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Adirodu-Roger Cyber-Notes

Les escarpements les plus anciens dela chefferie de Walendu-Bindi sont archéennes

25 Mars 2024 , Rédigé par Équipe des Webmasters

👆🏿👆🏿👆🏿Une vue d'escarpements au Sud de Gety chef lieu dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi en Ituri Rdc

👆🏿👆🏿👆🏿Une vue d'escarpements au Sud de Gety chef lieu dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi en Ituri Rdc

En chefferrie traditionnelle de Walendu-Bindi, lorsqu'on parle de OGOLO, c'est le mot qui revient couramment en langue ndrŭna pour désigner l'escarpement !

 

Donc la géologie de la Rdc semble favorable à la présence de gisements filoniens liés à des discordances dans les formations protérozoïques.

 

Dans le sud-est de Gety chef lieu dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi de vastes superficies de roches sédimentaires protérozoïques reposent en discordance sur le socle archéen.

 

Il contient une faune et une flore particulièrement riches, avec plusieurs biosphères à mesure que nous grimpons, ce qui crée l'expérience ultime pour le trekkeur.

 

Donc unique en son genre dans la partie sud-est del'ituri. 

 

Mais la plus part des personnes qui aiment la chasse interrogés à ce sujet affirment que, l'histoire géologique de la zone est marquée par de nombreux dépôts de sédiments avec del'érosion a ensuite créé au fil des années des hoodoos et d'autres structures géologiques.

 

Ils ajoutent qu'au point de vue culturel dans certains villages situés quelques part, au sud-est du groupement Bamuko, Bukiringi, et Boloma, les escarpements et hoodoos, demeurent mystérieux depuis l’Antiquité, mais jouent également un rôle culturel et spirituel important dans la vie des populations locales.

 

Cependant de nombreuses traces des roches qui révèlent des millions d’années d’histoire géologique sont si calmes et immobiles qu’on pourrait croire être sur une autre planète.

 

C'est un lieu peu connue et il existe peu d’écrits à son sujet, mais d'une grande beauté, qui offrent un cadre alpin sans égal dans la chefferie de Walendu-Bindi.

 

Si vous aimez les grands espaces naturels et que vous avez une âme d’aventurier, vous allez adorer en lire d’avantage sur les vallées verdoyantes aux roches et glaciers, il y en a pour tous les goûts !

 

Les explorer est une chance pour vous de revenir à la nature tout en créant des souvenirs inoubliables dans des habitats naturels.

 

Les forêts de moyenne altitude contiennent une riche variété d'espèces.

 

Les pistes raides ne sont pas aménagées et, avec les pluies fréquentes, sont très souvent glissantes.

 

Mais quelle récompense au sommet !

 

Après un regard rétrospectif sur les recherches y effectuées par nos permanents, avant 2015, ce lieu vous donne très souvent, la chance de voir les sols détachées.

 

Raison pour laquelle, certains de nos chasseurs préfèrent monter dans la tour d’observation de 20 à 30 mètres pour une vue plongeante sur les clairières.

 

Donc il est difficile d’accès et il est préférable de passer par une agence de voyage locale pour organiser votre excursion.

 

Grâce à ses immenses petite forêt, la chefferie de Walendu-Bindi abrite aussi une biodiversité hors du commun, malgré les menaces et la déforestation effectuées par les chasseurs sur cet espace naturel.

 

Selon certaines sources dans cette région, la zone attire de nombreux chasseurs, qui, conduits par des guides locaux spécialement formés, peuvent y circuler pour observer la nature.

 

Les informations livré par les mêmes sources précisent que, les porteurs se partagent vos affaires pour les glisser dans leurs sacs respectifs.

 

Veillez donc à ce que tout soit bien emballé de manière hermétique, contre une éventuelle chute dans une rivière ou un marais.


Les spécialistes dela chasse interrogés sur le sujet affirment que, l'occupation humaine de la région remonte à une dizaine de milliers d'années mais aucune preuve archéologique n'indique pourtant que l'Homme y vit en permanence.

 

Les formations marécageuses, actuellement inutilisées, sont formées d'une couche minérale très riche en matières organiques peu décomposées d'une épaisseur variable mais inférieure à 50 cm.

 

Ils s’élèvent de façon spectaculaire vers le ciel. Ils atteignent jusqu’à 25 mètres de haut, et permettent notamment d’admirer les nombreuses terrasses et la végétation diversifiée de la région.

 

Certaines sources abordé par notre rédaction au village Mogo précisent que, toute la zone qui regorge beaucoup d'escarpements appartient à la partie du sud orientale de Walendu-Bindi célèbre pour ses roches des sols blanchâtre et rougeâtres soumises à l’érosion, et présentes les formations marécageuses, actuellement inutilisées, sont formées d'une couche minérale très riche en matières organiques peu décomposées d'une épaisseur variable mais inférieure à 50 cm.

 

C'est une zone encaissée entre les contreforts du mont Rwenzori au sud-est, et le lac Albert au nord, tandis que la rivière Semliki, qui occupe son thalweg, marque la frontière avec l'ouganda à l'est, et la république démocratique du Congo à l'ouest.

 

Puis, il emprunte les escarpements de pics sculptés par l’érosion depuis des milliers d’années et hauts de plusieurs dizaines de mètres, à droite et à gauche. 

 

Nous avons pris toute la journée pour atteindre la rivière Semeliki qui serpente au pied de la montagne.


Les roches les plus anciennes dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi sont archéennes et forment le socle sur lequel se déposeront les roches sédimentaires plus jeunes.


Âgés d'environ plusieurs années millions d'années, ces sédiments ont été largement recouverts par des sédiments plus jeunes et n'affleurent que dans des secteurs où ils ont été exhumés par uplift et érosion.

 

Après la formation du socle archéen, des bassins sédimentaires associés à des roches d'escarpements se sont développés.


Ces centaines de coulées, avec des sédiments intercalés, se sont mises en place vers 2700 milions d'années et forment selon les spécialistes en géologie.

 

Des concentrations aurifères, localement importantes, s'installent dans les conglomérats de base des laves d'escarpements.


L'essentiel des paysages de la région est le résultat de l'érosion de cette Chaîne Plissée.

 

Ces formations aurifères très étendues sont uniques et font la célébrité d'escarpements en chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.

 

Depuis 1960, elles ont fourni plusieurs visiteurs ayant été historiquement extrait par l'Homme), faisant du bassin du Witwatersrand de très loin le premier champ aurifère mondial.

 

Ces roches du socle sont essentiellement de vastes ensembles granitiques intrudant des formations plus anciennes de roches volcaniques et sédimentaires, les "ceintures de roches vertes" (greenstones belts) caractéristiques de l'Archéen.

 

La région de Hoima est localement connue car elle permet de bonnes observations de ces formations dans la partie Est du térritoire d'Irumu.

 

Outre la beauté de ses paysages et son intérêt historique, cette région est célèbre pour ces nombreuses observations.

 

La plupart de ces roches sont plus anciennes que 3 200 millions d'années.

 

Un autre aspect intéressant de la région du gouvernement Bamuko, Boloma, Zadhu, et Bukiringi qui sont les riches héritages préhistorique des sites, témoins d'un ancient royaume récemment découvert.

 

Le tourisme est un secteur par excellence de l'économie qui est lié non seulement au concept du voyage, mais aussi à la pratique de certaines activités de loisirs.

 

Pour se faire, le tourisme doit être organisé dans un lieu qui regorge des potentialités touristiques.

 

C'est le cas du groupement Bukiringi.

 

L'organisation du tourisme suppose d'une part la diversification des entreprises oeuvrant dans le secteur du tourisme, telles que les Hôtels, les Restaurants, les Agences de Voyages,...toutes, répondant au standard international des entreprises du tourisme ; et d'autre part le renforcement du personnel qualifié en la matière.

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Bukiringi ; Un groupement qui s'étale surtout par des produits agricoles !

22 Mars 2024 , Rédigé par Équipe des Webmasters

 👆🏿👆🏿👆🏿Bukiringi ; L'un des groupements dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi est localisée en térritoire d'Irumu province del'ituri vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo.

👆🏿👆🏿👆🏿Bukiringi ; L'un des groupements dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi est localisée en térritoire d'Irumu province del'ituri vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo.

Présentation du groupement Bukiringi

 

A. SITUATION GÉOGRAPHIQUE 

 

Localisation

 

Selon les archives du groupement Bukiringi

 

Le groupement Bukiringi est une entité administrative et coutumière qui se situe au sud dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi, térritoire d'Irumu, province del'ituri, vers le Nord-Est dela Rép dém du Congo.

 

Les trois quarts de ses actifs sont employés dans l'agriculture ( à la fois vivrière et commerciale).

 

Le groupement Bukiringi a pour chef-lieu Bukiringi centre.

 

IL PREND COMME LIMITE 

 

 A l'Est : Rivière  Iya ou Asingyé

 

 Au Sud : Il est limite par la chefferie de Bahema Mitego, et rivière ndera.

 

Au Nord par : Groupement Boloma.

 

À l'Ouest par : Rivière loya (Lowu)

 

Source officiel du groupement

 

B. Altitude ; Allant de 800 à 1600m au dessus dela mer.

 

Il est situé entre ⁦1°04'12"N lo⁩ngetude⁦ Nord, et 30°05'05"E⁩20 d'altitude Est donnés de google eart.

 

C. RELIEF ET CLIMAT 

 

Donc son relief est formé des montagnes, plateaux, et collines.

 

Ce groupement jouit tantôt d'un climat température, tantôt d'un climat humide dans la basse altitude, le territoire présente le climat tropical.

 

La température y varie entre 15°C et 20° c'est ainsi que l'altitude le plus bas varie entre 700 m et 1 250 m au nord du groupement Bukiringi.

 

Et alors que le point culminant varie entre 1200 m et 1400 et 1600 m d'altitude.

 

La savane est une vaste étendue d'herbes qui se développe dans les zones ayant deux saisons bien marquées : la saison sèche et la saison humide.

 

La savane vit et meurt au rythme des saisons. Les herbes se développent très rapidement pendant la saison humide et meurent pendant la saison sèche soit par le feu, soit parce qu'elles se dessèchent.

 

NATURE DU SOL

 

Le sol est argilo-sablo-humifère.

 

Un sol argileux est lourd, compact, collant lorsqu'il est humide, très dure et fendille lorsqu'il est sec.

 

Ce sol retient bien l'humidité et les minéraux.

 

Sol est argilo-sablonneux c'est-à-dire qu'il constitue d'un mélange de l'agile et du sable mais avec une prédominance de l'argile favorable à la fabrication des matériaux de construction notamment le Brique et Bloc ciment.

 

Le sol est en général argilo sablonneux qui par endroit est jonché des cailloux et des calcaires en carbonate de calcium.

 

Le groupement dispose par ailleurs de nombreuses ressources naturelles, notamment ; le bois, perles, coltans, l'or, les diamants, le pétrole etc. Mais non encore exploités.

 

VÉGÉTATION 

 

La végétation est du type savane, savane boisée et du type forestier.

 

C'est une savane herbeuse dont la paille forme l'ancienne végétation.

 

Espèces phares de la flore

 

Le groupement Bukiringi se distingue par sa fertilité qui lui fait jouir d'une végétation diversifiée.

 

Dans sa partie sud-est et ouest, ont trouve ;

 

- Les forêts en vert citron qui traduit une végétation dense.

 

En effet, cette couleur traduit les formations fermées de savane que sont les forêts-galeries, localisées le long des cours d'eau, généralement dans les vallées encaissées, la canopée de cette formation forme un couvert continu et les arbres, d'une taille comprise entre 15 et 20m influent grandement sur l'eau en empêchant les rayons solaires de les atteindre.

 

Cette étendue sauvage, l’une des plus vastes de Bukiringi, semble figée dans le temps par son isolement et encore convalescente.

 

Dans une grande savane

 

L’observation y est plus facile car l’herbe est courte et le nombre de points d’eaux y est réduit, du coup la vie sauvage est très présente : les carnivores, et oiseaux qui offrent un des plus beaux spectacles du milieu naturel de Bukiringi et peuplent l’espace autour de cette lagune peu profonde.

 

De manière particulière, on trouve aussi une série de végétation d'eucalyptus plantés et d'autres arbres ornementaux comme le cyprès, le sapin et le cèdre en remplacement de la forêt des montagnes.

 

Le gazon pasplume règne en maître dans beaucoup de parcelles valorisées.

 

Mais les arbres plantés dans les parcelles individuelles sont pour servir de brise vent mais aussi pour l’ombrage.

 

Ces espèces sont répandues à Bukiringi pour la lutte contre l’érosion grâce à leurs racines.

 

HYDROGRAPHIE 

 

Le groupement Bukiringi fait partie de deux bassins hydrographiques du fleuve Congo et du fleuve Nil.

 

Donc certaines rivières coulent dans les eaux du fleuve Congo citons :

 

Angumé, Libala Tsemukoyo, Afubhu, Asimbé et Loya.

 

Mais aussi d'autres drainent les eaux dans la rivière Semliki qui fait partie du bassin du fleuve Nil citons : ndera, nyamagaru, et lamatsé.

 

On doit aussi noter que, les petits ruisseaux font les grandes rivières.

 

Parmi ces rivières, il y a quelques unes qui sont poissonneuses avec des poissons d'espèces variés.

 

Les montagnes d'une grande importance dont les sommets moyennement élevés sont :

 

obé, alingi, atsuka, alebhé, atsana,  oyo, balimo, mususa, karusé, angungba, odhé et nyakpé,...

 

ACCESSIBILITÉ ET COMMUNICATIONS

 

Selon enquête de équipe de rédaction qui date dépuis 2015, elle se font uniquement par la voie routière Nº 431

 

Mais d'abord ;

 

À 95 Km au Sud de la ville de Bunia chef lieu de la province del'Ituri, et environ 30 km de Gety-Etat chef lieu dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi, agglomération de Bukiringi Centre est traversée par la route secondaire (RS Nº431) localisée sur l'axe Boga-Bunia.

 

Et à son centre commercial, nous trouvons un rond point à 4 voies) terrestre d'où est érigée la route allant au Bureau administratif du groupement, et celle de localité Kamatsi Mukubwa, Boga, et Bunia, chef lieu dela province del'ituri.

 

Donc le groupement Bukiringi est traversée par la route secondaire Nº 431 d'intérêt provincial qui part de Bogoro à Eringeti en allant vers la province voisine du Nord-Kivu.

 

Les informations obtenues sur le térritoire d’irumu en ce jour renseigne que, cet axe est réhabilité par la MONUSCO qui a implanté une base opérationnelle temporaire (TOB) sur place à Bukiringi, entre année 2010 et 2019 dans le cadre du projet de la réduction des violences communautaires.

 

Cette route communique avec d'autres régionales qui la relient aux frontières comme l'Ouganda, par Bunrasi, Boga et Mitego.

 

Notons aussi que, d'autres routes de dessertes agricoles sont réliées à cette route d'intérêt provincial.

 

Il s'agit notamment de :

 

 Route Abori-Bukiringi situé dans la partie ouest de Bukiringi Centre.

 

 Route Kisodjo-Bukiringi Centre situé au Sud-Est de Bukiringi.

 

Donc les communications sont des diverses formes car les routes relient les localités à Bukiringi centre, et même à l'extérieur groupement.

 

l’accessibilité et la sécurisation de la zone :

 

« Le projet a été réalisé en vue d’améliorer l’accessibilité de cet axe aux usagers qui sont notamment des agriculteurs.

 

La réhabilitation de la route provincial Nº 431 a aussi aidé au développement agricole dans le groupement Bukiringi.

 

C'est la principale route qui permet dépuis Bunia de rejoindre la province du Nord, via Bogoro, Nombe, Kagaba, Kaswara, Kengeku, Badjanga, Bukiringi, Boga, Tchabi, Kainama, et Burasi en partant vers l'Ouganda voisin.

 

La route est accessible par véhicule, et nous espérons que cela va permettre une plus grande sécurisation de la zone ».

 

« Nous avons mis en place des mécanismes appropriés avec l’appui de nos partenaires pour que l’agriculture et l’élevage reprennent leur importance », témoigne Roger Kandadhu, chef du groupement Bukiringi.

 

Le long de la route principale au bord dela savane et qui serpente autour des montagnes, les amonts de visibilité ont retrouvé leur verdure.

 

MOYENS DE TRANSPORT 

 

En République Démocratique du Congo, plus particulièrement à Bukiringi, les moyens de transport utilisés par les grossiste pour le transport de leurs marchandises sont quelques fois diversifiés.

 

Pour le cas précis , après nos enquêtes nous avons constaté que la plupart des importateurs des marchandises empruntent la voie terrestre pour le transport de leurs marchandises du lieu d'approvisionnement jusqu'au lieu de destination qui est agglomération de Bukiringi.

 

Les transports des charges et marchandise aussi que les voyageurs pour les marchés lointaine sont assurés par les camions, les voitures, les motos, vélos. Et les petit charges sont transportées au dos ou à la tête.

 

Le groupement Bukiringi étant l'un des groupements chevauchants sur la route Kainama-Bunia qui est la seule route principale de la région, l'enclavement des routes de desserte en produits agricoles laisse à ce que le dos soit le seul moyen d'évacuation des produits agricoles et parfois le vélo et la tortinete qui conduit à la diminution de l'espérance de vie des populations suite aux fatigues causes par les longs trajets de marches.

 

Donc les moyens de transport et communication, sont les éléments indispensables au développement économique d'un lieu d'une région d'un pays.

 

SITUATION SOCIO- DÉMOGRAPHIQUE 

 

Population

 

La région est occupée par le peuple Ngiti appelé traditionnellement Ìndrŭ.

 

Les Ìndrŭ ; Le terme qui désigne souvent l'ensemble dela communauté humaine constituant les autochtones dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.

 

ASPECT PHYSIQUE 

 

Ils partagent entre eux toute sorte de taille à une allure puissante aux traits fins, mais aussi une homogénéité relative de civilisation lié par un certain nombre de coutumes, notamment l'origine, l'histoire commune, et même la tradition-socio-culturelle.

 

Ce dernier s'y serait stabilisé vers la fin du XVIIe siècles, après des grades migrations qui se sont déroulés aux XVIe et XVIIe siècles.

 

Ces migrations auraient été déclenchées à partir d'une zone situées de l'actuelle république du Sud Soudan, et même de l'Ouganda, suite à la poussée des Ìndrŭ vers l'Ouest  du lac albert par des Nilotiques Lwo, Hamites-Chwezi, et des Nyoro.

 

Pour le cas d'authoctones de Bukiringi

 

À leurs arrivées, les premiers contingents Ìndrŭ se seraient installés d'abord dans la plaine de la Basse-Semliki au XVIIe siècle.

 

Leurs premiers campements seraient localisés à nyanzigo, burasi, kalondro, musege, kisojo et teseni,...

 

En immigrant, les Ìndrŭ formaient une tribu composée de plusieurs clans.

 

Parmi ces clans, les principaux ont constitué des groupements.

 

Ce sont notamment ;

 

Bukiringi, Boloma, Bamuko, Bavi, Zadhu, et Ts'ritsi', divisés en plusieurs localités dont chacune avec ses cultures et ses traditions ancestrales.

 

ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT 

 

a. Organisation

 

L'organisme permet de montrer la succession hiérarchique tout en exposant les services fonctionnels et traduit les responsabilités, les relations de collaboration et la subordination entre les agents.

 

CHEF DU GROUPEMENT

 

Chef du groupement adjoint

 

Chargé des affaires sociales

 

Chef du groupement adjoint

 

Chargé de l'administration

 

SECRETAIRE ADMINISTRATIF

 

b. fonctionnement

 

Partant du fonctionnement du groupement, nous avons à la tête un chef du groupement titulaire occupant de la mise en application de la politique et la sécurité de l'entité, assisté par deux chefs du groupement adjoint l'un chargé de l'administration et l'autre des affaires sociales.

 

Le secrétaire administratif s'occupe de correspondance interne qu'externe de l'entité avec un chef de développement chargé de récolter les données sur terrain pour savoir les différents problèmes qui menacent la population.

 

Néanmoins, en voici certaines données à notre portée

 

Sur place, nous y trouvons quelques services de l'Etat entre autre le tribunal secondaire, l'Etat civil, l'environnement, vétérinaire, pêche et forêt, l'agriculture, et la jeunesse,...

 

Dans le groupement Bukiringi

 

Les populations sont regroupées en petites localités dirigées chacune par un Capita.

 

Ces localité sont au nombre de 28 notamment:

 

MATAFU, MBARAZA, MBOBI, MANGALA, NYASINGA, OYINA, ZOKO, SORODO, KAZANA A, KAZANA B, MUTIMBA, KELENZI, MASU, MUJAMBI, RUWALI, AVENGU, AVEGI, NGEREZA, BHULE, MADANGA, KAMATSI-MUKUBWA, TSAKI, ABORI, AMORI, SONGOZA, FPOMVO, MATINDRU, et KIRIBHU.

 

Les capitas sont à leurs tours dirigées par un notable du nom.

 

Organisation Administrative Coutumière de Walendu-Bindi 

 

À ce sujet, la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi est constitué de six groupements qui sont :

 

Zadhu, Bukiringi, Boloma, Bavi Bamuko, et Ts'ritsi' 

 

Il convier d'ajouter que, c'est à l'époque colonial en 1933 que les anciens chefferie sont devenus des groupements établies sur des bases rationnelles avec une réduction rigoureuse de l'autorité des anciens chefs coutumiers.

 

LE RÉGIME FONCIER 

 

En groupement Bukiringi comme chez tous les Ìndrŭ, la terre est régie par la culture dans laquelle un chef terrier est propriétaire et distributeur des terres suivant la convention de payement de la redevance coutumière ou une poule, chèvre compte tenu de l'étendu du terrain alloué.

 

Donc la convention initiale est héritée et très réputée par toutes les générations des souverains et leurs vassaux.

 

Les descendants gardent ainsi la position de leurs ancêtres suivant ces échelons de bas en haut.

 

Mais aussi les Forces de sécurité sont présentés par : FARDC, PNC, et ANR.

 

Aperçu historique

 

Donc Bukiringi fut créer au 19 ième siècle.

 

Et plusieurs chefs se sont succédés a la tête de Bukiringi entre autre le grand chef : Rukome, Kabaseke, et Kandadhu Roger.

 

Source famille régnante

 

CRÉATION 

 

Selon certaines sources, la vrai histoire de cet lieu date dépuis les années 1915 selon le version des récits, Bukiringi était tout un village.

 

De ce que nous avons entendu, l'agglomération de Bukiringi a été créé après la pénétration coloniale, décidée en 1913, entraîna une révolte proclamée par tous les peuples de cette zone, fut suivie d’une répression, de 1913-1920, appelée «guerre de l’impôt »

 

L'histoire guerrière des Ìndrŭ habitants de Bukiringi renseignements que, dans leur vécu, le peuple Ìndrŭ a connu les périodes de guerres très dures.

 

Les plus importantes sont les guerres qui les opposèrent :

 

Aux Arabes vers le debut du 18 è siècle dans leur pratique de la Traite de Noirs, et les conflits fonciers, à l'origine des violences entre les Hema et les Lendu qui sont les deux ethnies qui se partagent les limites en térritoire d'Irumu, et djugu en Ituri, vers le Nord-Est dela République Démocratique du Congo (RDC).

 

POSITION ÉTHIQUE

 

Entité de Bukiringi a une tendance à connaître une forte densité dont l'une des causes serait son climat favorable à la vie humaine d'une part, et d'autre par la sécurité par rapport à ses environs.

 

À ces deux facteurs, il convient d'ajouter le taux de natalité élevé.

 

Le milieu de Bukiringi et ses environs est habité par une population d'environ 25.000 habitants (2017) ; une population essentiellement de la tribu Ìndrŭ communément appelé « Ngiti ».

 

La famille régnante est issue du clan du grand chef ancien Rukome, tandis que le reste de la population locale est composée des autres clans.

 

La population établie dans ce pays est essentiellement de la tribu Ìndrŭ dit Ngiti qui occupe 95% de la population, et le 0.001% des populations est constitués certainement des Nyali, et les Nande.

 

ESPÉRANCE DE VIE 

 

L'espérance de vie décline à partir de 1991, atteint un minimum de 78,5 a 80 ans, et puis de 65 ans, 68, et 70 en 2017.

 

LANGUES PARLÉES À BUKIRINGI 

 

La population tant composée majoritairement de peuples de la tribu Ìndrŭ qui est un peuple non bantoue, c'est pourqu'oi, le ndrŭna  reste une langue prédominante pour communiquer et rester en contact avec les populations venant d'ailleurs, les Ìndrŭ s'adonnent à la langue nationale parlée à l'Est du Congo : le Swahili.

 

Mais aussi le français, est considérés comme langue officielle et d’enseignement est parlée par une minorité instruite.

 

La langue locale est : Le Ndruna parlé par les Ìndrŭ ou ngiti ;

 

Le Swahili est apprise à l'école, en famille et dans les centres d'alphabétisation. C'est une langue plus parlée dans les localités se trouvant le long des routes que celles de l'intérieur, le français reste la langue officielle et de bureau selon les lois du pays.

 

Le Lingala est plus parlé par les migrants venus d’ailleurs et par une petite partie des originaires du térritoire national.

 

SÉCTEUR D'ENSEIGNEMENT 

 

Cela veut dire que, le groupement Bukiringi est une entité intellectuelle avec des (écoles primaires, et secondaires.

 

Actuellement, le groupement Bukiringi regorge quelques écoles primaires et secondaires reparties dans les différentes localités.

 

Donc dans le sécteur d'éducation, on peut avoir ;

 

Huit écoles secondaires, mais aussi 8 des primaires, et 0 institut supérieur.

 

De là nous avons ;

 

E-S ARAVA

E-S Batowe

E-S Nyangazama

E-S Bukiringi,

E-S Sorodo 1

E-S Sorodo 2

E-S Nyasinga

E-S Sait Alphonse

 

Concernant les écoles primaires  

 

On doit noter ;

 

E-P ARAVA

E-P Batowe

E-P Nyangaza

E-P Tuamaini

E-P Sorodo 1

E-P Sorodo 2

E-P Nyasinga

E-P Matafu

 

En milieu rural, les filles sont en effet rarement scolarisées. Elles doivent très tôt s’occuper des travaux ménagers, de la corvée d’eau… Et lorsque les enfants vont à l’école, le taux de décrochage est extrêmement élevé : 6 enfants sur 10 accèdent au collège, et seuls deux d’entre eux le terminent ! L’autre problème, c’est la taille des effectifs.

 

Du côté des enseignants, le personnel qualifié et les infrastructures de qualité viennent vite à manquer et du côté des élèves, les effectifs sont pléthoriques : environ 46 % de la population béninoise a moins de 15 ans ! Résultat, l'âge moyen de départ de l'école est de 14 ans et le taux d’alphabétisation s’élève à peine à 42,4 % de la population (54 % des hommes et 31,1 % des femmes).

 

Ce qui implique l'amélioration de l'éducation. 

 

Le milieu compte un nombre insuffisant d'école, et la population demande au gouvernement d'en construire d'autres pour permettre à l'ensemble d'enfants d'étudier dans des bonnes conditions.

 

ASPECT SOCIO-CULTURELLE

 

Le peuple Ìndrŭ s'organise socialement dès le niveau de la famille restreinte (le père, la mère et les enfants), la famille étant la cellule de base de la nation Ìndrŭ.

 

Ici, le père est le seul chef de la famille, et la polygamie y est autorisée.

 

Les filles se marient plus vite, entre 16 et 25 ans, tandis que les garçons se marient entre 28 et 35 ans car ils doivent d'abord être capables d'assumer les responsabilités d'un foyer.

 

Donc la jeune ndruay peut se marie le plus souvent, dès qu'elle est remise de l'excision qu'elle a subie.

 

Elle quitte alors son village et sa famille pour s'installer dans la famille de son époux.

 

On peut cependant observer des cas où la belle-famille s'oppose catégoriquement au mariage de leur fille.

 

Dans ces cas, souvent la fille quitte clandestinement sa famille pour rejoindre son amoureux avec les risques d'être renié par sa famille.

 

Ces mariages avec des femmes non dotées ou sans la bénédiction de l'une ou des deux familles s'apparentent parfois au concubinage et ont peu de chances de succès.

 

De la famille la forme la famille étendue (le père, la mère, les enfants, les frères, les soeurs, les demi-cousins, les demi-pères, les demi-mères, les oncles et les tantes) Ici, le grand-père décide en dernier sort.

 

Le niveau suivant est le clan avec en tête leur chef de clan.

 

Plusieurs clans s'identifient au niveau de la tribu.

 

Selon les liens de lignées familliales proches, au sein de la tribu s'organisent le Bwami (royauté à base de lignées familiales.)

 

Profilés accès aux ressources essentielles et services

 

- Certains services fournis au sein de la population proviennent de l'Etat, des églises, des associations, des privés et des organisations humanitaires internationales.

 

Ces derniers sont responsables de leurs services en collaboration des bénéficiaires/population qui bénéficient de ces services. Certains coûts de ce service sont plus élevés.

 

Cependant, les services offerts par les ONG sont à la portée de tous ceux qui remplissent les critères de sélection. 

 

Le cas de fraude peut s'observer pour certains services.

 

- La population d'accueil n'a pas accès à l'aide humanitaire par contre les déplacés internes( IDP) et les retournés bénéficient des vivres et non vivres, et certaines infrastructures scolaires et sanitaires bénéficient de l'aide humanitaire.

 

CARACTERISTIQUES SOCIO-ECONOMIQUES

 

Le Commerce

 

Il existe à  Bukiringi un marché fonctionnel deux fois la semaine (Mercredi et Dimanche).

 

Ce marché rassemble des commerçants de Bukiringi et ceux en provenance de la ville de Bunia et les localités voisines de la Province del'ituri.

 

Seul le petit commerce peut exister en groupement Bukiringi

 

Les commerçants s'approvisionnent en Ouganda et à Bunia.

 

Les produits les plus commercialisés sont: le savon, les habits, les boissons, le sel, l'huile végétale, les produits cosmétiques...

 

Le principal marché de Bukiringi est celui de Bukiringi centre, départ des divers activités, et qui tend à devenir un exemple extra coutumier, mais les tracasseries et la guerre du jour fait défaut.

 

Selon une enquête mené par Adirodu-Roger, l'expression de toute la communauté accompagne de l'implantation d'une infrastructure commerciale économique et sociale adoptée aux exigences de la population qu'on est-il donc pour l'agglomération de Bukiringi.

 

D'une manière globale, la population vit des produits venant de leurs champs mais aussi les boutiques, les kiosques, les publiphones, les secrétariats publiques, les restaurants, les boucheries, les salons de coiffure, les buvettes, les pharmacies, les stations d'essence et mazout, sont en train d'y être érigés.

 

Une association de vendeurs des divers encadre ces commerçants aux fins des résoudre les difficultés dans l'exercice de leurs métiers.

 

La population de Bukiringi se livre à certaines activités économiques lui permettant de faire face aux dépenses journalières (dépenses alimentaires, de scolarisation, d'habillement, loisirs et des soins médicaux,...) 

 

Parmi ces activités nous citons :

 

A . AGRICULTURE 

 

L'agriculture est une activité économique consistant à favoriser le développement des plantes et d'animaux pour en tirer des substances utiles à l'homme, en particulier des produits alimentaires (mais pas exclusivement : la culture du chanvre pour sa fibre est une activité agricole, qui ne produit rien de comestible).

 

Elle joue un rôle moins négligeable dans la vie de l'homme.

 

Au fait tous les produits alimentaires sont d'origine agricole et la santé de l'homme en dépend. Il faut ajouter que les activités agricoles génèrent des revenus pour les exploitants.

 

Dans sa tradition, le peuple Ìndrŭ a toujours été attaché à l'agriculture.

 

Il était dès le départ agriculteur et maitrisait les outils de fer qui lui ont permis d'éloigner les razzias arabes.

 

L'agriculture traditionnelle reste l'activité économique principale et vitale de région. Elle occupe plus de 80% des effectifs actifs.

 

On doit aussi noter que, l'agriculture familiale, pratiquée par tous les ménage agricoles est un système d'économie domestique caractérisée par la prédominance de l'autosubsistance.

 

La possession d'espaces ou champs de culture est élément centrale de survie des familles.

 

Elle sert à nourrir les populations qui la pratiquent et n'est que très peu commerciale (seulement localement).

 

Le travail exclusivement manuel se fait à la houe ou à la machette. La houe est l'outil par excellence le plus commun à tous les cultivateurs sans exception aucune.

 

Les champs des paysans souvent installées sur des pentes, ne connaissent ni protection contre l'érosion, ni la fertilisation des sols.

 

Ainsi, tout accroissement de la production suppose une extension des superficies emblavées, pourtant devenues de plus en plus rares avec l'accroissement démographique.

 

En groupement Bukiringi l'agriculture y est pratiquée par des ménages agricoles sur de petites étendues, avec des outils rudimentaires et des semences non améliorées.

 

L’agriculture est axée sur :

 

a. Les cultures vivrières : Manioc, maïs, arachide, riz, soja, millet, courge, haricot, banane,...

b. Les cultures maraichères : choux, aubergine, et courge.

c. Les cultures pérennes : Café, palmier à huile,

d. Les fruits : Mangue, Avocat, Papaye, Citron.

Les champignons, les sauterelles, les chenilles, etc...sont prélevés périodiquement dans les forêts et consommés presque partout dans la chefferie de Walendu-Bindi.

. Problèmes recensés :

• Manque des semences de qualité,

• Manque d’infrastructures de stockage et de transformation,

• Manque de crédit agricole,

• Manque d'appareils modernes et adaptés à la collecte des données statistiques, météorologiques et

• Le délabrement des routes des dessertes agricoles.

L'agriculture est du type traditionnel, elle constitue la principale activité de la population locale.

Les paysans utilisent des outils rudimentaires dont la productivité est très faible ; ajoutons que le sol est favorable pour les cultures vivrières : maïs, petits poids, légume, patate douce, pomme de terre, haricot,...

Cette agriculture nécessite une amélioration en vue d'augmenter le rendement agricole et le revenu du paysan.

 

B . SÉCTEUR CULTUREL

 

L'artisanat occupe une place non négligeable parmi les activités économiques.

 

Dans le domaine de la culture et Art, le groupement Bukiringi regorge d'une multitude des divers artistes :  peintres, cachetteries, courtiers, bijouteries, menuiseries, coiffeurs, réparateurs, mécaniciens, cordonniers, ferrailleurs, ....

 

De petites et moyennes entreprises émergent de part et d'autre. On peut cité à titre d'exemple la menuiserie, la maçonnerie, la cordonnerie, la forge, et les maisons de couture, ...

 

L'agriculture constitue la principale activité de la population.

 

Le travail de la terre est resté un élément essentiel de la vie pour la population.

 

Selon l'histoire contemporaine dépuis l'époque précoloniale, la terre constituait la source principale de richesse en Bukiringi.

 

C'est l'étendue des terres et le statut social qui déterminaient les différentes classes de la population.

 

Activités principales : l’agriculture, le commerce, et l’élevage, sont considérés comme activités principales de la population.

 

Ces activités permettent à la population de satisfaire ses besoins primaires tels que la construction des maisons, paiement des frais scolaires des enfants, les soins médicaux pour les leurs,...

 

À Bukiringi centre par-exemple

 

Les produits entrant dans le commerce sont surtout les produits agricoles (farine de manioc, soja, haricot, maïs, riz, pomme de terre, banane, tomate, ...) ces produits proviennent des champs locaux ou souvent importé des localités voisines notamment ; Letsudo, Mukorodo, Mapanzu, Alumbu, Janda, Katoto, Teseni, Tolé, Kisodjo, Karambu, Mukondru, et Nyamagaru...

 

Les poissons importés de Chomia, Kasenyi, Burasi, Nyamavi, et Ouganda sont très vendus.

 

C . ÉLEVAGE 

 

En plus de l'activité agricole, les peuples du térritoire d'Irumu en général et du groupement Bukiringi en particulier s'adonne également à l'élevage de gros et petit bétail.

 

La chèvre et la poule constituent les deux animaux de référence dans les rites coutumiers ; cas de la dot, au palabre, reconnaissance et autres.

 

En général, l'élevage dans les terroirs du groupement Bukiringi est du type extensif et connaît un certain nombre des problèmes notamment : le manque d'un encadrement technique aux éleveurs, les conflits d'espaces entre éleveurs et agriculteurs, le manque des vaccins à administrer aux bêtes, abattage incontrôlés, attaque des maladies tels que : la fièvre aphteuse, le charbon, la brucellose, le PPCB, les maladies en tiques, vermeoses qui ne sont pas soignés, insuffisance des vétérinaires,...

 

L'élevage est la seconde activité dominante après l`agriculture mais aussi une source de revenu de la population de cette région.

 

La plupart de ménage pratique au moins l`élevage de petit bétail et de la basse cour, notamment les poules, lapins, canards, cobayes, chèvres, porcs et moutons.

 

À ce phénomène, il faut ajouter le manque d'encadrement des éleveurs par le service concerné pour la promotion de cette activité.

 

L'élevage constitue des revenues non négligeables, les produits étaient jadis utilisé non seulement pour la consommation mais aussi pour la commercialisation lors des conflits interethnique qui ont ravagé l'Ituri, en 1999.

 

Une grande partie du bétail a été pillée, il en a été de même cas de la guerre dite de libération en 1992 et ceci n'est épargné pas d'autres rebellions comme : celle du groupe bien connus en chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.

 

Etant donné que la sécurité avait commencée à se rétablir dans la région, cette activité a aussi repris.

 

RÉSEAUX MOBILES DE TÉLÉCOMMUNICATIONS 

 

La télécommunication dans  de Bukiringi est à la vie, mais à moindre dégré.

 

Nous avons à Bukiringi quelques stations téléphoniques, plusieurs personnes possèdent déjà de diverses marques de téléphones et portatifs.

 

Qui sont opérationnels dans ce groupement où les téléphones mobiles assayent de gagner le marché locale dépuis 2010.

 

Donc sur internet la technologie de l'information est faite par les maisons d'Airtel  et Vodacom fait à ce qu'il ait une intense communication dans le groupement Bukiringi.

 

Le groupement Bukiringi est ainsi arrosé par les radios locales.

 

Notamment : Radio Maendeleo de Gety-Etat, Radio Amani d'Aveba, Radio Umoja de Gety Mission, et Radio Pacific de Bavi, (qui émettent en français, swahili et ndrŭna  comme en langues locales).

 

Donc si cette dernière connaît un fonctionnement régulier, par contre, qui tourne de façon irrégulière ces derniers temps.

 

Outre ces deux stations, on note l'existence des radios périphérique, notament Radio tangazeni Kristo RTK, et Radio Okapi avec des stations autonomes à Bunia.

 

Toutefois, les émissions restent plutôt sporadiques faute d'énergie.

 

Cependant, la contrée est copieusement arrosée par une radio du pays voisin : Radio Free Afrika, sans ignorer des chaînes internationales telles que RFI, BBC, DOCH-WELLE, la Voix de l'Amérique, Africa n°1, Radio Vatican et Canal Afrique, etc.

 

AU  NIVEAU  DE  SPORT

 

Pour notre étude, la population est constituée des jeunes sportifs prestant dans les équipes de football, de karaté et de boxe en groupement Bukiringi pour la période allant de l'année 1990 jusque 2014.

 

Voici la liste des clubs sportifs selon les années et les disciplines sportives en groupement Bukiringi.

 

Ci-dessous ont peut avoir 

 

1. Aigle vert

 

2. Djaribu

 

3. Léopard

 

4. Tout jeune solide

 

5. Amocha, et autres

 

En ce qui concerne le Karaté et Boxe, nous avons peu d'informations indépendamment de notre volonté.

 

ENGAGEMENT POLITIQUE 

 

Le droit de présider aux destinées politiques du terroir revient aux propriétaires de la terre et à leur descendance.

 

Le pouvoir politique est donné par la possession de la terre, c’est-à-dire le pouvoir économique.

 

Si, aujourd’hui, le groupement Bukiringi possède des cadres d’une grande compétence dans diverses organisations locales, provincial, national, et internationales, le niveau général de l’instruction n’est pas brillant.

 

C'est pourqu'oi ; « Les organisations professionnelles des politiciens nationales et locales jouent un rôle important dans le développement de leurs partis politique, mais ils n’ont fait que peu de progrès pour relever les défis auxquels sont confrontées les quelques politiens rurales.

 

SECTEUR SANITAIRE 

 

Le département de la santé dispose en groupement Bukiringi  qui assure le relais entre les zones de santé et l'inspection provinciale de la santé publique sous la coordination du médecin chef de district sanitaire.

 

À ce sujet,...

 

Duzoro Tabu  d'heureuse mémoire et ancien employé du centre de santé de Bukiringi avait dit que, les institutions sanitaires sont des entreprises s'occupant de la santé humaine.

 

Niveau et lieu d'étude

 

D'après lui, la formation intellectuelle fait partie des critères d'appréciation de la qualité d'une population. 

 

Selon les données, portant sur le niveau et le lieu d'étude que nous avons recueillies auprès du personnel échantillonné des institutions sanitaires au centre de santé de Bukiringi révèlent que ;

 

La profession médicale n'est pas chose facile car elle se pratique sur le corps humain n'ayant qu'une seule vie.

 

Ainsi, faut-il un personnel bien « rodé » dans la matière pour éviter des dommages éventuels. 

 

Sur le plan structurel, nous avons un Centre de santé qui fonctionne en groupement Bukiringi, et quelques postes de Santé ;

 

Donc  il s'agit de Sorodo, Atsuka, et Kanyamagaro.

 

Les maladies récurrentes sont :

 

Paludisme,

Infections respiratoires aigües

Fièvre typhoïde

Diarrhé

 

PÊCHE 

 

Quoique la pêche soit l'activité qui occupe la majeure partie de la population du groupement Bukiringi, au niveau des rendements cette activité reste marginale.

 

Cela s'explique par une pêche artisanale pratiquée dans la rivière ndera, lamasté, asimbé, nyamagaru, loya, libala, afubhu, angumé, tsemukoyo et dans les tributaires qui l'alimentent.

 

ASPECT DELA CHASSE

 

Les Ìndrŭ du groupement Bukiringi pratiquent la chasse par lance, arc, piège, ou à l'arbalète, à la sagaie et au filet.

 

Alors que la chasse à l'arc (ou l'arbalète) se pratique individuellement, les battues au filet peuvent rassembler les individus de plusieurs campements.

 

Les techniques de chasse varient selon le type de gibier disponible mais aussi selon les groupes ethniques.

 

La mobilisation et la sensibilisation de la communauté locale, les leaders locaux et les acteurs politiques dans la gestion.

 

La chasse est la traque d'animaux dans le but de les capturer ou de les abattre, les manger ou les détruire.

 

ZONE DELA CHASSE

 

Cela veut dire que, l'analyse des données disponibles révèle que, notre réceptif opère surtout dans un lieu de traditions de grande chasse dans la zone exclusive au bord de la réserve et frontière avec la chefferie de Bahema Mitego, et celle de Walese Vonkutu.

 

Nous citons entre autres

 

tsombé, nguja, musimbé, nyawanda,  musigo et musege, sont dans une des zones les plus sauvages du groupement Bukiringi, réputée pour les éléphants, buffles, phacochères, senguliers, gazelles, léopard, zèbre, singes, babouins, antilopes, girafe, les gorilles de montagnes, et autres animaux sauvages.

 

Quand la chasse est soumise à une réglementation, la pratique de la chasse en dehors de son cadre légal est appelée braconnage.

 

Le produit de la chasse est systématiquement partagé entre les chasseurs pour leurs familles, les fruits de la récolte eux ne sont distribuées qu'en cas de surplus.

 

D'après Mutoni grand chasseur du groupement Bukiringi 

 

LES PAYSAGES VARIÉS

 

Le groupement Bukiringi regorge de sites naturels spectaculaires et surprenants dans certaines parties comme la vallée de ndera de loya, et même celle de asimbé.

 

Lorsque vous partez avec un guide, et bien vous avez l’avantage de pouvoir découvrir d’incroyables paysages sur une seule et même journée : rivières asséchées ou en pleine saison des pluies rivières boueuses, escarpements, hodoos, de sables, de montagnes arides et de granit.

 

Des décors qui ressemblent aux roches rouges de l’Arizona, d’immenses palmiers plantés au milieu des pistes de sable qui vous rappellent le Maroc.

 

Il vaut mieux connaître la région car vous pouvez très vite vous perdre surtout dans une grande savane de la rivière Semliki.

 

La vallée naturelle de Semliki  où se localisent quelques réserves naturelles de chasse pré-cités sont notamment :

 

nyawanda, musigo, musege, nguja, tsombé et musimbé offrent un décor sauvage où de nombreuses espèces animales et végétales cohabitent.

 

Les paysages sont aussi époustouflants avec une alternance de vastes étendues et de forêts dans une grande plaine.

 

Les plaines alluviales s’étendent du Nord au Sud. Il s‛agit respectivement des plaines alluviales de la rivière Semliki ou les Rives occidentales se heurtent aux points des limites administrative surtout du groupement Burasi, Boloma Bamuko et Zadhu.

 

Les marécages attirent de nombreux oiseaux aquatiques alors que les autres espèces préfèrent les forêts tropicales.

 

En effet, la flore de Semliki se développe grâce à un écosystème riche.

 

Les paysages sont variés avec des plaines de savane ponctuées d’acacias et des forêts surtout en bord de rivière.

 

Le promenade vous permettra également de rencontrer les chasseurs, pêcheurs qui vivent dans les villages au bord de l’eau.

 

Donc les nombreux oiseaux sauvages emblématiques de l’Afrique, profitent d’une végétation riche et abondante, où le tourisme de masse n’est pas encore présent et où les coutumes et traditions sont préservées.

 

Propos de Wara chef de localité Bhule  à letsudo 

 

ENVIRONNEMENT ECLESIASTIQUE 

 

On dénombre plusieurs religions dans le milieu, mais nous nous intéresserons à celles qui interviennent activement dans les activités sociales telles que les oeuvres scolaires et sanitaires.

 

Les croyants traditionnels des habitants du groupement Bukiringi en général et ceux de la chefferie de Walendu-Bindi en particulier ont cédé durant l'influence du christianisme, toute la population actuellement croit en un seul Dieu, mais elle est éparpillée dans différentes communautés religieuses surtout ; les catholiques, et les protestants.

 

En ce qui concerne les communautés religieuses nous avons,...

 

CATHOLIQUE, RANE TEMPLE, ANGLICANE,  C.E 39, CECA 20, FEPACO MUNGU MWEMA, ET EAPEN.

 

À chacune des grandes occasions,  de Noël, Pâques et indépendance (30 juin), Nouvel An, les familles allaient boire en rond de maison en maison et c'était le moment où tous les parents, amis et beaux-parents se réunissaient dans des maisons particulières pour réfléchir. sur les événements de l'année.

 

« Donc ce phénomène  a renforcé les relations au sein des Ìndrŭ.

 

C’était le moment de partager les récoltes de l’année et ceux qui ne participaient pas au festin du manège étaient isolés.

 

Chaque fois qu’un problème leur arrivait, personne ne les réconfortait », a noté Adirodu Roger dans son carnet de voyages.

 

Le passé douloureux du groupement Bukiringi 

 

Dépuis 1999 à 2014, ce groupement était déstabilisé au gré des conflits, sur fond de pillages, viols et meurtres ont laissé les communautés du groupement Bukiringi désespérement pauvres.

 

Après plusieurs années d’instabilité causée par des groupes armés ethniques, le retour au calme relance les activités agricoles dans le groupement Bukiringi.

 

Ce groupement tient dépuis longtemps le rôle de grenier de la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.

 

Le retour au calme permet à la population de mener des actions de développement dans le secteur de l’agriculture, comme a pu le constater le blogueur et photographe Adirodu Roger Androzo.

 

Une preuve éloquente que l’agriculture à elle seule peut améliorer la vie dela population de Bukiringi et del'ituri.

 

Donc le retour à la paix permet petit à petit aux familles de retrouver leur autonomie grâce aux récoltes.

 

C’est ce qu’affirme Daring, père d’une famille de six enfants.

 

Pour lui, il a fallu deux saisons de bonnes récoltes pour ramener assez de revenus dans sa maison.

 

Parraport à cette situation, il affirme que deux de mes fils ont pu reprendre le chemin de l’école.

 

Si nous pouvons faire les champs en toute quiétude, les jours à venir seront meilleurs », espère-t-il.

 

Selon ses explications, si l’or, le cuivre ou encore le coltan sont importants pour le pays, il est peut-être important de compter sur l’agriculture pour développer le Congo.

 

ANALYSE DES RAPPORTS INTERCOMMUNAUTAIRES ENTRE LES ÌNDRŬ ET LA COMMUNAUTÉ HEMA DE MITEGO 

 

Selon histoire rendu publique par une source coutumière du groupement Bukiringi révèle que ;

 

L'enracinement d'un hema dans son environnement n'a jamais fait de lui un être vivant en autarcie.

 

L'histoire de ses rapports avec son voisin Ìndrŭ laisse apparaître une longue tradition de vie commune variant en fonction des époques.

 

Pendant la période précoloniale, la relation est essentiellement équilibrée ; une rupture intervient à l'ère coloniale.

 

Une coopération variée

 

Bien des traditions des Ìndrŭ présentent les hema comme un peuple pacifique dont les rapports avec leurs voisins Ìndrŭ ont généralement été harmonieux, et une collaboration sur plusieurs plans.

 

Bahati Samy par exemple écrit que les hema sont en contact avec les populations d'agriculteurs Ìndrŭ dépuis au moins 18 ième siècle», et qu'elle a un fondement socio-économique.

 

INTER-INDÉPENDANCE ÉCONOMIQUE 

 

Les Ìndrŭ et Hema, en raison de leurs modes de vie respectifs, ont été qualifiés les uns d'éleveurs-pasteurs, et les autres de cultivateurs-chasseurs.

 

Ce qui suppose d'énormes lacunes et le besoin de complémentarité dans leurs différents systèmes de production.

 

Aussi la demande en ressources naturelles était-elle élevée chez les hema dont la structure sociale est très large.

 

Leur productions en poisson viande et même les produits agricoles ne pouvant rivaliser celle des Ìndrŭ, véritable maître de la savane et la forêt.

 

À cet effet, leur espoirs ne reposaient principalement que sur l'agriculture, activité secondaire qui, bien que fournissant des denrées ilimitées, à l'avantage de faire stocker les réserves toute l'année durant.

 

Le hema quant à lui se trouvait dans une position d'infériorité technologique.

 

Au motif il ne travaille ni à l'agriculture et argile ni fer dont les produits revêtent pour lui un caractère nécessaire.

 

Le recours aux échanges s'avérait impérieux pour chacun dans le but de combler, ses manques avait expliqué notable Uliamu à ce propos.

 

Selon histoire ancienne chefferie des Kerengebha qui avait à sa tête le chef Rukome, de son vivant a cédé une partie de mitego au main de Kituku moyennant des redevances coutumières.

 

Donc Bukiringi est considéré comme groupement mère de mitego avec comme siège Kamatsi Mukubwa dès lors comme chef à investir à la tête de cette grande chefferie des Kerengebha englobant bien l'entendue village alumé, kaitangu, et une partie de mitego notamment village mukiro, sans oublier montagne nyambawa, rivière tsemukoyo, et celle de biliito selon notable Isakara de localité Aveba Mukubwa en 2018.

 

Dépuis l’époque pré-colonial, les gens vivaient d'ici et là, avec des objets datant de plusieurs siècles et des œuvres d’art sur les parois de granite attestent cette ancienne présence.

 

Et les petites entités qui vivent séparément aujourd'hui, formaient jadis un seul et même groupe des Ìndrŭ, selon histoire rendu en 1995 par Kabaseke chef du groupement d'heureuse mémoire.

 

Dans cette histoire

 

Adirodu Roger avait noté que, son voyage dans le groupement Bukiringi a duré pas mal de temps, ce qui lui a réellement permis de découvrir beaucoup de choses.

 

Plus loin aus périphéries de Bukiringi centre, les paysages verdoyants et vallonnés s’étirent vers la campagne où les habitants ont conservé un mode de vie rural del'est à l'ouest, du nord au sud. 

 

Allez ensuite à Kamatsi Mukubwa, surtout si vous aimez rencontrer la famille régnante du groupement.

 

ORGANISATION FAMILIALE 

 

Les membres de la famille royale du groupement Bukiringi sont appelés (angayidhu) clan et seulement ce sont les membres qui peuvent prétendre à devenir chef du groupement.

 

De son existence dépuis l’époque pré-coloniale à nos jours, des considérations différentes ont définies la donne existentielle de ce clan dominant.

 

Puisque, l’organisation du pouvoir coutumier mis en place par les souverains Ìndrŭ a fait une certaine impression sur les premiers occupants del'actuel groupement Bukiringi.

 

Selon notable Jean Pierre Madhanga notre source 

 

La musique, la poésie et les contes sont très importants dans la culture Ìndrŭ et de nombreuses histoires ont été transmises de génération en génération.

 

La culture est riche des capacités musicales et littéraires des sujets Ìndrŭ.

 

La musique traditionnelle, les contes populaires, les proverbes et les poèmes d'éloge ont été transmis de génération en génération et constituent la base d'une grande partie de leur culture.

 

Sur place ; Histoire ancienne renseigne que, dépuis l'époque pré-colonial, les habitations Ìndrŭ comptaient de 5 à 30 huttes.

 

Elles sont également disposées de manière hiérarchique, le chef étant placé à l'ouest et faisant face à l'est.

 

Les autres familles sont placées en fonction de leur ancienneté : les frères aînés et leur famille se trouvaient à l'extrême droite, tandis que les frères cadets et leur famille se trouvaient à gauche. 

 

Dans une vie communautaire 

 

Les hommes s'occupaient surtout de former les jeunes et améliorer leurs compétences pour que la sécurité puisse devenir une priorité de la communauté.

 

Peuple Ìndrŭ du chef Rukome à la faveur de la division du travail, s'est vu affecter des activités viriles : agriculture, pêche, chasse, forge,  défrichage, abattage des arbres, récolte du miel, travail du fer et du lithique étaient de son ressort.

 

La culture a été une arme de résistance, mais également un instrument et un symbole de renaissance.

 

Que ce soit à travers la peinture, la sculpture ou la musique, les Ìndrŭ ont retrouvé leur identité et pansé les plaies profondes à travers l’art qui résonne aujourd'hui dans sa culture.

 

Mais cela n’empêche pas les inégalités de se creuser et la pauvreté de persister.

 

Pendant ce temps là avec des différences flagrantes d’accès à l’éducation, des conditions d'emploi et de santé difficile pour une très grande majorité, le groupement Bukiringi connaît une vie sociale en deux teintes.

 

D’un côté la tradition et les valeurs ancestrales, de l’autre la jeunesse, qui tente de s’en émanciper.

 

Les femmes sont restés actrices de travaux domestiques, de la poterie, la vannerie et le tissage, en raison de l'analogie que l'on peut établir entre la fertilité du sol.

 

Àcet effet, elles leur revenaient de semer, d'entretenir et de récolter tout ce que l'on met sous terre.

 

Une terre du reste prélevée pour la fabrication des canaris et marmites indispensables à la conservation et à la cuisson des aliments.

 

La poterie archéologique

 

L’histoire post-néolithique débute avec l’apparition des métaux.

 

LA POTERIE

 

La pratique de poterie en groupement Bukiringi est très ancienne. Elle apparait avant l’agriculture, dans une économie de chasse et de cueillette.

 

Elle servait aussi bien à stocker les aliments qu’à les cuire. En dépit de l’apparition des matériaux modernes, son usage est toujours d’actualité.

 

Cette exposition nous montre cette longue histoire de la poterie à travers les techniques de production, la variété des formes, la diversité des fonctions et des usages.

 

LA VANNERIE 

 

Très nombreux, les vanniers perpétuent la fabrication des objets traditionnels (paniers et chapeaux de toutes les formes).

 

Ils cherchent également à s’adapter aux besoins du monde moderne en produisant des pantoufles, des chapeaux, des paniers à pain et des sacs à provisions.

 

Les techniques et les produits finis sont nombreux, différents selon les ethnies dont on imagine bien que la destination des objets sera adaptée à leurs besoins quotidiens.

 

Activité et une source de revenus sûrs.

 

Les vans et paniers sont également utilisés pour les grandes occasions comme les mariages traditionnels, on y dépose les cadeaux pour les jeunes mariés.

 

Ils servent également de sets de table ou tout simplement comme décoration, en abriquant de la même façon et avec les mêmes matières que les tabagas.

 

Ces objets  sont utilisés pour le service, dans les grandes occasions comme les mariages traditionnels, au cours desquels la tante en offre un à la jeune mariée pour servir son mari, sa belle-famille et les invités d’honneur.

 

Ils sont également utilisés à des fins décoratives, pour conserver la nourriture au chaud et la protéger des insectes.

 

Témoignages dela tante Nara Véronique voir localité Matafu 

 

FUNÉRAILLES ET DÉCÈS DANS LA COMMUNAUTÉ 

 

Autrefois, les funérailles n'étaient pas l'occasion d'un grand rassemblement social.

 

Donc les Ìndrŭ del'époque enterraient simplement le corps et ne parlaient plus jamais de la personne par crainte des esprits, et aujourd'hui, les funérailles sont synonymes de solidarité sociale.

 

Pendant les jours du deuil, on chante des hymnes, on prêche et on prie.

 

Après avoir creuser la tombe, une fois le corp est embalé dans une natte et placé à l'intérieur, avant d'être recouverte de terre.

 

Le dernier jour du deuil et le jour de l'enterrement, des discours sont prononcés et des messages de condoléances sont envoyés à la famille éprouvé.

 

Mitego terre de chasse du chef Rukome

 

Et ceci ne pouvait pas poser des problèmes entre les Ìndrŭ et les hema parce que,  c'est les autochtones de Rukome qui sont les fondateurs et premiers habitants du groupement bukiringi et mitego suite aux fluxes migratoires.

 

Pour les  hema qui sont à Boga ce n'est pas le cas.

 

Au début du 19 ième siècle

 

La communauté Hema à la rencontre de l'administration coloniale belges sont dotées d'un pouvoir coutumier, leur permettant de gérer soit une localité ou soit un groupement.

 

Les hema venus du Ntoro en Ouganda

 

Le pouvoir colonial leur donne l'opportunité de contrôler à la fois les richesses et le pouvoir du milieu au détriment des premiers occupants qui sont les Ìndrŭ.

 

Dans cette situation, le chef Kituku de Mitego se retrouveraient devant un fait accompli.

 

Mais l'intégration des hema à Mitego étant devenue spontanée, ils s'étaient établi dans une amitié qui s'étendait aux membres de leurs familles respectives ?
 
 
Kituku le chef d'éleveurs avait choisi par la suite, de s'installer au centre del'actuel Mitego, où est érigée la piste d'aviation du lieu).
 
 
Cette décision était motivée à la fois par un souci d'avoir d'espaces dans une grande savane locale.
 
 
Après la mort de Rukome
 
 
Son pouvoir à son fils Basele, étant que groupement de la descendance du fils aine de Rukome.
 
 
Les groupes sont complémentaires.
 
 
Entre les hema et Ìndrŭ Il n'y avait pas de promiscuité.
 
 
Dans une perspective plus proche, le receveur Timolo avait précisé que :
 
 
Les biens ainsi échangés parvenaient au coeur de chaque société à travers des nombreux réseaux d'amitié établis entre les membres de deux communautés.
 
 
Le brassage linguistique s'était établi entre les deux communautés.
 
 
Cependant, les Ìndrŭ  étaient plus fort à parler la langue hema, nécessaire dans les échanges.
 
 
Dans cette amitié ;
 
 
Quelques hema étaient obligés ainsi de vivre en groupement Bukiringi, Boloma, Bamuko,  et Bavi, au sein de plusieurs familles Ìndrŭ, mais souvent sans maîtrise de langue ndrǔna.

 
LES CICATRICES DEL' HISTOIRE 

 
Et les distances observées entre les deux communautés donnaient toute la mesure de cet adage.
 
 
Puisque jamais elles ne partageaient en commun leur répas.
 
 
Pire encore, les interdits sexuels étaient formels entre les deux groupes qui tenaient chacun à sa pureté. 
 
 
Un hema n'osait même pas regarder une femme Ìndrŭ avec convoitise ; et même s'il lui arrivait de le faire, sa demande n'aurait pas été agréée, en raison du complexe de supériorité qui animait les femmes Hema.
 
 
En revanche, les Ìndrŭ qui venait à transgresser cet interdit était déclaré impur et dénoncé tout de suite.
 
 
Côté dela communauté Ìndrŭ 
 
 
Cela se révélait lors de la réduction du fer où la présence de celui qui avait touché à une femme hema faisait échouer l'opération jusqu'à ce qu'il passe aux aveux et se purifie.
 
 
Cette distance n'était nullement une ségrégation entre les deux peuples plutôt une mesure visant à préserver la paix et l'harmonie entre les membres des deux sociétés qui vivaient dans la cordialité, les uns se mettant à l'école des autres.
 
 
 La transmission des techniques
 
 
Du fait de la non maîtrise de la technologie du fer, les hema se trouvait dans une position de faiblesse vis à vis des Ìndrŭ.
 
 
Le père Alita d'heureuse mémoire du clan bhesi avait expliqué à cet effet que, «c'est l'acquisition d'objets forgés qui constitue la base matérielle du rapport d'association et lui donne son caractère contraignant» aux hema.
 
 
Bien au contraire, les Ìndrŭ est crédité d'une grande science dont il mettait des efforts et les savoirs à la disposition des Hema.
 
 
On lui apprenait des techniques et des savoirs à perpétue un peu dans l'esprit de cet adage chinois qui dit : «Il vaut mieux apprendre à quelqu'un à pêcher que de lui donner du poisson».
 
 
Tout d'abord, les Hema apprenait au Ìndrŭ les différentes techniques surtout de la chasse.
 
 
Aussi une meilleure exploitation des richesses naturelles, exige-t-elle de remarquables capacités d'observation et d'analyse de l'environnement.
 
 
Les Ìndrŭ, maîtres dela savane et la forêt, trouvent du gibier là où les hema trouvent inutile de chasser.
 
 
Ils leur apprenaint à repérer les traces des animaux , à tuer les singes à l'aide des flèches empoisonnées et lui indiquait le procédé même de fabrication de cette substance dont les effets nocifs n'ont aucune répercussion sur le consommateur.
 
 
À l'époque coloniale, les Ìndrŭ et les Hema se disputaient le contrôle des terres dans le centre de la. Et la bataille se poursuit pendant la majeure partie du 19 au 20 ième siècle siècle.
 
 
Au cours de 19 ième siècle, et alors que les conflits s'intensifient et que la colonisation belges s'étend et occupe de plus en plus d'espace del'actuel province del'ituri.
 

En raison des restrictions imposées par certains hema à l'accès dans la savane de Mitego, les conflits fonciers entre les Ìndrŭ et les hema s'intensifient même en 20 ième siècle selon notre observation participative.

 

➡️https://adiroduroger-rdc.over-blog.com/2024/03/bukiringi-un-groupement-qui-s-etale-surtout-par-des-produits-agricoles.html

Articles des Révues Périodique/Archives mensuelles : de mars-2024/Carnet des voyages/Adirodu-Roger

 

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Conflit de pouvoir coutumier en chefferie de Walendu-Bindi

17 Mars 2024 , Rédigé par Équipe des Webmasters

👆🏿👆🏿👆🏿 Carte dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi 🇨🇩

👆🏿👆🏿👆🏿 Carte dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi 🇨🇩

WALENDU BINDI : Autour d'un conflit du pouvoir coutumier en chefferie de walendu Bindi au sud irumu en ituri.

 

La notabilité de cette entité coutumière par le biais de son président PEKE ZABA a dans une déclaration faite à notre équipe de rédaction jeudi  14 mars 2024 promet mettre un ultimatum sur la table pour tous jeunes qui cherche à tourmenter l'air de paix que respire la population de cette chefferie, qu'il sera poursuivi par la loi.

 

"Tout ce qui se passe actuellement autour de confit de pouvoir coutumier en chefferie de walendu Bindi nous le considérons comme un désordre total, cette jeunesse qui se proclame souciente ne représente pas la jeunesse de cette entité coutumière, car walendu bindi a un comité de la jeunesse bien structuré et nous condamnons ce genre de comportement de cette jeunesse que nous ne voulons pas attendre dans notre entité coutumière " a dit la notabilité."

 

Cette structure de la population dit reconnaître le pouvoir actuel placé à la tête de cette chefferie car l'ex chef coutumier Olivier Peke avait été déjà dechu par sa famille régnante.

 

Dépuis la destitution de chef Olivier Peke, une crise de légitimité sévit dans la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.

 

Dans cette situation, le vouloir devenir chef coutumier ou s'intéresser au leadership des affaires coutumières présente beaucoup de risques. 

 

Plusieurs familles qui se disent "royales" s'entretuent et se chamaillent à chaque intronisation d'un chef coutumier communément appelé "mwami".

 

"Nous avons un frère qui veut revenir encore trop aux affaires du pouvoir coutumier, et peut-être qu'un jour il voulait devenir encore chef coutumier. 

 

De ce que nous entendons souvent est que, la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi est butée à des facteurs multiples qui gangrènent les politiques financières.

 

On peut citer entre autre, la persistance ou la pérennité des séquelles des conflits internes (les conflits de pouvoir coutumiers) ; la persistance de désobéissance interne ; l'absence de l'information et la participation populaire, la megestion financière qui se manifeste par le détournement des fonds, l'opérationnalité des plusieurs taxes dont certaines sont illégales; l'esprit non décentralisé de la part des dirigeants et de la population et enfin l'insuffisance du revenu de la population due à la mauvaise répartition des terres.

 

Au point de vue historique du clan Bindi 

 

Le Bindi était à l'origine un clan majeur dans ce qui est aujourd'hui groupement zadhu et Bamuko situé vers le nord dela chefferrie traditionnelle de Walendu-Bindi, en térritoire d'Irumu, province del'ituri, vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo.

 

Les caractéristiques de la civilisation du clan Bindi 

 

C'est pour dire que, ancêtre Bindi disposeait donc d’un pouvoir absolu et très centralisé.

 

Et si les membres du clan Bindi lui reconnaissent des pouvoirs magiques, comme de gérer les crues del'actuel groupement Zadhu et Bamuko, le Nº 1 du clan Bindi ne devient dieu qu’après sa mort.

 

Durant son règne, ce dernier est doté de pouvoirs illimités.
 

Dans son travail, il est aidé par une puissante administration dont les personnages les plus importants sont les guerriers.

 

L'organisation socio-culturelles

 

Cela veut dire que, la structure socio-culturelle du clan Bindi qui regroupe les zadhu et les mukobha reste conforme au modèle des sociétés lignagères, principale caractéristique des locuteurs du peuple Ìndrŭ.

 

Le lignage constitue à cet effet l'unité résidentielle, le cadre de référence de la vie sociale.

 

La succession est patrilinéaire.

 

Les individus s'identifient à leur clan d'origine dont ils portent le nom de l'ancêtre fondateur.

 

La société

 

C'est le plus grand clan dela chefferie traditionnels de Walendu-Bindi actuel.

 

Compte tenu de l'appartenance du clan Bindi à la famille des Ìndrŭ, puisqu'avant et après l'indépendance du Congo, le pouvoir dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi fut largement tenu par le clan Bindi majoritaire )

 

Longtemps présentée comme une société figée et panégritique, le clan Bindi reste à plusieurs égards bien organisée, assez dynamique et parfaitement intégrée dans son milieu de vie.

 

Notamment  ;

 

Dans le groupement Zadhu et Bamuko.

 

Le cadre de vie

 

Les Bindi dépuis les lustres, habitent la grande savane équatoriale où ils y tirent l'essentiel de leur subsistance, ainsi que la matière de tous les objets qu'ils fabriquent.

 

Cette savane sert également demeure à leurs divinités tutélaires.

 

Dans cette entité coutumière de Walendu-Bindi, ils se considèrent comme un élément au même titre que les autres composantes des clans à savoir :

 

les Boloma, les Adabha, les Kerengebha, et les Ts'Rits'/Rutsi 

 

Donc chaque clan reste l'objet d'une autonomie culturelle qui fait son identité.

 

Culture du clan Bindi 

 

Par-exemple ; La jeunesse masculine Bindi ayant passé par une période d'initiation appelée "bpangayododa omvuroro" au cours de laquelle les jeunes hommes apprennent les compétences nécessaires à la protection de leur communauté.

 

Donc les bindi, en tant que clan, ont prospéré dans leur nouvelle région, développant une société organisée et une force militaire redoutable.

 

La communauté bindi a migré à partir de la côte est de l'Afrique au fil des siècles, faisant partie des mouvements migratoires bantous, semi-bantous, soudanais, et nilotiques de plus en plus larges.

 

Selon l'histoire ancienne, ces migrations étaient souvent motivées par la recherche de terres fertiles, et de nouvelles opportunités économiques.

 

ELEMENTS D' ETHNOGRAPHIE

 

La nature des relations entre les différents clans reste fortement tributaire des influences culturelles de chaque groupe.

 

Ainsi en est-il des rapports entre les Bindi, les Boloma, les Adabha, les Kerengebha, et les Ts'ritsi' qui, bien qu'appartenant tous au sérail des Ìndrŭ qui ont développé chacun des traits culturels spécifiques dont il convient de mieux cerner leur relation communautaire.

 

La parenté linguistique

 

Des données qui ont été entérinées par la linguistique Kostache Lodjenga révèle que,...

 

Celle-ci aura permis d'affirmer l'appartenance de ces groupes Ìndrŭ au complexe ethno-linguistique Lendu.

 

Ma langue est mon identité

 

« Ma langue est mon identité », dit Hubert Mutimba linguistique le fils digne du groupement Bamuko.

 

Pour lui, la langue, étant un moyen de communication, d’éducation et d’intégration sociale d’une population, qui doit être préservées et revitalisées.

 

Structures économiques

 

L’économie des Bindi souvent est basée sur l’agriculture, la pêche et le petit commerce.

 

Parmi ces trois activités, le travail de la terre est resté un élément essentiel de leur vie et ce travail est souvent exécuté en commun.

 

La production

 

Le régime alimentaire du clan Bindi, centre névralgique de son économie, est constitué en majorité des produits agricoles, dont la prise exige une dépense de temps et d'énergie considérables.

 

Le temps consacré aux activités liées à cette production montre à quel point il s'agit d'un véritable travail qui obéit à une répartition des tâches entre les sexes.

 

La femme, est essentiellement chargée de glaner la nourriture.

 

Mieux que tout autre clans dans son cadre de vie, les Ìndrŭ sont profondément attachés à la grande savane.

 

C'est pourquoi ils se définissent comme un peuple de la savane.

 

Ils s'y épanouissent à travers toute une série d'activités ludiques qu'ils développent dans le but de se procurer du plaisir.

 

Expansion des Ìndrŭ

 

Selon une version de récits, les autochtones achèvent leur implantation sur l’ensemble de l’actuelle chefferrie traditionnelle de Walendu-Bindi vers le début du 17 ième siècle avant notre ère, tandis que l’extension géographique maximale de ces est atteinte vers le début 18 ième siècle de l’ère chrétienne.

 

Ils sont souvent considérés comme des descendants de légendaire Funzi

 

C'est l'un des principaux groupes des lendu qui se sont installés entre la rivière Semliki et celle de Loya, vers la la partie Nord-Ouest de la République démocratique du Congo.

 

Ils appartiennent au grand groupe linguistique des Lendu qui regroupent.

 

Essentiellement

 

Les Ìndrŭ, ies Bhâle, et les  Lubgara, 

 

Donc l’implantation solide des Ìndrŭ en Ituri tiendrait à leur maîtrise dela savane !

 

Le phénomène historique le plus spectaculaire qu’ait connu la région durant cette période concerne les Ìndrŭ.

 

À l'époque où les Ìndrŭ se sont établis, la région était habitée par de nombreuses communautés de clans.

 

La communautés Ìndrŭ était des groupes de personnes partageant une langue et une culture communes.

 

Elle était également appelées " Ìndrŭay-Bhâle", un terme qui désigne un peuple.

 

Chaque communauté ou clan était identifié par un nom de clan, appelé " dhudhudhu ", qui faisait référence à leur lignée ancestrale ou à leur nom de famille.

 

Donc au cours de 17 siècle, pas moins de six de chefferies Ìndrŭ se forment ainsi.

 

L’organisation du pouvoir mis en place par les souverains Ìndrŭ fait une certaine impression sur les premiers occupants del'actuel chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.

 

Sur l’ensemble d'une entité coutumière de la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi, on considère que les habitants vivaient en petits villages dispersés.

 

Le niveau d’organisation politique était faible et les sociétés locales de certaines chefferies souvent troublées par des querelles avant la colonisation.

 

Les Ìndrŭ ; Le terme qui désigne souvent l'ensemble dela communauté humaine constituant les autochtones dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.

 

Dans l'aspect Physique

 

Ils partagent entre eux toute sorte de taille à une allure puissante aux traits fins, mais aussi une homogénéité relative de civilisation lié par un certain nombre de coutumes, notamment l'origine, l'histoire commune, et même la tradition-socio-culturelle.

 

Caractéristiques anthropologiques et sociologiques

 

Les Ìndrŭ ont une taille normale, mais on peut trouver ceux qui sont élancés et ceux de petite taille, avec teint surtout ou sombre.

 

Rites et thérapie

 

Il est généralement admis que certains membres dela communauté Ìndrŭ sont les grands féticheurs.

 

Ils ont une connaissance approfondie des plantes sylvestres dont ils se servent aussi bien à des fins thérapeutiques que pour modifier le cours des événements.

 

Cette médecine se pratique à base de feuilles, d'écorces et de racines des plantes.

 

L'infusion des remèdes s'effectue à travers les orifices naturels quand elle ne procède pas par scarification.

 

Des traitements locaux s'opèrent également par application cutanée.

 

Cette médecine n'a pas que des vertus curatives, l'aspect préventif fait recours à l'usage des fétiches.

 

Ce sont des objets consacrés dotés de certaines vertus.

 

Leur double rôle est d'attirer la chance, et d'écarter les mannes malveillantes. Pour le R.P. Trilles, «ce sont des moyens de salut pour le but qu'ils poursuivent »

 

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Gety RDC ; Le calme revient après de fortes pluies qui ont endommagés quelques toitures des maisons

11 Mars 2024 , Rédigé par Équipe des Webmasters

 

GETY RDC ; Des vents violents accompagnés d'une forte pluie ont fait d'énormes dégâts matériels dimanche 10 mars 2024 vers 17h locale selon plusieurs sources qui nous livrent cette information.

 

```_☔🌡Donc la forte pluie torrentielle qui s’est abattue dimanche au chef lieu dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi, a laissé derrière elle d’énormes dégâts matériels.

 

Celle ci, ne s'est pas arrêtée sans pourtant laissé les dégâts énormes.

 

Les informations en notre possession révèlent que, quelques tôles de la maison 🏠 de chef de Zone de santé de gety, celui de Docteur Essaie a été apporter par les vents violents de part et d'autres au moins une quart partie de la toiture s'est déplacée à un 30m de la parcelle proche de la route.

 

D'autres dégâts matériels ont été aussi signaler.

 

Aucune perte en vies humaines n’a été enregistrée, poursuit la même source.

 

Mais aussi au cours de cette situation maccabre, en effet, la rivière anjikye qui marque la limite entre Gety-Eat et Gety-Mission a été débordée  de son lit.

 

Les eaux se sont étendues à environ 5 mètres

à la surface.

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