Kalondro un petit paradis touristique au bord de l’oubli dans la chefferie de Walendu-Bindi situé vers le Nord-Est dela Rdc
🇨🇩🗣️✍🏿Nos voyages à Kalondro vous emmènent à la découverte d’espaces naturels particulièrement préservés pour le tourisme dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.
Situation géographique
a. Limites géographiques :
La zone de Kalondro est limité :
- Au Nord par la montagne toro ;
- Au Sud par une partie dela réserve de Musege ;
- A l'Est par ; l'étendu dela réserve de Kyagudhu
- A l'Ouest par la rivière (asimbé ) ;
b. Coordonnées géographiques :
Elle s'étend sur 1.5 km2 entre 4°50' et 4°30' N de Latitude et, entre 19°50' et 20°30' E de Longitude. Son altitude moyenne est de plus ou moins 700 m au-dessus de la mer.
La nature du sous-sol
La zone de Kalondro a un sous-sol riche, susceptible d'attirer les chercheurs et les investisseurs pour une exploitation efficiente et rationnelle des matières précieuses, semi-précieuses à petite échelle, des carrières des matériaux de construction à usage courant notamment la limonite, le sable alluvionnaire, l'argile à brique, l'argile à tuile.
Le sous-sol de Kalondro contient des gisements de minerais notamment le Diamant.
Aspects biophysiques Relief
Le relief de Kalondro est constitué dans la partie Sud des plaines avec des dénivellations douces, noyées sous une végétation équatoriale très dense et humide.
Le terrain se relève très progressivement en direction du Nord et devient quelque peu vallonné.
Elle a une altitude moyenne comprise entre 600 et 700m. Le climat d'une région dépend de sa situation géographique autrement dit de l'attitude et la latitude.
En tenant compte de cette position en latitude, Kalondro se situe dans la zone équatoriale. Elle a directement un climat chaud et une température moyenne variant entre 22° et 38°C environ.
Ce qui explique l'hydrographie assez diversifiée. On y remarque l'existence de deux saisons : saison sèche et la saison pluvieuse.
Malheureusement à cause d'un fort changement climatique, les saisons connaissent des perturbations, perturbations dues à la croissance de la population, population qui à son tour détruit progressivement et systématiquement l'environnement pour les raisons d'habitation, bois de chauffage, exploitation des bois pour planches, l'agriculture et l'élevage,...et cela influence beaucoup le climat.
La zone de Kalondro se trouve dans la savane tropicale humide avec deux saisons alternatives :
- Saison pluvieuse excessive de Mai à Novembre ;
- Saison sèche de Décembre à Mars ou Avril.
Kalondro a un sol fertile d'une composition argileuse, sableuse accessible à l'agriculture, à la construction des routes et bâtiments malheureusement la croute terrestre subit une dégradation lente et progressive.
Une découverte d'une grande savane quasi impénétrables, peuplées de grands primates, des collines cultivées avec soin par des paysans méticuleux, des étendues herbeuses où paissaient les troupeaux sauvage.
De fois ; C'est la beauté de ces paysages abritant une profusion d'animaux sauvages et une flore aussi luxuriante que variée qui poussa la beauté de ses paysages naturels, la richesse de sa faune et de sa culture.
De la découverte de ses sites historiques à l'aventure dans ses sites naturels, Kalondro est une pays très attrayant.
La meilleure période pour se rendre à Kalondro est la saison sèche, de décembre à mars et de juin à septembre.
La saison des pluies, d'octobre à novembre et d'avril à mai, n'affecte pas vraiment les conditions touristiques de Walendu-Bindi car les routes restent en bon état et les températures sont stables durant toute l'année.
Les différents disséminés sur l'ensemble de Kyagudhu regorgent d'une faune abondante et variée. Ici, la végétation luxuriante, les plaines sont particulièrement préservés.
La tradition orale rendue par chera ancien chef du groupement Boloma renseigne que, la zone de Kalondro est un lieu sauvage situé au sud-est du térritoire d'Irumu, province del'Ituri, justement dans la chefferie de Walendu-Bindi vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo.
Au point de vue administratif
La chefferie de Walendu-bindi qui conserve les tombeaux de la plupart de ses souverains et leaders d'opinion public d'une longue date, fût créé suivant le PV N⁰ 00 85 du 03 décembre 1931, par l'administrateur térritorial d'Irumu, à l'époque colonial. l'AT Halleux qui trace la carte des 5 chefferies réunifiées et la délimitation des enclaves d'une localité Lagabo, Lakpa, et Nombe, avec comme Chef-lieu Gety-Etat.
La décision de la réunification sera signée en 1929 et appliquée en 1933, ainsi, il est facile de voir que toutes ces six Chefferies et non cinq comme l'avait présentait l'invité Excellence Ministre provincial Honoraire del'ituri, que nous saluons sa mémoire Osée Didi Angaika au cours d'un débat consacrés à la page socio-culturel et histoire dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi avec un groupe des diplômés originaires dela chefferie de walendu-bindi à partir de Bunia.
Pour lui, ces dernières ont fonctionné jusqu'à 1933, ce qui a occasionné la création de l'actuelle Chefferie des Walendu-Bindi le 15 mai 1933.
Donc pour plus de précision, c'est un document tiré dans les archives dela notabilité de Walendu-Bindi, grâce à Osée Didi Angaika.
D'une manière légal avec la loi colonial Belge, le PV cité ci-haut avait mis fin aux cinq Chefferies créés aux subdivisions administratives, des royaumes traditionnels indrus ont été préservés avec une autonomie limitée, essentiellement culturelle par certains clans majoritaires à partir de 1915, en désaccord avec politique dela Belgique.
Nos sources contactés pour la cause précisent que, le 05 décembre 1933 est considérée comme la date de la création officielle de la Chefferie de Walendu-Bind.
Il aspire à un peuple uni qui jouit d'une prospérité-sociaux-culturelle.
Sous ce rapport, tout en sachant que, la chefferie de Walendu-Bindi est une institution culturelle qui promeut aussi la participation populaire et l'unité des différents clans par le biais de programmes de développement visant à améliorer leur niveau de vie.
🇨🇩━☞ Subdivision administrative
La chefferie de Walendu-Bindi compte cinq groupements dont ;
Bukiringi, Baviba, Boloma, Zadhu, et Bamuko, fut crée par une vague migratoire, qui date du XVI et XVII siècle.
À cela s'ajoute ; 200 villages, qui sont beaucoup plus tranquilles, avec de multiples cultures, traditions et religions s'entremêlent est un exemple de tolérance et de respect, bien que la pauvreté soit très présente, la population, souriante, accueille les visiteurs avec beaucoup de gentillesse.
- Fuseau Horaire : UTC+2
🇨🇩👉🏿Grandes agglomérations ;
Bukiringi, Aveba, Gety, Olongba, Songolo, et Kagaba
Région ; Afrique centrale
Comme la population a toujours baigné dans les récits traditionnels et la parole sage.
Des narrateurs et des récitants ont ainsi produit, au fil des siècles et selon des règles codifiées, de véritables " textes oraux " qui se sont transmis à travers les générations.
Chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi
Toponymie
La chefferie de Walendu-Bindi tire son nom àl'appellation d'un ancien encêtre sortie du clan zadhu connus sous le nom de Bindi, très influent qui administra l'actuel groupement zadhu avant l'« arrivée des Blancs ».
Par la tradition orale, il nous est parvenu l’anecdote suivante :
L'administration coloniale belge s’enquit, auprès des autochtones.
Pour dire que, Walendu-Bindi est un nom qui symbole l'unité dérivé de l'expression colonial belge en disant à la population que, appellation Walendu-Bindi a été donnée à l'honneur d'un ancien chef qui doit être considérer comme le "père de tous les gens qui les rassemblent tous", et qui sert également de leur chef culturel.
Mais dans ses notes, les Belges retiendra « Bindi» et ce fut dès lors le nom donné à ce village. La sacralisation de toute parole sortant de la bouche d'un Blanc à l'époque coloniale pourrait se vérifier dans plusieurs domaines.
Histoire orale renseigne que' avant l'arrivée des Belges l'encêtre Bindi avait choisi la région qui deviendrait Gety comme son terrain de chasse favori.
À leur arrivée, les Belges renommèrent la zone au nom de Gety-Etat. La dérivation en langage Ndruna donna signifiant colline de), ressemblant à un seul mot à l'oreille.
La zone consistait en plusieurs villages : celle de Gety avait été choisie pour la garnison belge, et celle de GETY-MISSION accueillait la mission catholique et celle d'Isura était investie par la mission protestante del'église anglicane.
Gety-Etat qui a donc grandi comme le chef lieu dela chefferie dont beaucoup de bâtiments survivent encore, tels que la prison centrale de Gety-Etat, construite en 1931, les tombes de différentes autorités coutumière et l'emplacement du bureau administratif dela chefferie de Walendu-Bindi.
La première pratique était appropriée aux filles, alors que la seconde était un rite d'initiation des jeunes garçons. Au départ, cette initiation renforçait les liens de solidarité, car grâce à elle, l'individu sortait de la lignée familiale pour créer d'autres liens avec les jeunes de sa génération.
Fin du xixe siècle
C'est en 1894 que les Belges installent un poste d'État dans ce qui est le territoire administratif actuel de Gety. Avant cette date, les archives sur la chefferie de Walendu-Bindi sont toutes constituées de la mine d'informations recueillies auprès des missionnaires catholiques de la Société des missionnaires d'Afrique (ou Pères blancs) qui s'étaient lancés à la conquête spirituelle de cette contrée où ils craignaient d'être devancés par des anglicans anglophones venant de l'Ouganda ainsi que par d'autres missions protestantes.
Pour parler dela zone de Kalondro
Au cœur d'une savane du même nom, les nombreux oiseaux côtoient des animaux sauvages emblématiques de l’Afrique. Ils profitent d’une végétation riche et abondante, où la nature reste intouchée.
Pourquoi se rendre dans la zone de Kalondro ?
Il existe de nombreux chemins de randonnée, permettant de faire des balades de quelques heures jusqu’à la journée entière. En empruntant ces sentiers, vous réalisez dans la savane arrosé par les afluants de Semuliki à pied et partez à la rencontre des animaux dans leur environnement naturel :
Les paysages sont aussi époustouflants avec une alternance de vastes étendues dela savane.
Et malgré tous ces attraits, la zone de Kalondro reste encore peu connu.
Vous souhaitez découvrir ce lieu paisible et naturel ? Suivez notre guide pour préparer votre visite à Kalondro.
C’est une savane herbeuse d’où s’imposent des acacias, ces arbres auxquels les mythes de la région donnent des vertus d’anti foudre. Sur la piste très bien carrossable, bien qu’en terre battue, des tas de matières fécales d’éléphants vous servent à la fois de policier de roulage et de panneau de signalisation pour vous dire attention éléphants sont passés par ici et sont encore à quelques mètres.
Pour faire la connaissance avec les paysans rien de mieux que le tourisme communautaire, fort bien développé.
Se documenter avant le départ et utiliser les services d'un guide sont les deux clés pour découvrir ce peuple aussi passionnants et accueillants les uns que les autres.
Le contact avec les touristes peut malheureusement avoir des conséquences négatives.
Il est donc fortement recommandé d'utiliser les services d'un guide-interprète pour rencontrer ce peuple cultivateur pour comprendre ses us et coutumes et faire le travail de traduction et de guide à la meilleure connaissance de ce peuple qui n'est pas resté à l'âge de pierre, comme certains l'avancent maladroitement, mais qui a suivi une autre évolution, un autre mode de vie, particulièrement durable d'ailleurs.
Comme la population a toujours baigné dans les récits traditionnels et la parole sage.
Ensuite, après une marche sur ces 5 km environs, qui ne vous impose pas nécessairement une jeep 4×4, oh, voici qu’apparait à l’horizon le site d’Ishango. Du haut de la colline, s’imposent quelques paillotes.
Les collecteurs (Administratifs)
L'administration de nos milieu ruraux faisant recours à une administration empirique c'est- à-dire une administration ne faisant pas appelle à des normes et théories scientifiques, elle se caractérise par des traductions orales, des palabres qui est son base juridique et de programmation des plans de croissance et de développement des localités, villages et agglomérations.
La période pré-coloniale.
L'organisation politique des populations avant la période coloniale est marquée par une ancestralité forte. Les pratiques semblent pour le colonisateur exister depuis des temps très anciens, et elles se reproduisent sur un schéma hérité de la tradition. Cette vision d'une « stagnation » n'est pourtant pas exacte dans la mesure où de nombreuses études postérieures montrent les évolutions de peuplement pour la seule province de l'ituri.
Néanmoins, le rôle des traditions est très fort : il organise les rapports sociaux, les rapports avec la terre, avec le domaine religieux, etc. Le village est selon les traditions l'unité politique très prédominante, « et chaque village est indépendant » selon C. Ibañez de Ibero. Il ajoute aussi que l' « on rencontre parfois une sorte de fédéralisme « anarchique » assez curieux, quand plusieurs agglomérations se rattachent entre elles pour des objets divers et par accords volontaires ».
L'autorité à l'échelle du village est représentée par un patriarche, qui est la personne dont l'autorité est la plus forte. C'est lui le garant du respect de la coutume. « Il exerce la police et en qualité de représentant de la communauté est propriétaire du sol non bâti dont les familles ne sont que les usufruitières. Il a parfois comme sanction de ses pouvoirs, le droit de vie ou de mort». Néanmoins, l'autorité du chef, bien que située en haut de la hiérarchie se voit tout de même « limitée par une assemblée à laquelle tous les hommes libres [surtout les notables] peuvent prendre part et qu'on appelle palabre ».
Concernant l'organisation du foncier par rapport aux coutumes, la terre appartient à l'autorité la plus forte du village. Les terres peuvent être allouées ensuite aux familles, ou à d'autres entités. Mais elles n'en sont pas les propriétaires exclusives. Ce système doit permettre une gestion conforme aux coutumes, et donc, conforme également aux pratiques des ancêtres. En effet, les ancêtres ont une forte importance dans la vie religieuse, et comme le fait religieux est un élément lui aussi très important dans les coutumes, et dans la vie de ces populations, cela peut expliquer certains rapports à l'espace, à la terre, aux fleuves et aux cours d'eau, aux forêts.
Les exploitants (Commerçants).
À la découverte du diamant et d'autres minerais dans les sous-sol pouvait a favoriser l'implantation des plusieurs exploitants miniers artisanale dans les vallées jonchées par les cours d'eaux.
Ainsi, le creusage des faussées, déplacement des rivières et la recherche des matériaux de construction des abris d'exploitation conduit à une dégradation alarmante des ressources naturelles est des cultures.
À célà peut s'ajouter, pistes d'exploitation, soit des voies d'accès pour d'autres utilisateurs des terres, le compactage des sols agricoles par des grumes et engins de transport,... conduit aussi à l'endommagement des cultures.
En plus de célà, s'ajoute les impositions de prix d'achat au niveau de la base pour des productions d'ordre forestiers, agricoles, miniers et manutentionnaire.
Notre source du groupement Boloma ajoute qu' en revanche, la fin des années 1970 correspond à l'émergence d'une prise de conscience importante au niveau des touristes étrangers à majorité des Japonais à laquelle, la recherche écologique des diamants pouvait donner une réponse adéquate dans la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.
Dans le domaine de l'agriculture, les collecteurs se veut pratiqué une politique agraire empirique mettant en préséance les dieux de récolte, de production, de protection et de fertilisation de terre or s'agissant des théories scientifiques modernes ; la gestion consciencieuse de nos ressources doit se faire voir dans nos pratiques culturales pour crée une harmonie entre la production agricole et la gestion de nos ressources qui est la terre un élément pourvoyeurs de richesse .
Selon la légende d'ancien paysans qui ont vécu à Kalondro le premier village fut engloutit par les migrants venu du royaume Nyoro à partir dela région ouest del'ouganda.
Donc dépuis l'époque là, la majorité de la population vivait en zone rurale (68 % de la population totale) et dépend du travail de la terre et des ressources forestières.
L'homme ne peut vivre sans la terre. Les ressources fournies par la nature sont indispensables à sa survie, qu'il s'agisse des activités de chasse, de cueillette ou de l'agriculture. La terre est un des biens le plus précieux des sociétés humaines. Elle est source de richesses autant que de rivalités.
Chaque société a besoin de terres pour vivre, et de la même manière qu'il existe une grande variété de sociétés, il existe presque autant de type d'occupation de l'espace.
Le territoire provincial de l'ituri est composé de nombreuses savane dont le rôle est primordial pour la survie des populations.
La pauvreté étant très importante, l'agriculture ainsi que les forêts sont bien souvent les seules richesses dont disposent les populations vivant en zone rurale.
Les chefs traditionnels sont les représentants directs des populations de l'Etat Indépendant du Congo. Ils ont été en contact avec le pouvoir royal belge. Cela explique que l'Etat colonial ait dû mettre en place des lois, des décrets pour gérer la question du pouvoir et de la souveraineté.
Toujours selon chera ancien N⁰ 1 du groupement Boloma. : « la plupart des chefs indigènes ont conservé en grande partie l'autorité dont ils étaient pourvus avant la création de l'Etat indépendant ». Il ajoute aussi que certains chefs ont été officiellement reconnus par le Roi-souverain, dans ce cas leur autorité a été préservée.
Les populations indigènes sont autorisées à disposer librement de leurs terres. Sur leurs propriétés collectives, elles peuvent donc pratiquer librement l'agriculture, la cueillette, le commerce des produits naturels du sol, la chasse, etc.
Par ailleurs, elles ne peuvent pas être expropriées par un colon sans l'autorisation du chef de village. Le chef peut ainsi traiter avec le colon pour l'achat ou la location de parcelles. Cette politique ne va concerner qu'une brève période, car le décret qui suit va modifier ces rapports, en défaveur des populations locales.
Lors de cette période, on constate peu de restrictions. L'Etat participe au bon maintient des rapports entre les colons et les populations locales. Personne ne peut empêcher les populations de pratiquer leurs activités économiques, et les usages locaux sont donc permis.
Par exemple, l'Ordonnance du 1er Juillet 1885 et les décrets des 17 décembre1886 et du 8 juin 1888 autorisent les populations à exploiter les mines dont elles disposent.
🇨🇩🇨🇩🇨🇩🗣️✍🏿Les formes des solidarités, mutuelles traditionnelles
Avant la colonisation, il existait déjà des mutuelles (solidarités) primitives : c'est au cours de cette période qu'on peut énumérer certaines pratiques qui ont existé chez le peuple les indrus.
Le Kilimba ou est une pratique d'exécution de grands et lourds travaux champêtres ainsi que de construction observée encore aujourd'hui en milieu rural.
Ces travaux se font en commun, à tour de rôle, entre les membres qui ont souscrit à la même pratique. Cette pratique présente l'avantage également de renforcer les liens entre les membres du groupe. Cependant, elle recèle également des limites.
En effet, c'est une mutuelle ou firme de solidarité souvent ouverte à tous sans précisions sur le nombre et la qualité des membres qui la composent.
L'expérience démontre que lorsque le nombre augmente, la mutuelle devient inefficace pour satisfaire tous les membres dans la satisfaction des membres.
Sur le plan agricole, par exemple, étant donné que le groupe consacre toute la journée à travailler dans un seul champ d'un membre, plus on est nombreux, plus il va falloir des jours pour boucler le cercle alors que le calendrier agricole a aussi ses exigences.
Par ailleurs, l'homme étant un facteur de production avec des moyens et capacités limités (sa force est limitée), il n'est pas sûr de cultiver de cultiver toutes de manière identique les étendues des champs tour à tour.
Du point de vue météorologique, les membres sont obligés d'obéir aux aléas du climat. Quand il pleut, le travail doit être interrompu. Une autre limite qui peut être évoqué est l'acheminement d'un membre (malade ou autres) qui bouleverse énormément le calendrier des travaux.
Bien entendu, les membres peuvent prendre des compromis pour éviter ces désagréments.
Malheureusement, ces compromis n'ont pas souvent des bases solides.
- Le Onyutse ou grainier en français a été dans le temps une pratique par laquelle la communauté constitue une banque agricole de la récolte obtenue dans le but d'utiliser la quantité collectionnée à des fins circonstancielles, mariage, deuil, disette, prévoyance de semence.
La chefferie de Walendu-Bindi n'est plus une destination touristique de renom, plusieurs facteurs sont à la base de ce désintéressement.
Dépuis plusieurs décennies l'infrastructure touristique existant n'a pas été entretenue et les destinations jadis prisées même par des Congolais n'ont plus été exploitées. Les différentes guerres et rebellions ont crée l'insécurité à travers tout le pays.
Environnement politique et sécuritaire
Depuis 1999 a 2003, la zone de Kalondro a ressenti les méfaits de l'instabilité politique, les conflits interethniques, l'afflux massif des réfugiés, les guerres, l'insurrection de la rébellion, etc.
Secteur de l'Agriculture
La zone de Kalondro est à vocation agricole. Ainsi, l'agriculture paysanne occupe 70% de la population active.
Elle dispose aussi d'une terre très fertile où l'on peut cultiver pendant toute l'année.
Notre source ajoute qu' après l'indépendance du Congo qui a eu lieu le 30 juin 1960, ce secteur agricole participait à la hauteur de 43% d'exportation vers Rwebisengo en Ouganda.
Les paysans ayant pris consciences et constatant une recrudescence de la production suite à une mauvaise gestion des terres tant alluviales que des adrets et ubacs est célà par des agro systèmes d'Eucalyptus pour des constitution des puits carbones est célà pour le maintien de l'équilibre d'aire atmosphérique (lutte contre le gaz à effet de serre ) qui pousse la population à parcourir des dizaines et vingtaines de kilomètre pour la recherche des terres arables avec une agriculture rudimentaire qui la houe reste la seule source de travail.
Célà entraîne dans le domaine agricole à sous entendre trois types des problèmes :
- la pratique de la destruction des forets pour faire en place à des cultures de subsistances ;
- des mauvaises pratiques cultirales : tels que les cultures sur brûlis, la suppression des jachères complètes et des rotations des cultures, la culture sur des pentes pouvant provoquer des érosions,..... :
- la régénération des conflits fonciers et une pauvreté axatuer suivi d'une forte natalité car dit-il « la table du pauvre est maigre, mais son lit est très fécond », la sous alimentation, la non scolarisation, la préconisation des conditions de santé est des vies des populations qui constituent une charge environnementale et contribuent à la de gradation et au sur exploitation de l'environnement du groupement de Kalondro.
Une production qui faisait la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi le grenier du térritoire d'Irumu, en particulier et del'Uturi, en général.
Dépuis 1911 en effet un constat malheureux paraît au grand jour, l'agriculture à Kalondro a perdu ses lettres de noblesse suite aux différentes instabilités sociopolitiques à savoir les rebellions armées, les pillages, les tueries de populations villageoises, viol, l'insécurité due à la présence des certaines forces étrangères a l'intérieur.
Tous ces faits ont sérieusement affecté les infrastructures et les productions agricoles. Il faut ajouter encore à cela, l'absence d'une bonne planification et politiques agricoles, la montée en flèche des produits synthétiques sur le marché international, lesquels sont aussi à l'origine de la mauvaise performance de certains produits agricoles en provenance de la RD Congo.
Le tout apporte un coup dur au secteur agricole.
a) Les cultures vivrières: manioc , Maïs , Haricot, Riz Paddy, Arachide, soja, sorgho, millets, patates douces, pommes de terre, les légumes, ignames, bananes plantains, les maraîchères,arbre fruitier, etc.
Secteur de l'Elevage
La zone de Kalondro est favorable à l'élevage. On y pratiquait 2 types d'élevage :
L'élevage traditionnel ou nomadisme exercé par petits éleveurs avec ou sans lopin de terre, ayant un nombre réduit de bovins avec la race Ankole rustique, résistante aux maladies.
L'élevage : Les animaux les plus élevés soetaient les poules, les chèvres, les moutons, les cobayes, les chiens, les vaches. Ces animaux peuvent intervenir dans plusieurs cérémonies
L'intronisation du chef : Cette cérémonie oblige la présence d'un mouton, un coq, un bouc et une chèvre.
? Le mouton symbole de la paix est destiné à représenter la royauté et les hommes lui fait porter ainsi un bracelet pour imager ce pouvoir de paix. Dans la vie courante, si un mouton crie lors de son abattage, il devient impur et on l'abandonne.
? Le coq doit chanter pour que la population qui n'est pas généralement présente dans les cérémonies d'intronisation sache que le nouveau chef est accepté par les ancêtres. Si le coq ne chante pas, alors le chef est refusé par les ancêtres.
? La chèvre et le bouc symbolise la fécondité d'autant plus que c'est dans la famille du chef que viendra son successeur. Si le bouc et la chèvre ne sont pas présentés, la génération suivante trouvera des chefs dans d'autres familles à cause de la perturbation de la fécondité dans la famille du chef n'ayant pas présenté la chèvre et le bouc.
? La chair des autres animaux peut être consommée dans la fête mais pas dans le rituel d'intronisation. La présence de l'oncle du nouveau chef est obligatoire puisqu'il est considéré comme témoin de l'accession de son neveu au trône.
Les personnes destinées à introniser un chef sont culturellement connues et maîtrisent eux même toutes les étapes de rites à la matière. La cérémonie se déroule la nuit.
) La dot et le mariage
? Dans ces cérémonies, les animaux utilisés sont la chèvre, le mouton et la poule. Le porc et la vache sont aussi utilisés mais sont considérés comme des porte-malheur. Le porc fait penser à l'enterrement et la vache à la sorcellerie surtout dans l'interprétation des rêves.
? Le corbeau est considéré comme poison. La consommation de sa viande est interdite.
D'où une abondance des corbeaux dans les milieux Indrŭ. Il est aussi le symbole du vol.
? Le crapaud : il est interdit aux personnes de le tuer car il symbolise les grands-mères.
Tuer un crapaud c'est mettre sa grand-mère en danger
? Le hibou est le symbole d'un sorcier. Il est chassé toutes les fois que l'on découvre l'endroit où il niche.
? Le léopard, la tortue, l'éléphant, le crocodile, le serpent sont des totems pour les différents clans chez les Indrŭ.
D'où l'interdiction de tuer.
? Les chenilles, les escargots, et plusieurs insectes de la forêt ne sont pas généralement consommés. Les seuls insectes consommés sont les sauterelles.
Dans le sécteur dela chance
Pour d'autres, les techniques de chasse varient d’un groupe à l’autre mais incluent toutes l’usage d’arcs, flèches, filets et de lances.
Il y a lieu de constater que, la cueillette, le ramassage et l'écopage ne sont effectués que, par les femmes. Tandis que au conté des hommes essentiellement, la chasse est précédé souvent, par des sacrifices au sein des encêtres.
Avertissement
La décision de voyager est un choix qui vous appartient, et vous avez la responsabilité de veiller à votre sécurité personnelle à l’étranger.
Nous prenons très au sérieux la sécurité des étrangers et nous diffusons des renseignements fiables et à jour dans nos Conseils aux voyageurs, afin que vous puissiez prendre des décisions éclairées au sujet de vos voyages à l’étranger.
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Si vous avez besoin d’aide consulaire à l’étranger, nous ferons de notre mieux pour vous aider. Cependant, certaines contraintes peuvent restreindre la capacité du gouvernement congolais de fournir ses services.
Source : nos enquêtes sur terrain
COMPÉTITION SCIENTIFICO-CULTURELLE EN COMMUNE D'OICHA/TB/Nord-Kivu/RDC
culture🇨🇩🇨🇩🇨🇩
Donc notre source qui nous livre cette information indique que, 38 écoles secondaires d'Oicha s'affrontent l'une à l'autre dès aujourd'hui 06 Avril 2022.
Pendant une période d'un mois et demi, le club des élèves scientifiques d'Oicha et ses environs, le comité des élèves d'Oicha et la coalition des présentateurs des émissions scientifico-culturelles vous invite à suivre le déroulement des matchs éliminatoires pour jauger comment les élèves d'Oicha sont entrain d'apprendre.
C'est avec l'appui de la Fondation Achille KAPANGA à travers la poche du Me Achille KAPANGA que les quatre premières écoles ses verront encourager par des cadeaux très spéciaux.
Selon le Coordonnateur territorial de la dite Fondation, les écoles qui prennent part à cette très grande course culturelle doivent se mobiliser en persuadant les organisateurs,car selon lui, c'est une expérimentation pour la Fondation Achille KAPANGA,ainsi si l'Assemblée générale de la Fondation qu'il coordonne sera satisfaite l'initiative sera appliquée sur toute l'étendue du territoire de Béni.
Au Programme
Restez connecté
1) chaque Mercredi de 15h00-16h00 sur les ondes de la Radio Muungano Oïcha (101.0 MHz FM),
2) chaque Lundi 16h30-17h30 à la Radio Tangazeni Kristu la 90.0 MHz FM, et
3) chaque Jeudi 16h00-17h00 sur la Radio Évangélique Butembo-OichaREBO FM TV la 98.1 MHz FM.
Pour clôre, Me Achille KAPANGA rassure les écoles qui participent à la course et les appellent à prouver au monde que à part la guerre nous serions très fort, tout en les souhaitant BONNE CHANCE !
QUE LES MEILLEURES GAGNENT.
cellule de communication de la Fondation Achille KAPANGA.