laquelle se basent les systèmes sociaux traditionnels.

 

Le système de parenté s'appuie sur la famille, le lignage, le sous-clan et le clan.

 

Le clan est composé d'individus se réclamant d'un même ancêtre, réel ou fictif.

 

Donc le concept de famille doit être entendu dans son acception large, intégrant tous les degrés de parenté ainsi que les liens avec le clan.

 

La solidarité qui caractérise force sociétés africaines dépend d’une structure forte que l’on peut synthétiser sous la forme de l’ethnie (dont les individus partagent un héritage culturel et une langue commune), du lignage (formé par une grande famille dont la parenté remonte à plusieurs générations) et du clan (composé d’un groupe d’individus se référant à une personnalité, un corps de métier ou un animal totem).

 

Dans leur milieu naturel dans lequel ils vivent, certains groupes des villageois vivent encore aujourd’hui à la façon des premiers occupants.

 

En effet, les personnes âgées, qui ont reçu l'héritage provenant de leurs ancêtres, sont choquées lorsqu'elles observent le mode de vie des autochtones de nos jours.

 

Souvent ces derniers indiquent que, les structures sociales traditionnelles sont basées sur un système de parenté et de classe d'âge.

 

Notre rédaction constate aussi que,...les personnes âgées sont très respectées, et les enfants sont toujours l’incarnation de la continuité du village, ou les Ìndrŭ accordent une grande importance à la famille élargie mais chaque parent a autorité sur ses enfants.

 

Dans ce chapitre, certains notables indiquent aussi que, le patrimoine ethnique est complexe et comprend les descendants de plusieurs clans...

 

Parmi eux se trouvent les clans qui observent une descendance patrilinéaire et sont divisés en un certain nombre de clans exogames.

 

Ce cosmopolitisme Ìndrŭ traduit par la colonisation occidentale et le mixage avec les différentes tribus congolaises et des pays voisins du Congo a entrainé une mutation culturelle Ìndrŭ au point de confronter la tradition à la modernité.

 

Il faut dire qu’ici que, le peuple Ìndrŭ a subi certainement le brassage linguistique au fil du temps de vivre ensemble avec d’autres peuplades.

 

Par-exemple ; Il s'agit de descendants des clans auxquels se sont assimilés quelques éléments nilotiques et bantou.

 

Et nous avons (Inzibha) (Mbiseyidhu) dont beaucoup de ses membres dirigent la localité Mutimba situé à Arava, (Basikye),(Vengbabha), (Kaswarabhale)(Kanyorobhale), et (Angutsibha), pour ne citer que ceux-là.

 

Selon histoire ancienne rendu publique à Matafu dans les années antérieures par Woyo Ambroise le membre dela famille régnante dela localité Matafu il avait dit que tout individu ou groupe d'individus pouvait devenir Ìndrŭ, suffisait de trouver un accueil au sein d'une communauté familiale ou clanique Ìndrŭ, pour adopter la langue Ndrǔna et intégrer la tradition et la culture, par la voie des initiations.

 

Tout cela exige du temps ... C'est ainsi que plusieurs individus et groupes d'individus ont intégré cette communauté et partagé ainsi le destin du peuple Ìndrŭ.

 

Il englobe même des Ìndrŭ originairement ne sont ni Bindi ni Lendu, car c'est un peuple qui s'est constitué à partir des mélanges des Lendu Sud ou Ìndrŭs avez des nilotiques (Hema) et des bantous ou semi-bantous (Bira, Lesse, etc).

 

➤ 🔴 Mémoire Contribution à l'étude historique de différents clans INDRU des origines en 1960 par Augustin Munganga-Bamotana ISP-BUNIA ( 1990/1991 )

 

Ces derniers, à force de vivre avec la majorité des Ìndrŭs qui sont venus par le Nord et l'Est, auraient perdu leurs langues maternelles et adopté le ndrǔna et ont fini par s'assimiler aux Ìndrŭs

 

Dès qu'ils devenus des Indruayibhale assimilés, ils sont aujourd'hui des Ìndrŭs à part entière.

 

De son côté, le député Babangu pense que être un Ìndrŭ, il faut avoir les ancêtres druyibhale et appartenir à un clan Ìndrŭ , un groupement des druyibhale... brefs être Ìndrŭ d'après le vieux Kalimi c'est aussi maîtriser parfaitement la culture Ìndrŭ et ses valeurs intrinsèque et extrinsèque, défendre les dites valeurs jusqu'au sacrifice suprême.

 

On a pu observer que, le clan Zadhu a historiquement occupait une position tout aussi privilégiée dans le nord-est de Walendu-Bindi et constituait également le souverain de l'État, dans la chefferie de Walendu-Bindi.

 

À cette révélation, la chefferie traditionnelle des Walendu-Bindi abrite une multitude de clans unis par la langue et l'histoire bien distincts, et autant de modes de vie et de traditions qu’on gagne à connaître à tout ceux qui en ont besoin, et ceux qui en ont envie.

 

Concernant les clans, ils sont nombreux selon l'origine.

 

La famille régnante est issue de « Mugadithu », un sous-clan de AZATA fils de BINDI, tandis que, le reste de la population locale est composée de d'autres clans, qui instaurent aussi des institutions centralisées, pour prendre le pas sur l'organisation des clans énumérées dela manière suivante :

 

Mukobha, Bolomabha, Kerengebha, Adabha, Zadhu, Nyasidhu, Mugadhu, Omvudhu, Sodhu, Bidhu, Atsadhu, Mongodhu, Kagorodhu, Kadjidhu, Androdhu, Zudhu, Nzemvudhu Angayidhu, voir la famille régnante du groupement Bukiringi.

 

Adirodu Roger pense que, les membres de clan bhesi qui habitent dans certains endroits du groupement Bukiringi ont la faveur de la division du travail, s'est vu affecter des activités viriles : agriculture, pêche, chasse, forge, défrichage, abattage des arbres, récolte du miel, travail du fer et du lithique étaient de son ressort.

 

La culture a été une arme de résistance, mais également un instrument et un symbole de renaissance.

 

Que ce soit à travers la musique, les Ìndrŭ ont retrouvé leur identité et pansé à travers la défense dela guerre qui résonne aujourd'hui dans sa culture.

 

Leur savoir se transmet de génération en génération, qui fait d'eux, les gardiens de la tradition orale.

 

Ces noms de clans sont devenus aussi des noms des lieux, des villages et même des personnes tels que :

 

Aveba, Kagaba, Nombe, Mbogu, Olongba, Avenyuma, Kabona, Zitono, Kagaba, Nyabiri, Opili, Nyabiri, Anyozo, Badjanga, Kaswara, Batumbi, Tsanda, Isura, Tsadhu, Nyarara, Sisa, Munobi, Nyarara, Kabona, Buguma, Aveluma, Mukato, Heru, Atelé, Maga, Omina, Arava, Kelenzi, Bizo, Barayi, Ngasu, Mbalagu, Fungusa, Kerenge, Badjanga, Kazana, Sorodo, Oyina, Zoko, Nyasinga, Abori, Amori, Avengu, Ruwali, Ngereza, Nyawanda, Tsaki, Mangala, Matafu, Mbobi, Mbaraza, Mawara, Katorogo, Ozoba, Avezu, Chyekele, Awuva, Kamatsi, Avalu, Aloka, Kawangu, Alumbu, Ruzinga, Mogbe, Modhiro,Anyaga, Tsatsi, Songokoyi, Mbogu, Tradhadhi, Nyagba, Luba, Ngawu Kombi, Kagoro, Koga, Nima, Tarama, Longowi, Katoto, Karambu, Nyayigo, Gomboro, Letsudo, Mukorodo, Mukondru, Janda, Kisodjo, Awembe, Tawayidjo, Tsamulipa, Nyamagaru, Nyasona, Mambangu, Tolé, Hogo, Singo, Joli, Nyawu, Kolu, Mogo, Muranzali, Kigo, Senya, Munobi, Karatsi, Soki,......etc.

 

Les noms claniques ou ethniques ont des provenances extrêmement variables. Il y a ainsi beaucoup ;

 

Ex; Ndalubha c'est-à-dire les "gens de ;

 

Ici bas dans le même sujet, on peut aussi entendre parler de Kamatsi-Bhale niwo, c'est-à-dire, les "gens de Kamatsi" où autres,...-auxquelles-correspondent diverses expressions pour désigner des populations par référence à un nom d'un chef ou de lieu.

 

Ces dénominations sont parfois anciennes, mais il s'en est créé à toutes les époques et il s'en crée encore.

 

D'après nos informateurs, les noms des lieux des forêts ou des rivières rappellent l'existence des anciens villages qui étaient habités par des membres d'un même clan.

 

Et ces anciens villages peuvent devenir un cimetière ou une forêt où les membres du clan vont se ravitailler en ressources vitales.

 

Les descendants gardent ainsi la position de leurs ancêtres suivant ces échelons de bas en haut.

 

Sur laquelle les familles vivent d'une héritage qui restent dans leurs cercles culturels, tout est fonction du passé, de l'ancien et donc de l'héritage des ancêtres.

 

Un pilier sur lequel s'appuie le clan dans son fonctionnement ou les relations des membres d'un même clan.

 

Une histoire commune se transmet de génération à génération, autour de la vie du clan, ses rapports avec les autres clans, la gestion et la conservation de tous les biens hérités des ancêtres, des interdits, qui sont un vrai code moral pour tout membre du clan.

 

Les membres du clan sont tenus à observer un nombre de « lois » qui fait l'équilibre du groupe.

 

La même histoire se transmet aussi par la transmission des noms des ancêtres qu'on donne à la descendance.

 

« Les rapports sociaux entre membres d'un clan sont déterminants et se reposent sur plusieurs aspects : droits d'aînesse, cérémonies de règlement de conflits, le plus vieux est supposé être au parfum de tout.

 

Il a vécu des faits, des temps, des expériences, des échecs et des réussites, il est un homme de raison, investi d'un pouvoir doublé de sagesse, il est illuminé.

 

Les jeunes ne doivent pas l'interrompre, le plus jeune n'a nullement le droit de prendre la parole de façon anarchique ou non autorisée.

 

C'est une manière de faire prendre conscience au plus jeune, un apprentissage à l'écoute, à la patience, à l'attention.

 

C'est pourquoi, chez le clan en République du Congo, le vieux jouit d'un respect glacial qui le place à un niveau élevé de la société.

 

Il a la clé des solutions aux multiples problèmes sociaux, il est sensé être ce juge, investi d'une sagesse lui permettant de juger impartialement tout cas de conflit de quelque nature qu'il soit, au niveau du clan ou de toute la société.

 

Le rôle du chef du clan

 

De par ces critères, le rôle du chef du clan qui est aussi un chef coutumier était de protéger, de nourrir, d'encadrer, de contrôler, de diriger et de guider sa population.

 

Le chef du clan était un rassembleur, un unificateur, un pacificateur etc.

 

Cependant, malgré ces attributs du chef du clan, la gestion du pouvoir était collégiale. Le chef n'en était que le garant.

 

Toute décision importante nécessitait une réunion à huis clos, « MUHANURA » de la part de la classe politique, ou une assemblée générale démocratique.

 

D'où, l'absence totale de la personnalisation du pouvoir.

 

* L. DE SAINT MOULIN, « Histoire de l'organisation administrative du Zaïre » In Zaïre-Afrique N°261 (Janvier 1992)

 

* T.M.VUNDUAWE, « L'administration locale au Zaïre de 1885 à 1982 », Zaïre-Afrique, N°165 (mai1982)

 

Mais le plus grand clan est celui de Bindi qui comprend les bamuko et les zadhu.

 

D'abord, il y a lieu de relever que, l'agencement de la structure de parenté tourne donc autour du clan mais la cohésion entre ses membres n'est pas aussi forte que chez les Bantous.

 

 L'intérêt se concentre plutôt sur la famille ou la parentèle, le clan chez les Indru est constitué de :

 

🇨🇩 l'ancêtre ;

 

🇨🇩· · les pères, fils de l'ancêtre

 

🇨🇩· · les petits -fils de l'ancêtre.

 

🇨🇩· · les arrières -arrières- petit -fils de l'ancêtre.

 

🇨🇩⏱✍🏻Les Ìndrŭ sont tous des patriorcaux.

 

L'appartenance au clan se transmet donc par les hommes et non par les femmes, les enfants se rattachent à deux clans mais non dans la même mesure.

 

L'enfant est membre à part entière du clan de son père.

 

🇨🇩➡Systèmes patrilinéaire et matrilinéaire.

 

Le système familiale est patrilinéaire si c'est le père qui est à la source de la parenté, transmet son nom, son héritage, des rites de son clan, et l'ensemble d'éléments culturels associés à son clan.

 

Le système matrilinéaire voit la mère transmettre son nom, ses rites et l'ensemble des éléments culturels associés à son clan, elle est aussi à l'origine de l'héritage.

 

Notons que, dans les sociétés matrilinéaires on voit souvent là ou, les frères de la mère assumer une bonne partie des fonctions de père dans le système patrilinéaire.

 

Ainsi, l'oncle maternel nourrira sa soeur et les enfant de celle-ci.

 

Souvent les individus s'identifient à leur clan d'origine dont ils portent le nom de l'ancêtre fondateur.

 

Certains clans sont formés au cours des situations troubles comme les migrations et les guerres où les hommes, pour se tirer d'affaire, scellent des alliances avec des animaux ou des plantes qui deviennent ainsi leurs totems et constituent par conséquent leurs interdits alimentaires.

 

Mais tout a fait, la société ìndrǔ est très structurée, pour la famille, une segmentation en lignage dont le chef exerce une réelle autorité (jusqu'au droit de vie et de mort).

 

Les clans unis par la langue naturel ainsi formés, prennent leurs noms.

 

La famille qui est l'unité clanique de base est désignée par l'expression placée sous la direction d'un homme âgé appartenant à la dernière génération des parents.

 

Et, elle rassemble tous les individus issus d'un même ancêtre génétique.

 

Ndrǔna une langue de communication du peuple Ìndrŭ

 

Cela veut dir que, le Ndrǔna est parlé et compris par la plupart des paysans, et les dialectes sont nombreux'

 

Voici quelques expressions populaires, comprises de la majorité des habitants :

 

Bonjour ; Karingbayi

 

Merci : Ocho-Abho

 

Excusez-moi : Ubadhudu

 

Oui : Uwa

 

Non : Inza

 

En ce qui concerne la salutation, c'est le signe de civilisation. Donc, elle symbolise l'amour, l'amitié, et le respect, mais aussi, la considération.

 

Les salutations «bonjour» et «bonne après-midi» sont en fait des questions en Ndrǔna: Nyasuwanyi ? qui signifie «comment s'est passé ta journée?» respectivement.

 

Parles-tu français ? : Nyayongo Kitukuyo avabanotote ?

 

Je ne comprends pas : Nzamiri

 

Je m'appelle... : Ovoduni

 

Combien est-ce que ça coûte ? : Ife kayoojiniringbayi

 

Comment vas-tu ? : Nyitine mbeina ?

 

Actuellement, la langue Ndrǔna compte le plus grand nombre de locuteurs parmi les ethnies del'Ituri. 

 

Et donc, les salutations revêtent une importance pour toute la communauté particulière : notamment les anciens, se saluent selon un rituel dont la durée varie mais qui commence toujours par le salut !

 

Souvent les question telles que "comment vas-tu", "comment va ta famille"... 

 

Les Ìndrŭ qui sont la plupart des non-musulmans utilisent également ce genre de salutations et s'inquiètent de la famille, de la santé... Il est d'usage de répondre que tout va bien. 

 

-LE 👉🏿FRANÇAIS

 

Le français est la langue officielle du fait que c'était la langue de l'Administration coloniale. 

 

Si dans l'Est de l'Afrique, le swahili s'est développé comme langue commune à tous les peuples, en Afrique Centrale c'est la langue des anciens colonisateurs qui dominent, en l'occurrence, le français. 

 

Après l'indépendance, le français a continué d'être employé par le gouvernement, les tribunaux et le domaine commercial. 

 

Le Français est la langue officielle du pay depuis l'époque colonial belges, même si elle est plutôt parlée dans les marchés et les petits commerce. On le retrouve également dans les services de police ou de l’armé ainsi que sur certains documents officiels du gouvernement. 

 

Vous retrouverez un peu de Swahili aussi sur les affiches dans les rues ou sur les billets.

 

Le francais aurait été choisi comme «langue neutre» pour éviter les conflits ethniques, construire l'unité nationale et économiser les ressources. 

 

C'est aussi la langue d'enseignement souvent dans les différentes écoles. Les publications officielles et les principaux journaux du pays sont diffusés en français de même qu'à la radio et à la télévision. 

 

À l'Instar du swahili, le francais est une langue seconde parlés dans la partie Orientale dela République démocratique du Congo. 

 

Mais dans la chefferie de Walendu-Bindi, il serait parlé et compris par environ 35 % de la population comme la troisième langue après le Ndrǔna, et swahili.

 

C'est aussi la langue privilégiée par l'élite du pays.

 

Les données détaillées sur le français qui cohabite avec diverses langues nationales telles que le lingala (Kinshasa et Equateur), le Tshiluba (les deux Kasaï et le Katanga), le Swahili (Kivu, le Katanga et la Province Orientale) et le Kikongo (le Bas-Congo et le Bandundu).

 

Selon l'enquête d'opinion publique 

 

- Le 👉🏿SWAHILI

 

Pour communiquer et rester en contact avec les populations venant d'ailleurs, le peuple ìndrǔ s'adonne aussi à la langue Nationale parlée à l'Est du Congo, le « SWAHILI ». Cette dernière est apprise à l'école, en famille et dans les centres d'alphabétisation.

 

Elle est plus parlée dans les localités et cités se trouvant le long des routes que celles de l'intérieur. 

 

Concernant la langue swahili, nos sources depuis l'ancienne époque parlent des Pères blancs de l'église catholique, qui ont commencé à favoriser le français dans les écoles au lieu du swahili, sous prétexte que cette langue était associée à l'islam ; les missionnaires s'opposèrent également à l'usage du swahili, car il transmettait des valeurs islamiques qui réduiraient leurs efforts d'évangélisation.

 

Malgré les pressions des missionnaires pour favoriser le Ndrǔna, l'Administration coloniale adopta une attitude passive tout en soulignant que le swahili s'avérait une langue plus facile à apprendre pour les fonctionnaires coloniaux que le Ndrǔna.

 

À partir de 1912, l'Administration coloniale belge modifia sa politique linguistique. Il imposa l'usage du swahili en raison du statut privilégié du Ndrǔna.

 

Pour les dirigeants de l'époque congo-belge, la seule langue pouvant assurer une communication efficace entre les paysans et les blancs, a été le swahili. 

 

Mais l'usage obligatoire du Swahili entraîna des résistances dans la zone sud de Walendu-Bindi, et particulièrement les villageois dans certaines localités, ou la grande savane a une large place aux communautés locales, à la quelle, ils sont habitués dans les modes de vie coutumière.

 

De nombreux fonctionnaires coloniaux recommandèrent que le swahili soit rétabli dans ces régions en tant que langue officielle permanente, et ce, d'autant plus que le swahili aurait l'avantage de faciliter les communications avec le protectorat d'Afrique orientale.

 

La popularité du swahili dans la partie-est de la République démocratique du Congo, varie en fonction de l'attitude des dirigeants politiques, tant coloniaux.

 

C'est grâce à cette langue Swahili que, en contact avec des voisins divers au cours de leur histoire, les pratiques culturelles que les différents groupes ont conservées, partagées et empruntées au fil de leurs migrations.

 

Une multitude de dialectes sont utilisés par les autres communautés bantoues en dehors de ndrǔna.

 

Quelques éléments anthropologiques

 

Dans ce chapitre ; Certains récits peuvent être partagés à l'extérieur de la communauté, tandis que d'autres sont destinés à être transmis exclusivement en son sein par les anciens, qui jouent le rôle de narrateurs d'histoire chez les autochtones.

 

L'homme demeure l'acteur principal et le centre d'intérêt de toute action dela communauté. 

 

Sous une organisation plus centralisée et plus puissante, le symbole culturel des Ìndrŭ est un léopard avant même l'époque coloniale, qu' oi à certain niveau, l'opinion publique décrit les Ìndrŭ comme des méchants.

 

Mais quand-même un bon nombre de la population souriante présente, aussi un accueille chaleureux aux visiteurs avec beaucoup de gentillesse.

 

Donc, les Ìndrŭ sont un peuple qui a longtemps vécu entre eux dans une grande la savane, qui est à la fois leur lieu d'habitation, et leur source d’alimentation. 

 

Ici dessous, vous pouvez certainement comprendre que, la société Ìndrŭ est fondée aussi sur le partage d'informations à caractère socio-culturelle.

 

Elle facilite ainsi la transmission de valeurs et de savoir-faire entre générations au cours d’un partage d’actions, de sagesse, de divertissement et d‘apprentissage, que l'on peut échanger et partager, pour un avenir durable.

 

En même temp, la tradition orale forme aussi une part essentielle et inspiratrice à l’origine de la philosophie sociale et des expressions populaires. 

 

Notre enquête a également révélé qu'à travers les contes et légendes, nous remarquons que, la culture qui montre entièrement leur rapport de tradition à la nature où savane ancestrale, ne peut pas être sous estimé. (...) puisqu'ils tenaient une place considérable dans la culture des autochtones.

 

C'est pour dire que, personne ne manque jamais de rien car la nature, et plus particulièrement la savane et la forêt, offrent généreusement les ressources naturelle.

 

Doit-on que, le facteur Socio-culturelle conjugué avec une vision considérable dela communauté peuvent rendre une population puissante. 

 

En bref, le peuple Ìndrŭ respecte la valeur de la personne humaine et supporte mal toute personne qui méprise les valeurs humaines (surtout celle du respect des personnes âgées, des handicapés et des enfants).

 

Il n'hésite pas à se défendre et à s'opposer aux velléités de domination et d'esclavage.

 

Au fur des âges, ces pratiques sociales ont acquis une valeur dite de référence, à laquelle tout Ìndrŭ peut obligatoirement s'identifier à toute membre de sa communauté . 

 

À certaines périodes de sa récente histoire, la plupart des personnes vivant dans la chefferie de Walendu-bindi évoquent souvent leurs lieu comme une partie naturel du monde primordial important, pour la superposition de traditions anciennes et modernes qui doit épargner la communauté de toute genre d'agression extérieur considérable.

 

C'est pour cela que, le pouvoir de guérison doit être pratiquer quelques fois pour se mettre à l'abri des dangers, et traditionnellement transmis par le père à celui de ses fils qu’ils jugent le plus sage pour en hérite.

 

À plus de cela, nos travaux scientifiques relèvent en effet que, les parents trouvent de plus en plus que, leurs fils sont capables d’assumer une telle responsabilité. 

 

Ces derniers pensent que, ceux-ci maîtrisent plus la savane et la forêt assez bien, avec les connaissances et les secrets qui leurs sont liés, à grande vitesse, d`une façon légale à la prophetie de Bernard Kakado.

 

Une valeurs culturelles propres aux populations Ìndrŭ.

 

Quelques fois sous l'oeil attentif dela population, l'opinion publique finira par accepter et croire que, le peuple Ìndrŭ a une bénédiction spéciale de Dieu et ses ancêtres,.

 

Ainsi, après avoir fait des très longues marches, des guerres entre ethnies, les ìndrǔs sont habités d’une joie de vivre incontestable, contrairement à d'autres petites tributs, à part quelques cas isolés rapporter dans certains villages.

 

Donc, la société Ìndrŭ est solidaire dans le bonheur comme dans le malheur qui frappe la famille.

 

Cela s’explique par le fait que les Ìndrŭ sont toujours un peuple solidaire, animé par l’esprit de l’unité qui est rendu par le slogan « Maini-Indruy-Bhale » en français on peut expliquer (Nous sommes les membres dela communauté Ìndrŭ).

 

➤ 🔴 Article des Révues Périodique intitulé !

 

Les Ìndrŭ sont un peuple autochtone dela chefferie traditionnelle des Walendu Bindi qui regroupe plusieurs clans autonomes.

 

Via le Portail de https://adiroduroger-rdc.over-blog.com/ à catégorie de Cyber-Notes de 19 janvier 2025

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