EN 2021 sur le podium des années les plus chaudes Implacablement, le réchauffement climatique
🌍🏞️« Selon une source dela Nasa qui nous livre cette information, ces sept dernières années ont clairement été les sept années les plus chaudes jamais enregistrées. »
Une année chaude malgré des événements modérateurs
Parmi les événements de l'année qui ont influé sur les températures mesurées :
Les feux de forêt en Australie ont libéré des fumées bloquant partiellement la lumière du soleil et refroidissant légèrement la planète.
La pandémie de Covid-19 a fait baisser la pollution, entraînant un réchauffement à court terme potentiellement significatif alors même que la quantité globale de réchauffement évité en réduisant les émissions de CO2 sera minime.
Réchauffement climatique : 2020 sera sans doute l’une des années les plus chaudes jamais enregistrées
Incendies, inondations, chaleur extrême, ouragans... «L'humanité fait la guerre à la nature, c'est suicidaire », s'indigne l'ONU. Cette décennie qui s'achève sera la plus chaude, et l'année 2020 pourrait bien être l'un de ses points d'orgue, battant des records de chaleur. Exhortant les gouvernements à s'engager vers la neutralité carbone, l'ONU prévient qu'il y a un risque que la hausse du mercure dépasse, d'ici, les 1,5 °C, le seuil fixé lors de l'Accord de Paris.
L'Organisation météorIncendies, inondations, chaleur extrême, ouragans…
Selon un rapport du Programme des Nations unies pour l'Environnement (PNUE) publié mercredi, le monde doit réduire la production d'énergies fossiles de 6 % par an d'ici 2030 pour espérer limiter le réchauffement à +1,5 °C. Mais les prévisions tablent sur une hausse.
Chaleur extrême, incendies, inondations, acidité croissante des océans, saison record des ouragans dans l'Atlantique... Autant de signes que le changement climatique a continué sa progression inexorable cette année. La chaleur la plus remarquable a été observée cette année en Asie du Nord, en particulier dans l'Arctique sibérien, où les températures ont été supérieures de plus de 5 °C à la moyenne. Fin juin, 38 °C ont été relevés à Verkhoyansk en Sibérie, ce qui est provisoirement la température la plus élevée constatée au nord du cercle arctique.
La saison des incendies, qui ont ravagé de vastes zones en Australie, en Sibérie, sur la côte ouest des États‑Unis et en Amérique du Sud, a été la plus active de ces 18 dernières années. « Les inondations dans certaines régions d'Afrique et d'Asie du Sud-Est ont entraîné des déplacements massifs de population et ont compromis la sécurité alimentaire de millions de personnes », a observé M. Taalas.
Au rayon des mauvaises nouvelles, la banquise arctique a atteint en septembre son minimum annuel, classé au deuxième rang des moins étendus en 42 ans d'observations satellitaires. L'étendue de la banquise antarctique en 2020 a, en revanche, été similaire, ou légèrement supérieure, à la moyenne de ces 42 dernières années, tandis que le Groenland a continué de perdre de sa masse, bien qu'à un rythme plus lent qu'en 2019.ologique mondiale (OMM) qui s'appuie sur une consolidation de cinq grands jeux de données internationaux ne dit pas le contraire.
Pour elle, l'année 2020 est l'une des trois plus chaudes jamais enregistrées, rivalisant avec 2016. Et faisant également de la décennie 2011-2020, la plus chaude jamais enregistrée.
Les chercheurs ignorent encore l'origine exacte de ce phénomène. S'il doit être attribué aux humains ou à des causes plus naturelles. « Et c'est ce qui le rend le plus préoccupant », confie Vincent-Henri Peuch, directeur du Copernicus Atmosphere Monitoring Service, à l'occasion d'une présentation de ces chiffres à la presse, ce lundi 10 janvier 2022. « Tout ce que je peux dire, c'est que je ne pense pas que la fonte du permafrost puisse être en cause. Nous nous attendons à ce que ces effets soient beaucoup plus graduels. »
Pour trouver la réponse, les chercheurs de l'initiative Copernicus précisent qu'ils travaillent dur à développer leur capacité à faire apparaître dans leurs chiffres, les seules émissions anthropogéniques. De quoi nous aider à construire une société plus résiliente en mesurant directement dans l'atmosphère, les impacts des mesures de limitation de notre empreinte carbone que nous pourrons prendre à l'avenir.
Les climatologues notent en revanche que « la précédente année record, 2016, avait reçu une impulsion significative d'un El Niño fort. » 2020, au contraire, a connu un début de La Niña rafraîchissant en fin d'année. Le tout faisant « la preuve que le climat de fond continue de se réchauffer en raison des gaz à effet de serre. »
L'Organisation météorologique mondiale (OMM) qui s'appuie sur une consolidation de cinq grands jeux de données internationaux ne dit pas le contraire. Pour elle, l'année 2020 est l'une des trois plus chaudes jamais enregistrées, rivalisant avec 2016. Et faisant également de la décennie 2011-2020, la plus chaude jamais enregistrée.
Pour eux, le réchauffement climatique : 2020 est officiellement l’année la plus chaude avec 2016
Ce n'est pas vraiment une surprise. Mais c'est désormais officiel : 2020 restera dans les mémoires comme l'année la plus chaude jamais enregistrée. Ex aequo avec l'année 2016 que l'on pensait déjà exceptionnelle !
Article de Nathalie Mayer
Les chercheurs ignorent encore l'origine exacte de ce phénomène. S'il doit être attribué aux humains ou à des causes plus naturelles. « Et c'est ce qui le rend le plus préoccupant », confie Vincent-Henri Peuch, directeur du Copernicus Atmosphere Monitoring Service, à l'occasion d'une présentation de ces chiffres à la presse, ce lundi 10 janvier 2022.
« Tout ce que je peux dire, c'est que je ne pense pas que la fonte du permafrost puisse être en cause. Nous nous attendons à ce que ces effets soient beaucoup plus graduels. »
Pour trouver la réponse, les chercheurs de l'initiative Copernicus précisent qu'ils travaillent dur à développer leur capacité à faire apparaître dans leurs chiffres, les seules émissions anthropogéniques.
De quoi nous aider à construire une société plus résiliente en mesurant directement dans l'atmosphère, les impacts des mesures de limitation de notre empreinte carbone que nous pourrons prendre à l'avenir.
Climat : « Nous venons de vivre les 7 années les plus chaudes jamais enregistrées ! » sur Terre.
Les émissions de méthane en question
Les mesures satellites montrent par ailleurs que les concentrations en gaz à effet de serre dans l'atmosphère ont continué d'augmenter en 2021.
Les niveaux de dioxyde de carbone (CO2) atteignent même un record annuel mondial d'environ 414 parties par millions (ppm) -- mesure sur une colonne d'atmosphère. Idem pour le méthane (CH4) et son record fixé à 1.876 parties par milliards (ppb).
Plus globalement, c'est sur la côte ouest des États-Unis et du Canada, jusqu'au nord-est du pays, du côté de l'Afrique centrale et au nord ainsi que dans le Moyen-Orient qu'il a fait le plus chaud. Mais des régions ont connu une année plus fraîche.
Le Pacifique, par exemple, en lien avec le phénomène La Niña -- qui a tendance à rafraîchir l'atmosphère --, ou encore l'Australie et certaines régions de l'Antarctique.
C'est l'information principale à retenir des chiffres publiés aujourd'hui par l'initiative européenne Copernicus de surveillance de l'atmosphère dans le cadre du changement climatique (C3S). Même si 2021 se classe dans le peloton de queue de ces années les plus chaudes.
Parmi les plus « froides », avec 2015 et 2018. Avec une température moyenne tout de même supérieure de 0,3 °C à la moyenne de la période 1991-2020 et supérieure de 1,1 à 1,2 °C à la moyenne préindustrielle.
Vous n'avez peut-être pas le sentiment que 2021 a été une année particulièrement chaude. Pourtant, le service européen Copernicus de surveillance de l'atmosphère le confirme aujourd'hui : les sept années qui viennent de s'écouler ont été les sept années les plus chaudes jamais enregistrées.
Une conséquence de ce phénomène climatique qui donne naissance à des anomalies de température sur une partie des eaux de l’océan Pacifique. Mais dans le contexte de réchauffement climatique global, l’effet rafraîchissant s’amenuise. « 2021 n’est pas l’année La Nina la plus chaude jamais enregistrée, puisqu’au moins 2020 la devance. Mais, même si son impact réel reste difficile à quantifier, elle montre que le phénomène opère désormais à un moindre niveau », souligne ainsi Freja Vamborg, chercheur impliquée dans l’initiative européenne Copernicus de surveillance de l’atmosphère dans le cadre du changement climatique (C3S) à l’occasion d’une conférence de presse.
Sur l'Europe, l'année a même été encore plus « fraîche ». Avec une température supérieure de « seulement » 0,1 °C à la moyenne de la période 1991-2020, elle n'entrera pas dans le top 10 des années les plus chaudes. Pourtant l'été 2021, lui, aura bien été le plus chaud jamais enregistré sur notre continent. Suite, notamment, à une vague de chaleur qui a déferlé sur la Grèce, l'Espagne et l'Italie fin juillet, début août. Le record de la température la plus élevée en Europe -- il était de 48 °C -- pourrait même avoir été battu du côté de la Sicile : 48,8 °C. Mais cela reste à confirmer par l'Organisation météorologique mondiale (OMM).
Au-delà de ces concentrations record, les experts attirent aujourd'hui l'attention sur un taux de croissance des concentrations en CH4 « inquiétant » pour les deux années qui viennent de s'achever. Respectivement d'environ plus 15 ppb en 2020 et plus 16 ppb en 2021. Un taux largement supérieur à ceux des vingt années précédentes.
Localité luanoli ; Les habitants abandonnent leur maisons d'habitation après une attaque des ADF vers l'est dela Rdc
🔴🇨🇩🗣️👉🏿Localité Lwanoli Beni térritoire ; Une psychose règne au sein dela population après une attaque sanglante attribuée aux membres du groupe armé d’origine ougandaise Forces démocratiques alliées (ADF), le groupe armé le plus meurtrier de la région.
Selon le chef de la chefferie des Watalinga, le mwami Pascal Saambili qui confirme l’information à notre rédaction, ces rebelles ont incendié le Centre Hospitalier de Lwanoli après qu’ils ont pillé tous les médicaments et matériels.
Une nouvelle attaque attribuée aux rebelles ougandais de l’Alliance des Forces Démocratiques (ADF) a été signalée la nuit du mercredi à jeudi 13 janvier 2022 dans la localité de Luanoli située à environ 9Km au sud de Nobili, groupement Bawisa en chefferie des Watalinga dans le territoire de Beni.
Mwami Pascal Saambili précise que les malades avaient réussi à s’échapper avec le personnel soignant. Il parle également des quelques maisons incendiées ainsi que des kiosques de commerçant.
Selon certaines sources ces assaillant ont capturés deux malades qui y étaient internés et amenés en brousse.
Toutefois, les dégâts ont été tant soit peu limités grâce à l’intervention des militaires des FARDC basés dans l’entité voisine de Nobili.
En signe de représailles pour dissuader les civils de collaborer avec les militaires, les ADF qui constituent l'un des groupes armés les plus violents parmi la centaine de groupes encore actifs dans l'est de la RDC, en proie à des guerres et des violences depuis 1996.
C’est l'un des tristes événements qui a marqué la nuit du mercredi au jeudi 13 janvier 2022.
Dans ce registre sécuritaire, nos sources dans la région confirment que, les accrochages entre les deux forces ont duré plusieurs heures. L’armée congolaise a empêché la progression des assaillants vers le centre de luanoli qui venait de totaliser plusieurs mois sans avoir enregistré une seule attaque.
À en croire la même source, les assaillants ont fait face à une position de l’armée qui leur a barré la route alors qu’ils tentaient de progresser dans leur attaque. Il confirme qu’il y a eu un échange des tirs.
Pour une petite note, le Centre de Santé de LUANOLI de congrégation CECA 2O est situé dans la Chefferie des Watalinga plus au-moins 8km de la Frontière Ugando Congolaise et 5 km au SUD de NOBILI où l'incursion des ADF a eu lieu vers 19 hrs blessant deux éléments de la force loyaliste , 5 bâtiments détruits et Bloc maternité incendiée ainsi que les produits pharmaceutiques et matériels emportés haureusement les personnels soignants faisaient de soins ambulatoires .
Jusque là, on enregistre un pillage systématique et l’incendie du Centre de Santé de référence de Luanoli et 3 maisons des civils, et aucune perte en vies humaines n’a été enregistrée.
Le Mwami Pascal Saambili, chef coutumier de la chefferie de Watalinga indique que les militaires FARDC qui étaient présents à Luanoli se seraient bien défendus pour limiter les dégâts.
Toutefois, ce bilan est encore provisoire car les fouilles se poursuivent dans la zone, indique pour sa part la responsable de la société civile de Watalinga.
Elle précise que les malades qui étaient hospitalisés à ce centre de santé incendié se seraient tous sauvés de justesse.
Les combattants présumés ADF ont fait un nouvel assaut à Luanoli, entité située non loin de Nobili en chefferie de Watalinga, territoire de Beni au Nord-Kivu dans la nuit du mercredi 12 à ce jeudi 13 janvier 2022.
Pour le moment, c’est une psychose généralisée qui gagne Luanoli et ses environs.
La population s’était déplacée en laissant derrière elle tous les biens ménagers. Dans le milieu de déplacement, cette population vit dans une vulnérabilité et une promiscuité élevées. Une intervention en AME est possible en localité à Nobili à travers les foires car il y a présence des vendeurs dans la zone de parts et d’autres de la frontière. Une intervention WASH ne sera possible que si la logistique réalise les achats sur place à Nobili soit dans les entités frontalières de l’Ouganda à cause de l’enclavement de la localité et la lourde procédure sur l’entrée et la sortie en Ouganda. Quant à l’Education, il faudra attendre la prochaine rentrée scolaire pour une évaluation sectorielle approfondissant les besoins réels dans ce secteur. Pour les vivres, il faudra mener une bonne étude de marché pour ne pas rafler le peu des vivres encore disponibles dans les champs des paysans de Nobili. Notons enfin que le besoin le plus décriant reste la santé.
Context Sécuritaire :
La situation sécuritaire dans la zone Kamango reste volatile mais, elle est plus ou moins calme dans celle de Nobili. La zone est contrôlée par le 2ème bataillon du 801ème Régiment des FARDC basée à Mutwanga.
La présence des FARDC dans la zone rassure tant soit peu la population déplacée se trouvant à Nobili mais, celle-ci voudrait voir l’armée loyaliste progresser sur la ligne de front et faciliter leu retour dans leurs villages de provenance.
Accessibilité :
La localité de Nobili se trouve dans le groupement de Bawisa, Chefferie des Watalinga en territoire de Beni. Elle est située à 71 km à l’est de Mbau sur l’axe Mbau-Kamango-Nobili et 393 km au Nord-est du poste frontalier de Kasindi sur l’axe Mpondwe-Kasese-Fort Portal-Bundibugyo-Busunga en Ouganda. Elle se trouve dans l’aire de santé de Njiapanda dans la zone de santé de Kamango.
Cette zone est limitée au Nord par les localités de Gawa et Bugando du groupement Bahumu, au Sud par les localités de Kikura et Luanoli, à l’Est par la frontière Ougandaise (Busunga) et à l’Ouest par la localité de Kahondo.
Contexte spécifique :
La localité de Nobili est une zone à la fois d’accueil des déplacés et de retour des refugiés (Hors camps).
Les déplacés présents dans la zone sont dans une situation humanitaire préoccupante. En effet, ces derniers occupent les sites publics entres autres : Ecoles primaires, Eglises, vieux bâtiments sanitaires, dépôts des vivres, magasins, maisons abandonnées, installations du marché,…
Pour ceux venus des localités de Kamango, Kitsimba, Bovata, Mulopya, Bwisegha, Ndama et leurs environs n’ont plus accès à leurs champs suite à la présence des rebelles ougandais. Par conséquent, la majorité d’eux se débrouillent aux champs environnant Nobili où l’on signale déjà des cas de vols des vivres par les déplacés. D’autres par contre, sont pris en charge à 80% par les familles d’accueil notamment à Kikura et Lwanoli. La plupart des habitants de Nobili se sont réfugiés en Ouganda et leurs maisons sont occupées par les déplacés venus de la zone de Kamango et environs. C’est le cas aussi des habitants de la localité de Kahondo qui se sont déplacés en Ouganda et à Nobili alors que leurs villages sont occupés actuellement par les déplacés venus de Mulopya et Bwisegha.
La localité de Nobili est habitée par la majorité de Watalinga. Les habitants de Nobili sont de cultivateurs.
Ils exportent le cacao en Ouganda et la majorité des localités frontalières ougandaises s’approvisionnent en vivres au grand marché de Nobili qui se tient chaque jeudi. Actuellement, Nobili centre est surpeuplé car il a accueilli les déplacés venus de la zone de Kamango.
Les localités de Kamango, Kitsimba, Ndama, Mulopya et Bwisegha seraient vidées de leurs populations.
À Kamango et Kitsimba1, l’on observerait seulement la présence militaire FARDC. Toutes les maisons, boutiques et structures de santé auraient été pillées systématiquement. Ces déplacés n’accèdent plus facilement aux soins médicaux car ils n’ont plus d’argent pour payer la facture. On a déjà enregistré 10 cas de décès chez les enfants de moins de 5 ans parmi les déplacés depuis le début de la crise à Nobili suite au manque de soins appropriés et au manque des médicaments. Plusieurs cas de diarrhée sont rapportés par les enquêtes ménages chez les enfants de moins de 5 ans.
Précisons que cette évaluation ne s’est pas focalisée seulement à Nobili où il y a une forte concentration des ménages déplacés mais, elle s’est étendue aux localités importantes de la zone de santé de Kamango concernées directement ou indirectement par cette crise. C’est notamment la localité de Kamango, celles de Lwanoli et Kikura. En réalité, l’évaluation concerne toute la chefferie secteur des Watalinga. Enfin, les zones d’accueil des déplacés sont les localités de Nobili, Lwanoli, Kikura et Kahondo
En RDC. Les populations qui ont franchi la frontière nationale se retrouveraient soit au camp des réfugiés érigés à
L'actualité dela région c'est aussi ; En Ituri : Un nouvel exploit des FARDC sur les rebelles ADF après un violent combat.
Au total 35 civils ont été libérés des mains des rebelles des ADF/MTM par des éléments des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) dans le territoire d’Irumu, en province de l’Ituri.
Cette information est livrée à la presse ce mercredi 12 janvier 2022 , par le lieutenant Jules Ngongo, porte-parole de l’armée congolaise en Ituri, tout en indiquant que ces personnes ont été libérées lors des opérations militaires contre les rebelles ADF [forces démocratiques alliées] menées dans cette partie de la RD.Congo. Il précise que les désormais ex-otages ont déjà regagné leurs milieux respectifs.
« Dans l’espace d’une semaine, lors des opérations contre les ADF et leurs supplétifs, les forces armées ont libéré plus de 35 civils des mains des terroristes ADF. Ils ont été libérés à la suite des opérations militaires dans le territoire d’Irumu », a dit le lieutenant Jules Ngongo.
Cependant , cet officier militaire invite la population à la collaboration avec l’armée, en dénonçant tout mouvement suspect auprès des autorités afin de mettre fin à cette insécurité dans cette partie du pays.
Localité-Otomaber : Les cultivateurs alerte notre rédaction sur des tracasseries qu’elle subit de la part des militaires basés dans le sud du térritoire d'Irumu.
🔴🇨🇩🗣️✍🏿👉🏿Au sud du térritoire d'Irumu province del'Ituri, les cultivateurs de la chefferie de Wakese-Vonkutu dénoncent les tracasseries militaires dont ils sont victimes vers l'est dela République démocratique du Congo.
C'est donc la population du groupement Bandavilemba alerte notre rédaction sur des tracasseries qu’elle subit de la part des militaires basés dans cette partie du territoire.
D’après eux, en plus des millitaires FARDC, et même certains services étatiques en charge de la perception de taxes et des impôts recourent aussi à cette pratique.
Ils confirment que, dépuis les derniers affrontements entre l’armée régulière et des présumés Maï-Maï signalés à Otomaber et Mambelenga, la plupart des cultivateurs se trouvant dans leurs champs sont bloqués del'est à l'ouest, du nord au sud.
Craignant pour leur sécurité, les civils disent être victimes des tracasseries dela part des millitaires Fardc qui les considèrent aux miliciens Maïmaï selon les propos d'un paysan qui nous livre cette information ce mercredi 12 janvier 2022.
Tout en craignant que ce genre de tracasserie ne brise le mariage civilo-militaire tant demandé, les élus de ce territoire demandent aux autorités militaires d’imposer la discipline au sein de leurs éléments et que les responsables des services étatiques recadrent leurs agents sur le terrain.
Face à cette situation, un député national , élu du territoire d'Irumu affirme qu’il est en contact avec le commandement des opérations au sud del'Ituri qui doit se charger discipliner ces éléments.
« Par rapport à la tracasserie militaire, nous sommes en contact avec les autorités militaires, notamment le commandement des opérations. Parce que le commandant qui est dans cette zone doit nous aider à discipliner ces éléments.
Pas seulement à Otomaber mais presque partout même à Idohu, la nuit, les militaires fouettent les paisibles citoyens, en tout cas, il y a beaucoup de choses qui se passent dans la région apprend notre rédaction part des sources locale.
Pour lui, les biens de la population sont en train d’être ravis par les éléments FARDC, ce qui risque de briser le mariage entre la population et les militaires », a déclaré élu d'Irumu.
Sous couvert d'anonymat il précise que, la population et les FARDC doivent vivre en harmonie pour rétablir la paix et la sécurité dans la région.
« Nous savons tous que nous avons besoin de ce mariage parce que nous avons un travail à faire dans la région qui est celui de rétablir la paix et la sécurité.
Je voudrais dire à la population que nous sommes déjà saisis et que d’ailleurs nous avons eu le temps d’échanger avec le gouverneur de la province par rapport à la question, il a promis qu’il va prendre des mesures idoines pour permettre à ce que cette situation puisse prendre fin », a promis l'élu du térritoire d'Irumu.
Tout en craignant que ce genre de tracasserie ne brise le mariage civilo-militaire tant demandé, les élus de ce territoire demandent aux autorités militaires d’imposer la discipline au sein de leurs éléments et que les responsables des services étatiques recadrent leurs agents sur le terrain.
Mais aussi ; Ces affrontements sont signés après près d’une semaine d’accalmie dans cette zone trouble au moment où séjournent dans la province le coordinateur national du Programme Désarmement, Démobilisation, Relèvement Communautaire et Stabilisation (P-DDRCS) et la délégation de la Task Force pour la Paix, la Réconciliation et la Reconstruction de l’Ituri.
Toutes ces initiatives visent à faire cesser les violences qui affligent la province de l’Ituri depuis plusieurs années.
Pour votre information, des affrontements entre l’armée régulière et des présumés Maï-Maï ont été signalés à Otomaber et Mambelenga ces derniers jours.
D’après ces mêmes sources, les combats se sont arrêtés pendant quelques heures dans la localité d’Otomaber avant de reprendre dans la localité voisine de Mambelenga.
C’est dans cette localité que les habitants d’Otomaber avaient pourtant trouvé refuge dès les premiers coups de feu, ajoutent nos sources.
"La situation a été maîtrisée en début d’après-midi grâce à l’intervention de l’armée congolaise", FARDC indique les mêmes sources.
En Beni térritoire la société civile dénoncer la passivité del'armée sur axe routier Beni-Kasindi
🇨🇩🗣️✍🏿👉🏿La nouvelle société civile du secteur de RWENZORI accuse les militaires déployés dans cet axe d’être passifs. En effet, ils ont été alertés depuis bientôt une semaine que les rebelles Adf avaient installé une position militaire vers LIBOKORA et aucune mesure n’a été prise avant que ces sanguinaires incendient un gros véhicule sur l’axe Beni-Kasindi.
Meleki MULALA craint que ces rebelles aient commis d’autres dégâts dans cette région qu’ils ont occupée pendant un bon moment. Ces militaires n’ont plus la confiance de la communauté poursuit-il. Visiblement, le mariage civilo-militaire n’est pas en bon terme dans cette région du secteur de RWENZORI. Nos efforts pour joindre les sources militaires dans cette région n’ont pas encore payé.
La société civile parle des militaires déployés sur l’axe Beni-Kasindi
« En effet, ils ont été alertés depuis bientôt une semaine que les rebelles Adf avaient installé une position militaire vers LIBOKORA et aucune mesure n’a été prise avant que ces sanguinaires incendient un gros véhicule sur l’axe Beni-Kasindi. Meleki MULALA, de la nouvelle société civile du secteur de RWENZORI craint que ces rebelles aient commis d’autres dégâts dans cette région qu’ils ont occupée pendant un bon moment. »
Les voix s’élèvent de nouveau au lendemain de la dernière embuscade tendue à Kalembo vendredi 07 janvier dernier. En effet, un véhicule poids-lourd transportant du carburant a été la cible d’une attaque attribuée aux rebelles ADF aux alentours de KALEMBO sur l’axe routier Beni-Kasindi. La nouvelle société civile du secteur de RWENZORI soutient que le chauffeur est sorti blesser de son camion incendié durant cette embuscade.
À la même source d’ajouter que l’ennemi provenait de LIBOKORA où il avait déjà installé ses positions. C’est lorsqu’il voulait traverser vers l’autre rive qu’il s’est croisé avec ce camion qui a du coup été incendié.
Peu avant ce drame, c’est un paysans agriculteur qui venait de s’échapper de justesse des mains de ces sanguinaires après quelques heures seulement de captivité.
À nos sources concordantes d'ajouter que sur terrain plusieurs défis attendent les FARDC et l’UPDF.
Le premier défi est de sécuriser l’axe routier Kasindi-Beni long d’environ 80 Kilomètres. Une route d’intérêt économique ouvrant la voie à l’Afrique de l’Est et à l’océan Indien à partir de la frontière congolaise de Kasindi-Lubiriha.
Les ADF y tendent des embuscades, tuent les civils, incendient des véhicules et pillent des marchandises. Pourtant, c’est la seule voie d’exportation et d’importation qu’utilisent les opérateurs économiques de Beni et Butembo pour ravitailler en produits de première nécessité le Nord Kivu, l’Ituri et la Tshopo.
Le deuxième défi est celui de faciliter le retour des populations dans plusieurs contrées notamment à Bulongo, Kisima, Makisabo, Halungupa, Mamove et dans d’autres villages du territoire de Beni considérés comme greniers de la région mais aujourd’hui abandonnés à la suite des attaques de l’ADF.
La sécurisation de la route Oicha – Komanda reliant le Nord Kivu à l’Ituri est un autre défi, les ADF ayant rendus la circulation difficile sur cette route avec des attaques et embuscades.
La fin des tueries des civils à Beni et en Ituri est considéré comme le principal résultat qui doit couronner le succès des opérations conjointes FARDC-UPDF contre les ADF.
À travers le monde ; L'année 2021 a été marquée par une série de violations graves à l'encontre des enfants dans des conflits
🔴🗣️👉🏿Les violations graves des droits de l'enfant dans les conflits sont en augmentation dans le monde entier selon (UNICEF).
Les informations livré par l'UNICEF à notre rédaction révèle qu'au cours des 16 dernières années, les Nations Unies ont vérifié 266 000 cas de violations graves contre des enfants dans plus de 30 situations de conflit en Afrique, en Asie, au Moyen-Orient et en Amérique latine.
Aide humanitaire
L'année 2021 a été marquée par une série de violations graves à l'encontre des enfants dans des conflits récents ou de longue durée et moins de la moitié des parties à un conflit dans le monde se sont engagées à protéger les enfants, a averti vendredi le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF).
Parallèlement, la région du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord a enregistré le plus grand nombre d'attaques vérifiées contre des écoles et des hôpitaux depuis 2005, avec 22 attaques de ce type vérifiées au cours des six premiers mois de cette année.
En octobre, l'UNICEF a souligné que 10 000 enfants avaient été tués ou mutilés au Yémen depuis l'escalade des combats en mars 2015, soit l'équivalent de quatre enfants par jour.
L'ONU a aussi vérifié des violations dans des pays comme le Burkina Faso, le Cameroun, la Colombie, la Libye, le Mozambique et les Philippines.
Les enfants paient le lourd tribut de la guerre
Malgré des décennies de plaidoyer auprès des parties au conflit et de ceux qui les influencent, ainsi que des mécanismes renforcés de surveillance, de communication et de réponse aux violations graves des droits, les enfants continuent de faire les frais de la guerre.
Chaque jour, des filles et des garçons vivant dans des zones de conflit endurent des horreurs indicibles qu'aucun être humain ne devrait jamais connaître.
L'utilisation d'armes explosives, en particulier dans les zones peuplées, constitue une menace persistante et croissante pour les enfants et leurs familles.
En 2020, les armes explosives et les restes explosifs de guerre ont été responsables de près de 50% de l'ensemble des pertes d'enfants, soit plus de 3.900 enfants tués et mutilés. Les armes explosives peuvent avoir des effets mortels et durables sur les enfants, notamment en perturbant des services essentiels à leur survie.
Dans de nombreux cas, les enfants sont victimes de multiples violations graves de leurs droits. En 2020, par exemple, 37% des enlèvements vérifiés par l'ONU ont conduit au recrutement et à l'utilisation d'enfants dans la guerre, ces cas dépassant 50% en Somalie, en République démocratique du Congo et en République centrafricaine.
Prendre des mesures concrètes pour protéger les enfants
J’appelle toutes les parties belligérantes à mettre fin aux attaques contre les enfants, à défendre leurs droits et à faire tout leur possible pour trouver des résolutions politiques pacifiques aux guerres
L’UNICEF appelle toutes les parties belligérantes à s’engager à adopter des plans d’action formels et à prendre des mesures concrètes pour protéger les enfants.
Il s'agit notamment d'empêcher les violations graves de se produire, de libérer les enfants des forces et groupes armés, de protéger les enfants contre les violences sexuelles et de mettre fin aux attaques contre les hôpitaux et les écoles.
Seuls 37 plans de ce type ont été signés par les parties au conflit depuis 2005 - un nombre scandaleusement bas compte tenu des enjeux pour les enfants.
« En fin de compte, les enfants qui vivent la guerre ne seront en sécurité que lorsque les parties belligérantes prendront des mesures concrètes pour les protéger et arrêter de commettre des violations graves », a déclaré Mme Fore.
« Alors que nous approchons de la fin de 2021, j'appelle toutes les parties belligérantes à mettre fin aux attaques contre les enfants, à faire respecter leurs droits et à s'efforcer de trouver des solutions politiques pacifiques à la guerre ».
De l'Afghanistan au Yémen, de la Syrie au nord de l'Éthiopie, des milliers d'enfants ont payé un lourd tribut aux conflits armés, aux violences intercommunautaires et à l'insécurité.
La semaine dernière encore, au moins quatre enfants figuraient parmi les 35 personnes tuées - dont deux membres du personnel de Save the Children - dans l'État de Kayah, dans l'est du Myanmar. Ce n'est là que le dernier exemple en date des ravages causés par les conflits sur les enfants et des menaces qui pèsent sur les travailleurs humanitaires.
« Les années se suivent et les parties belligérantes continuent d’afficher le plus profond mépris pour les droits et le bien-être des enfants », a déclaré la Directrice exécutive de l'UNICEF, Henrietta Fore. « Des enfants souffrent et des enfants meurent à cause d’une telle insensibilité. Nous ne devons renoncer à aucun effort pour mettre ces enfants à l’abri du danger ».
En mars 2021, le viol et la tentative de viol étaient les formes de violence sexuelle les plus fréquemment signalées en Somalie.
Enlèvements et violences sexuelles ont continué d'augmenter en 2021
Alors que les données pour 2021 ne sont pas encore disponibles, en 2020, 26.425 violations graves contre les enfants ont été vérifiées par l'ONU. Les trois premiers mois de 2021 ont vu une légère diminution du nombre global de violations graves vérifiées, cependant, les cas vérifiés d'enlèvements et de violences sexuelles ont continué d'augmenter à des taux alarmants - de plus de 50 et 10%, respectivement - par rapport au premier trimestre de l'année précédente.
Les enlèvements vérifiés étaient les plus nombreux en Somalie, suivie par la République démocratique du Congo (RDC) et les pays du bassin du lac Tchad (Tchad, Nigéria, Cameroun et Niger). Les cas vérifiés de violences sexuelles étaient les plus nombreux en RDC, en Somalie et en République centrafricaine.
Cette année a marqué le 25e anniversaire de la publication du rapport fondamental de Graça Machel intitulé « L'impact de la guerre sur les enfants », qui exhortait la communauté internationale à prendre des mesures concrètes pour protéger les enfants du fléau de la guerre et appelait les Nations Unies et la communauté mondiale à agir pour protéger les enfants.
Il ne s'agit là que des cas vérifiés par le mécanisme de surveillance et de communication de l'information dirigé par l'ONU, créé en 2005 pour documenter systématiquement les violations les plus flagrantes à l'encontre des enfants dans les zones de conflit. Les chiffres réels sont bien plus élevés.
Afghanistan compte le plus grand nombre d'enfants victimes depuis 2005.
L'Afghanistan, par exemple, compte le nombre le plus élevé d’enfants victimes vérifiés depuis 2005, soit plus de 28.500, ce qui représente ce qui représente 27% de l’ensemble des enfants victimes dans le monde.
Oicha-Nord-kivu ; Un suspect a été interpellé par la police après l'explosion d'une bonne dans l'avenue du marché vers l'est dela Rdc
🔴🇨🇩🗣️✍🏿👉🏿Le service de sécurité qui nous livre cette information précise qu' une bombe artisanale a explosé sur avenue du 30 juin au marché d'Oicha chef-lieu du territoire de Beni, l'avant-midi de ce mercredi 05 janvier 2022.
C'est sous forme d'un téléphone cet engin explosif a été déposé par une maman dans un sac avant d'exploser, selon les sources de la société civile noyau d'Oïcha ajoute la même source.
Explosion d'une bombe à Oicha ; la société civile insiste sur le renforcement des mesures sécuritaire.
Les services de sécurité se sont rendus sur place pour le constat et le renforcement de leurs dispositifs. Sur place, un suspect a été interpellé par la police.
Les résidus de cette bombe sont déjà entre la main de la police.
Les premières sources parlent de 2 blessées qui ont été acheminés dans une des structures sanitaires de la commune; selon la Rtr-beni.net
Les forces vives par l'entremise de son rapporteur Darius Kasereka Syaghira précise que la présumée auteur court encore dans la nature , et pense que le renforcement des mesures sécuritaires seraient efficaces pour mettre fin à ce phénomène qui prend d'ampleur en territoire de Beni.
" Nous voulons que l'État puisse renforcer les mesures sécuritaires à l'entrée du marché" a-t-il exhorté.
Il a appelé également la population à la vigilance.
"C'est la population qui est plus explosée ,... Nous voulons aussi appeler la population à la vigilance, il faut éviter de fréquenter les espaces en faible mesure sécuritaire" a-t-il appelé.
Selon cette même source, les activités sont paralysées depuis l'avant-midi.
Pris de panique, certains habitants ont déserté leurs habitations croyant à une incursion des rébélles ougandais del'ADF.
♦️APERÇU DE LA SITUATION
Territoire de Beni
Le territoire de Beni reste confronté aux violences armées qui ne cessent d’aggraver la situation de protection des civils. Selon la société civile locale, environ 10 personnes ont été tuées ces dernièrs jours mars lors d’attaques dans des localités du sécteur de Beni-Mbau indiqué la société civile d'Oicha chef lieu du térritoire de Beni en proie des massacres perpétrés par les rébélles du groupe ADF.
De son côté ; Le bourgmestre de la commune d’Oicha, Nicolas Kikuku a expliqué que, la majorité de la population de Beni est déterminée à mettre fin à l’insécurité.
Pour lui, « Nous sommes en train de vouloir nous réunir pur évaluer la situation d’une manière générale, et essayer de voir la suite.
Puisqu’il faut que la zone soit vraiment sous surveillance, qu’il y est poursuites et recherches par rapport à tout ce qui s’est passé.
Puisque vous voyez que nos compatriotes sont entre les mains de l’ennemi, les 9 personnes qui sont portées disparues. Nous avons le devoir de poursuivre et de chercher comment on peut récupérer toutes ces personnes-là », a-t-il indiqué.
Par ailleurs, Nicolas Kikuku appelle la population à collaborer avec les forces de sécurité pour retrouver les otages :
« Nous sommes en train d’appeler toute la population et les leaders, chacun puisse apporter ce qu’il peut pour que nous puissions arriver vraiment à mettre la main sur l’ennemi et soit faire une pression pour que nos personnes-là soient libérées.
Donc, nous pensons que ça va continuer, l’armée et la police ne vont pas s’arrêter, et nous pensons que nous allons aboutir à quelque chose car c’est ça notre souhait ».
Pour l’instant, un calme s’observe dans la commune de Oicha. L’armée et la police contrôlent la situation, a ajouté le bourgmestre.
Bien manger même après Noël et Bonne Année pour être en bonne santé
🇨🇩🗣️✍🏿👉🏿Détox après les fêtes de Noël et Bonne Année : comment se remettre du repas de Noël ?
Pour nous, faites attention à la qualité des aliments mais aussi à la quantité que l'on consomme, notamment durant les fêtes, pour éviter certains désagréments plus tard...
Après un repas trop riche, l'organisme réclame une pause. Les conseils d’une nutritionniste pour choisir les bons aliments en cette fin d'année
Manger lége
Pas question non plus dès le lendemain de Noël d’opter pour une entrecôte-frites.
Histoire de s’alléger et de faire du bien à son foie, on opte pour des aliments riches en fibres et en vitamines comme les légumes et les fruits, qui aident à drainer l’organisme.
L’idéal ? Les cuire à la vapeur pour conserver leurs nutriments.
Chou, brocoli, poireau, fenouil, céleris ou radis noir : on privilégie ces légumes de saison, réputés pour leurs vertus détoxifiantes.
Il est aussi possible de les consommer rôti, sautés à la poêle ou en soupe, à condition de ne pas ajouter trop de matière grasse !
Les fruits, riches en vitamine C, en fibres et en antioxydants sont aussi les amis des lendemains de fête, tout comme les céréales complètes, les légumineuses et "les yaourts enrichis en ferments lactiques qui vont aider au bon confort digestif", explique Corinne Chicheportiche-Ayache.r.
Piochez parmi nos recettes et nos inspirations culinaires du moment, pour élaborer vite un menu équilibré et gourmand à base de produits simples comme les produits laitiers.
Salades composées, soupes, volailles et poissons blancs, petit-déjeuner santé : le programme minceur après les excès des fêtes de fin d’année.
Cette semaine dans notre magazine santé, il est question de santé et nutrition.
Pour en parler, nous irons au à Bunia pour des témoignages et conseils.
Selon les experts en matière
VOICI 9 CONSEILS POUR SE REMETTRE DES EXCÈS DE FÊTES DE FIN D’ANNÉE
Après les fêtes de fin d’années, notre organisme a besoin de se remettre des excès alimentaires et de retrouver sa vitalité.
Lourdeurs, digestion difficile, manque d’appétit, ballonnements… sont quelques exemples de symptômes qui peuvent vous pousser à revoir votre alimentation.
Mais que manger après les fêtes pour se remettre de ces excès alimentaires ?
Découvrez mes conseils de diététicienne pour retrouver un système digestif performant après les festivités de Noël et du Nouvel An.
Comment s’alimenter après les excès de fêtes de fin d’année ?
#1 On mange plus léger et on évite les aliments trop caloriques, trop gras ou trop sucrés
Vous l’avez compris : après les abus de fin d’années, il est temps d’être un peu plus raisonnable. Alors, on retrouve une alimentation équilibrée et on mange plus léger pendant quelques jours, jusqu’à se sentir mieux.
Pour cela :
Mettez de côté alcools, aliments trop caloriques, trop gras ou trop sucrés.
Évitez sodas et autres sucreries, mais aussi la charcuterie, les fromages et les matières grasses ajoutées (beurre, huile, etc).
Diminuez votre consommation de viande. Privilégiez les poissons (plus digestes) en quantités raisonnables, tout en veillant à choisir les poissons moins gras (cabillaud, sole, etc).
#2 On réduit les portions de féculents, plus lourds à digérer
Les périodes des fêtes de fin d’année sont une période où l’on a tendance à manger beaucoup, notamment de féculents qui sont connus pour être très rassasiants.
Mon troisième conseil pour mettre en repos son système digestif après les fêtes est de diminuer un peu sa consommation de féculents, au moins pendant 2-3 jours. Cela vous permettra à votre système digestif d’être moins sollicité et de vous sentir plus léger.
L’astuce de DocteurBonneBouffe.com : Pensez à mon premier conseil et veillez à ce que les légumes soient au coeur de votre assiette !
#3 On mange plus de fruits et de légumes
Les fruits et les légumes ont sûrement manqué dans vos assiettes pendant les fêtes… Il est impératif qu’ils redeviennent vos alliés dans ses quelques jours de “détox” post-fêtes (et pas seulement maintenant d’ailleurs !).
En effet, légers et peu caloriques, les fruits et légumes présentent l’avantage d’être plus digestes et donc de moins surcharger le système digestif (s’ils ne sont pas cuits avec des matières grasses).
Ils sont riches en fibres qui favorisent la digestion et luttent contre la constipation pouvant survenir à l’issu des festivités de fin d’année.
Ils sont, enfin, riches en eau, ce qui permet de réhydrater l’organisme après les abus d’alcool.
L’astuce de DocteurBonneBouffe.com : pendant ces quelques jours de diète, privilégiez les fruits et légumes cuits plutôt que crus.
Les crudités sont en général moins digestes, ils peuvent ainsi agresser vos intestins déjà fragilisés.
De plus, le fait de consommer des fruits et légumes cuits facilite la tâche de votre système digestif évitant ainsi de le surcharger davantage.
#4 On évite les plats en sauce ou cuits à l’huile
Evitez pendant quelques jours les plats en sauce ou cuits à l’huile, peu digestes et caloriques et privilégiez les cuissons plus douces et plus légères.
Modes de cuisson à privilégier :
La cuisson vapeur ;
La cuisson à l’anglaise (dans l’eau) ;
Au four ;
En papillotes ;
Modes de cuisson à éviter pendant quelques jours :
La cuisson à la poêle ;
Les fritures ;
Tout autres modes de cuisson à base de matières grasses cuites.
#5 On n’hésite pas à faire des soupes, des bouillons ou des purées
C’est le moment de manger plus léger : optez pour des bouillons, des soupes, des purées de légumes, etc. Ces derniers font partie des plats qui permettent le plus de mettre au repos notre organisme après des excès.
Ils ont pour avantage d’être légers, riches en eau, et d’êtres sources en vitamines et minéraux idéal pour refaire le plein de nutriments.
#6 On retrouve des quantités raisonnables au sein du repas
Les fêtes sont souvent synonymes d’excès en matière de quantités ingérées. 8ème réflexe à avoir : on diminue le volume des repas afin de revenir à des quantités habituelles.
#7 On bouge !
Pendant les fêtes, on a tendance à manger beaucoup et à bouger peu : les repas durent longtemps, ce qui nous pousse à rester de longues heures à table. Autre bon réflexe à avoir après des excès alimentaires : bouger !
Je ne parle pas ici de pratiquer une activité physique intensive car souvent, après une période d’excès alimentaires de ce genre, la fatigue est au rendez-vous et les sensations de lourdeurs nous empêchent de trouver la force et la motivation de faire du sport.
Néanmoins, une activité physique tranquille (comme la marche rapide, le vélo ou la nage) peut tout à fait faire l’affaire. Elle permettra ainsi de prendre l’air, souffler, remettre notre système digestif en marche et d’éliminer en douceur les calories accumulées pendant les fêtes.
#8 On dort !
Après les fêtes, la fatigue peut nous guetter, que ce soit à cause des nuits écourtées par les repas prolongés ou de notre alimentation trop riche qui puise notre énergie pour sa bonne digestion.
Dans ce cas là, retrouver un sommeil adapté s’avère tout aussi indispensable que notre alimentation pour retrouver notre forme habituelle. Alors on profite des quelques jours de congés qu’il nous reste pour se reposer et rattraper le sommeil perdu !
#9 Et surtout, on boit de l’eau !
Pendant les fêtes, votre organisme a certainement pris cher. Votre foie, votre pancréas ou encore vos intestins ont été mis à rude épreuve avec la consommation excessive d’alcool et de plats riches en graisses et en sucres. La dernière astuce – et pas des moindres – est de ne pas négliger sa consommation d’eau.
Assurez-vous de boire au minimum 1,5 L d’eau, en petites gorgées tout au long de la journée. L’eau favorisera l’élimination des déchets de notre organisme et contribuera à notre hydratation (essentielle car l’alcool a tendance à déshydrater).
L’astuce de DocteurBonneBouffe.com : Faites une petite “cure” d’eau citronnée pendant quelques jours. Pour cela, buvez un verre d’eau citronnée le matin, à jeun. En effet, le citron a une action diurétique, permettant ainsi d’éliminer les toxines de l’organisme. De plus, il favorise la digestion et possède une action alcanisante.
Le petit mot de la diététicienne
La période des fêtes de Noël et du Nouvel An peut être une période très frustrante pour certaines personnes qui suivent de près leur alimentation toute l’année. Il est important de rappeler qu’il est tout à fait normal de vouloir se faire plaisir pendant les fêtes en s’accordant quelques écarts.
Mettez de côté la culpabilité et assumez pleinement d’avoir pris plaisir autour de la table ainsi que d’avoir rechargé les batteries à travers ces moments de laisser-aller, de gourmandise et de partage.
Désormais, suivez nos quelques conseils et retrouvez tranquillement votre alimentation habituelle. Si vous constatez une prise de poids pendant les fêtes, ne paniquez pas : votre poids se régularisera rapidement avec l’instauration à nouveau d’une alimentation équilibrée.
Ensuite, actualité oblige, il sera également question de la Covid-19. Alors que nous abordons une nouvelle année, que peut-on espérer en terme de lutte contre la pandémie?
Contamination alimentaire : comment limiter les risques? (3/5)
Bien manger, c'est nécessaire et primordial pour notre bien-être. Pourtant, beaucoup parmi nous ont connu une maladie liée à l'alimentation.
Pour éviter de souffrir d'une telle maladie, il est important de s'assurer que les aliments que nous mangeons ne soient pas contaminés par des bactéries, des parasites ou des produits toxiques.
Quelles sont les précautions à prendre afin d'améliorer la qualité de nos aliments ?
On en parle avec le Pr Nicolas Barro. Il est microbiologiste, spécialiste de l'hygiène alimentaire et responsable du laboratoire d'épidémiologie et de surveillance des virus et bactéries transmissibles par l'eau et les aliments à l’Université de Bunia.
Dans ce troisième volet de notre série "santé et nutrition", nous irons en Centrafrique. Le pays enregistre le taux le plus élévé d'enfants decedé par contamination alimentaire.
Que ton aliment soit ton médicament” (1/5)
Qu’est qu’une alimentation bonne alimentations, adaptée et équilibrée ?
Que faut-il manger pour rester en bonne santé ? Quelles sont les maladies liées à l’alimentation ? ... à travers une série d’émissions nous allons tenter de répondre à vos interrogations.
Dans le premier numéro de cette série, nous faisons notamment un point sur ce qu’est la nutrition et en quoi il est important de bien se nourrir, c’est-à-dire d'adopter un régime adapté et équilibré.
En Rdc :
Repas de Noël : d'où vient cette tradition tant appréciée ?
Bien manger au quotidien
Traditionnellement fêté en République démocratique du Congo, Noël est la période de l’année que l’on attend (presque) tous avec impatience... notamment notre Equipe Miam, prête à vous régaler avec ses recettes spéciales Fêtes.
Au Congo-Kinshasa ; Un pay à majorité des chrétiens, le moment de convivialité, Noël est une belle occasion de retrouver sa famille et ses proches, pour partager un repas festif dans la joie et la bonne humeur. Mais d’où vient cette tradition qui rassemble petits et grands ?
Mais d’où vient cette tradition qui rassemble petits et grands ?
Quelle est l’origine de Noël ?
À cette question, notre recherche prouve que,...
Il semblerait que Noël puise ses origines à l’époque romaine. Au moment du solstice d’hiver le 21 décembre, le peuple romain fêtait les Saturnales, en hommage au dieu Saturne.
À cette occasion, les barrières sociales disparaissaient : les esclaves devenaient temporairement libres, le travail était mis en pause, des figurines étaient offertes aux enfants et on accrochait du houx, du gui ou du lierre aux maisons.
Peu à peu, la fête de Noël fût assimilée à la religion chrétienne, la période correspondant à celle de la « Nativité » : la naissance de Jésus. De nos jours, Noël est une véritable fête culturelle occidentale, célébrée quasiment partout dans le monde.
Pourquoi fait-on un tel festin à Noël ?
L’origine du festin de Noël nous vient de la religion chrétienne. Pour célébrer la venue du Christ, la période précédant Noël était marquée par une période de “jours maigres”.
On ne mangeait alors pas de viande.
La veille de Noël, avant de se rendre à la messe de nuit, il était d’usage de ne manger qu’un peu de pain, un bouillon de poisson ou de légumes et un verre d’eau.
De retour de l’église, le “repas gras” était alors de mise, pour faire suite au long office de la nuit et à la route faite pour revenir de l’église. “Repas gras” que l’on appelait également le Réveillon.
La tradition de Noël en Rdc
Foie gras, huîtres, saumon fumé, dinde aux marrons, bûche de Noël au chocolat… On ne vous présente pas les classiques de la table de Noël : vous les connaissez par cœur. Et pourtant, ces produits n’ont pas toujours fait partie du menu traditionnel de Noël.
La dinde et le chocolat ne sont apparus dans nos assiettes qu’au XVIème siècle. Avant ça, on y trouvait surtout du boudin blanc ou rouge, de l’oie ou du canard. C'était en effet à cette période de l’année que l’on abattait les cochons et les volailles dans les fermes.
Quant à la bûche de Noël, elle n’a pas toujours été notre traditionnel gâteau (elle ne l’est d’ailleurs quasiment que dans les pays francophones).
La bûche puise ses origines dans les rituels païens du nord de l’Europe : pour célébrer le solstice d’hiver, on brûlaient un tronc d’arbre en guise d’offrande aux dieux. Cette coutume est reprise au Moyen-Age en France pour Noël.
Avec la disparition des grandes cheminées au XIXème siècle, on remplaça peu à peu la bûche en bois par un gâteau roulé.
Les traditions régionales de Noël
Finalement, nous devrions plutôt parler de traditions de Noël. En effet, chacune de nos régions a ses propres coutumes, vestiges d’une histoire riches en héritage.
À Orléans, on déguste surtout du porc sous forme de boudins ou de crépinettes. Dans la région d’Angers, ce sont les rilleaux (sortes de rillettes) qui sont de mise.
Dans l’Aveyron, place à la saucisse ou au porc salé, ainsi qu’aux prunes et aux pommes chaudes. En Gascogne, de la daube et des châtaignes. En Corse, de la polenta de châtaignes et de maïs accompagné de porc.
En Provence, les traditionnels 13 desserts de Noël (en référence aux 12 apôtres et Jésus) parmi lesquels des mendiants, de fruits secs et confits. En Alsace, le foie gras et les bredele (petits gâteaux de Noël) et les leckerli (très proche du pain d’épice).
🗣️✍🏿👉🏿Dr bonne bouffe
Au chef lieu du térritoire de Beni ; Voici les incidents enregistrés lors de la période festive à Oïcha dans l'est dela Rdc
🔴🇨🇩🗣️✍🏿👉🏿Face à cette situation, le bourgmestre de la commune annonce l’ouverture des enquêtes, qui ont d’ailleurs indiqué certains présumés auteurs de cet incendie et sur lesquels la police va bientôt mettre la main.
Un autre incident s’est produit au quartier MASOSI, ou un conflit conjugal a poussé à une femme de blesser à coup de machette son mari à la hache. Coup et blessure, c’est pour cette infraction que cette mère d’enfant est détenue au cachot PNC de la commune pour instruction de son dossier, pendant que son époux poursuit les soins.
Un autre dérapage signalé par l’autorité communale est celui des 14 jeunes parmi lesquels au-moins 11 filles mineures interpellées à minuit de la fête du nouvel an, vers le centre commercial.
Au cours de la parade hebdomadaire animée ce lundi 03 Janvier 2021 à son office de travail, le bourgmestre et ses chefs de base ont énuméré des incidents enregistrés vers la fin de la semaine dernière dans plusieurs quartiers de cette municipalité, chef lieu du territoire de Beni au Nord-Kivu.
Ils ont évoqué notamment la destruction des plusieurs biens privés la nuit, veille de la fête du nouvel an par des jeunes qui célébrait. Ce jour, une paillote d’un chef d’avenue a été incendiée par des inconnus au quartier Mbimbi.
En pleine célébration, ils ont été accusés dans la violation de consigne du couvre-feu, trouble de l’ordre public et destruction des biens privés.
Leur libération est intervenue par mesure de clémence la soirée du samedi 1er Janvier et sur sollicitation des acteurs des forces vives.
Monsieur KIKUKU Nicolas condamne cette déviation, interpelle ses administrés et insiste sur la responsabilité des parents.
Par ailleurs, le bourgmestre de la commune a invoqué la menace rebelle aux environs de la commune, surtout dans sa partie Ouest.
Il a souhaité voir ses administrés et les chefs de base accentuer la vigilance et dénoncer tout mouvement suspect en temps opportun, afin de faire face à cette insécurité qui a de nouveau endeuillé, plusieurs familles d’Oicha.
A part ces dérapages, les chefs de base présents à cette première séance de la parade hebdomadaire pour cette année, ont témoigné une bonne passation de cette période festive.
La région de Beni vit depuis un temps dans la grande psychose liée aux attaques des rebelles ougandais des ADF.
La société civile du territoire de Beni avait, de son côté, à maintes reprises, dénoncé le "déplacement massif des populations dans le territoire de Beni" et toutes les retombées qu'il génère en termes de dégradation de la situation humanitaire.
En térritoire de Beni : huit civils sont tués par les rébélles ADF dans la chefferie des Bashu
🔴🇨🇩👉🏿Les violences s’accentuent de plus en plus dans la chefferie des Bashu, au sud du territoire de Beni (Nord-Kivu). Au moins huit personnes ont été tuées par des hommes armés affirme la société civile locale.
Le fait remonte la nuit de dimanche au lundi 3 Janvier 2021 dans le village de Kasaka-Kavegha sur la route Kyavinyonge-Kasindi en groupement Isale-vuhovi dans la chefferie des Bashu, territoire de Beni au Nord-Kivu.
Les sources de l’administration du groupement Isale-Vuhovi confirment le bilan de huit (8) personnes tuées sans pour autant avancer l’identité des auteurs de cette nouvelle tuerie.
“L’information est confirmée. Ils sont huit (8) personnes qui ont été tuées par des inconnus la nuit de dimanche à ce lundi à Kasaka. Mais nous n’avons pas encore assez des précisions. Nous ne serons pas à mesure de vous donner l’identité des auteurs pour le moment.
Mais nous confirmons la mort de 8 personnes vraiment. C’est vraiment triste”, a fait savoir Monsieur Mumbere Syayira Justin secrétaire administratif du groupement Isale-Vuhovi.
D’autres sources depuis la zone font savoir que parmi les victimes figure six (6) hommes et deux (6) femmes et seraient tuées par balle. Selon Jeremy Tsororo de la radio environnementale du lac Edouard (RELED), les victimes auraient été rencontrées dans un bar.
Cette tuerie s’enregistre dans cette partie de la chefferie des Bashu après le léchage de deux (2) personnes qui étaient accusées dans plusieurs cas de banditisme dans ce village. Pour l’instant, c’est une psychose qui s’observe dans ce village de Kasaka.
Face à cette situation, le chef de la chefferie de Bashu appelle ainsi l'armée à renforcer la présence militaire dans son entité, qui subit des attaques répétitives de présumés ADF depuis quelques mois.
À oicha-Rdc ; Certaines personnes qui ont violé le couvre-feu ont été arrêtés par la police dans l'est dela Rdc
🇨🇩🇨🇩🇨🇩👉🏿Ces personnes sont aussi accusées par la police d'Oicha d’être à la bas du tapage nocturne, la veille de la fête du nouvel an. La police district d’Oicha qui a mis la main sur elles, réaffirme sa détermination à faire respecter cette mesure sécuritaire instaurée par l’exécutif provincial du Nord-Kivu.
Dix (10) de ces personnes interpellées sont des filles mineures, une autre majeure et 3 autres sont hommes. Ils ont été interpellés au centre commercial d’Oïcha, d’autres dans le quartier Masosi, autour de minuit, en pleine célébration de la fête de nouvel an, samedi 1er janvier, tous sont habitants des différents quartiers de la commune.
Les informations en notre possession révèle que : 14 civils, dont des filles mineures interpellés pour avoir violé le couvre-feu à Oïcha chef lieu du térritoire de Beni situé vers l'est dela République démocratique du Congo.
Au-moins quatorze (14) personnes, dont des mineurs interpellées pour avoir violé la mesure du couvre-feu, ont été présentées, dans la soirée du samedi 1er janvier 2022, à la presse d’Oïcha, chef-lieu du territoire de Beni, au Nord-Kivu.
Le couvre-feu mis en place par le Gouverneur du Nord-Kivu interdit toute circulation des habitants au-delà de 19 heures sur toute l’étendue du territoire de Beni, des villes de Beni et Butembo.
Les acteurs des forces vives présents à l’Etat-Major de la Police Nationale Congolaise (PNC) du territoire de Beni, basée à Oicha, lors de cette présentation, ont plaidé pour la libération de ces civils. Selon eux, ce relâchement pouvait aussi s’inscrire dans la sensibilisation de la communauté sur le respect de cette mesure en vigueur, via ses bénéficiaires.
Une requête répondue favorablement, sur place même, par l’administrateur militaire du territoire de Beni. Le colonel Ehuta Omeonga Charles a ordonné la libération de ces 14 jeunes et les a chargé de sensibiliser leurs proches. Une occasion pour cette autorité territoriale d’inviter les parents à veiller encore sur les mouvements de leurs enfants.
Message relayé par Kikuku Nicolas, bourgmestre de la commune d’Oicha. Il interpelle particulièrement la conscience de ses administrés. Il parle d’un climat serein dans lequel s’est déroulée la célébration de la nouvelle année 2022 en commune d’Oicha.
Pour votre information, le couvre-feu reste maintenu à 22 heures, heure locale jusqu’à 5 heures du matin à Goma et dans certaines agglomérations de la province du Nord-Kivu, a précisé mardi 28 décembre, le porte-parole du gouverneur, le général Sylvain Ekenge. Toutefois, il indique que pour le territoire de Beni et la ville de Butembo, le couvre-feu est avancé désormais à 21 heures jusqu’ à 5 heures du matin.
« Le gouverneur militaire du Nord-Kivu, lors du point de presse organisé avec le ministre de la Communication et Médias dimanche dernier [26 décembre] à Kinshasa, [a indiqué que le couvre-feu] dans le territoire de Beni, ainsi que dans la ville de Butembo reste maintenu de 21 heures à 5 heures du matin, et de 22 heures à 5 heures à Goma et dans le reste de la province », a affirmé le général Sylvain Ekenge, à la sortie de la réunion de sécurité provinciale, présidée par le général Constant Ndima.
Ces mesures restent d’application, en attendant la signature par l’autorité provinciale de l’arrêté modifiant les heures du Couvre-feu, ajoute-t-il.
« Aucune barrière ne peut donc être érigée avant les heures indiquées, à travers ce communiqué, par les services de défenses et de sécurité. Toute compromission en cette matière entrainera la sévérité des mesures administratives contre les services de l’ordre et aussi des poursuites judiciaires », a prévenu le général Sylvain Ekenge.
À l’en croire, les dispositifs sécuritaires restent renforcés dans les points chauds de cette municipalité.