En chefferie de Walendu-Bindi-Rdc ; La route secondaire N0 431 est impraticable à cause dela pluie
Axe routier Bunia-Boga dans un état de delà très avancé en chefferrie de Walendu-Bindi vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo
↪️📑🟥En ituri Rdc ; Le tronçon routier Bunia-Boga se trouve dans un état de délabrement très avancé à la base de pluie qui se bat ces derniers jours en térritoire d'irumu province del'ituri en République démocratique du Congo.
Les jeunes de la localité KAZANA groupement Bukiringi sont déterminés à accompagner les usagers et les engins roulant dela route Bunia Boga dans cette période pluvieuse.
Un arrêt momentané de plus 10 véhicules de marque voiture et camion est observé toute la journée de ce mercredi 22 novembre 2023 suite à mauvais état de la route accompagné de pluie dès la localité OZOBA jusqu'à la province du Nord Kivu.
Cette situation pousse les chauffeurs et les passagers à inviter le gouvernement à l' entretien de cette voie de communication d' intérêt provincial.
Dans la même région au sud d' Irumu, la rivière ALISÉ séparant Gety mission à la localité Munobi a intercalé dans deux jours les les activités menant à la circulation.
Aussi entre Munobi et la localité SISA en groupement BAMUKO la rivière RUBHPAVA a été inondée par les eaux de la pluie toujours à cette semaine.

Les usagers de cette route panafricaine urgent le gouvernement congolais à s’impliquer pour contenir le danger.
L’un d’eux, Djari Jacques rencontré sur cette route, s’est confié mercredi 22 novembre 2023 à notre équipe de rédaction.
« Pour ceux qui sont en train de fréquenter la route Beni-Kasindi, qu’ils comprennent qu’il y a urgence.
Même si vous êtes dans un véhicule, le chauffeur peut vous dire de sortir pour voir s’il sera à la hauteur de faire passer son engin dans un ravin.
C’est déjà un problème. Toutes les autorités qui ont compris nos voix ne soit pas aussi un obstacle.
Nous demandons à ce que nos autorités nous viennent en aide », a-t-il plaidé.
L’Ofice de route chargée de l’entretien sur cet axe routier dit être activée pour une suite favorable dans les tous prochains jours.
Mais aussi ; Des acteurs de la société civile locale lèvent également le ton pour demander au Gouvernement de réhabiliter cette route en vue de faciliter les transactions commerciales entre ces trois provinces. Ils sollicitent également l’amélioration des conditions de vie de la population, déjà paupérisée par la guerre dans ces entités.
Quéstions relatives à l'emploi dela jeunesse africaine
↪️📑En Afrique subsaharienne ; Les jeunes femmes ont moins de chances d'obtenir un emploi stable.
Donc on peut noter que, deux tiers d'entre eux sont des jeunes femmes.
L'Afrique a la particularité d'être un continent relativement jeune, avec une population de jeunes en croissance rapide.
La série de fiches pays de l'OIT suit ces normes dans la mesure du possible pour examiner les tendances et les questions relatives à l'emploi des jeunes, notamment dela République démocratique du Congo, au Rwanda et en Ouganda.
Cette situation est porteuse d'un grand potentiel, mais aussi de quelques défis. Afin de mieux comprendre la situation en Afrique subsaharienne, l'OIT, en partenariat avec la Fondation Mastercard, a produit une série de notes d'information sur le marché du travail en Afrique subsaharienne.
. Le fait que même les jeunes femmes ayant un niveau d'éducation élevé soient beaucoup plus susceptibles d'être au chômage ou en dehors du site la main-d’œuvre que les jeunes hommes reste un sujet de préoccupation majeur.
Les stratégies et les interventions visant à promouvoir l'emploi des jeunes se concentrent principalement sur des mesures destinées à améliorer l'éducation et la formation professionnelle.
Bien que ces mesures soient essentielles, une telle focalisation exclusive sur l'offre ne sera pas suffisante.
Pour que des progrès sérieux soient réalisés, ces mesures doivent être complétées par des politiques macroéconomiques et sectorielles appropriées axées sur la demande, afin de garantir une création d'emplois adéquate pour les jeunes.
Concepts et définitions
La définition de la jeunesse
À des fins statistiques, les Nations unies définissent la jeunesse comme les personnes âgées de 15 à 24 ans.
C'est la définition utilisée pour la plupart des indicateurs de l'ILOSTAT, y compris pour les estimations modélisées de l'OIT qui sont présentées ici.
Pour les données nationales présentées dans ce blog et dans la série de fiches pays sur laquelle ce blog est basé, et qui comprend le cadre de l'insertion professionnelle, les jeunes se réfèrent aux personnes âgées de 15 à 29 ans.
Cela tient compte du fait que certains jeunes restent plus longtemps dans le système éducatif et permet de recueillir davantage d'informations sur les expériences professionnelles des jeunes après l'obtention de leur diplôme.
Pour comparer les taux de NEET à différents niveaux d'éducation, l'accent est mis sur le groupe d'âge légèrement plus âgé des 25 à 29 ans.
Cela permet d'éviter l'image trompeuse qui ressort de l'examen des taux de NEET (ou de chômage) par niveau d'éducation pour les 15-24 ans, car ceux-ci sont soumis à des différences systématiques qui ne sont pas dues au niveau d'éducation en tant que tel.
Par exemple, les jeunes de 15 à 24 ans diplômés de l'enseignement supérieur seront systématiquement plus âgés, en moyenne, que ceux qui ont suivi un enseignement de base ou secondaire.
La définition de l'emploi basée sur les normes statistiques les plus récentes.
Selon les normes statistiques les plus récentes, telles que décrites dans la Résolution concernant les statistiques du travail, de l'emploi et de la sous-utilisation de la main-d'œuvreadoptée par la19e Conférence internationale des statisticiens du travail (CIST) en 2013, le travail comprend toute activité exercée par des personnes de tout sexe et de tout âge en vue de produire des biens ou de fournir des services destinés à d'autres personnes ou à leur propre usage.
Les autres pays suivent les normes précédentes (adoptées par la13e CIST en 1982), qui utilisent une définition plus large de l'emploi.
5 choses à savoir sur l'éducation en Afrique
En Afrique subsaharienne, près de 87% des enfants ont des difficultés d'apprentissage, ne pouvant pas lire et comprendre un texte simple à l'âge de 10 ans.
17 millions d'enseignants supplémentaires sont nécessaires pour atteindre l'éducation primaire et secondaire universelle d'ici 2030.
En moyenne, le pourcentage de jeunes âgés de 15 à 24 ans inscrits dans l'enseignement professionnel est de 3%.
La proportion d'enfants en âge de fréquenter l'école primaire qui ne sont pas scolarisés a été divisée par deux, passant de 35 % à 17 % entre 2000 et 2019.
En 2020, 3 Africains sur 5 auront moins de 25 ans. En 2050, ce sera 1 Africain sur 2 dans cette tranche d'âge.
Source : UNICEF et Commission de l'Union africaine (2021)
"Les programmes scolaires inadaptés, la formation obsolète des enseignants et les méthodes d'enseignement révolues privent les élèves des compétences nécessaires pour naviguer dans le monde en rapide évolution d'aujourd'hui."
Les enseignants
En plus de rendre les programmes scolaires plus en phase avec les besoins actuels du marché du travail, préparer les jeunes aux emplois de l'avenir nécessite des enseignants bien formés et motivés.
"Il n'existe pas de programme scolaire qui réponde de manière adéquate au marché du travail car les compétences requises sont une cible mouvante, explique le Dr Alex Awiti, un spécialiste des politiques basé au Kenya. "Un changement de programme scolaire doit être accompagné d'enseignants bien formés."
Il affirme que "les enseignants sont les acteurs les plus importants du processus de mise en œuvre du programme scolaire."
C'est pourquoi, selon le Dr Awiti, il est nécessaire d'améliorer "les compétences des enseignants à court et à long terme."
"Nous enseignons toujours à partir du passé", déplore Mme Mpemba, soulignant que le fait de payer de bons salaires aux enseignants et d'investir dans la bonne infrastructure éducative aidera à redresser le secteur de l'éducation.
Chefferie de Walendu-Bindi ; L'une d'entités coutumière de la Rép dém du Congo
👆🏿👆🏿👆🏿🇨🇩 Chefferie de Walendu-Bindi situé en térritoire d'Irumu, province del'ituri, vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo
📑↪️🇨🇩Walendu-Bindi (officiellement ; Est une entité coutumière, est aussi une chefferie traditionnelle de hauts plateaux del'Ituri situé vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo, et d'Afrique centrale, et localisée sur la ligne de séparation des eaux du Congo et du Nil, au cœur de la région d'Afrique centrale.
De nombreux genres transmis au départ par la tradition orale sont désormais diffusés à la fois par les vecteurs oraux traditionnels mais aussi par le biais de supports écrits et de médias comme la radio, la téléphonie et Internet.
En plus de l’immersion dans la grande savane majestueuses, la découverte d’un peuple Ìndrŭ vous permettra de partager des moments magiques, mais quelques fois d'une allure peu puissante.
Souvent on peut noter qu' un bon nombre, des Ìndrŭ sont à la taille haute, et bas.
Aux traits fins, ils ont de lointaines parentés surtout avec les Bhâle lendu qui habitent le térritoire de djugu, et les Lugbara qui sont localisés en térritoire d'Aru.
Mais aussi ; L’appellation Ìndrŭ leur permet de se différencier des autres Lendu qui sont ;
Lugbara et Bhâle !
Alors ; Les points suivants peuvent être retenus.
Physiquement ; Actuel chefferrie traditionnelle de Walendu-Bindi est occupé en majorité par les Ìndrŭ, l'une d'ethnies se trouvant à l'Est de la RD. Congo.
Cette entité coutumière quoi qu'étant occupés par un peuple quasi homogène présentent des diversités sur le plan physique, géographique, démographique, administratif, social et économique.
Situation géographique
a. Limites géographiques :
La Chefferie de Walendu-Bindi est limité :
- Au Nord par la Chefferie d'Andisoma ;
- Au Sud par la Chefferie de Bahema Mitego
- A l'Est par une partie dela rivière semliki, et la chefferie de Bahema Sud ;
- A l'Ouest par la Chefferie de Walese-Vonkutu.
b. Coordonnées géographiques :
Elle est situé entre latitude 11°13'00"Nord et longitude 30°06'51"Est, et s' étend environ sur 2.226 km2, donnés optenu dans le quadrillage de logiciel Google Earth, avec une altitude moyenne de 800 m au dessus de la mer.
En supprimant la zone urbaine, la zone d’habitation, villageoise, la zone de chasse, et dela pêche, on constate que, la superficie activement exploitée correspond à environ 30% seulement du terroir.
C’est pour dire qu’il s’agit d’un terroir relativement bien peu exploité,.
hydrographie
La chefferie de Walendu-Bindi fait partie de deux bassins hydrographiques du fleuve Congo, et du Nil.
Au bassin du Nil ; De nombreux cours d'eaux sont acheminées par la rivière semliki et se deversent dans le lac Albert, et Nil Albert, et se dirigent vers le fleuve Nil-Victoria au Nord.
Mais le plus important sont :
anjikye, alisé, alimo, ikpa, lamatsé, asimbé, ndera, et mbilito dont les potentialités pourront être plus tard exploitées pour la production d'énergie hydroélectrique.
Et d'autres drainent les eaux dans la rivière, Ituri et loya, qui font partie du bassin du fleuve Congo.
De là, on peut avoir les rivières suivantes ;
talulu, avini, ambata, Angumé, lowu, tsemukoyo, libala, et lowulowu.
Parmi ces rivières, il y a quelques unes qui sont poissonneuses avec des poissons d'espèces variés.
🇨🇩━☞Le sommet le plus élevé avec une altitude d'environ 1800m à 1400m sont ; Awi, Alimo, Omi, et Isura.
🇨🇩━☞La chefferie regorge aussi plusieurs collines qui permettent d'atteindre de nombreux observatoires vers l'Est du Nord au Sud, et àl'Ouest, parmi lesquelles nous pouvons citer :
Arukyé, Nyasumbí, Odhé, Toro, Iyá, Kabhi, Mulongo, Nyapké, Nyasona, Nyata, Kurungasa, Munziya, Balimo, Obé, Djungbelé, Nyasona, Nyasumbí, Alebhé, Omina, Odzé, et Karusé,...
En fait, les hautes montagnes dont le Mont Bleu, constituent la chaîne des montagnes qui commence de Mahagi port et se prolonge vers le Kivu.
Source ; Enquête de notable Didi Osée Angaika 2008
Au point de vue administratif
La chefferie de Walendu-bindi qui conserve les tombeaux de la plupart de ses souverains et leaders d'opinion public d'une longue date, fût créé suivant le PV N⁰ 00 85 du 03 décembre 1931, par l'administrateur térritorial d'Irumu, à l'époque colonial. l'AT Halleux qui trace la carte des 5 chefferies réunifiées et la délimitation des enclaves d'une localité Lagabo, Lakpa, et Nombe, avec comme Chef-lieu Gety-Etat.
La décision de la réunification sera signée en 1929 et appliquée en 1933, ainsi, il est facile de voir que toutes ces six Chefferies et non cinq comme l'avait présentait l'invité Excellence Ministre provincial Honoraire del'ituri, que nous saluons sa mémoire Osée Didi Angaika au cours d'un débat consacrés à la page socio-culturel et histoire dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi avec un groupe des diplômés originaires dela chefferie de walendu-bindi, via Forum Gety Infos Total à partir de Bunia.
Pour lui, ces dernières ont fonctionné jusqu'à 1933, ce qui a occasionné la création de l'actuelle Chefferie des Walendu-Bindi le 15 mai 1933.
Donc pour plus de précision, c'est un document tiré dans les archives dela notabilité de Walendu-Bindi, grâce à Osée Didi Angaika.
D'une manière légal avec la loi colonial Belge, le PV cité ci-haut avait mis fin aux cinq Chefferies créés aux subdivisions administratives, des royaumes traditionnels Ìndrŭs ont été préservés avec une autonomie limitée, essentiellement culturelle par certains clans majoritaires à partir de 1915, en désaccord avec politique dela Belgique.
Nos sources contactés pour la cause précisent que, le 05 décembre 1933 est considérée comme la date de la création officielle de la Chefferie de Walendu-Bind.
EIle aspire à un peuple uni qui jouit d'une prospérité-sociaux-culturelle.
Sous ce rapport, tout en sachant que, la chefferie de Walendu-Bindi est une institution culturelle qui promeut aussi la participation populaire et l'unité des différents clans par le biais de programmes de développement visant à améliorer leur niveau de vie.
Mais aussi ; Avant l'époque pré-colonial, les Ìndrŭ n'ont pas connu de pouvoir politique centralisé.
C'est pour dire que, le pouvoir s'est limité aux familles au sein desquelles les guerriers ont joué un rôle de premier ordre car ils garantissaient la paix dans la contrée. À l'époque de la pénétration arabisée et plus tard lors de l'occupation belges firent face à la résistance farouche des Ìndrŭ, dirigés par leurs principaux guerriers.
🇨🇩━☞ Subdivision administrative
La chefferie de Walendu-Bindi compte six groupements dont ;
Bukiringi, Baviba, Boloma, Ts'ritsi, Zadhu, et Bamuko, fut crée par une vague migratoire, qui date du XVI et XVII siècle.
CONNAISSANCE GENERALE DES ENTITES COUTUMIERES DE LA PROVINCE D’ITURI
▶️https://www.congovirtuel.com/page_province_ituri.php
À cela s'ajoute ; 200 villages, qui sont beaucoup plus tranquilles, en ce qui concerne la situation sécuritaire qui se normalise jour et nuit.
De toute les façons au sein de plusieurs villages, chaque famille détient une maison dans la quelle on doit obligatoirement trouver des greniers à nourriture, mêmement avoir des greniers à planter, et multiples cultures, bien que la pauvreté et les problèmes économiques préoccupe la plus part des paysans, mais les Ìndrŭ sont bénis avec un sol riche, et fertile.
Et puis, l’ensemble des informations recueillies au près des villageois qui sont la plupart des clairvoyants indiquent que ;
Dans un mode de production basé sur le travail collectif, ces gens là donc les Ìndrŭ, sont comme des machines ; Au motif, ils peuvent travailler tout le temps, et ils épuisent rapidement les sols, où éliminer très vite, les broussailles d'une étendue de terre, considérée du point de vue de sa surface, de sa propriété et de son affectation.
🇨🇩━☞ACCÈSSIBILITE ET VOIES DE COMMUNICATION
Donc ; Walendu est une entité coutumière, divisé en deux parties del'Est à l'ouest, par la route N⁰ 431 d'intérêt provincial, situé sur la crête du fleuve Congo, et du Nil.
Les grands axes d'échanges commerciaux sont :
1) Au Nord: Axe Walendu-Bindi-Bunia-Kasenyi-Chomia : cet axe est utilisé par des véhicules pour les transports des produits commerciaux.
2) A l'Est : Axe Walendu-Bindi-Buguma : cet axe n'est pas utilisé par les véhicules. Il faut demi journée de marche à pied pour y atteindre les destinations.
3) Au Sud : Axe : Walendu-Bindi-chefferie de Bahema-Mitego, Bahema-Boga, Banyali-Tchabi, et celle du nord Kivu ; cet axe procure la chefferie en bétail d'abattage notamment les vaches, les moutons, chèvres et poules.
À l'Ouest : Axe : Walendu-Bindi-Andisoma-Komanda qui échangent des produits commerciaux aux marchés du groupement Bavi.
La principale route qui permet l’entrée et la sortie dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi c’est la RS N⁰431 route sécondaire qui part de Bogoro, en passant par Kagaba, Badjanga, Bukiringi, Mitego, Boga, Tchabi, Kainama, jusqu à Eringeti. (C'est une route qui connecte la chefferie à d'autres entités dela province del'Ituri, celle du Nord-Kivu, et même del'Ouganda, via Burasi à la frontière congolo-ougandaise.
Les activités commerciales et les échanges sont fréquents et réguliers, car, la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi de par sa position, se trouve intégré à des circuits d’échanges transfrontaliers importants, avec l’Ouganda.
Tous ces axes sont plus ou moins praticables mais ils nécessitent des interventions mécaniques à grande échelle pour leur réhabilitation car ces réseaux sont très important pour l'évacuation des produits agricoles parce qu'il s'agit des voies de desserte agricole permettant de désenclaver les zones de production.
La chefferie dispose également des rivières qui le traverse dont la navigabilité est possible seulement pour les pécheurs et qui le relient à quelques villages voisins.
Cependant, on peut aussi accéder dans ce territoire via le lac Albert sur lequel on retrouve un bon nombre des pirogues motorisées qui font des navettes et de trafic frontalier entre Ouganda et Kasenyi mais aussi entre les villages frontaliers.
Dans le térritoire, les routes sont en bon état car entretenue par le gouvernement provincial, la Monusco, le Foner et l’office des routes.
Les routes des déssertes agricoles se dégradent d’avantages à cause de manque d’entrétien.
Souvent les grands sentiers vous fera vivre plusieurs aventures et les villages avec des cases très traditionnelles.
Donc les communications sont diverses formes car les routes relient les villages et localités voisines et l'extérieure, en toute saison.
Bien évidemment, l'ambiance qui s'observe dans certains villages pousse les visiteurs à croire que, l'image de Walendu-Bindi en est considérablement enrichie, par les montagnes et plateaux, qui abritent une diversité écologique étonnante.
Sur la fin du trajet, on décide de quitter la route pour prendre un “raccourci” en terre battue, un choix qu’on ne regrette pas tant les pistes sont de plus en plus belles.
En plus, sur la route, et pu se tenir un pied dans chaque hémisphère !
N’hésitez pas à visiter les petits villages et les centres culturels, où vous serez accueilli chaleureusement.
Quelques fois, on vous racontera l’histoire des habitants Ìndrŭ primitifs, localement, dangereux, isolés, et belliqueux, qui trouvent leurs origine dans les deux pays limitrophes de la RDC, entre autres, l'Ouganda et surtout, dans le Soudan du Sud.
Les routes sont les voies de communication les plus utilisées.
Malheureusement, suite au manque d'entretien et des pluies diluviennes continuelles quelques fois, elles sont souvent en mauvais état.
Par ailleurs, il existe des ponts dont certains sont en état de délabrement posant ainsi d'énormes difficultés lors des traversées et d'autres impraticables du fait qu'ils sont inachevés.
Le transport fluvial est assuré dans une partie de la rivière Semliki qui est seulement navigable en aval du Lac-Albert, jusqu'à Nyanzigo.
En plus des routes, la chefferie de Walendu-Bindi dispose l'aérodrome qui reçoivent seulement des petits porteurs à Aveba, mais aussi nous sommes sans ignorer qu'à l’époque, les petits aéronefs Antonove atterrissaient à Gety pour faciliter les activités de ces derniers.
À ce jour, un seul piste d'Aveba est opérationnelle.
Il convient de signaler que, la chefferie de Walendu-Bindi compte deux pistes d’atterrissage, l’une à Aveba qui peut se mesurer à plus de 600m de L, et 25m de largeur. Il appartient à la communauté C.E, et autre est localisé à Gety-Mission, appartenant aux missionnaires catholique, avec une piste de 880 m qui peut accueillir des petits avions comme LET 410.
Source : nos enquêtes sur le terrain
Article détaillé
Notre étude autour des personnes qui ont certifiés l'exactitude des déclarations tiré du questionnaire d'enquête, des observations et des interviews que nous avons réalisés en juin et juillet 2007 dans les quelles on pouvait entendre que, par le passé, l'espace dela Chefferie de Walendu-Bindi partant de certains lieux riverains du bassin de la rivière Semliki, jusqu'au peripherie de Bogoro.
Avant de voir sa découpage développée par le colonialisme du 19ème siècle venu créer des frontières arbitraires au sein de cette zone richesses.
Et compte, six groupements suivants dont ;
Bukiringi, Baviba, Boloma, Ts'ritsi, Zadhu, et Bamuko.
LES LIMITES
Pour ce qui est des limites Administratives nous prenons les grands points de repères sans pour autant entré dans les détails, mais celui qui se sent intéressé peut passer nous voir pour plus d'informations.
Au Nord vers Bogoro, c'est la rivière Zamvu/ Mamba.
D'après la même source, la concession de JBS de Lagabo se trouve dans la chefferie de Walendu-Bindi.
À l'Est, c'est la rivière Semiliki ; vers le lac, c'est Kodjodha
Au Sud, c'est la Chefferie de Bahema-Boga et Mitego
Nous partons de ZEMVU (proche de la concession de BAMANISA), nous descendons à la rivière MAMBA - bafond MBOGU - SONALALIMBI - route Kasenyi - limites NYAMAVI - SONATETE - bafond MASUNUNU - bafond gondegura - nyakembi - kadjike - kodjodha - kiege - lac Albert jusqu'à la rivière SEMILIKI - mutori "mukura" - enfluent mukatudha - ngyeri (kyareta : kihema), traverse la plaine de Karongo latéralement le boisement de kirimbi vers BUKIRINGI - passe pas les plateaux de toroko (kimama en ndruna) - boisement de pbhirimvu - rivière ngere et lamatsé - asimbé vers mitego - colline pbhiriatu - bhatoro - tchemukoyo - colline GATI - Nyakere - Katamendi - plateau - prière Wamba - afubhu (début limites avec walese vonkutu) - rivière loya - rivière talayi - passe près de E.P. MUZE - bafond dingi dingi - rivière talolo - baguma koyi - montagne Ambelu au dessus de TULABHO et droitement vers MUSA axe SONGOLO et revient jusqu'à rejoindre ZEMVU.
Propos del' Honorable Adabha Masumbuko Louis député provincial de l'Ituri.
━☞🇨🇩(Pour toute sa dimension historique), la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi fut possédé conformément à la tradition des encêtres, qui ont vécu en société morcelées autonomes : en clans, où en lignages, structurés dans une communauté d'une longue histoire commune, qui a connu un corps de différents métiers : des chasseurs, pêcheurs, ouvriers, guerriers, agriculteurs, des chasseurs, élèveurs à certains niveau, ... et d'autres.
Aspects politico-administratifs
Toponymie
La chefferie de Walendu-Bindi tire son nom àl'appellation d'un ancien encêtre sortie du clan zadhu connus sous le nom de Bindi, très influent qui administra l'actuel groupement zadhu avant l'« arrivée des Blancs ».
Par la tradition orale, il nous est parvenu l’anecdote suivante :
L'administration coloniale belge s’enquit, auprès des autochtones. Pour dire que, Walendu-Bindi est un nom qui symbole l'unité dérivé de l'expression colonial belge en disant à la population que, appellation Walendu-Bindi a été donnée à l'honneur d'un ancien chef qui doit être considérer comme le "père de tous les gens qui les rassemblent tous", et qui sert également de leur chef culturel.
Mais dans ses notes, les Belges retiendra « Bindi» et ce fut dès lors le nom donné à ce village.
La sacralisation de toute parole sortant de la bouche d'un Blanc à l'époque coloniale pourrait se vérifier dans plusieurs domaines.
🇨🇩Les institutions politiques
Aspect politico administratif
La chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi a à sa tête un chef coutumier qui est aussi appelé MWAMI comme ce lui de la collectivité chefferie de Walendu-Bindi.
Chaque localité est administré par un chef de localité secondé par son secrétaire, chaque localité est subdivisé en notabilité administré chacune d'un notable.
Le chef de groupement reste l'intermédiaire entre le MWAMI de la collectivité et la population. C'est lui qui transmet les doléances des notables et des chefs des villages au MWAMI.
Les chefs de localités quand à eux donnent leurs rapports au chef de groupement. Dans ce même groupement, nous y trouvons d'autres services de l'Etat entre autre le tribunal secondaire, l'Etat civil, l'environnement, pêche et forêt, l'agriculture, la jeunesse, la sécurité et le service de renseignement.
Comme, entité décentralisée, elle exécute les ordres émanant du Ministère de l'intérieur et décentralisation tant au niveau provincial que national.
La chefferie est dirigée par le Mwami en collaboration avec les six chefs des groupements.
🇨🇩Les institutions politiques sont incarnées par le chef supérieur des groupements ensuite viennent les chefs de 2ème et de 3ème degré, et enfin les notables.
Genèse du mariage
🇨🇩Ø Les notables
Ils détiennent les pouvoirs spirituels de la chefferie et sont les principaux conseillers du chef.
🇨🇩Le chef du village de son conté est assisté de ses notables, exerce un pouvoir incontesté sur les villageois, lui-même étant soumis à l'autorité directe du chef supérieur du groupement.
Le Mwami est aidé dans l'Administration de sa chefferie par les chefs des groupements ou par les chefs des villages ou, par les chefs des collines ou et enfin par les chefs des familles.
Chaque groupement est dirigé par un chef de groupement nommé directement par le Mwami.
Généralement le chef de groupement doit être un membre de la famille royale ; il doit être donc un prince, un noble càd.
Mais exceptionnellement des non princes accèdent aussi à ce poste de chef de groupement.
Les Mwami délèguent aux chefs des groupements les pouvoirs de donner la terre à leurs sujets. Et les chefs de groupement font le même avec les chefs villages.
Chaque village est aussi divisé en un certain nombre des collines dirigées chacune par un chef de colline est nommé à son tour par le chef de groupement.
Les chefs des groupements (chef des villages) et les (chef des collines) veillent au respect de l'ordre établit par le Mwami à qui, ils font rapport en suivant la hiérarchie.
━☞À 60 km au Sud dela Ville de Bunia chef lieu dela province del' Ituri, et 109km àl'est d'Irumu chef lieu du térritoire qui porte le même nom, l'agglomération de GETY est traversée, par la route venant de Bunia, et à son centre commercial, il ya un rond-point, avec (un carrefour à 3voies) d'où est nait la route allant de Gety-Etat vers Bunia.
Delà il y a une route qui serpente vers Gety-Mission, Munobi, Olongba, Niankunde, Aveba, Bukiringi, et Boga.
À part ces deux routes cités précédemment, nous avons celle qui mene vers Aluwé, une petite coline sur la quelle est localisée le Bureau Adminisrratif de la chefferie de Walendu-Bindi.
Création
Gety-Etat est dépuis longtemps chef-lieu dela chefferie de Walendu-Bindi. En travers le térritoire d'Irumu son évolution sur le plan politique colonial belge, et démographique ainsi que des infrastructures lui a fallu successivement de statut de chef lieu à partir de 1933.
Pour un traitement détaillé de l’histoire ancienne de Gety
Au début du XIXe siècle, lorsque les premiers visiteurs européens sont entrés dans la région, un mode de gestion « moderne », importé par la colonisation européenne, fut d'un coup infligé au peuple Ìndru.
Dès lors, la cohabitation de ces deux modes de gestion de l'environnement n'a pas été bien négociée par nos encêtres loints.
Avant d'aller plus loin, le grand père a fait savoir que, trois principaux axes des combat vont préoccuper les nouveaux dirigeants au sein de la chefferie de.Walendu-Bindi :
- L'implantation et le renforcement du pouvoir et de l'administration coloniaux sur toute l'étendue de la chefferie en étroite collaboration avec l'autorité ecclésiastique mais sans aucune prétention d'annihiler totalement le pouvoir du Mwami et de ses notables ;
- Le démantèlement à certains niveau des croyances, mythes, pratiques, rites, modèles et invocations « paganistes », « primitives », « sauvages », «sorcières », « indigènes », « païennes et « diaboliques » au sein de toute la population et instauration d'un modèle des croyances axées sur des valeurs chrétiennes strictement européennes.
Ainsi, chaque converti à la nouvelle religion est baptisé sous un nouveau nom, le nom de son saint patron qui guide ses pas sur la terre et qui plaide et plaidera pour que son protégé parvienne au ciel, après sa mort.
l'agglomération de GETY est traversée, par la route sur l'axe Boga-Bunia et à son centre commercial, il ya un rond-point, avec (un carrefour à 3voies) d'où est nait la route allant vers Gety-Mission, et celle de Bunia, Boga, et à l'Hôpital Général de Référence de Gety (HGRG) via la rivière Anjikye.
Toponymie
L'agglomération de Gety tire son nom dela prononciation ingyeti.
Justement sur Aluwé petite colline spéciale d'une importante histoire de Gety, sur la quelle les Belges ont construit leurs base à l'époque où la République démocratique du Congo était un protectorat dela Belgique.
Dans ce chapitre historique, la première information en notre possession révèle que, les blancs avaient demandé à la population le lieu de rassemblement, et les vieux sages ont choisi la ou était fixé la cloche. "Ingye ti." Ingye=la cloche et Ti= près de.
Donc près de la cloche) et les hommes blancs qui avaient peine d'écrire ingyeti vont écrire Gety, et devient chef lieu dela chefferie de Walendu-Bindi. Un nom qui va rester jusqu'en ce jour comme Bunia, zaïre, Dakar,......
La zone consistait en plusieurs villages : celle de Gety avait été choisie pour la garnison belge, et celle de GETY-MISSION accueillait la mission catholique et celle d'Isura était investie par la mission protestante del'église anglicane.
Donc Gety-Etat a donc grandi comme le chef lieu dela chefferie dont beaucoup de bâtiments survivent encore, tels que la prison centrale de Gety-Etat, construite en 1931, les tombes de différentes autorités coutumière et l'emplacement du bureau administratif dela chefferie de Walendu-Bindi.
C'est après 1908 que les Belges installent un poste d'État dans ce qui est le territoire administratif actuel de Gety.
Avant cette date, les archives sur la chefferie de Walendu-Bindi sont toutes constituées de la mine d'informations recueillies auprès des missionnaires catholiques de la Société des missionnaires d'Afrique (ou Pères blancs) qui s'étaient lancés à la conquête spirituelle de cette contrée où ils craignaient d'être devancés par des anglicans anglophones venant de l'Ouganda ainsi que par d'autres missions protestantes.
Quelques dates historiques:
* 14e au 17 e siècle : Arrivée progressive et installation des Ìndru dans la région de gety.
À partir de 1890 : période de razzia par les Arabes ;
Plusieurs expéditions de pillage des bêtes par les Banyoro/Hema de l'Ouganda par: Kabalega, Kasegame, Mugera, Kutehimba, Bomera, le dernier, assassiné en décembre 1911.
1912-1914: répression de la mort de Bomera chez par les colons
1914 : réhabilitation des 5 chefferies :
Bangajduna/Zadu, Bahinduka/ Bamuko, Fanda/Boloma, Bahura/Baviba, Kamatsi/ Bukiringi résultats de l'enquête de viabilité de l'AT Halleux Mataratara.
Le 28 mai 1914 : élaboration de la première carte dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.
Le 5 mai 1918: le chef Tsupu de Libi cède une partie de son entité, Bigoro à l'AIM/ CECA20.
1922 : début effectif de l'administration coloniale chez les WB qui jusqu'à là continuaient à résister.
1928: les belges décident la réunification des 5 chefferies en une seule pour les dompter.
Jusque là les chefs Fanda s'est révolté, arrêté et relégué en prison à Biasa.
1933 : réunification forcée de ches 5 chefferies avec à sa tête, Nyanza qui devint le premier chef dela chefferie de Walendu-Bindi réunifiés.
TOUT CECI, APRES AVOIR LU LES CONTENUES DE PLUSIEURS LOIS SUR LA DÉCENTRALISATION.
Les interventions de notre invité, Excellence Monsieur le Ministre provincial Honoraire del'Ituri, Osée Didi Angaika.
Alors avec l'organisation de l'administration à partir de 1933 nous avons:
1. Nyanza qui règne de 1933 à 1936: assassiné par son frère Lyanda,
2. Kobvu, régent de 1936 à 1952;
3. Zitono de 1952 à 1958 il est empoisonné par son frère Karona ;
Bandru : de 1958 a 1968, régne puis député provincial coopté ;
Munaza Kalyaki : de 1968 à 1979;
Akobi TchoTchomi : 1979 de à 2011 ;
Peke Olivier de 2011 à 2020;
Et Mongaliema Bangajduna Fidèle de 2020,...
Avant 1910, l'actuelle Chefferie de Walendu-Bindi était subdivisée en CLANS et gérée par les Chefs de Clans.
En 1910, une organisation Administrative s'impose au Congo Belge, ainsi les WALENDU-SUD, l'actuelle Chefferie des Walendu-Bindi bénéficie de 4 Chefferies, dont LA CHEFFERIE DES KAMATSI MUKUBWA/BUKIRINGI, CHEFFERIE DES FANDA FATAKI/BOLOMA, CHEFFERIE DES BAHENDUKA/BAMUKO, LA CHEFFERIE DES BAHURA/BAVIBA.
En 1914, il y a eu la création de territoire de GETY, qui s'étendait de GORO (l'actuel BOGORO) jusqu'à ERENGETY (Nord-Kivu).
Le 05 Avril 1920, il y a la création de la Chefferie des Walendu TS'RITS' RUTS'.
En 1925, la Chefferie des BAHENDUKA sera cindée à 2 Chefferies qui sont BAHENDUKA/BAMUKO et BANGADJUNA qui est l'actuelle ZADHU. À retenir la toute dernière Chefferie à être créé est celle des ZADHU qui, malheureusement n'a fonctionné que 8 ans avant la réunification.
La décision de la réunification sera signée en 1929 et appliquée en 1933, ainsi, il est defacile de voir que toutes ces six Chefferies et non cinq comme l'avait présentait l'invité Excellence Ministre Honoraire lors de débat de la fois dernière ont fonctionné jusqu'à 1933, ce qui a occasionné la création de l'actuelle Chefferie des Walendu-Bindi le 15 mai 1933.
Avant l'investiture
Désignation
Pour accéder au pouvoir dans la société Ìndrŭ traditionnelle, il n'y avait ni élection, ni désignation ou nomination. La communauté elle-même se soumettait progressivement à un individu au regard de ses qualités telles qu'observées dans sa vie quotidienne.
Il s'agit des qualités ci-après :
- La capacité de bien accueillir et de nourrir les membres de la famille ;
- Un sens de partage éprouvé ;
- Un esprit d'équité et un sens social bien développé ;
- Le respect de la personne humaine, de tous les membres de la famille sans exception et l'obéissance aux personnes âgées et la classe dirigeante ;
- La connaissance de la tradition et le respect des règles de la coutume dans son ensemble,
- Les qualités morales, parfois physiques,
- L'initiation au « Mwami», (= Circoncision) (épreuves de souffrances multiples qu'on peut rencontrer dans la vie) et parfois au Bwami.
L'initiation amène à quitter le monde des non initiés appelés jouissant de peu de considération en société et contient des enseignements primaires indispensables à l'accession au bwami qui est l'école de la sagesse Ìndrŭ.
Toutes ces qualités traduisent le sens de responsabilité et ses exigences dont le chef doit avoir conscience dans l'exercice de ses fonctions.
. Rythme de sa vie vis-à-vis des autres membres de la tribu
L'intronisation du chef : Cette cérémonie oblige la présence d'un mouton, un coq, un bouc et une chèvre.
? Le mouton symbole de la paix est destiné à représenter la royauté et les hommes lui fait porter ainsi un bracelet pour imager ce pouvoir de paix. Dans la vie courante, si un mouton crie lors de son abattage, il devient impur et on l'abandonne.
? Le coq doit chanter pour que la population qui n'est pas généralement présente dans les cérémonies d'intronisation sache que le nouveau chef est accepté par les ancêtres. Si le coq ne chante pas, alors le chef est refusé par les ancêtres.
? La chèvre et le bouc symbolise la fécondité d'autant plus que c'est dans la famille du chef que viendra son successeur. Si le bouc et la chèvre ne sont pas présentés, la génération suivante trouvera des chefs dans d'autres familles à cause de la perturbation de la fécondité dans la famille du chef n'ayant pas présenté la chèvre et le bouc.
? La chair des autres animaux peut être consommée dans la fête mais pas dans le rituel d'intronisation. La présence de l'oncle du nouveau chef est obligatoire puisqu'il est considéré comme témoin de l'accession de son neveu au trône.
Les personnes destinées à introniser un chef sont culturellement connues et maîtrisent eux même toutes les étapes de rites à la matière. La cérémonie se déroule la nuit.
. Les Ìndrŭ considèrent un Mwami comme un homme parfait de par son comportement exemplaire et son respect strict des règles sociales.
C`est ainsi qu'un homme qui s'illustre par des actes indécents, sera obligé à devenir Mwami afin de subir une transformation l'amenant ainsi à devenir un modèle dans la société.
« Les Ìndrŭ peuvent contraindre par force) certains hommes, coupables de transgressions à se faire initier pour les transformer en personnes nobles et bonnes >>
On distingue deux types de transgressions :
a) la violation des règles sociales désignées sous le vocable parmi lesquelles nous citons :
- L'adultère avec la femme ;
- Le meurtre, accidentel ou non, d'un mwami,
- Le vol ou destruction d'objets du bwami.
b) actes immoraux considérés comme péché mortel parmi lesquels nous citons :
- Parler des interdits;
- Les injures ;
- Le fait se soulager en public ;
- se déshabiller et exhiber sa nudité en public ;
- Porter atteinte à l'intégrité physique des parents;
- L'inceste.
L'accession au pouvoir au sein de la communauté Ìndrŭ, dépendait des mérites personnels d'un chacun et seule, la personne qui se distinguait quelle que soit son origine clanique pouvait accéder au pouvoir politique ou succéder au Chef décédé.
Le successeur du chef décédé doit être un rassembleur, condamné à ne faire que du bien. Telle est la tradition, la coutume lega en matière de la gestion du pouvoir politique.
Il n'avait pas ni droits ni avantages particuliers sous forme de tribut. Bref, sa vie doit être au service de la communauté, et non l'inverse.
Il importe à ce niveau de souligner que le mode d'accession au pouvoir et celui de succession ont subi une profonde modification à la suite de l'occupation arabe et européenne des térritoires Ìndrŭ comme résumé ci-dessous :
Pour l'occupation arabe, la pénétration des Arabes dans la région des « Ìndrŭ » a été marquée par une cruauté sans pareille accompagnée de pillages de richesses et causant des pertes en vies humaines.
Sur toutes les informations recueillies lors de campagnes de recherches réalisées sur le terrain, voici ci-dessous une liste des Chefs coutumier, dépuis l'époque plus ancienne au plus récent, àla quel, les dates mois et années, ne sont pas exactement, mentionnées.
🇨🇩´━☞Traditionnellement le chef coutumier ne peut être remplacé seulement lors du décès de son prédecesseur mais peut aussi être destitué suite au manquement à certaines règles et loi coutumières.
PEKE KALIAKI OLIVIER est le second Chef à subir ce coup sur sa propre violation de coutume contrairement au Chef KOGVU destitué pour la violation de règle coutumière faite par les filles qui auraient déplacé le tambour royal de la place où il était conservé par les gardiens de coutume dans une autre maison.
Comme les objets de pouvoir coutumier ne peuvent être manipulés seulement par les MASADHU, ce fait a été sanctionné par la destitution du Chef KOBVU.
Alors par rapport à celui-ci OLIVIER n'a même pas merité de revenir gouverné la Chefferie après son forfait sauf qu'il a été soutenu par le fort Joseph Kabila de Kinshasa. C'est les propos de Louis Mbafele contacté à ce sujet.
À lui d'ajouter que, il y a peut être une confusion de penser que BANDRU est chef de Grpt BAMUKO à vérifier.
Mais dans l'histoire W/B PBHANGADJUNA est le Chef qui a fait écrire par les colons notre histoire et origine ainsi que la délimitation de notre Chefferie avant son emietement par les HEMA qu'il a complement decrit comme les Ougandais.
🇨🇩´━☞Les élites intérieures et extérieures.
Ce sont les notables et les riches qui vivent au village, en ville ou à l'extérieur du pays. Ils sont capables d'influencer les décisions dans le village grâce au poids que leur donnent leurs richesses matérielles et financières, ils jouent aussi un rôle déterminant dans le développement du village (tracé des routes, électrification, bornes fontaines, établissements scolaires, etc.)
En dehors d'une histoire politique dynastique des trois derniers siècles, reconstituée sommairement grâce aux traditions orales, qui correspond aux longs règnes des Indru, qui se sont organisés bien avant l'arrivée des colonisateurs en dynasties.
Cette dynastie a été fusionnée pour céder la place à des structures issues de la colonisation afin de bien pratiquer leurs activités économiques précitées.
Celle-ci furent réunies en une seul Chefferie à partir de 1943, sous une seul même autorité.
De fait, à l'arrivée de colons belges, le pouvoir colonial décida par le décret du 06 octobre 1891 d'intégrer, les chefs coutumiers dans l'administration de ce qui était à l'époque l'Etat Indépendant du Congo.
Par le décret du 03 juin 1906, il était dit par exemple : « tout indigène est réputé faire partie d'une chefferie, sauf les exceptions résultant de dispositions légales ».
C'est ainsi que dans l'Etat Indépendant du Congo en général, les chefferies indigènes furent vite reconnues par le Roi Léopold II.
Car les chefferies semblaient être le passage obligé pour asseoir la domination belge.
Si nous en revenons à l'histoire ancienne, nous devons retenir que, la Chefferie de Walendu-Bindi a été créé aussi à la demande des autorités coloniales, dans le but de reconnaître clairement l'autorité des chefs coutumiers autochtones, ayant ensuite obtenu de constituer une seul chefferie après la première guerre mondiale.
L'octroi aux Chefs coutumiers du statut d'agents de l'Etat visait, aux dires des autorités coloniales elles-mêmes, à contourner la barrière des civilisations qui rendait difficile les rapports entre ces autorités et la population colonisée.
La providence choisit un chef pour les Indru désormais réunies, dans la maison d'AZATA.
Ainsi Nyanza fut imposé par l'administration colonial Belges comme le chef suprême des Indru.
Alors que il avait été qu'un simple Boy puis policiers des blancs avant sa désignation à cette lourde résponsabilité. Son assassinat le 05 mars 1936 par son frère LYANDA dans une rixe prouve insuffisance son immaturité à la gestion dela chose ' publique.
Invistture de Nyanza comme chef suprême des Indru avait soulèvé des contestations au sein dela communauté en colère.
Le système ancien d'alliance fondé sur le besoin réciproque dépuis un temp récculé, s'est transformé en conséquence en un système autoritaire.
D'après la loi N°08/016 du 07 octobre 2008 portant composition, organisation des entités térritoriales décentralisées et leurs rapport avec l'Etat et les provinces, la chefferie est un ensemble généralement homogène de communautés traditionnelles organisées sur base de la coutume et ayant à sa tête un Chef désigné par la coutume, reconnu et investi par les pouvoirs publics.
Dépuis un certain temp en Chefferie de Walendu-Bindi, le conflit a comme source la crise de leadership dans cette partie de la province del'Ituri, au sud du térritoire d'Irumu, c'est en République Démocratique du Congo.
En effet, certains prétendent être les mieux placés par rapport aux autres pour mériter la part importante dans la redistribution des richesses nationales.
Les autres membres utilisent la carte de la minorité ethnique pour justifier leur « peur » et par conséquent leur souci d'agir les premiers pour imposer aux autres leur position.
Au-delà de tout ce qui vient d'être dit, la chefferie si elle est gérée par quelqu'un d'un clan minoritaire, il n'est pas aimé par les clans majoritaires et même combattit et vice versa.
Cette situation a un impact sur la gouvernance parceque la rivalité nuit dans les fonctions politiques administratives.
Pratique de tribalisme par les dirigeants politique et la négligence des tribus minoritaires qui ne participent pas à la gestion de la colléctivité.
Donc souvent c'est par la manipulation des haines les même indrus est devenue un instrument privilégié de stratégies de conquête du pouvoir.
La crise de grande envergure, la faiblisse, voire l'absence effective des institutions gouvernementales rend extrêmement difficile l'apport de services à la population.
Dès lors, l'espace politique devient un enjeu qui alimente les mécontentements, les débats politiques, les positions sociales, les symboles et idéologies dans l'imaginaire collectif.
Cette situation a un impact sur la gouvernance parceque la rivalité nuit dans les fonctions politiques administratives.
Pratique de tribalisme par les dirigeants politique et la négligence des tribus minoritaires de la province qui ne participent pas à la gestion de la chefferie.
Ainsi une cause aussi anodine fut-elle, était une source de violence pouvant dégénérer à tout moment en conflit armé.
🇨🇩´━☞LES CAUSES ENDOGENES
Sans vouloir être exhaustif, nous retiendrons : l'absence d'un Etat de droit, le refus de l'ouverture a la Démocratie, les dérives autoritaires et crispation conservatrice de certains chefs d'Etats.
Le non respect des textes constitutionnels légaux, les manipulations idéologiques et la main mise de la conscience tribale et ethnique sur la conscience nationale.
La politisation de l'armée comme moyen de conquêt de l'exercice et de conservation du pouvoir, les violations systématique et flagrante des droits de l'homme à l'assujettissement de certains leaders aux intérêts nationaux, la clochardisation de la population.
La manipulation des clivages ethniques, l'aggravation des problèmes fonciers, l'affaiblissement de la cohésion interne de l'Etat.
Appréciations et attentes de la population
En géneral:
- Les populations ne sont pas systématiquement informées des activités menées par les chefs de village/quartier et les conseillers de village/quartier ;
- les populations ne se sentent pas associées à la gestion des affaires locales ;
- les populations se plaignent souvent de l'indisponibilité des élus locaux ;
- elles se plaignent également de l'absence d'harmonisation entre les prix des prestations d'un quartier/village a un autre ;
- leur principale attente, est d'être davantage informées sur la gestion des affaires de leurs localités et de ne pas être associées uniquement lors des travaux communautaires.
Les difficultés et les besoins des conseillers de village/quartier de ville et des chefs de village/quartier de ville sont interdépendants.
Donc nous reconnaissons l'importance du dialogue pour restaurer la paix , la stabilité et le développement dans la région sont confrontés , ainsi qu'apportant des suggestions pratique sur la manière de résoudre de tels défit dans une perspective à court , moyen et long terme ;
Depuis le discours présidentiel du 24 avril 1990, la RD Congo a opté pour la démocratie.
Les résultats escomptés jusque-là ne sont pas encore atteints.
Il se fait constater que ce processus avance lentement.
Cette démocratisationsemble être graduelle et nécessite non seulement l'implication des institutions du gouvernement central de la République mais aussi celles des entités territoriales.
Dans l'affaire de dernière règne au sein de la Chefferie des W/B, personne n'ignore que Monsieur PEKE KALIYAKI Alexendres Olivier a été investi officiellement devant un milier de personnes composé de ses dirigés par son Excellence Jefferson ABDALLAH PENEMBAKA le Gouverneur de l'Ituri, àlépoque représenté par son ministre provincial des affaires coutumières.
En effet, pendant son règne très brillant la chefferie a connue un multiples développement observée dans les différents secteurs (Économique, Social, Sécurité, Santé....) qui nous a été utile tel que la réhabilitation des routes de désertes agricoles ainsi que de routes principales, son apport dans la pacification d'Irumu a été viable avec des organisations des Matchs amicaux interethniques, la création de l'orchestre W/B MUSIC, la création des espaces et des hôtels sur l'ensemble de la Chefferie, n'oublions pas que c'est sous son règne qu'il y'a eu l'arrivée massive des Radios Communautaires, des Athènes de téléphonie mobile (connexion internet, stabilité de reseau d'appel) and so on.......
Néanmoins il était environ plus de 10 mois que un groupe des gouvernés ont accusé Monsieur le chef PEKE KALIYAKI Alexendres Olivier, au cours de l'année 2016 pour cause de détournement passif des biens communautaires.
Suite à ses griefs, il a été suspendu pour une durée ne dépassant pas 3 mois avec restitution total des tout les biens communautaires, ceci sur proposition du Ministre Provincial de l'intérieur, ordre public, déstalinisation, population et droits humains.
En se jour plusieurs questions se posent et tension s'observe sur l'auto réhabilitation de Monsieur PEKE KALYAKE Alexendres Olivier dans ses fonctions de CHEF DE CHEFRERIE DE W/B.
À cette tension qui s'observe ce dernier jour dans la Chefferie de W/B entre les mêmes fils, nous demandons d'observer les calmes et de faire recours à la loi du pays sur base de la coutume puis de n'est pas céder à une quelconque manipulation des certains acteurs politiques qui pourrait nous ramené l'infrantercide et que la vérité soit établie le plus tôt possible. Faisons beaucoup d'attention.
Cela suggère aussi que, acien chef dela collectivité de W-Bindi Akobhi-Tsomi-Katorogo que nous saluons sa mémoire, a tenu à rappellé durant un moment donnée, que, l'administration des colons belges dela ont créés un climat des tensions, qu' on en remarqué une immixtion des politiciens dans les affaires coutumière avec une crise persistante qui a eu au sein d'une partie dela communauté ÌNDRŬ, où cette pratique qui a pérennisé les conflits de leadership au sein de cette structure, jusqu' en la mort de ZITONO.
Le travail produit représente alors une nouvelle piste de recherche dont l'importance sur le plan historiographique est notable.
À nos jours la pratique et la coutume du milieu sont d'application.
Le léopard est considéré comme un animal sacré, et symbole de l’intelligence.
Nombreux seront les dignitaires à porter un chapeau léopard en guise de couronne.
Les vieillards sont très respectés et écoutés avec des masadu, gardiens des traditions et omnipuissants guerrières.
Ils sont indispensables dans l'investiture des chefs coutumiers, car chaque région a ses indrus d'investiture.
En meme temp, les chansons restent l'une des formes d'expression couramment utilisées dans la société.
Certaines personnes contacté par notre rédaction à ce sujet précisent que, des cérémonies rituelles, aux réjouissances populaires en passant par l'invocation du courage ou la gestion du temps mort, le chant intervient toujours.
Transmis entre les générations, il évoque des situations vécues qui sont dignes de mémoire ; un accent étant mis sur les qualités et les défauts.
Ainsi le message magnifie les vertus et dénonce les vices.
Le héros qui peut être un grand chasseur ou un guerrier courageux est glorifié, tandis que le paria tel l'épouse infidèle ou le paresseux est hué dans les mélodies.
Dans cette page, on doit rendre compte que, Walendu-Bindi est une appellation appliqué par colonie belge, qui désigne les institutions socio-politiques et typiques, à caractère coutumier, comme une forme intermédiaire entre le royaume, et les sociétés lignagères, composés des membres quasi homogène, qui présentent des diversités sur le plan physique, démographique, administratif, social et économique.
🇨🇩🇨🇩🇨🇩 Le Régime foncier
En Walendu-Bindi comme chez tous les Ìndru, la terre est régie par la culture dans laquelle un chef terrier est propriétaire et distributeur des terres suivant la convention de payement de la redevance coutumière ou une poule, chèvre, vache, argent, compte tenu de l'étendu du terrain alloué.
Et chaque chef de ménage, membre de la communauté, jouit d'un lopin de terre à transmettre aux générations futures.
Pour cela, c'est dans le but de
1. Faire un état des lieux des problèmes qui rongent et guettent la Communauté ainsi que l’autocritique.
2. Puiser dans les valeurs de la culture Indru, pour réfléchir sur des règles économiques et sociales que devrait observer chaque membre de la Communauté pour garantir la paix, la sécurité, le travail et le développement ainsi que servir de modèle idéal pour les autres.
3. Cultiver l’amour dans la Communauté et entre les Communautés pour en tirer la paix, la sécurité et le développement.
4. Éviter de récours, à la violence pour n'est pas créer un climat des tension, dans la société.
5. Opposer la paix à la guerre, afin que tout protagoniste manque d’adversaire.
Avec toutes ces actions menées la chefferie tire des profits sur les impôts et taxes. Selon nos enquêtés la population ne tire pas tellement le profit car ses actions sont exploitées en désordre par les agents de l'administration publique.
En ce qui concerne, la gouvernance locale, il faut tout d'abord connaitre que la gouvernance en République Démocratique du Congo, la gouvernance est comprise dans le sens que lui donne le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).
Elle est donc définie comme l'exercice des pouvoirs économique, politique et administratif pour gérer les affaires d'un pays à tous les niveaux.
Elle comprend les mécanismes, procédés et institutions par lesquels les citoyens articulent leurs intérêts, exercent leurs droits légaux, remplissent leurs obligations et gèrent leurs différences.
La gouvernance sera bonne ou mauvaise en fonction de la capacité des gouvernants et des administrations à respecter des principes qui favorisent l'adhésion et la participation de l'ensemble des acteurs de la société civile aux politiques qui les concernent.
Le Gouvernement de la République Démocratique du Congo s'est doté d'un contrat de bonne gouvernance pour la période 2007-2011 comprenant les deux principaux axes prioritaires suivants :
- La restauration de l'autorité de l'Etat sur l'ensemble du territoire. Le fonctionnement efficient et efficace des institutions et la réussite de la décentralisation, la lutte contre l'impunité (particulièrement en matière de violence sexuelle) et la séparation des pouvoirs en sont les paramètres essentiels afin d'atteindre un développement rapide au niveau local et national.
- La lutte contre la corruption, la malversation et l'iniquité doit mobiliser les efforts du Gouvernement pour endiguer ce fléau qui gangrène tous les secteurs de la vie de la nation.
En ce qui concerne, la gouvernance locale, il faut tout d'abord connaitre que la gouvernance en République Démocratique du Congo, la gouvernance est comprise dans le sens que lui donne le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).
Elle est donc définie comme l'exercice des pouvoirs économique, politique et administratif pour gérer les affaires d'un pays à tous les niveaux. Elle comprend les mécanismes, procédés et institutions par lesquels les citoyens articulent leurs intérêts, exercent leurs droits légaux, remplissent leurs obligations et gèrent leurs différences.
La gouvernance sera bonne ou mauvaise en fonction de la capacité des gouvernants et des administrations à respecter des principes qui favorisent l'adhésion et la participation de l'ensemble des acteurs de la société civile aux politiques qui les concernent.
Le Gouvernement de la République Démocratique du Congo s'est doté d'un contrat de bonne gouvernance pour la période 2007-2011 comprenant les deux principaux axes prioritaires suivants :
- La restauration de l'autorité de l'Etat sur l'ensemble du territoire. Le fonctionnement efficient et efficace des institutions et la réussite de la décentralisation, la lutte contre l'impunité (particulièrement en matière de violence sexuelle) et la séparation des pouvoirs en sont les paramètres essentiels afin d'atteindre un développement rapide au niveau local et national.
- La lutte contre la corruption, la malversation et l'iniquité doit mobiliser les efforts du Gouvernement pour endiguer ce fléau qui gangrène tous les secteurs de la vie de la nation.
Pour ce qui est des ETD et la chefferie de Walendu-Bindi en particulier, il faudra assurer la bonne gouvernance, conformément à l'opinion soulevée dans le plan d'action du gouvernement provincial et au DSCRP, il sera procédé au renforcement des capacités institutionnelles et opérationnelles de la chefferie de Walendu-Bindi.
Il faut créer des cadres de collaboration entre la populations et chefferie. La chefferie doit former et sensibiliser la population sur les droits et obligations mais aussi elle doit vulgariser les textes des lois et il faut également renforcer la capacité de la chefferie dans les thématiques de la gestion du ETD (planification participatif, le budget participatif : les thématiques du développement locale, le genre, la protection de l'environnement,...) et réhabiliter et équiper les bâtiments administratif de la chefferie.
Toutes ces actions doivent être menées par l'Etat congolais, la chefferie, la population et les partenaires au de développement.
Une bonne gouvernance locale implique un ensemble de mesures destinées à assurer et optimiser la gestion des affaires locales aux plans économique, politique et administratif.
Une gouvernance locale est performante lorsque la gestion des problèmes et ressources est effective, efficace et répond aux besoins essentiels de la société.
Dans cette perspective, la gestion des affaires locales par des autorités locales doit se caractériser essentiellement par :
Ø la participation des populations locales ;
Ø L'information des populations locales et la transparence dans la gestion des affaires locales ;
Ø La redevabilité des autorités locales vis - à - vis des populations locales ;
Ø L'efficacité et l'efficience des services publics locaux;
Ø La durabilité ;
Ø La primauté du droit et la place d'un environnement juridique favorable au développement local.
Problème de gouvernance locale
Ce secteur est plus important car c'est lui qui gère et organise les autres.
Mais quelques part, il existe un blocage pour le dialogue et échange pour le développement de la chefferie. L'administration de la chefferie a une faible productivité, les conditions difficiles de travail et l'inefficacité des services de la chefferie freinent tout développement.
Du côté de population il y a une perte de confiance de celle-ci vis-à-vis des services rendus par l'administration publique et le manque de collaboration cohabitation entre ces deux parties.
La plus part de nos enquêté nous ont révélé que la cause du sous-développement de Walendu-Bindi est presque partout.
Il y a aussi l'insuffisance des concertations entre les acteurs de la chefferie (chefferie, société civil, notabilité,...) et non-respect des droits des personnes l'ignorance des droits et obligation des citoyens et la non application des textes.
Le grand problème de la gouvernance locale ici c'est l'insuffisance des capacités techniques opérationnelles et institutionnelle de l'administration de la chefferie.
La cause de tout ceci est la vétusté du bâtiment abritant les bureaux administratifs le Sour équipement de la chefferie (mobilier, matériel roulant, kits informatique,...) et le personnel de l'administration public est trop vieille non fermé et reculé pas de cadre concertation entre les acteurs politiques et cela entraine la perte de confiance de la population à la chefferie et les mésententes.
Les agents sont mal payés à cause de l'insuffisance financière. Mais aussi la population se plaigne que les impôts et taxes sont mal gérés d'après certains agents fonctionaires del'état, contacté par notre rédaction à ce sujet.
Pour eux, certains dirigeants ne sont pas animés d'un esprit patriotique.
On trouve les infrastructures collectives
suivantes :
- Des lieux de cultes (Catholiques, Protestantes,... et bien ailleurs
- Des terrains de foot Ball ;
- Des bâtiments administratifs ;
- Des bâtiments scolaires décrits dans les lignes précédentes ;
- Des infrastructures sanitaires décrites au aussi précédemment ;
- Le marché ;
Le chômage est élevé à la suite du taux faible des emplois capables de consommer l'importante masse laborieuse disponible et compétente.
Les structures économiques sont désarticulées au point de limiter la production des richesses pour un développement local et la compétition économique nationale et internationale.
Les besoins alimentaires vont croissants, la production se doit d'évoluer à un rythme au moins égal.
Une augmentation de l'offre de produits alimentaires est aussi nécessaire pour faire face à la croissance démographique.
L'accroissement de la population est sans aucun doute le mieux connu de tous les problèmes du développement économique.
L'une des conséquences immédiates de ce phénomène serait logiquement la baisse de production liée à la pression sur les terres arables et sur l'environnement.
Les boisements artificiels
Elle est une végétation artificielle constituée d'arbres généralement des essences importées par la colonisation.
On trouve principalement des eucalyptus, des cipres, des pins, les grévilléas,... et tant 5 arbres fruitiers.
Actuellement, les eucalyptus occupent la première place du point de vue économique dans la chefferie grâce aux planches qu'ils produisent, lesquelles sont sollicitées lors de la construction.
Avec changement climatique, les bananes, avocats, marakudja,...manioc bamitu qui jadis existaient chez WB, ont disparu, d'où la nécessité de plantation des arbres s'avère indispensable par la population locale, il revient à la nouvelle équipe dirigeante de la chefferie d'accompagner la population dans ce sens.
Tresor Bahati Abàdhú Yédhù GETY-INFO_TOTAL(GIT)
La plus part des paysannes quittent chaque jours matin la houe à l'épaule pour le champ, suite à une mauvaise gestion des terres alluvionnaires, des zones maraîchers, des adrets et ubacs par un reboisement ; aujourd'hui, ils parcours des dizaines et vingtaines des kilomètres pour les pratiques agricoles, mais la production par des moyens et techniques rudimentaires reste moins inférieurs à cause des mauvaises pratiques des techniques culturales, de la réduction et même l'exclusion de la jachère, les changement climatique , l'accroissement de la population, une sylviculture motivée par les ONGs et Associations qui sont exigeantes .....
De son conté, l'ancien commisaire du peuple IRIBI-KOKORO à fait savoir que, le déssechement des sols par le gros bétail est comme cause del'infertilité du sol à Gety.
- L'approvisionnement suffisant en eau potable
🇨🇩━☞Le Petit commerce
Cette activité est pratiquée partout dans le district de l'Ituri, à différents niveaux.
Les marchandises vendues en gros ou en demi-gros dans le centre urbain sont détaillées de village en village selon les besoins et les moyens des autochtones.
Cette activité est influencée surtout par la stabilité du pays, le pouvoir d'achat des clients, le prix du carburant à la pompe, l'état des routes et aussi les différentes taxes imposées par l'administration locale.
MEESSEN. Op Cit. P . 110
Son premier chef est : Nyanza dans le but d'attirer plus des populations et soucieux d'ériger Gety en une entité autonome, distribuera gratuitement des parcelles à la population.
Cette pratique attirait la population périphérique ainsi que les prêtres catholiques qui sent installés ou chef-lieu du territoire Gety-État à l'époque au sud de Bunia, aujourd'hui, chef-lieu de la province de l’Ituri.
En térritoire d'Irumu-Rdc : la population est frappée par des tueries attribuée aux rébélles du groupe ADF
👆🏿👆🏿👆🏿 Térritoire d'Irumu en proie des massacres attribuée souvent aux rébélles du groupe ADF qui térrorisent la population dans partie Est dela République démocratique du Congo
↪️📑🟥🇨🇩Les informations livré par ONGDH la convention pour le respect des droits humains, CRDH, s’insurge et parle de plus au-moins 30 civils abattus par les présumés rebelles ADF depuis le début de ce mois en cours dans les chefferies des walese-vonkutu et Banyari-Tchabi.
Outre ces pertes en vies humaines, plusieurs maisons ont été incendiées et des déplacements massifs de la population signalés.
Régulièrement, la population est frappée par des tueries à l'arme blanche, et qui ont déjà provoqué la mort de plusieurs personnes, selon la même source qui nous livre cette information.
Christophe Munyanderu, coordonnateur territorial de cette structure de droits humains a avancé ce bilan lourd ce vendredi, 10 Novembre 2023 lors d’une sortie médiatique.
Ce défenseur des droits de l’homme dit ne pas comprendre comment les rebelles peuvent ainsi opérer dans ces entités en présence des forces mutualisées FARDC-UPDF qui y sont installées depuis plusieurs mois.
Pour lui, il est temps que les jeunes se constituent en groupes des Wazalendo pour frapper ces assaillants aux côtés des forces de défense et de sécurité.
«Cette perte énorme de nos compatriotes nous pousse de s’interroger de savoir si réellement, comment les opérations conjointe FRDC-UPDF ont elles été planifiées?, Est-ce que ces opérations existent-elles ?, comment expliquer les attaques ADF dénouveau dans la chefferie de Banyali-tchabi, une chefferie qui était proclamée une zone verte et les populations commençaient déjà d’y retourner» s’est-il interrogé.
De son côté, l’armée ne confirme pas ce bilan et indique que cette façon de faire est une manière de faire l’apologie de l’ennemi.
Pour le lieutenant Jules NGONGO TSHIKUDI, porte-parole des opérations militaires en Ituri, les services compétents sont déjà activés pour mettre les auteurs de telles déclarations devant la justice.
Tout en réitérant le ferme engagement de l’armée à bouter dehors l’ennemi, cet officier militaire appelle la population à faire confiance aux forces loyalistes.
«Si La CRDH est là pour compter les morts contrairement à nous que nous sommes entrain de protéger les civils cette manière c’est de faire l’apologie du mal, c’est être le porte parole de de l’ennemi, est ce que c’est normal que nous puissions compter nos morts à la place de se liguer d’être en collaborant avec les forces armées, nous nous sommes là pour protéger la population et cette population restante a besoin d’être protéger et d’être sécuriser» a-t-il dit.
Rappelons-le, cette recrudescence de l’insécurité intervient dans les chefferies des Banyari-Tchabi et Walese-vonkutu après que de nombreux habitants aient regagné leurs villages respectifs en provenance de milieux de refuge.
Ceci, après presque une année d’accalmie observée dans ces régions grâce aux efforts consentis par les forces conjointes FARDC-UPDF.
L'armée congolaise annonce régulièrement des plans d'attaque contre le groupe des rebelles islamistes ougandais de l'ADF (Alliance des forces démocratiques), sans que jamais ces hommes, présents sur le territoire de RDC depuis plus de 28 ans, en 2023 ne soient totalement chassés.
La photographie un métier de tout le monde
👆🏿👆🏿👆🏿🇨🇩Jeune fille photographe africaine d'origine congolaise province del'ituri térritoire d'Irumu, chefferrie de Walendu-Bindi
↪️📑Serait-il véritablement raisonnable d’attendre la journée internationale de la femme pour mettre en lumière des perles de la photographie ?
En Afrique, l’effervescence créative des métropoles interconnectées n’efface tout de même pas cette sous-representation féminine dans la photographie .
“Les photographes Africaines restent hélas sous-représentées, à cause de la forte pression socioculturelle qui pèse sur leurs épaules. Dans mon pays, par exemple, rares sont les femmes qui suivent des études artistiques.
Selon Aliy Jeanne il ya un travail remarquable à mettre en avant, celui qui change la narrative africaine, la représentation du continent.
Née à Bunia et a grandi à Kampala où elle est tombée dans la photographie presque par hasard.
Elle a acheté son premier appareil photo et son premier ordinateur à la fin de sa dernière année de lycée avec l'argent gagné en travaillant dans un fast-food.
Elle a photographié sa famille, ses amis et presque tout ce qu'elle rencontrait. Elle a appris les techniques par elle-même et a cherché des conseils de photographie sur Internet.
"J'ai finalement réalisé que je devais faire autre chose que de rester sur la touche", a-t-elle déclaré.
Le rapport entre les femmes et la photographie a toujours été différent.
Pourtant, initialement, les questions de genre ne devraient point intervenir dans un quelconque champ créatif.
En effet, nous n’avons pas besoin de le redire: il n’existe pas de professions exclusivement masculines, cependant la sous-représentation de ces femmes photographes perdure.
D’ailleurs, il ne s’agissait pas seulement de l’Afrique, en Europe par exemple une exposition dénommée « Qui a peur des femmes photographes ? » a permis de souligner la ténacité de celles qui avaient fini par conquérir la légitimité de ce médium artistique entre 1839 à 1919.
Aussi, serait-il également juste de parler d’une de photographie africaine. dans la mesure où il n’existe pas de photographie européenne ou asiatique. Cette photographie se veut riche et vaste, tout en assumant ses influences à l’image de la mondialisation.
Devrions-nous plutôt parler d’un melting pot visuel qui assume son inspiration et son identité africaine, en réécrivant l’histoire d’un continent au jour le jour ?
Loin des clichés, des représentations médiatiques erronées, c’est une ode à la liberté d’expression, une poésie visuelle, une réappropriation de l’histoire.

Aussi, serait-il également juste de parler d’une de photographie africaine. dans la mesure où il n’existe pas de photographie européenne ou asiatique.
Construire un réseau
C'est ce qui a conduit la jeune photographe à son objectif actuel - construire un réseau de femmes noires photographes partageant des points de vue et des ressources qui les propulseraient vers la reconnaissance dans l'industrie créative.
"Il y a eu des moments où je me suis dit, si seulement j'avais une communauté, si seulement j'avais un mentor, si seulement je connaissais d'autres photographes noirs, plus précisément des femmes noires photographes et des photojournalistes vers lesquels je pourrais me tourner", a déclaré Aliy Jeanne.
"J'ai finalement réalisé que je devais faire autre chose que de rester sur la touche", a-t-elle ajouté.
Paroisse sainte famille de Gety ; Est une circonscription ecclésiastique de l'Église catholique en Rdc
👆🏿👆🏿👆🏿 Paroisse sainte famille de Gety est situé dans la chefferie de Walendu-Bindi vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo. Dépuis sa création, elle dépend du diocèse de Bunia
SUJET D' ARTICLE !
PAROISSE SAINTE FAMILLE DE GETY ; EST UNE CIRCONSCRIPTION ECCLÉSIASTIQUE DEL'ÉGLISE CATHOLIQUE EN RDC
↪️📑La paroisse sainte famille de Gety est une circonscription ecclésiastique de l'Église catholique implanté depuis l' époque colonialisme belge sur le plateau Est dela chefferie de Walendu-Bindi, justement dans le groupement Bamuko territoire d' Irumu, province del'ituri, vers le Nord-Est de la République démocratique du Congo.
Parraport à l'emplacement del' église
Notre équipe de rédaction a constaté que, le bâtiment actuel dela paroisse se situe non loin du Bureau central dela Zone de Santé rurale de Gety BCZS qui se trouve dans enceintes de l'hôpital général de référence, à un endroit précis de localité Nzigo.
Après analyse et traitement des données, il a abouti aux résultats selon lesquels ; Nzigo est l'une des localités érigée dans la partie Ouest de Gety-Etat, environ 61 km au sud de Bunia, en suivant la RS route secondaire N0 431.
La population est majoritairement composée des Ìndrŭ que certaines communautés appelent «Ngiti»
Ils sont les fondateurs et premiers habitants de leur localité, nzigo suite aux fluxes migratoires constantés du XVI e siècle (ou 16 e siècle), au XVII ( ou 17 e siècle.
? Climat :
o Saisons de pluies : de Septembre à Janvier et de Mars à Juin
o Saisons sèches : en Février (la petite saison sèche) et en Juillet et Août (la grande saison sèche)
On peut partir à Gety tout au long de l’année, car les températures y sont constamment agréables.
Dans l’idéal, partez entre décembre et mars ou au mois de juillet. Le reste de l’année, les précipitations peuvent être plus abondantes, mais n’empêchent absolument pas de passer un très bon voyage.
Gety-Mission ; Un endroit idéal pour découvrir.
Selon la plupart des fidèles catholiques que nous avons contactés sur terrain ont estimé que Gety-Mission a pris naissance sous l'initiative des missionnaires catholique.
Concernant sa considération ;
On peut également noter que, c'est un lieu verdoyant qui connaît une évolution marquante dans divers domaines :
Surtout ; Le domaine religieux, sanitaire, et éducatif, avec des espaces naturels bien conservés, sans oublier ses cours d’eau.
Son noyau originel est une consesion d'environ plus de 500 m² mis à la disposition dela paroisse sainte famille de Gety qui est localisée sur une crête Est telle que;
Nous avons un bassin du fleuve Nil dont les eaux dela rivière alisé, dtungu, et kawangu,... sont collectées par la rivière anjikye jusqu'à Semliki selon les archives dela paroisse rendu publique par le curé Hamel en 1996.
Nature du sol qui est jonché des cailloux
Son sol est argilo-sablonneux c'est-à-dire qu'il constitue d'un mélange de l'agile et du sable mais avec une prédominance de l'argile favorable à la fabrication des matériaux de construction notamment le Bloc ciment, et le brique.
Les boisements artificiels
L'église dela paroisse sainte famille est entouré par une végétation artificielle constituée d'arbres généralement importées par la colonisation belge.
On trouve principalement des eucalyptus, et des cipres.
Espèces phares de la flore
En effet, on y rencontre la culture de des patates douces, des bananiers et certains arbres fruitiers.
De manière particulière, on trouve aussi une série de végétation d'eucalyptus plantés et d'autres arbres ornementaux comme le cyprès, et le cèdre en remplacement de la forêt des montagnes.
Mais aussi ; Le gazon pasplume règne en maître dans beaucoup de parcelles valorisées, et les arbres plantés sont pour servir de brise le vent, mais aussi pour l’ombrage.
Ces espèces sont répandues à Gety Mission pour la lutte aussi contre l’érosion grâce à leurs racines.
Actuellement, les eucalyptus occupent la première place du point de vue économique dans la chefferie grâce aux planches qu'ils produisent, lesquelles sont sollicitées lors de la construction.
Le Régime foncier
Dans la localité de (Nzigo) comme chez tous les Ìndrŭ, la terre est régie par la culture dans laquelle un chef terrier est propriétaire et distributeur des terres suivant la convention de payement de la redevance coutumière ou une poule, chèvre compte tenu de l'étendu du terrain alloué.
La convention initiale est héritée et très réputée par toutes les générations des souverains et leurs vassaux. Les descendants gardent ainsi la position de leurs ancêtres suivant ces échelons de bas en haut.
Pour le cas du peuple Ìndrŭ qui habite
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la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi !
Est une entité coutumière de hauts plateaux del'Ituri situé vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo, et d'Afrique centrale, et localisée sur la ligne de séparation des eaux du Congo et du Nil, au cœur de la région des Grands Lacs.
De nombreux genres transmis au départ par la tradition orale sont désormais diffusés à la fois par les vecteurs oraux traditionnels mais aussi par le biais de supports écrits et de médias comme la radio, la téléphonie et Internet.
En plus de l’immersion dans la grande savane majestueuses, la découverte d’un peuple Ìndrŭ vous permettra de partager des moments magiques.
Aux traits fins, ils ont de lointaines parentés surtout avec les Bhâle lendu qui habitent le térritoire de djugu, et les Lugbara qui sont localisés en térritoire d'Aru.
Mais aussi ; L’appellation Ìndrŭ leur permet de se différencier des autres Lendu qui sont ;
Lugbara et Bhâle !
Alors ; Les points suivants peuvent être retenus.
Actuel chefferrie traditionnelle de Walendu-Bindi est occupé en majorité par les Ìndrŭ, l'une d'ethnies se trouvant à l'Est de la RD. Congo.
Étant occupés par un peuple quasi homogène présentent des diversités sur le plan physique, géographique, démographique, administratif, social et économique.
Situation géographique
a. Limites géographiques :
La chefferie de Walendu-Bindi est limité :
- Au Nord par la Chefferie d'Andisoma ;
- Au Sud par la Chefferie de Bahema Mitego
- A l'Est par une partie dela rivière semliki, et la chefferie de Bahema Sud ;
- A l'Ouest par la Chefferie de Walese-Vonkutu.
b. Coordonnées géographiques :
La configuration géographique de la chefferie de Walendu-Bindi, c'est-à-dire l'altitude et l'orientation de principaux ensembles topographiques jouent un rôle prépondérant et fait de lui un climat tropical de montagne qui lui confère un caractère tempéré.
Elle est situé entre latitude 11°13'00"Nord et longitude 30°06'51"Est, et s' étend environ sur 2.226 km2, donnés optenu dans le quadrillage de logiciel Google Earth, avec une altitude moyenne de 800 m au dessus de la mer.
Source ; Enquête de notable Didi Osée Angaika 2008
Au point de vue administratif
La chefferie de Walendu-bindi qui conserve les tombeaux de la plupart de ses souverains et leaders d'opinion public d'une longue date, fût créé suivant le PV N⁰ 00 85 du 03 décembre 1931, par l'administrateur térritorial d'Irumu, à l'époque colonial. l'AT Halleux qui trace la carte des 5 chefferies réunifiées et la délimitation des enclaves d'une localité Lagabo, Lakpa, et Nombe, avec comme Chef-lieu Gety-Etat.
La décision de la réunification sera signée en 1929 et appliquée en 1933, ainsi, il est facile de voir que toutes ces six Chefferies et non cinq comme l'avait présentait l'invité Excellence Ministre provincial Honoraire del'ituri, que nous saluons sa mémoire Osée Didi Angaika au cours d'un débat consacrés à la page socio-culturel et histoire dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi avec un groupe des diplômés originaires dela chefferie de walendu-bindi, via Forum Gety Infos Total à partir de Bunia.
Pour lui, ces dernières ont fonctionné jusqu'à 1933, ce qui a occasionné la création de l'actuelle Chefferie des Walendu-Bindi le 15 mai 1933.
D'une manière légal avec la loi colonial Belge, le PV cité ci-haut avait mis fin aux cinq chefferies créés aux subdivisions administratives, des royaumes traditionnels Ìndrŭs ont été préservés avec une autonomie limitée, essentiellement culturelle par certains clans majoritaires à partir de 1915.
Nos sources contactés pour la cause précisent que, le 05 décembre 1933 est considérée comme la date de la création officielle de la Chefferie de Walendu-Bindi.
Elle aspire à un peuple uni qui jouit d'une prospérité-sociaux-culturelle.
Mais aussi ; Avant l'époque pré-colonial, les Ìndrŭ n'ont pas connu de pouvoir politique centralisé.
C'est pour dire que, le pouvoir s'est limité aux familles au sein desquelles les guerriers ont joué un rôle de premier ordre car ils garantissaient la paix dans la contrée.
À l'époque de la pénétration arabisée et plus tard lors de l'occupation belges firent face à la résistance farouche des Ìndrŭ, dirigés par leurs principaux guerriers.
Au point de vue linguistique
Le swahili est prédominant car c'est une langue parlée et écoutée par tout le tribu de Gety-Mssion et Gety-Etat.
Elle est en principe la langue de communication.
Mais le ndrŭna y est parfois appréciée seulement par les membres des Ìndrŭ, mais rarement par les nons originaires dela chefferie de Walendu-Bindi, quelques fois par les déplacés et les membres de d'autres communautés dela République démocratique du Congo.
Ces dernièrs sont devenues trop minoritaires.
Le français est la langue officielle du fait que c'était la langue de l'Administration coloniale.
Après l'indépendance, le français a continué d'être employé par le gouvernement, dans tout ministère : par-exemple tribunal, éducation, et commercial.
Gety un mot d'origine ndrŭna qui signifie « Ingyeti».
C'est pour dire que, l'agglomération de Gety tire son nom dela prononciation ingyeti.
Selon les propos de mr EDO KATOROGO le fils de TSOMI KATOROGO qui a affirmé que, le bureau administratif dela chefferie comme on l’appelle est située sur Aluwé une petite colline d’origine à l'appellation de Gety-Etat.
C'est une petite colline spéciale d'une importante d' histoire de Gety, sur la quelle les Belges ont construit leurs base à l'époque où la République démocratique du Congo était un protectorat dela Belgique.
Donc à notre niveau, la première information révèle que, les blancs avaient demandé à la population le lieu de rassemblement, et les vieux sages ont choisi la ou était fixé la cloche. "Ingye ti." Ingye=la cloche et Ti= près de.
Et les hommes blancs qui avaient peine d'écrire ingyeti vont écrire Gety, le nom qui devient chef lieu d'une entité coutumière de Walendu-Bindi, jusqu'en ce jour comme Bunia, zaïre, et Dakar,......
Création
Il y a tellement d’histoire à explorer lors d’une visite à Gety-Etat qui remonte surtout au 19ème siècle.
Tout d’abord la mentalité positive des Ìndrŭ dit (ngiti) pour faire de leur mieux.
Et vous apprendrez à leur côtés histoire ancienne, mode de vie, croyances, et leurs traditions.
Gety-Etat est dépuis longtemps chef-lieu dela chefferie de Walendu-Bindi, et l'une des plus grandes agglomérations de cette entité coutumière.
C'est un est lieu et le centre de nombreuses opérations importantes de l’économie de Walendu-Bindi, ainsi que des institutions adminisrratives sanitaires, éducatives, et religieuses,.....
Horaire ; UTC+2 ; Région d'Afrique centrale
En travers le térritoire d'Irumu son évolution sur le plan politique colonial belge, et démographique ainsi que des infrastructures lui a fallu successivement de statut de chef lieu à partir de 1933.
Culturellement diversifiée, Gety-Etat abrite des bâtiments historiques, des vues panoramiques et une savane variée.
La sécurité est bien sûr une priorité absolue, et toutes les précautions sont prises.
Mais la meilleure façon de connaître Gety-Etat et ses environs, est de se faire guider par un local.
Cela peut sembler intimidant de se mêler aux locaux, mais c’est très amusant et les habitants préfèrent aussi d'être proche des visiteurs et même des touristes.
Décomposition
Fonctionnant dépuis l’époque coloniale comme un entité administrative déconcentrée à Gety, puis devenu térritoire en 1920, le térritoire d'Irumu compose en présent 12 chéfferies, à savoir : Andisoma, Babelebe, Baboa Bokoe, Basili, Mobala, Bahema d’Irumu, Bahema Mitego , Bahema Boga, Banyali Tshabi, Walendu Bindi, Walese Vonkutu, et Bahema Sud.
Catégories éthniques
Officiellement ; Le térritoire d’Irumu est imposé par 6 tribus qui sont :
Les pygmées, les Lesse, les Nyali Tchabi, les Ìndrŭ dit ngiti, les Hema et les Bira.
🇨🇩━☞ Subdivision administrative
La chefferie de Walendu-Bindi compte six groupements dont ;
Bukiringi, Baviba, Boloma, Ts'ritsi, Zadhu, et Bamuko, fut crée par une vague migratoire, qui date du XVI et XVII siècle.
CONNAISSANCE GENERALE DES ENTITES COUTUMIERES DE LA PROVINCE D’ITURI
▶️https://www.congovirtuel.com/page_province_ituri.php
À cela s'ajoute ; 200 villages, qui sont beaucoup plus tranquilles, en ce qui concerne la situation sécuritaire qui se normalise jour et nuit.
Dimensions hydrographique
La chefferie Walendu-Bindi est l'une importante réserve d'eau.
Tous les vallons et vallées drainent une importante quantité d'eau.
Donc on y retrouve des rivières, des ruisseaux, des eaux thermales, des sources, des étangs.
Au cours de nos investigations sur terrain, nous avons remarqué del'est àl'ouest du nord au sud que, tout les eaux de la chefferie de Walendu-Bindi appartiennent à deux bassins hydrographiques :
L'examen des données et résultats obtenus indiquent que, la chefferie est située sur une crête est ouest, qui forment, dans cette région, une ligne de partage des eaux entre le bassin du fleuve Congo, et du Nil, telle que :
- A l'Est nous avons le bassin du Nil dont les eaux sont collectées jusqu'à attendre la Semuliki.
- A l'Ouest, nous trouvons le basin du fleuve Congo dont les eaux sont acheminées par la rivière Loya, et se dirigent vers rivières Ituri et Lindi.
Il est bon aussi de faire constat avec nous que, la chefferie de Walendu-bindi est traversée par plusieurs ruisseaux et quelques rivières, lesquels deviennent dangereux pendant la période pluvieuse et parmi lesquels ont peut citer :
Anjikye, Alisé, Ikpa, Alimo, Angumé, Amawu, Lamatsé, Ngere, Talulu, Atolo, Ambata, Adhina, Lowu,...
La présence des nombreux affluents, dela Rivière Semliki et celle del'Ituri, ainsi que, le climat tropical, permettent, une agriculture abondante.
🇨🇩━☞Le sommet le plus élevé avec une altitude d'environ 1800m à 1400m sont ; Awi, Alimo, Omi, et Isura.
🇨🇩━☞La chefferie regorge aussi plusieurs collines qui permettent d'atteindre de nombreux observatoires vers l'Est du Nord au Sud, et àl'Ouest, parmi lesquelles nous pouvons citer :
Arukyé, Nyasumbí, Odhé, Toro, Iyá, Kabhi, Mulongo, Nyapké, Nyasona, Nyata, Kurungasa, Munziya, Balimo, Obé, Djungbelé, Nyasona, Nyasumbí, Alebhé, Omina, Odzé, et Karusé,...
En fait, les hautes montagnes dont le Mont Bleu, constituent la chaîne des montagnes qui commence de Mahagi port et se prolonge vers le Kivu.
🇨🇩━☞ACCÈSSIBILITE ET VOIES DE COMMUNICATION
Donc ; Walendu est une entité coutumière, divisé en deux parties
del'Est à l'ouest, par la route N⁰ 431 d'intérêt provincial, situé sur la crête du fleuve Congo, et du Nil.
Les grands axes d'échanges commerciaux sont :
1) Au Nord: Axe Walendu-Bindi-Bunia-Kasenyi-Chomia : cet axe est
utilisé par des véhicules pour les transports des produits
commerciaux.
2) A l'Est : Axe Walendu-Bindi-Buguma : cet axe n'est pas utilisé par
les véhicules. Il faut demi journée de marche à pied pour y atteindre
les destinations.
3) Au Sud : Axe : Walendu-Bindi-chefferie de Bahema-Mitego, Bahema-Boga, Banyali-Tchabi, et celle du nord Kivu ; cet axe procure la chefferie en bétail d'abattage notamment les vaches, les moutons,
chèvres et poules.
À l'Ouest : Axe : Walendu-Bindi-Andisoma-Komanda qui échangent des produits commerciaux aux marchés du groupement Bavi.
La principale route qui permet l’entrée et la sortie dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi c’est la RS N⁰431 route sécondaire qui part de Bogoro, en passant par Kagaba, Badjanga, Bukiringi, Mitego, Boga, Tchabi, Kainama, jusqu à Eringeti.
(C'est une route qui connecte
la chefferie à d'autres entités dela province del'Ituri, celle du Nord-Kivu, et même del'Ouganda, via Burasi à la frontière congolo-ougandaise.
Les activités commerciales et les échanges sont fréquents et réguliers, car, la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi de par sa position, se trouve intégré à des circuits d’échanges transfrontaliers
importants, avec l’Ouganda.
Les routes sont les voies de communication les plus utilisées.
La chefferie dispose également des rivières qui le traverse dont la navigabilité est possible seulement pour les pécheurs et qui le relient à quelques villages voisins.
Cependant, on peut aussi accéder dans ce territoire via le lac Albert sur lequel on retrouve un bon nombre des pirogues motorisées qui font des navettes et de trafic frontalier entre Ouganda et Kasenyi mais
aussi entre les villages frontaliers.
Souvent les grands sentiers vous fera vivre plusieurs aventures et les villages avec des cases très traditionnelles.
Donc les communications sont diverses formes car les routes relient
les villages et localités voisines et l'extérieure, en toute saison.
Sur la fin du trajet, on décide de quitter la route pour prendre un “raccourci” en terre battue, un choix qu’on ne regrette pas tant les pistes sont de plus en plus belles.
N’hésitez pas à visiter les petits villages et les centres culturels, où vous serez accueilli chaleureusement.
Delà, on peut vous raconter l’histoire des Ìndrŭ primitifs localement, dangereux, et belliqueux, qui trouvent leurs origine dans les deux pays limitrophes de la RDC, entre autres, l'Ouganda et surtout, dans le Soudan du Sud.
Par ailleurs, il existe des ponts dont certains sont en état de délabrement posant ainsi d'énormes difficultés lors des traversées et
d'autres impraticables du fait qu'ils sont inachevés.
Le transport fluvial est assuré dans une partie de la rivière Semliki qui est seulement navigable en aval du Lac-Albert, jusqu' à Nyanzigo.
En plus des routes, la chefferie de Walendu-Bindi dispose l'aérodrome qui reçoivent seulement des petits porteurs à Aveba, mais aussi nous sommes sans ignorer qu'à l’époque, les petits aéronefs Antonove
atterrissaient à Gety pour faciliter les activités de ces derniers.
Article détaillé concernant la paroisse sainte famille de Gety
En cet effet mr Adirodu Roger Androzo présente à ses aimables lecteurs et lectrices quelques données en matière du bâtiment del' église dela parroisse sainte famille de Gety.
Mais aussi ; Il y en a encore beaucoup qui manquent dans notre archive.
À l’instar des autres confessions religieuses, l’Eglise Catholique est l’une des institutions sociales, qui est solidement ancrées dans les mœurs des communautés de base surtout pour les chrétiens catholique dela chefferie de Walendu-Bindi.
À ce sujet, nos sources del'église catholique renseignement que, les « pères blancs » établissent la première église catholique, dans la chefferie de Walendu-Bindi, après la première guerre mondiale entre 1930 et 1933, donc 17 ans plus tard.
Elle a pour vocation de gérer et de développer la vie chrétienne catholique dans une communauté grandissante en chefferie de Walendu-Bindi.
Son siège social est implanté à Gety Mission avant 1967, et diriger par le curé avec la collaboration de d'autres prêtres, ou de diacres, et avec l'aide apportée par des laïcs, selon le droit.
Depuis sa création, la paroisse sainte famille de Gety dépend du diocèse de Bunia.
Elle fut la deuxième en territoire d'Irumu après celle de Badiya fondée en 1931 selon l'église catholique.
Jusqu’en 1957, elle était la seule la plus proche du chef-lieu du térritoire Gety-Etat à l'époque.
L' Église catholique en République démocratique du Congo fait partie de la communion de l'Église catholique, sous la direction du pape.
La première mission catholique dans l'actuel République démocratique du Congo a été l'œuvre del'administration coloniale belges.
Brève Historique
L'historique de la paroisse sainte famille de Gety remonte à l'époque coloniale belge, quand les Pères Missionnaires Blancs d'Afrique créait cette paroisse au nom de sainte famille, bâtie sur une propriété laissait par l'administration coloniale belge avant l'indépendance du Congo.
Elle est fondée dans les années 30 à Bbovi-Sisa, mais ils ont fini la construction de l'actuelle Eglise en 1967.
Le bâtiment actuel, a été construit en briques, est le deuxième à être construit, car les structures précédentes eurent vieilli par les éléments ou simplement abandonnées mais pas totalement.
Il a presque 57 ans existance en 2023 et est l’un des lieux de culte les plus remarquables en térritoire d'Irumu.
Elle est superbe; l’extérieur de la cathédrale et le bâtiment lui-même sont très grandioses et bien construits.
Il y a aussi une statue de Sainte-Marie à l’avant droit del'église.
. La cathédrale, également appelée église dela paroisse sainte famille ;
C'est un lieu de culte paroissial avec une vue magnifique sur l'ensemble de Gety-Mission.
. Dans une révélation faites par une source del'église catholique est que, c’est la plus ancienne cathédrale de toute chefferie de Walendu-Bindi.
. C'est un lieu incontournable si vous venez visiter la paroisse de Gety, avec une belle vue un peu à l’écart du centre-de Gety-Etat, mais accessible même à pied, moto, voiture, et tout sorte d'engins roulant.
. L’intérieur et extérieur sont spectacles impressionnant. Il est permis de prendre des photos, mais un petit don vous sera demandé.
Les Pères du Sacré-Cœur
La première mission fondée par eux au Congo date de 1897 à Kisangani : la Mission St Gabriel. Ils avaient pour mission d’évangéliser la région comprenant les bassins du Lualaba, d' Aruwimi actuel rivière ituri, jusqu’au pied du mont Ruwenzori.
Les prêtres du Sacré – Cœur, premiers pionniers de l’évangélisation du milieu étaient, certes, attirés par la démographie et le climat.
Une fois relevés par les pères blancs d'Afrique, leurs rapports et leurs projets serviront de base aux nouveaux venus.
Ceux-ci ne tarderont pas à s’y installer.
Avant de s’installer définitivement à Gety Mission, les pères auraient plusieurs fois ramené la terre du village Munobi à Gety-Mission, peut-être pour des raisons d’étude de pédologie !
Elle était fertile et bonne pour les briques. Ils entameront les travaux de construction en durable grâce à la presse-brique, juste après l’érection d’un hangar non loin des latrines de l’E.P Anjikye.
La position géographique, le climat et la démographie furent des indicateurs positifs de l’implantation del'église catholique.
De toute les façons, avant même l'arrivée du père Michel, Steven, St. Serges, Malaki, et Hamel dans la paroisse de Gety, les missionnaires s’occupaient de la pastorale et de l’évangélisation dela population autochtones.
Il y avait surtout des Pères blancs et des prêtres du Sacré dans la paroisse où ils exerçaient leur apostolat.
Selon les récits de maman Jeannette Androsi coriste dans l'ancien temp à la cheppelle de localité Matafu, avait dit que, dès l’époque coloniale, il était normal de respecter celui qui portait une soutane.
Aux moines et aux prêtres étaient réservés un accueil spécial et un plus grand respect par les fidèles del'église catholique.
Dans ses propos recueillis à Matafu par Adirodu Roger son enfant dans les années 1994 ; Elle, avait dit que, comme pour les moines et les frères, les vêtements des sœurs aussi varient en fonction de la congrégation religieuse d’appartenance.
Depuis sa création qui date de l'époque coloniale, la paroisse sainte famille de Gety à travers son organisation, ecclesiastique a été beaucoup présente dans la vie publique locale dans la chefferie de Walendu-Bindi.
Elle a une « place digne » pour les chrétiens catholique de la chefferie de Walendu-Bindi.
Au-delà de ses chrétiens, il y a le curé et ses compagnons donc des prêtres qui sont permenant au couvent dela paroisse dans le but d'animer au quotidien les activités à caractère religieux et d’ordre social.
La paroisse est la communauté précise de fidèles qui est constituée d'une manière stable dans l'Église particulière, et dont la charge pastorale est confiée au curé, comme à son pasteur propre, sous l'autorité de l'Évêque diocésain.
C’est un religieux qui enseigne la parole de Dieu et appelle à la sanctification.
Il joue aussi un rôle de médiation dans la gestion et la résolution de certains litiges et conflits qui surviendraient dans la communauté.
Dans toutes les affaires juridiques, le curé représente la paroisse, selon le droit; il veillera à l'administration des biens de la paroisse.
Selon les règlements del'église catholique ;
Les fonctions spécialement confiées au curé sont les suivantes:
.1- l'administration du baptême;
. 2 - l'administration du sacrement de la confirmation à qui est en danger de mort, selon le can. 883, n. 3 ;
. 3 - l'administration du Viatique et de l'onction des malades, restant sauves les dispositions du can. 1003, §§ 2 et 3, ainsi que, l'octroi de la bénédiction apostolique;
. 4 - l'assistance aux mariages et la bénédiction nuptiale;
. 5 - la célébration des funérailles;
. 6 - la bénédiction des fonts baptismaux au temps de Pâques, la conduite des processions en dehors de l'église, ainsi que les bénédictions solennelles en dehors de l'église;
. 7 - la célébration eucharistique plus solennelle le dimanche et les jours de fête d'obligation.
Le conseil pastoral ne possède que la voix consultative et il est régi par les règles que l'Évêque diocésain aura établies.
Retenez aussi que, la congrégation des sœurs catholique intervient à la vie communautaire del’Église paroissiale.
Selon l'Église catholique, une sœur, est une religieuse ou une moniale.
Cest une femme qui, poursuivre « de plus près le Christ sous l’action de l’Esprit Saint, et se donne totalement à Dieu aimé par-dessus tout ».
Lors de son engagement, ou profession, elle prononce les vœux qui la lient jusqu'à la mort dans un ordre religieux ou une congrégation dont elle suit la règle et les constitutions.
Pour le cas des sœurs dela paroisse sainte famille de Gety !
Depuis l'époque colonial belge, elles évoluent dans un environnement totalement ecclésial.
Après leur formation, elles peuvent s’occuper aussi du suivi dela propriété del'église, du service caritatif auprès des pauvres, intervenir dans le domaine de santé publique, assister les prisonniers, et visiter les familles où il y a des problèmes, tels que la violence domestique, et même encadrer les enfants et nouveaux nés en situations difficiles selon une source dela paroisse sainte famille de Gety.
L'influence du christianisme
Selon les explications d'authoctones de Gety-Etat, le Congo Belges a connu l'arrivée de deux forces en provenance du continent européen.
Il s'agit de l'action coloniale belge et de l'action missionnaire surtout de l'église catholique romaine.
L'une comme l'autre, elles étaient décidées à s'immiscer dans la vie des peuples, chacune avec ses méthodes propres et en fonction de ses objectifs.
Les Ìndrŭ civilisés quant à eux avaient été formaient comme catéchiste dans le but de répandre la bonne nouvelle auprès dela population.
Dès leur arrivée, les Pères Blancs introduisirent l'alphabet latin et plus tard, le kiswahili devient la langue d'enseignement biblique.
La formation en alphabétisation, en règles d'hygiènes, en méthodes culturales et le tracé des routes : c'est avec la colonisation belge que les premières chapelles-écoles (où l'on apprend à lire, écrire, mémoriser le catéchisme catholique)
Et aussi les installations sanitaires, c'est-à-dire des latrines avec orifice circulaire dont la profondeur dépassait rarement deux mètres virent le jour, et surtout des boisements furent imposées au sein de la chefferie de Walendu-Bindi et que les premières voies de communication routière furent tracées.
En effet, les missionnaires catholiques ont été les premières à s’occuper des constructions d'hôpital, des écoles, des lazarets et même des centres de santé.
En réalité, personne ne savait exactement quels sont les adeptes de la religion traditionnelle animiste ; Ìndrŭ qui consultent les devins, les faiseurs de pluie, les sorciers, etc., portent des noms chrétiens et ont été baptisés chrétiennement.
De ce que nous avons entendu, l'église de la paroisse de Gety était construite par le frère Adellar, car le même technicien avait conçu les plans de plusieurs Eglises du Diocèse de Bunia.
La zone consistait en plusieurs villages entre autres :
- 1 . Nyarara
- 2 . Mbasa
- 3 . Tsede
- 4 . Karatsi
- 5 . Kawangu
- 6 . Nzigo
Ce fut un facteur favorable à l’évangélisation surtout qu’ils se rapprochaient juste à quelques 1.5 km d’eux, un centre extra-coutumier se développait sous le nom de Gety-Etat.
Contexte
La construction de l’église actuelle ne tarda pas. Mais peu avant, on avait d’abord construire une église modeste.
Autrefois, il y avait une bonne place.
C’est là que les catholiques priaient à l’époque.
Mais tout de suite après on changea d’opinion, on en construisit une qui pouvait recevoir un grand nombre des chrétiens.
Puis, vers les années 1967, les fidèles catholiques se sont tournés vers l’église de la paroisse de Gety-Mission qui venait d’être créée.
Le grand travail consistait en des tournées dans la brousse pour visiter les chrétiens éloignés du centre paroissial en l’instruction rassemblés à la mission pour une préparation intensive aux sacrements.
Histoire ancienne renseigne que ; Gety-Etat avait été choisie pour la garnison belge, et celle de Gety-Mission accueillait la mission catholique et celle d'Isura était investie par la mission protestante del'église anglicane.
Donc Gety-Etat a donc grandi comme le chef lieu dela chefferie dont beaucoup de bâtiments survivent encore, tels que la prison centrale de Gety-Etat, construite en 1931, les tombes de différentes autorités coutumière et l'emplacement du bureau administratif dela chefferie de Walendu-Bindi.
Avant cette date, les archives sur la chefferie de Walendu-Bindi sont toutes constituées de la mine d'informations recueillies auprès des missionnaires catholiques de la Société des missionnaires d'Afrique (ou Pères blancs) qui s'étaient lancés à la conquête spirituelle de cette contrée où ils craignaient d'être devancés par des anglicans anglophones venant de l'Ouganda ainsi que par d'autres missions protestantes.
Entre autres ; La réalité confirme que, l'implatation del' église catholique dans les groupements Bamuko, Boloma, Bukiringi, Bavi, Zadhu et Ts'ritsi est remarquablement dans l'oeuvre d'évangélisation dans le but d'élévation au rang de paroisse eclésiastique.
. Désormais, l’église est ouverte aux cultes religieux.
On peut encore y voir la première croix de fer sur le toit dela paroisse sainte famille de Gety.
Mais les paysans ne vont vraiment se convertir au christianisme que beaucoup plus tardivement, après la seconde guerre mondiale, sous l’occupation belges à l'époque.
Les premiers convertis étaient surtout des fonctionnaires et l'équipe de la résidence coutumière de Walendu-Bindi sous la règne du chef Nyanza.
L’église catholique, par ses missionnaires et son clergé, a vigoureusement combattu la religion traditionnelle du pays, considérée comme barbare, puis a élargi son influence grâce à ses activités éducatives, sociales et sanitaires.
Les Missionnaires furent contraints de changer d'approche.
Pour ce faire, ils se mirent à étudier la culture Ìndrŭ en vue de mieux la connaître et la pénétrer.
Donc l’appartenance à la religion catholique devint un critère incontournable pour accéder ou rester dans la fonction de chef.
Évidemment, beaucoup de «chefs païens» se convertirent à la religion catholique.
Quant aux prêtres, ils sont exhortés à sensibiliser constamment des fidèles sur les principes pastoraux fondamentaux.
Leur présences, où qu' ils soyaient, doivent enrichir la communauté del'église catholique.
Depuis que, les relations entre les autochtones et l'administration coloniale belge sont normalisées en 1933, et après cette date le nombre de catholiques augmente beaucoup en 1963, et en 1967 l'actuel église dela paroisse avait été inauguré.
Dans la seconde moitié du XIX e siècle (ou 19 e siècle) siècle, plus douze sécteurs suivant ont été créés.
Ici bas depuis l'époque du Congo Belge on avait ;
- 1 . Gety-Etat
- 2 . Djimbira
- 3 . Ruzinga Mudogo
- 4 . Kabona
- 5 . Bukiringi
- 6 . Boga
- 7 . Zitono
- 8 . Gety-Mission
- 9 . Bogoro
- 10 . Aveba Mukubwa
- 11 . Rudjoko
- 12 . Opili
Mais dépuis 2022, plusieurs autres sécteurs ont vu les jours à la demande du conseil Paroissial.
Subdivision des douzes anciens sécteurs de la paroisse de Gety.
Et voici ci-dessous les noms des nouveaux sécteurs !
- 1 . RUZINGA MUKUBWA
- 2 . GBOVI
- 3 . OLONGBA
- 4 . NYARARA
- 4 . DJIMO
- 5 . KAGABA
- 5 . SOKI
- 6 . OZOBA
- 7. BADJANGA
- 8 . ISU
- 9 . KASWARA
- 10 . MATAFU
- 11. MBISE
- 12 . NGONGI-B
- 13 . KONI
- 14 . MAGA
- 15 . SODHU
- 17 . ARAVA
- 17 . SONGOLO
- 18 . TSEDE
- 19 . Mbasa
Actuellement, après scission, la Paroisse Sainte famille compte 31 sécteurs.
À notre source d'ajouter que, la division n'a pas été facile à la base des résistances affichés par certains sécteurs.
Face à cette situation ; Les hauts cadres du diocèse de Bunia ont insisté aussi sur le respect des procédures et de la hiérarchie.
Pour eux, les dispositifs d’application de l’accord-cadre montrent bien qu’il s’agit d’un processus à réaliser dans la patience.
Et la formation des instances et des partenaires est donc nécessaire.
Noter que ; Le sécteur de Boga situé dans la chefferie du même nom, est largement d’allégeance anglicane, et a longtemps été rattachée à la paroisse de Gety.
Il est maintenant devenue autonome.
.Principaux Acteurs dela paroisse
a. Acteur internes
Ici nous avons relevé les acteurs qui interviennent dans les activités liées aux recettes et dépenses activement.
Nous avons pour notre cas : Finance
b. Acteur externes
Sont ce qui communique avec notre système d'information tout en restant en dehors de celle-ci.
Pour notre cas nous avons : le (s) secteur (s), la communauté et le conseil paroissial.
Organigramme de la paroisse sainte famille
Economat général
CPP: CONSEIL PASTORALE
PAROISSIAL
CURE
CPAE- CONSEIL PAROISIAL POUR LES AFFAIRE ECONOMIQUE
COMPTES & SUIVI DE LA GESTION
DEMER DE L'EGLISE
SECURITE ET TRAVAUX
PERSONEL SALARIE DE LA PAROISSE
EQUIPE SE COMPTAGE DES QUETES ET TROCSPOLE MISSIONNAIRE
POLE PRIERE
CHORALE
SERVICE DE LA SACRISTIE
MUSIQUE LITURGIE
GROUPES DE PRIERE
LITURGIE
EQUIPE DE QUETES
POLE FORMATION
PREPARATION AUX SACREMENT
EVEIL A LA FOI
CATECHISME
CATECHESE SPECIALISEE
AUMONERIE
CATECHUMANAT
CATECHIME D'ADULTE
POLE CHARITE
ACUEUIL
SOLIDATITE
JUSTICES ET PAIX
PROJETS EVENEMENTS
AUTRE
SERVICE PAROISSIAUX
SECRETATIAT
COMMUNICATION
ART, CULTURE ET FOI
Face aux catholiques, les églises anglicanes et luthériennes prennaient toujours un peu plus de place attirant un peu plus de fidèles.
Malgré ça, avec la pastorale de proximité, l'Eglise Catholique est entrain de s'imposer petit à petit mais aussi grâce à la détermination pastorale et de certains GRAS (comme groupe charismatique, la Légion de Marie,...).
Pour décrire le panel religieux, le chef lieu Gety abrite des communautés surtout catholique, qui constitue même la plus grande part de fidèles dans la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.
Selon l'église catholique, la réligion continue encore aujourd’hui d'influencer, consciemment ou inconsciemment, les comportements des adeptes de ces différentes communautés de foi.
Composition religieuse
Christianisme ; Depuis 19ième siècle jusqu' aujourd'hui hui, à peu près de 80 % des chrétiens sont la plupart des catholiques et les protestants.
Le reste dela population est Animisme ; Environ 10 %.
Il suffit de passer devant une église un dimanche, vous serez frappés par la ferveur qui se dégage des offices.
C’est encore plus le cas pour les grandes fêtes comme par exemple ;
Noël, fête de Nouvel An, et Pâques.
Les hommes, les femmes et les enfants portent leurs plus beaux habits, se rendent au lieu de culte le plus proche pour assister à des messes qui peuvent durer plusieurs heures. Je conseille même aux non-croyants d’observer ce spectacle hebdomadaire.
La cathédrale est maintenant le centre des sécteurs où l'année est remplie d'une variété de festivals et de célébrations rituelles.
D'autres jours fériés, célébrés dans tout le pays, sont tirés des calendriers chrétien, ou commémorent des événements de l'histoire, tels que le jour des martyrs (30 juin), le jour des héros (16 et 17 janvier) et le jour de l'indépendance ( 30 juin ).
Donc Gety-Mission est un endroit agréable avec de nombreuses installations comme Cathédral dela Paroisse ste Famille, Institut Abaka, Ep-G, Ep-F et un hôpital général de référence.
Pendant les grandes fêtes, il était recommandé aux chrétiens vivant très loin de la mission de venir à la mission pour s’acquitter de leur devoir de chrétiens.
La cérémonie d'ordination des nouveaux prêtres, mariage, alliance, festival, concours, et même le baptême est impressionnante mais, les candidats de baptême basé souvent sur le genre, doivent complètement raser leur cheveux, et doivent de sorte que l’eau puisse toucher leur têtes selon la doctrine del'église catholique en s' habilant aussi à un habit bleu et blanc.
Dans les registre des baptisés, seront aussi notés la confirmation et ce qui a trait au statut canonique des fidèles, à savoir le mariage, restant sauves les dispositions du can. 1133, l'adoption, la réception d'un ordre sacré, la profession perpétuelle dans un institut religieux ainsi que le changement de rite; ces mentions seront toujours reportées sur le certificat de baptême.
Les certificats portant sur le statut canonique des fidèles et de même tous les actes ayant une importance juridique seront signés par le curé lui-même ou de son délégué, et munis du sceau paroissial.
Mais les lettres des Évêques et les autres documents dont la conservation est nécessaire ou utile; cet ensemble sera inspecté par l'Évêque diocésain ou son délégué lors de la visite ou à une autre occasion.
En 2023 plus tard !
l’Abbé Léon Malobhi Kpasini, actuel Curé de la paroisse Sainte, avait dit qu' il est bon de préciser que, les travaux de réalisation ne sont pas entièrement achevés, après le départ des pères blancs d'Afrique.
Donc à la fin d'année 1996. Jusqu' en 2023, il restait certains réaménagements pour la réalisation des portiques et l’intérieur de la cour qui sera pavée.
« La mobilisation des ressources continue »
C’est dans une église rénovée dépuis année 2023, que les fidèles catholiques célèbrent la messe chaque dimanche dans la cathédrale de cette paroisse.
Donc le curé s’est dit satisfait de la qualité des travaux de réhabilitation.
Selon le serviteur de Dieu, c’est un grand événement, d'une occasion de rendre grâce à Dieu pour avoir aidé l’Eglise paroissial de Gety mais aussi à tous ceux qui ont participé à faire œuvre utile en reconstruisant la maison du Seigneur.
Il faut dire qu’au cours de la messe, les fidèles ont exprimé aussi leur joie de voir cette église renovée, à travers des contributions, prières et des chants d’action de grâces.
Le curé de la paroisse, avait affirmé que, l’église catholique contribue pour beaucoup à l’enracinement d’une gouvernance locale apaisée par l’enseignement de l’évangile aux fidèles, la promotion d’une culture de tolérance, et la recherche de solution aux problèmes dela communauté.
Avec les Fidèles catholiques il y a une bonne collaboration et une adhésion aux actions de l’Eglise, au-delà des activités religieuses. Il en est de même avec les protestants.
« Jamais la Bible n’a été aussi accessible à tous, dans toutes les langues, et maintenant même dans des formats digitaux »
Cependant, sur le plan organisationnel, il y a une faible relation avec les nons chrétiens.
Alors que sur le plan individuel il y de très forte relation.
Defi à relever selon Adirodu Roger Androzo.
Parmi les prêtres d'origines diverses qui auront montré la brillance, élégance et de la constance dans l'exercice de leurs fonctions, qu' ils eurent choisi librement figurent ;
Le père Michel, Thierry Cornet, Frans Steven, Serges, Arneault, Hervé Hamel, Abbé Malaki, et Roger Tsorove,... pour ne citer que ceux-là.
Ces derniers demandaient souvent aux chrétiens de Gety et ses environs, de leur rester vraiment fidèles et d' éviter surtout des enseignements anti-Christ qui proviendraient d'éventuels faux prophètes du milieu, car ceux-ci risqueraient de leur empêcher de continuer à espérer la gloire céleste promise à l'humanité et l'avènement de Jésus Christ, notre Sauveur.
« Un prête doit semer l’espérance » d'après le curé Hervé Hamel
À l'époque ; Le curé Hervé Hamel dans une prédication tenu à l'église du sécteur de Bukiringi en 1995 au cours de la cérémonie de baptême, avait rappelé que, la Parole de Dieu « semée dans le terrain de notre cœur, nous amène à semer l’espérance ».
Les informations recueillies auprès des des fidèles catholiques de Walendu-Bindi révèlent que, parraport aux besoins demandés dans plusieurs chapelles, le curé Hamel était en train de contribuer pour la construction, en remettant des tôles, houes, clous,.... à plusieurs couches sociales del'église catholique.
Selon les responsables de ces chapelles, ce don était un besoin ressenti pour les fidèles qui, désormais vont chaque fois prier dans de bonnes conditions.
Là, ce geste a été salué par un bon nombre des fidèles catholiques qui ont promis leur accompagnement total au curé dela paroisse sainte famille de Gety, qui travaillait en cinergie avec le diocèse de Bunia.
Souvent les animateurs des sécteurs estimaient que, ce don entre dans le cadre du développement et la réponse aux attentes de la communauté chrétienne catholique.
Donc ils étaient entrain d'encourager les serviteurs de Dieu puisque d’autres prêtres, et curés, puisse faire autant.
Mais en 2016, la nouvelle de sa mort était entendu comme tempête violente, à l'égard de la communauté chrétienne dela paroisse sainte famille de Gety sous une grande émotion des prêtres, chrétiens, ami-es et connaissances.
Alors que les membres dela communauté del'église catholique de Walendu-Bindi avaient affirmé que, nous avons perdu un père qui était très talentueux, avec un esprit vif, pour les pauvres chrétiens défavorisés entre 1996 et 2016.
Et que son âme repose en paix !
En ce qui concerne des conflits entre les communautés Héma et Lendu qui date dépuis plusieurs années !
Les affrontements entre les deux communautés sont allés jusqu’à faire des morts et des blessés souvent en térritoire d'irumu et Djugu.
Pour éviter la continuité de cette situation maccabre entre la chefferie de Walendu-Bindi, de Bahema Mitego, et Bahema Boga, vers 1992, le père Serges ,Arneault a joué le rôle de médiation entre les deux communautés, en leur demandant de vivre ensemble dans l'amitié, l'amour, et dans un ésprit de tolérance, en rassemblant les différentes parties concernées, notamment ; la société civile, les représentants des Ìndrŭ et des Hema.
Raison pour laquelle, le diocèse de Bunia a remercié toute l’équipe sacerdotale de la paroisse de Gety à travers son curé Hervé Hamel et le père Serges pour les efforts de sensibilisation qui ont accompagné les deux communautés d'abandonnés la guerre.
Grâce au suivi et à l’analyse de la situation sécuritaire pendant ce temp là, il était possible d’identifier de nombreux problèmes susceptibles d’engendrer un conflit de terre, et de prendre les mesures nécessaires pour faire face à ces problèmes et les prévenir.
Bien avant, le père Serges fonde l’Institut chrétienne Abaka : une école secondaire spécialement construite pour la formation d'élèves dans divers domaines commercial.
Elle fut construite entre les années 1991 et 1993 grâce aux efforts de la population de Gety et le soutien financier des amis et connaissances du père Serge St-Arneault.
En 1996, le père Serges rentre chez eux au Canada, et la direction de l’Institut Abaka avait été confiée au main d'une sœur.
Actuellement, l’Institut Abaka compte quatre sections suivantes ;
. 1 - Commercial et administration
. 2 - Biologie et chimie
. 3 - Social
. 4 - Géologie
. 5 - Coupe couture
. 6 - Pédagogie,...
Depuis sa création, la paroisse compte également beaucoup d’agents pastoraux suivants ;
La collaboration avec les autorités compétente est aussi bonne du fait que, la rencontre de cadre d’échanges et de partage de points de vue sur certaines questions importantes pour la communauté.
. Organes et services pastoraux
La proclamation de l'Evangile du Christ vise à promouvoir tout homme et tout l'homme.
Ainsi, rien n'est omis : la pastorale générale, la pastorale scolaire, l'enseignement social de l'Eglise, la promotion humaine... se réalisent grâce à la collaboration de services et organes suivant :
1. La communauté sacerdotale et la communauté de frères des abés implantée dans la paroisse dépuis 1997.
2. Le conseil paroissial qui regroupe plusieurs commissions.
Celles-ci sont des services techniques de la paroisse. Citons :
- Le conseil économique
- Le conseil pédagogique paroissial (CPP)
- Le conseil paroissial de développement (CPD)
- Le comité justice et Paix (CJP)
- L'union de jeunes catholiques (UJC) qui comprend tous les mouvements d'action catholiques (le MAC) et les groupes de réflexion et d'approfondissement spirituel (GRAS)
- Les chorales
- La caritas paroissiale
- Le comité de santé (les tarcisses)
- La commission pastorale familiale (COPAF) qui comprend la pastorale de couples, de veufs, des filles-mères, les personnes de 3e âge, les personnes vulnérables (les handicapés...), les cas sociaux (comme la jeunesse et autres.
3. Le conseil pastoral regroupant tous les agents pastoraux tels que les animateurs, les catéchistes bénévoles oeuvrant dans des shirika, CEV, collaborateurs des aumôniers,...
. La Paroisse Sainte Famille de Gety-Mission, fondée par les Pères blancs d'Afrique, et a été longtemps dirigée par eux.
Bunia a même été un centre d’apprentissage de langue Kiswahili à tous les prêtres venant endehors del'afrique, pour travailler dans le diocèse apostolique.
Le catéchuménat dans l'ancien temp
Le cheminement catéchuménal : temps et étapes
Le chemin du catéchuménat est balisé par trois célébrations-étapes qui introduisent progressivement à l’apprentissage de la vie chrétienne.
Chacune de ces étapes témoigne de ce qui a été vécu lors du temps précédent et ouvre au temps suivant.
Ces étapes balisent le chemin de l’initiation chrétienne et donnent une coloration spécifique à chacun des quatre temps de la première évangélisation, le temps du catéchuménat, le temps de la purification et de l’illumination et le temps de la mystagogie.
Présentation du cheminement catéchuménal
Le chemin catéchuménal et ses rites
Le cheminement catéchuménal permet un apprentissage progressif de la vie chrétienne : faire l'expérience de l'amour de Dieu qui nous sauve et réclame notre amour.
Dans ce cheminement, il y a d'abord une initiative de Dieu puis une réponse de l'homme.
Et les rites qui y sont vécus se font l'écho du processus de croissance qui est en train de se réaliser.
Les missionnaires faisait tout pour installer des catéchistes dans les différends villages.
Le recrutement se faisait par les catéchistes qui inscrivaient les sympathisants dans leur cahier d’appel.
Le catéchiste y inscrivait les présences à la prière et enseignement quotidien assurés par lui au village.
Signalons que de chants de louange entre coupaient les exposés pour que ces derniers ne fatiguent pas les auditeurs !
Ce cahier était présenté au missionnaire lors de sa tournée dans différends villages. Les directives de 1958 exigeaient un total de 250 présences (environ deux ans) avant l’admission du sympathisant au statut de catécuménat.
D’où, la première préparation se faisait au village par le catéchiste.
Le nombre des présences totalisé, le smissionnaires admettaient communiquait la date du début de la préparation intensive à la Paroisse même de tous les sympathisants enregistrés dans les villages où il venait de faire ses tournées.
Ils venaient loger dans les locaux prévus pour eux durant six mois. Ceux de très loin, rentraient hebdomadairement chez eux pour se ravitailler.
D’autres venaient carrément avec leurs épouse et enfants s’installer à la mission.
Pour contribuer à leur survie durant le séjour de la mission, le travail manuel était organisé à la mission même et alternait avec des heures de catéchisme.
Pendant ce séjour, le catéchisme était enseigné par un catéchiste suivi de l’enseignement doctrinal du père (il n’était strictement interdit aux catéchistes d’enseigner la doctrine).
Le baptême était administré un mois avant la fin du séjour de six mois prévu.
Le dernier mois était consacré à parachever l’enseignement, mais surtout il constituait une occasion aux nouveaux chrétiens de pratiquer, de prendre l’habitude pour vivre leur baptême en participant à la messe (acquérir de bonnes habitudes chrétiennes).
Ils se faisaient conduire par leurs parrains et admis sur les sièges de ceux qui devaient communier.
Pour une petite histoire
Les ìndrǔs sont un peuple de branche lendu que l'on trouve en Afrique centrale, province del'Ituri, territoire d' Irumu, plus particulièrement dans la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi, où beaucoup sont attachés à leur terre qu'ils se sont appropriés qui jouent un rôle des lieux pour la communauté, à l'extrême Nord Est dela République Démocratique du Congo.
ils vivent surtout sur les montagnes, également sur les plateaux versant est-ouest du lac Albert, de 800, 1200, jusqu'à 1600 mètres d'altitude au dessus de la mer !
La grande concentration d'autochtones Ìndrǔ se trouve dans la chefferie de Walendu-Bindi, une région de hauts plateaux parsemée d’une grande savane mais aussi par les paysages de montagnes.
Ethnonymie
Selon les sources et le contexte, on observe de multiples variantes :
Ci-dessous nous avons
Ndrǔay-Bhale, ou les gens parlent d'eux-mêmes comme les ìndrǔ, (Ba-ìndrǔ) au pluriel, parfois simplement Ndrǔ, une seul personne humaine.
La dénomination Ngiti a été imposée et utilisée depuis année 1980, à partir de Bunia mais l'ethnonyme exact utilisé par la population est Ìndrŭ au singulier et les Ìndrŭ au pluriel.
Leur origine est très ancienne, remontant au soudan du sud.
Histoire ancienne rendu publique par notable notable Didi Angaika Osée révèle qu' à cause de la famine et de la domination arabe, ce peuple a dû fuir le Soudan du Sud pour s'installer en Afrique centrale, dans le vieux Kibali-Ituri.
À l'époque ; il avait dit que, les Ìndrŭ auraient leurs origines à partir dela corne de l'Afrique, plus particulièrement dans la région arrosée par la rivière Akobo.
Il convient de noter qu'un bon nombre des Ìndrŭ sont les descendants de Funzi Ancêtre, ou grand parent lointain, qui est réserver des vertus ancestrales, qui remonte à un passé très lointain et assez imprécis, suivi de Bindi, qui a donné naissance à deux fils : MUKO et AZATA et, quand on parle de WALENDU-BINDI, c'est BAMUKO et ZADHU, enfants de même Père.
Propos de Didi Angaika Osée député provincial honoraire del'ituri
Pour lui, si nous partons à partir de Bindi, nous avons dans le lignage les personnes suivantes : Bindi, Azata, Kati, Chomi, Nzigo, Kalyaki, Komovi, Bangajduna (le père de Nyanza le premier chef coutumier de Walendu-Bindi).
Sur le plan linguistique
Les Ìndrŭ parlent majoritairement le ndrŭna.
L'une des langues plus souvent apparentées, et intercompréhensibles, avec Bhaledha langue des lendu Bhâle qui sont essentiellement en territoire de Djugu.
De toute les façons ; Les Ìndrŭ appartiennent au groupe dela population lendu uni surtout par les éléments anthropologiques,
caractères socio-culturelle, sans oublier les trois clans énumérés ici
bas.
Delà on peut avoir :
les Tsiritsi, les Rutsi, et les Bindi, qui ont leur propre dialectes.
Du point de vue démographique, la chefferie de Walendu-Bindi est habité à 95 % par les Ìndrǔ dit Ngiti.
Cependant, l'agglomération de Gety-Etat, Kagaba, Aveba, Bukiringi, et
Songolo, sont souvent appelés cosmopolite en raison de la présence de plusieurs autres ethnies venu de d'autres villes et territoire nationale qui y vivent.
Mais après la signature de paix entre le gouvernement de la RDC et le groupe armé de la Force de Résistance Patriotique de l’Ituri (FRPI) qui est intervenue à Gety-Etat en février 2020, nous avons recueilli les informations selon la quelle la chefferie de Walendu-Bindi jouit d'un atout considérable : la paix !
C'est trop souvent si l'on se réfère aux troubles qui agitent périodiquement ses voisins ; notamment ;
Walese Vonkutu
Bahema Boga
Bahema Mitego
Andisoma
Quelques fois pour les personnes déplacées par les violences armées, le salut vient souvent de l' alternative locale à la migration vers une ville lointaine.
Article mis à jour sur internet le 07 novembre 2023, à l'adresse d'un site web www.adiroduroger-rdc.over-blog.com/2023/11/paroisse-sainte-famille-de-gety-est-une-circonscription-ecclesiastique-del-eglise-catholique-en-rdc.html
En Ituri-Rdc ; La communauté Nyali de Tchabi s'indigne après une attaque des ADF au village Bundikumu
👆🏿👆🏿👆🏿 Entité coutumière de Banyali Tchabi localisée sur la carte dela République démocratique du Congo
↪️📑Déclaration de la Communauté Nyali/ Tchabi suite a l'attaque des ADF/ MTN de ce Dimanche 05/11/2023.
Nous, communauté NYALI de TCHABI, avons le regret d'annoncer à l'opinion publique que notre terroir vient d'enregistrer une nième attaque des présumés rebelles ougandais ADF/MTN, dans l'après midi du 05/11/2023, en village Bundikumu groupement Bwakadi dans la chefferie de Banyali Tchabi.
Le bilan est des deux personnes tués et une blessée grave dont sa vie est danger.
Nous déplorons cette mauvaise coïncidence d'autant plus que cette attaque survient pendant qu'on observe un retour des déplacés dans cette zone et cette incursion va décourager ceux qui désirent retourner et pousser les frères et sœurs qui se sont déjà installés, de quitter le lieu pour ce déplace dans les zones sécurisé. Eu égard à ce qui précèdent :
Nous sollicitons à l'autorité provinciale, la restauration de l'autorité de l'État en travers augmentation des effectifs de l'armée et de la police.
Et demandons l'enterrement digne de nos frères mort et la prise en charge de notre sœur qui est grièvement blessée.
Pour la communauté NYALI TCHABI le président Faustin Mboma empêche KASUNA AWENDA J.
Sona village de Bahema sud ; Les eaux des pluies torrentielles qui s'abattent ces derniers jours ont érodés les sols en Ituri-Rdc
👆🏿👆🏿👆🏿Sona ; L'une des localités dela chefferie de Bahema sud situé en térritoire d'Irumu, province del'ituri, vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo
Selon notre source qui nous livre cette information, les eaux des pluies qui s'abattent sur le flanc Est de la Chaîne de montagne de Monts bleus et la plaine du Lac Albert dans la partie de le Secteur de Bahema Sud ont lors d'écoulement, érodé les sols au point du pont des Pacerelles SONA se trouvant sur l'axe Mandje-Kasenyi dans la localité Mandje.
Ce phénomène d'érosion limiterait ou réduirait la circulation des véhicules sur l'axe Bunia-Kasenyi- Tchomia.
*Conséquences* : les produits importés par cette voie ou qui proviendraient de Tchomia, Kasenyi seraient bloqués et ce qui occasionnerait la hausse de prix sur le marché.
Aussi faible circulation.
*Attention:* Même les motards et les piétons qui y passent doivent être très vigilants.
*Dispositions* : Les Usagers (Véhicules) de cet exe devraient réduire ou suspendre le traffic pour mesure de protection.
*Besoins*: Réhabilitation de point de risques pour la reprise de la circulation normale.
Aucune perte en vies humaines n’a été enregistrée, poursuit la même source.
Mais aussi
Le conducteurs des taxis-moto qui desservent régulièrement le tronçon Bunia-Bogoro-Kasenyi pour ravitailler le chef-lieu de l’Ituri en denrées alimentaires disent débourser en moyenne 5 000 à 10 000 francs congolais sur ce tronçon routier.
Ils ont fait savoir que ces barrières sont entretenues, pour la plupart, par des FARDC sur cette route des échanges commerciaux entre Bogoro et Kasenyi.
Selon eux, juste en traversant le bureau de la Direction générale des recettes de la province au quartier Delé pour emprunter l’axe Mbogu Kotoni jusqu’ à Bogoro, au moins huit barrières sont installées par des FARDC.
A chaque poste de contrôle, une somme de 500 à 1000 francs congolais est exigée à tout conducteur de taxi-moto avant le passage.
Situation similaire également sur la colline surplombant les vallées de Kasenyi, Manje, Nyamavi, jusqu’à l’entrée du centre de Kasenyi.
Selon les conducteurs de taxi moto, ces rackets affectent leurs revenus de plus en plus maigres.
Contacté, le porte-parole de l’armée en Ituri nie toute forme de tracasserie de la part des militaires sur cette route.
Toutefois, lieutenant Jules Ngongo affirme qu’un contrôle régulier sera effectué sur différents axes routiers afin de punir les militaires qui se livreraient à ces pratiques dénoncées.
En chefferrie de Walendu-Bindi ; Les activités d'élevage sont peu développée
👆🏿👆🏿👆🏿Quelques éleveurs de la chefferie de Walendu-Bindi situé dans la province del'ituri, térritoire d'Irumu, vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo
Walendu-Bindi (officiellement ; Est une entité coutumière, est aussi une chefferie traditionnelle de hauts plateaux del'Ituri situé vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo, et d'Afrique centrale, et localisée sur la ligne de séparation des eaux du Congo et du Nil, au cœur de la région d'Afrique centrale.
De nombreux genres transmis au départ par la tradition orale sont désormais diffusés à la fois par les vecteurs oraux traditionnels mais aussi par le biais de supports écrits et de médias comme la radio, la téléphonie et Internet.
En plus de l’immersion dans la grande savane majestueuses, la découverte d’un peuple Ìndrŭ vous permettra de partager des moments magiques, mais quelques fois d'une allure peu puissante.
Souvent on peut noter qu' un bon nombre, des Ìndrŭ sont à la taille haute, et bas.
Aux traits fins, ils ont de lointaines parentés surtout avec les Bhâle lendu qui habitent le térritoire de djugu, et les Lugbara qui sont localisés en térritoire d'Aru.
Mais aussi ; L’appellation Ìndrŭ leur permet de se différencier des autres Lendu qui sont ;
Lugbara et Bhâle !
Alors ; Les points suivants peuvent être retenus.
Physiquement ; Actuel chefferrie traditionnelle de Walendu-Bindi est occupé en majorité par les Ìndrŭ, l'une d'ethnies se trouvant à l'Est de la RD. Congo.
Cette entité coutumière quoi qu'étant occupés par un peuple quasi homogène présentent des diversités sur le plan physique, géographique, démographique, administratif, social et économique.
Situation géographique
a. Limites géographiques :
La Chefferie de Walendu-Bindi est limité :
- Au Nord par la Chefferie d'Andisoma ;
- Au Sud par la Chefferie de Bahema Mitego
- A l'Est par une partie dela rivière semliki, et la chefferie de Bahema Sud ;
- A l'Ouest par la Chefferie de Walese-Vonkutu.
b. Coordonnées géographiques :
La chefferie de Walendu-Bindi s'étend environ sur 2.226 km2 entre 1° 13 00 nord, 30° 12 00 est Altitude 1 531 1 m 0°50' et 1° la latitude Nord et entre 29 et 30°Est, selon un document géographique, consulté en 2009, au près d'une équipe engagé au Bureau dela traduction Ndrǔna à Bunia.
En supprimant la zone urbaine, la zone d’habitation, villageoise, la zone de chasse, et dela pêche, on constate que, la superficie activement exploitée correspond à environ 30% seulement du terroir.
C’est pour dire qu’il s’agit d’un terroir relativement bien peu exploité,.
hydrographie
La chefferie de Walendu-Bindi fait partie de deux bassins hydrographiques du fleuve Congo, et du Nil.
Au bassin du Nil ; De nombreux cours d'eaux sont acheminées par la rivière semliki et se deversent dans le lac Albert, et Nil Albert, et se dirigent vers le fleuve Nil-Victoria au Nord.
Mais le plus important sont :
anjikye, alisé, alimo, ikpa, lamatsé, asimbé, ndera, et mbilito dont les potentialités pourront être plus tard exploitées pour la production d'énergie hydroélectrique.
Et d'autres drainent les eaux dans la rivière, Ituri et loya, qui font partie du bassin du fleuve Congo.
De là, on peut avoir les rivières suivantes ;
talulu, avini, ambata, Angumé, lowu, tsemukoyo, libala, et lowulowu.
Parmi ces rivières, il y a quelques unes qui sont poissonneuses avec des poissons d'espèces variés.
🇨🇩━☞Le sommet le plus élevé avec une altitude d'environ 1800m à 1400m sont ; Awi, Alimo, Omi, et Isura.
🇨🇩━☞La chefferie regorge aussi plusieurs collines qui permettent d'atteindre de nombreux observatoires vers l'Est du Nord au Sud, et àl'Ouest, parmi lesquelles nous pouvons citer :
Arukyé, Nyasumbí, Odhé, Toro, Iyá, Kabhi, Mulongo, Nyapké, Nyasona, Nyata, Kurungasa, Munziya, Balimo, Obé, Djungbelé, Nyasona, Nyasumbí, Alebhé, Omina, Odzé, et Karusé,...
En fait, les hautes montagnes dont le Mont Bleu, constituent la chaîne des montagnes qui commence de Mahagi port et se prolonge vers le Kivu.
Source ; Enquête de notable Didi Osée Angaika 2008
Au point de vue administratif
La chefferie de Walendu-bindi qui conserve les tombeaux de la plupart de ses souverains et leaders d'opinion public d'une longue date, fût créé suivant le PV N⁰ 00 85 du 03 décembre 1931, par l'administrateur térritorial d'Irumu, à l'époque colonial. l'AT Halleux qui trace la carte des 5 chefferies réunifiées et la délimitation des enclaves d'une localité Lagabo, Lakpa, et Nombe, avec comme Chef-lieu Gety-Etat.
La décision de la réunification sera signée en 1929 et appliquée en 1933, ainsi, il est facile de voir que toutes ces six Chefferies et non cinq comme l'avait présentait l'invité Excellence Ministre provincial Honoraire del'ituri, que nous saluons sa mémoire Osée Didi Angaika au cours d'un débat consacrés à la page socio-culturel et histoire dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi avec un groupe des diplômés originaires dela chefferie de walendu-bindi, via Forum Gety Infos Total à partir de Bunia.
Pour lui, ces dernières ont fonctionné jusqu'à 1933, ce qui a occasionné la création de l'actuelle Chefferie des Walendu-Bindi le 15 mai 1933.
Donc pour plus de précision, c'est un document tiré dans les archives dela notabilité de Walendu-Bindi, grâce à Osée Didi Angaika.
D'une manière légal avec la loi colonial Belge, le PV cité ci-haut avait mis fin aux cinq Chefferies créés aux subdivisions administratives, des royaumes traditionnels Ìndrŭs ont été préservés avec une autonomie limitée, essentiellement culturelle par certains clans majoritaires à partir de 1915, en désaccord avec politique dela Belgique.
Nos sources contactés pour la cause précisent que, le 05 décembre 1933 est considérée comme la date de la création officielle de la Chefferie de Walendu-Bind.
EIle aspire à un peuple uni qui jouit d'une prospérité-sociaux-culturelle.
Sous ce rapport, tout en sachant que, la chefferie de Walendu-Bindi est une institution culturelle qui promeut aussi la participation populaire et l'unité des différents clans par le biais de programmes de développement visant à améliorer leur niveau de vie.
Mais aussi ; Avant l'époque pré-colonial, les Ìndrŭ n'ont pas connu de pouvoir politique centralisé.
C'est pour dire que, le pouvoir s'est limité aux familles au sein desquelles les guerriers ont joué un rôle de premier ordre car ils garantissaient la paix dans la contrée. À l'époque de la pénétration arabisée et plus tard lors de l'occupation belges firent face à la résistance farouche des Ìndrŭ, dirigés par leurs principaux guerriers.
🇨🇩━☞ Subdivision administrative
La chefferie de Walendu-Bindi compte six groupements dont ;
Bukiringi, Baviba, Boloma, Ts'ritsi, Zadhu, et Bamuko, fut crée par une vague migratoire, qui date du XVI et XVII siècle.
CONNAISSANCE GENERALE DES ENTITES COUTUMIERES DE LA PROVINCE D’ITURI
▶️https://www.congovirtuel.com/page_province_ituri.php
À cela s'ajoute ; 200 villages, qui sont beaucoup plus tranquilles, en ce qui concerne la situation sécuritaire qui se normalise jour et nuit.
De toute les façons au sein de plusieurs villages, chaque famille détient une maison dans la quelle on doit obligatoirement trouver des greniers à nourriture, mêmement avoir des greniers à planter, et multiples cultures, bien que la pauvreté et les problèmes économiques préoccupe la plus part des paysans, mais les Ìndrŭ sont bénis avec un sol riche, et fertile.
Et puis, l’ensemble des informations recueillies au près des villageois qui sont la plupart des clairvoyants indiquent que ;
Dans un mode de production basé sur le travail collectif, ces gens là donc les Ìndrŭ, sont comme des machines ; Au motif, ils peuvent travailler tout le temps, et ils épuisent rapidement les sols, où éliminer très vite, les broussailles d'une étendue de terre, considérée du point de vue de sa surface, de sa propriété et de son affectation.
🇨🇩━☞ACCÈSSIBILITE ET VOIES DE COMMUNICATION
Donc ; Walendu est une entité coutumière, divisé en deux parties del'Est à l'ouest, par la route N⁰ 431 d'intérêt provincial, situé sur la crête du fleuve Congo, et du Nil.
Les grands axes d'échanges commerciaux sont :
1) Au Nord: Axe Walendu-Bindi-Bunia-Kasenyi-Chomia : cet axe est utilisé par des véhicules pour les transports des produits commerciaux.
2) A l'Est : Axe Walendu-Bindi-Buguma : cet axe n'est pas utilisé par les véhicules. Il faut demi journée de marche à pied pour y atteindre les destinations.
3) Au Sud : Axe : Walendu-Bindi-chefferie de Bahema-Mitego, Bahema-Boga, Banyali-Tchabi, et celle du nord Kivu ; cet axe procure la chefferie en bétail d'abattage notamment les vaches, les moutons, chèvres et poules.
À l'Ouest : Axe : Walendu-Bindi-Andisoma-Komanda qui échangent des produits commerciaux aux marchés du groupement Bavi.
La principale route qui permet l’entrée et la sortie dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi c’est la RS N⁰431 route sécondaire qui part de Bogoro, en passant par Kagaba, Badjanga, Bukiringi, Mitego, Boga, Tchabi, Kainama, jusqu à Eringeti. (C'est une route qui connecte la chefferie à d'autres entités dela province del'Ituri, celle du Nord-Kivu, et même del'Ouganda, via Burasi à la frontière congolo-ougandaise.
Les activités commerciales et les échanges sont fréquents et réguliers, car, la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi de par sa position, se trouve intégré à des circuits d’échanges transfrontaliers importants, avec l’Ouganda.
Les marchandise arrivent et quittent par voie maritime, aérienne, routière, d’intérêt interprovincial.
Tous ces axes sont plus ou moins praticables mais ils nécessitent des interventions mécaniques à grande échelle pour leur réhabilitation car ces réseaux sont très important pour l'évacuation des produits agricoles parce qu'il s'agit des voies de desserte agricole permettant de désenclaver les zones de production.
La chefferie dispose également des rivières qui le traverse dont la navigabilité est possible seulement pour les pécheurs et qui le relient à quelques villages voisins.
Cependant, on peut aussi accéder dans ce territoire via le lac Albert sur lequel on retrouve un bon nombre des pirogues motorisées qui font des navettes et de trafic frontalier entre Ouganda et Kasenyi mais aussi entre les villages frontaliers.
Dans le territoire, les routes sont en bon état car entretenue par le gouvernement provincial, la Monusco, le Foner et l’office des routes.
Les routes des déssertes agricoles se dégradent d’avantages à cause de manque d’entrétien.
Souvent les grands sentiers vous fera vivre plusieurs aventures et les villages avec des cases très traditionnelles.
Donc les communications sont diverses formes car les routes relient les villages et localités voisines et l'extérieure, en toute saison.
Bien évidemment, l'ambiance qui s'observe dans certains villages pousse les visiteurs à croire que, l'image de Walendu-Bindi en est considérablement enrichie, par les montagnes et plateaux, qui abritent une diversité écologique étonnante.
Sur la fin du trajet, on décide de quitter la route pour prendre un “raccourci” en terre battue, un choix qu’on ne regrette pas tant les pistes sont de plus en plus belles.
En plus, sur la route, et pu se tenir un pied dans chaque hémisphère !
N’hésitez pas à visiter les petits villages et les centres culturels, où vous serez accueilli chaleureusement.
Quelques fois, on vous racontera l’histoire des habitants Ìndrŭ primitifs, localement, dangereux, isolés, et belliqueux, qui trouvent leurs origine dans les deux pays limitrophes de la RDC, entre autres, l'Ouganda et surtout, dans le Soudan du Sud.
Les routes sont les voies de communication les plus utilisées.
Malheureusement, suite au manque d'entretien et des pluies diluviennes continuelles quelques fois, elles sont souvent en mauvais état.
Par ailleurs, il existe des ponts dont certains sont en état de délabrement posant ainsi d'énormes difficultés lors des traversées et d'autres impraticables du fait qu'ils sont inachevés.
Le transport fluvial est assuré dans une partie de la rivière Semliki qui est seulement navigable en aval du Lac-Albert, jusqu'à Nyanzigo.
En plus des routes, la chefferie de Walendu-Bindi dispose l'aérodrome qui reçoivent seulement des petits porteurs à Aveba, mais aussi nous sommes sans ignorer qu'à l’époque, les petits aéronefs Antonove atterrissaient à Gety pour faciliter les activités de ces derniers.
À ce jour, un seul piste d'Aveba est opérationnelle.
Il convient de signaler que, la chefferie de Walendu-Bindi compte deux pistes d’atterrissage, l’une à Aveba qui peut se mesurer à plus de 600m de L, et 25m de largeur. Il appartient à la communauté C.E, et autre est localisé à Gety-Mission, appartenant aux missionnaires catholique, avec une piste de 880 m qui peut accueillir des petits avions comme LET 410.
Source : nos enquêtes sur le terrain
Article détaillé
↪️📑Dépuis l'époque pré-colonial, certains ménages s'intéressent à l'élevage des animaux de la basse-cour et de ruminants pour des raisons d'autoconsommation familiale et économique.
L'élevage est la seconde activité dominante après l`agriculture mais aussi une source de revenu de la population de cette région.
La plupart de ménage pratique au moins l`élevage de petit bétail et de la basse cour, notamment les poules, lapins, canards, cobayes, chèvres, porcs et moutons.
En plus de l'activité agricole, les Ìndrŭ qui habitent la chefferie de Walendu-Bindi en particulier s'adonne également à l'élevage de gros et petit bétail dépuis l'époque coloniale selon le service Vétérinaire de Walendu-Bindi.
La chèvre mouton et la poule, constituent les deux animaux de référence dans les rites coutumiers ; cas de la dot, au palabre, reconnaissance et autres.
En plus de la vache, la chèvre, la poule, le pigeon, le canard ; le dindon ; le lapin, le cobaye, qui sont aussi élevés en térritoire d'Irumu, mais surtout les races locales.
Malgré ce potentiel, le sécteur d'élevage dans la chefferie de Walendu-Bindi reste faiblement valorisé.
Selon l'observation de notre équipe de rédaction qui date dépuis mars 2022, l'élevage est une source de revenus importante pour moins de 3 pour cent des ménages classés comme les riches en chefferrie de Walendu-Bindi.
En Ituri et dans le térritoire d'Irumu en particulier, le sécteur de l'élevage a connu depuis les guerres dites de libération de 1996 jusqu'à nos jours de nombreux problèmes jusque là qui semblent être inaperçus par le monde scientifique.
Ceci pourrait révéler la conscience de chercheurs à faire un aperçu vers ce secteur qui a ces problèmes pour voir comment proposer certaines solutions à ces derniers.
En République démocratique du Congo, plus précisément dans la chefferie de Walendu-Bindi, la baisse de la production socio-économique de denrées alimentaires d'origine animale notamment viande, lait, cuir, fumier, serait dû à la pratique mal tenue de système d'élevage de vaches dans cette entité coutumière.
Ce faisant, nous pensons que l'amélioration d'un système d'élevage des vaches est souhaitable pour le progrès de tous.
C'est ainsi que tout au long de notre travail nous essaierons de répondre à la question suivante : Quelle est l'incidence de l'élevage de vaches sur la situation socio-économique de la population de Walendu-Bindi en particulier ?
Il s'agira sans doute d'étudier l'impact de l'élevage des vaches sur le revenu mensuel et son affectation pour satisfaire les besoins du ménage (la scolarisation, l'alimentation, l'habitation, les soins médicaux, la communication, l'habillement et l'électricité).
En général, l'élevage dans les terroirs dela chefferie de Walendu-Bindi est du type extensif et connaît un certain nombre des problèmes notamment : le manque d'un encadrement technique aux éleveurs, les conflits d'espaces entre éleveurs et agriculteurs, le manque des vaccins à administrer aux bêtes, abattage incontrôlés, attaque des maladies tels que : la fièvre aphteuse, le charbon, la brucellose, le PPCB, les maladies en tiques, vermeoses qui ne sont pas soignés, insuffisance des vétérinaires,....
Ceci pousse a plus de 90% de la population de ne pas élever plus de 10 à 18 têtes des bétails dans une exploitation familiales pour les poules, chèvres, canards, moutons,...., mais l'élevage intensif se pratique dans les fermes, clapiers, poulailles, .....
En plus des ces problèmes précités, l'insécurité récurrente occasionné par les militaires loyales et déloyales non contrôlés dans la région pousse a ce que la population ne se mobilise pas à l'élevage.
Signalons que la chefferie de Walendu-Bindi est une zone de haute altitude mais en climat idyllique (favorable à l'élevage) de gros et petit bétails sous forme intensive se pratique surtout dans des localités a haute altitude notamment : Muranzali, Arukye, Nombe, Ngasu, Zitono, Nyabga, Kabona, Isura, Arava, Katoto, Maga, Kelenzi, Bizo, Matafu, Mongodhubvu, Hogo, Aveluma,.....
En fin, l'élevage de Walendu-Bindi est perçu comme une pratique productrice des ressources et richesse au niveau de la base, mais les problèmes, de manque d'encadreurs, d'espace,.... Font que la production diminue.
Entreprendre dans l’élevage des animaux domestiques est une activité lucrative, qui peut générer des revenus conséquents et qui contribuera à l’amélioration de la sécurité alimentaire sur l'ensemble dela chefferie de Walendu-Bindi.
Les éleveurs ont la possibilité de diversifier leur activité pour générer plus de revenus.
Voici quelques sources de revenus possibles :
Vente d'animaux vivants :
Est la principale source de revenus pour les éleveurs.
Les animaux domestiques peuvent être vendus sur le marché local ou exportés vers d'autres pays.
Vente de viande de bœuf :
Les animaux peuvent être abattus et la viande peut être vendue sur le marché local aux bouchers et aux charcutiers ou exportée vers d'autres pays.
Vente de lait et de produits laitiers : Si l'élevage dispose d'une mini laiterie, le lait peut être vendu sur le marché local ou transformé en produits laitiers tels que le fromage, le beurre, le yaourt ou la crème glacée, ce qui peut constituer une source de revenus supplémentaires.
Vente de peaux et de cuirs :
Les peaux et les cuirs de bovins peuvent être vendus à des entreprises de fabrication de chaussures, de sacs et d'autres produits en cuir, ce qui peut constituer une autre source de revenus.
Vente de fumier :
Les excréments des animaux peuvent être collectés et vendus aux agriculteurs comme engrais organique, ce qui peut générer d’autres revenus.
Vente de bovins reproducteurs :
Les nouveaux éleveurs débutent leur élevage en se procurant des reproducteurs.
La vente de taureaux reproducteurs peut donc être une autre source de revenu pour les éleveurs de bovins.
Le coût de démarrage exact d’un élevage de bovins en ituri dépend de plusieurs facteurs.
Cependant, certaines études ont été menées pour estimer les coûts de démarrage moyens pour différents types d'élevages en ituri.
Par exemple, une étude menée en 2016 par le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) a estimé que le coût de démarrage d'un élevage laitier avec 20 vaches laitières en ituri était d'environ 40 000 à 60 000 dollars.
Cette estimation incluait le coût de l'achat de vaches laitières, l'aménagement des bâtiments, les équipements de traite, la nourriture et les fournitures médicales pour les animaux.
Pour résumer, la demande de viande est en constante augmentation, tirée par la croissance démographique, offre de bonnes perspectives de croissance aux entrepreneurs qui souhaitent investir dans l’élevage bovins en chefferrie de Walendu-Bindi.
Élevage dépuis l'époque colonial
La plupart des Ìndrǔ en milieu rural sont essentiellement d'eleveurs et leur mode de vie est rythmé par les besoins saisonniers d'élevage.
La vache tient une grande place, non seulement dans l'alimentation et l'économie des ménages, mais aussi dans les relations sociales et dans la mythologie.
La colonisation a entraîné une sorte de confusion sur l'économie pastorale.
La vache fut considérée comme un animal de prestige par les Occidentaux puisque chaque famille tentait d'en avoir le plus possible et refusait de s'en séparer comme bêtes à viande, c'est-à-dire d'entrer dans une « économie rationnelle », de marché.
Difficultés rencontrées
Ce travail étant un oeuvre d'un humain, nous nous sommes heurtés à un certain nombre de difficultés dont les plus importants semblent être:
- Chaque fois qu'on se trouve en face des éleveurs, ils réclamaient quelque chose pour répondre à nos questions;
- La rareté de moyens due à notre condition d'étudiant nous causait remords;
- La réticence des certains éleveurs à nous donner toutes les informations fiables lors de notre contact avec eux.
Pour contourner ces difficultés, nous avons usé la patience et nous avons fait appel aux tierces personnes influentes dans le milieu d'étude.
Source ; Service de vétérinaire de Walendu-Bindi