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Adirodu-Roger Cyber-Notes

Aveba Mukubwa ; Le mont-awi est idéale pour l'observation de cette localité dela Rdc

10 Avril 2024 , Rédigé par Équipe des Webmasters

Aveba Mukubwa ; L'une de grandes localités dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi situé dans la province del'ituri, térritoire d'Irumu, vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo

Aveba Mukubwa ; L'une de grandes localités dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi situé dans la province del'ituri, térritoire d'Irumu, vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo

. PRESENTATION DE L'AGGLOMÉRATION D'AVEBA

Aveba Mukubwa est l'une des grandes d'agglomérations dela chefferie de Walendu-Bindi, localisée dans le groupement Boloma, térritoire d'Irumu, province del'ituri, vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo.


Cette localité qui s'est vite développée autour d'un grand centre hospitalier hôpital implanté dans le milieu vers 1986 par le missionnaire del'église C.E.E. communauté Emmanuel.


Premier hôpital du milieu pour les noirs. Il a reçu les malades en provenance de tous les coins du groupement Boloma.


Après guérison, certains jugèrent bon de rester à Aveba à cause de la fertilité du sol.

- Fuseau Horaire ; UTC+2

Région d'Afrique centrale


Les coordonnées prélevées au niveau del'hopital général d'Aveba nous montrent.


Elle est situé entre 11°12'43"N et 30°05'17"E donnés optenu dans le quadrillage de logiciel Google Earth au centre d'Aveba, avec une altitude de 1550 m au dessus de la mer.


Ses frontières avec les localités ruraux voisins sont tantôt naturelles, tantôt artificielles.


C'est ainsi qu' elle est limité :


· A l'Est par rivière Adhina


· Au sud-est par localité Fungusa


· Au Nord par localité Anyaga et Kaswara


· l'Ouest par localité Djimo


Jonas Mbosu Brinzi


LE RELIEF


Aveba est un lieu des petits montagnes sauf certains endroits abritant l'hôpital dela place.


Le sol est argilo-sabloneux de la qualité de chaux et fragile, impliquant la présence des érosions à grande échelle sur les rives des rivières et ruisseaux.


Les sous sol est sans aucun renseignement car aucune prospection géologique ne s'est jamais faite ici.


Le centre est occupé par une petite plaine alluviale argileuse :


CLIMAT


La cité d'Aveba jouit d'un climat tempéré avec une altitude qui va de 1745 m à 1750 m. elle connaît un alternance de deux saisons : une saisons sèche de 6 mois qui va de Janvier , Mars, Septembre, Octobre et Novembre et une autre saisons pluvieuse de 6 mois qui ava aussi de Février, Mai, Avril, Juillet, Aout et Décembre.


Quant à la vérification de la température, elle oseille entre 20 et 28°C.


Végétation


C'est une savane herbeuse dont la paille forme l'ancienne végétation.


L'initiation de la culture de l'arbre du genre Eucalyptus est née des agronomes pour maintenir l'environnement  à Aveba.


🇨🇩 Aspect hydrographique


Les rivières d'Aveba sont ;


1 . Adhina


2 . Ifé


3 . Tambi


4 . Ikpa


5 . Ambata


Trois principales rivières sont Ambata, Ikpa et Adhina.


Ils ont leurs sources dans les montagnes surplombant l'agglomération d'Aveba.


Il n'y a aussi des petits ruisseaux dans la vallée d'Aveba mais aussi dans les villages environnantes qui peuvent être électrifiés à partir des chutes nyawu et ngbotili localisés sur la rivière anjikye.


🇨🇩 Les montagnes et petites collines d'une grande importance parraport au passage naturel sont :


1 . Nyongo


2 . Tsengu


3 . Adudu


4 . Bamutu


5 . Odruku

 

Autres ressources

 

Le groupement Boloma regorge des pierres précieuses. Exploitées de manière artisanale et sans aucune organisation formelle dela (société minière), les sites d'extraction ont été, surtout de ces dernières années des lieux d'affrontements entre divers groupes armés.

 

🇨🇩━☞ACCÈSSIBILITE ET VOIES DE COMMUNICATION

 

Localité Aveba Mukubwa compte 4 grands axes de route vitale qui renferment et compte quelques ponts généralement en mauvais état et inachevés.

 

Tous ces axes sont plus ou moins praticables mais ils nécessitent des interventions mécaniques à grande échelle pour leur réhabilitation car ces réseaux sont très important pour l'évacuation des produits agricoles parce qu'il s'agit des voies de desserte agricole permettant de désenclaver les zones de production.

 

Appart ces routes, les grands sentiers soit localisés sur les troussons ci-après :

 

- Axe Aveba-Mont-Hoyo via localité Badjanga-avallu-aveluma ;

 

- Axe Aveba- Kabona via Kyenga Nyarara Munobi-Gety ;

 

- Axe Niankunde- Aveba via localité modhiro kaswara-bavi

 

- Axe Badjanga-Bukiringi localité avezu-ozoba, et matafu

 

Les communications sont des diverses formes car les routes relient les cités et localités voisines et l'extérieur. 

 

Routes : Oui


Voies aériennes : Oui


Biefs navigables : Non


Train : Non

 

MOYENS DE TRANSPORT 

 

En République Démocratique du Congo, plus particulièrement à Bukiringi, les moyens de transport utilisés par les grossiste pour le transport de leurs marchandises sont quelques fois diversifiés.

 

Pour le cas précis , après nos enquêtes nous avons constaté que la plupart des importateurs des marchandises empruntent la voie terrestre pour le transport de leurs marchandises du lieu d'approvisionnement jusqu'au lieu de destination qui est agglomération de Bukiringi.

 

Les transports des charges et marchandise aussi que les voyageurs pour les marchés lointaine sont assurés par les camions, les voitures, les motos, vélos.

 

Et les petit charges sont transportées au dos ou à la tête.

 

En plus des routes, localité Aveba Mukubwa dispose de l'aérodrome qui reçoit seulement des petits porteurs avec une piste d'environ 880 m. 

 

Cette piste accueille des petits avions comme LET 410 qui assurent surtout le transport des médicaments, les personnes et des marchandises à destination de d'autres grandes agglomérations de la RDC.

 

Données socioéconomiques, sanitaires et éducatives


Sur les données valides


La grande partie de la population pratique de l'agriculture des cultures vivrières dans les surfaces morcelées en parcelle en dehors de l'agglomération d'Aveba.


La population s'en donne à l'élevage domestique des poules, des canards, cobayes, chèvres, moutons, lapins, etc. Certaines personnes se livrent aux activités artisanales, commerciales etc.


C'est pour dire que, l'agglomeration d'Aveba a une population qui vit de l'agriculture relativement la culture  deharicot, bananiers, patate douce, tomates, etc.) ; de l'élevage tels que les poules moutons, chèvres, lapins, porc, etc. ; du commerce (vente des arachides, bananes, avocats, etc.).


Ce quartier est doté d'un marché et des boutiques, kiosques retrouvés de part et d'autres de la route.


Cette agglomération abrite les écoles primaires, secondaires et un hôpital général de référence aussi des institutions surtout dela religion catholique et C.E.E.

 

LE SENS DU NOM « BOLOMA»

 

D'après les connaissances suivant les données des sources orales les BOLOMA seraient originaires de la localité de Kpandroma chez les Walendu Pitsi.

 

D'après l'histoire, ancienne, arrière grand parent du groupement Boloma s'appellerait MBADHU et eût de son vivant trois fils parmi lesquels BOLOMA qui était une fille.

 

À sa mort, c'est à BOLOMA sa fille qu'il légua son pouvoir. D'où l'appellation du groupement BOLOMA.

 

Toujours d'après l'histoire que j'ai lue, en réalité le Chef du groupement serait de l'actuelle localité MAHIMBI ou ZEDHU qui fut le fils aîné qui devrait hériter le trône. 

 

C'est là que je ne me retrouve pas qui était le père de ZEDHU. Malheureusement, le jour de l'investiture de ZEDHU pour succéder à son père, ZEDHU prépara à ces hôtes qui étaient les Lese battant tambours la feuille de colocase. Je ne sais pas comment ça s'écrit mais c'est ce que nous appelons chez nous otomobi. 

 

Indignés, les hôtes du Chef traversèrent dans l'actuelle localité d'AVEBA et investirent NGAWI, le cadet de ZEDHU chasseur de son état qui prépara à l'occasion la viande de gibier qu'il avait ceuilli pour ses hôtes.

 

Mais comment le pouvoir coutumièr est parti à KABONA dit-on que FANDA fut le fils adoptif du Chef BOLOMA. 

 

Le Chef ne faisant confiance à personne parmi ses enfants à sa mort, désigna comme son successeur son fils adoptif en lieu et place de ses propres enfants. Voilà la raison d'opposition depuis entre les Inzibha et les Ngawidhu .

 

Je sais que cette histoire que je retrace n'est pas fidèle mais l'idée majoré qu'il faut retenir peut se résumer en trois :

 

- Le nom du groupement BOLOMA vient du nom d'une fille d'un ancien chef de BOLOMA ;

 

- En réalité, suivant l'histoire c'est la localité MAHIMBI qui dirigerait le groupement BOLOMA mais ZEDHU n'étant pas investi, c'est son cadet NGAWI qui fut investi chef de BOLOMA ;

 

- Par ailleurs, l'actuel Chef de Groupement qui provient du clan INZIBHA ( KABONA) remonte à l'avènement de FANDA, fils adoptif du Chef BOLOMA, originaire de la localité AVEBA MKUBWA.

 

Source : Mémoire de MUGANGA BAMUTANA à l'ISP/BUNIA

 

La chefferie de Walendu-bindi qui conserve les tombeaux de la plupart de ses souverains et leaders d'opinion public d'une longue date, fût créé suivant le PV N⁰ 00 85 du 03 décembre 1931, par l'administrateur térritorial d'Irumu, à l'époque colonial. l'AT Halleux de l'époque congo belge qui trace la carte des 5 chefferies réunifiées et la délimitation des enclaves d'une localité Lagabo, Lakpa, et Nombe, avec comme Chef-lieu Gety-Etat.

 

La décision de la réunification sera signée en 1929 et appliquée en 1933, ainsi, il est facile de voir que toutes ces six Chefferies et non cinq comme l'avait présentait l'invité Excellence Ministre provincial Honoraire del'ituri, que nous saluons sa mémoire Osée Didi Angaika au cours d'un débat consacrés à la page socio-culturel et histoire dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi avec un groupe des diplômés originaires dela chefferie de walendu-bindi à partir de Bunia.

 

Pour lui, ces dernières ont fonctionné jusqu'à 1933, ce qui a occasionné la création de l'actuelle Chefferie des Walendu-Bindi le 15 mai 1933.

 

Nos sources contactés pour la cause précisent que, le 05 décembre 1933 est considérée comme la date de la création officielle de la Chefferie de Walendu-Bindi.

 

Il convier d'ajouter que, c'est à l'époque colonial en 1933 que les anciens royaumes sont devenus des groupements établies sur des bases rationnelles avec une réduction rigoureuse de l'autorité des anciens chefs coutumiers, ou la plupart d'authoctones sont établies dans la savane.

 

CHRONOLOGIE ET HISTOIRE ANCIENNE 

 

C'est pour dire que,......

 

Les Ìndrŭs sont un peuple qui forme un groupe humain ayant en commun un héritage culturel comprenant la langue, la culture et l'histoire, mais qui n'est pas nécessairement uni par une autorité commune. 

 

ASPECT DÉMOCRATIQUES DU MIEU

 

Population

 

La région est occupée par le peuple Ngiti appelé traditionnellement Ìndrŭ.

 

Les Ìndrŭ ; Le terme qui désigne souvent l'ensemble dela communauté humaine constituant les autochtones dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.

 

ASPECT PHYSIQUE 

 

Ils partagent entre eux toute sorte de taille à une allure puissante aux traits fins, mais aussi une homogénéité relative de civilisation lié par un certain nombre de coutumes, notamment l'origine, l'histoire commune, et même la tradition-socio-culturelle.

 

Une première cause de leur immigration dans le Kibali-Ituri, et dans la chefferie de Walendu-Bindi en particulière, était les calamités dans le Royaume Nyoro, la famine,  la rareté des terres fertiles et la crise économique.

 

On note des  migrations des peuples (Lendu) au XVIIème siècle dans la région située au délà du Graben de grand lacs sous la poussée de l'Ethnie de Nyoro, et Bachwezi qui ont mis en mouvement les lendus via le lac Albert, et la rivière Semliki.


La concentration de la population devient de plus importante suite à grande ampleur dont les causes principales sont les guerres.


Ils sont les fondateurs et premiers habitants de localité Aveba mukubwa suite aux fluxes migratoires au XVI et XVIIème siècle.


En général, l'équipe de votre rédaction constate que, localité aveba mukubwa a une population homogène, del'ethnie Ìndrû, communément appelée Ngiti, qui représente la majorité de la population, et le 0.01% est constituée des Nandes, Nyali, Bira, et de d'autres ethnies en provenance du Kivu même des autres provinces de la RDC et des étrangers.

 

La mortalité maternelle est l'une des plus élevées au monde (882 pour 100 000 naissances vivantes), tandis que le taux de mortalité des enfants de moins de cinq ans en groupement Boloma est le sixième le plus élevé en chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi (116 enfants sur 1000.

 

Localité Aveba Mukubwa a également l'un des taux de fécondité les plus élevés avec 4,5,et 6 naissances par femme. 

 

L'espérance de vie moyenne est de 53 ans, hommes et femmes confondus.

 

Le déclin démographique relatif s’accompagne d’une baisse effective de la population masculine.

 

Une étude consacrée en groupement Boloma dans la Province del'Ituri (RDC) donne une moyenne de 84 hommes pour 100 femmes dans les villages et parfois seulement 60 (Équipe de notre rédaction 2018).


Ce phénomène de « féminisation » de la population rurale constituerait l’une des difficultés auxquelles se heurte la croissance de la production agricole, par manque de main-d’œuvre pour défricher la forêt puisque de nombreux hommes sont partis à la ville.

 

La faiblesse de l’indice de masculinité en milieu rural est observable dans les données globales du groupement.

 

De façon globale, on note une forte proportion de jeunes et une faible importance de la population âgée quel que soit le milieu.

 

Une analyse selon le sexe montre que la population masculine est relativement plus importante en milieu urbain (50,2 %) qu’en milieu rural (48,5 %). Autre constat, la population de 60 ans et + représente 5,4 % en milieu rural contre seulement 2,3 % en milieu urbain.

 

Le déclin démographique des campagnes est relatif. Les données statistiques disponibles montrent que la population rurale reste encore majoritaire dans plusieurs groupement de Walendu-Bindi.
 

Le groupement peut être classer deuxième ou premier sur 6 en termes d'égalité des sexes. 

 

Ces écarts entre les sexes contribuent à des taux élevés de VBG qui représentent un obstacle important à la pleine participation des femmes à la vie sociale et économique.

 

Leur autonomisation est pourtant essentielle au développement du pays. Bien que le groupement Boloma se soit engagée à respecter l'égalité des sexes dans la Loi, la mise en œuvre reste faible, ce qui prive les femmes et les filles de toute protection. 

 

[Sources d'Équipe de notre rédaction 2020])

 

Situation sociale

 

De plus, les filles peuvent hériter des biens de leurs parents décédés, tout comme le conjoint survivant (l'homme comme la femme) a le droit d'hériter des biens de son conjoint décédé. 

 

🇨🇩Les types de ménages.

 

Ø La monogamie.

 

C'est le lot des jeunes couples et des maris qui ont une bonne morale religieuse. 

 

Certains attendent d'avoir assez de moyens pour prendre une autre femme. 

 

L'habitation est constituée d'une seule maison.

 

Malgré des conditions de vie parfois très difficiles dépuis l'époque pré-coloniale Ìndrŭ furent localement dangereux.

 

Ils sont connus pour leurs danses traditionnelles, notamment le ndrŭna-gyi, connue pour être une dance traditionnelle en chefferie de Walendu-Bindi.

 

Néanmoins, les mentalités sont assez souples à l’égard des femmes, surtout dans les villages.

 

Il est courant de voir une femme fumer dans la vie quotidienne, et le rapport au sexe est dénué de tabous.

 

Cependant, si a priori il fait plutôt bon vivre en groupement Boloma pour une femme, le poids des structures traditionnelles reste très présent et les mariages ne laissent pas toujours la liberté prévue dans la loi dans les zones rurales.

 

Des croyances lourdes à porter

 

Une autre difficulté sociale touche les mères célibataires, et plus encore les mères d’enfants handicapés.

 

Encore trop de monde croit qu’il s’agit du sort de la magie noire ou encore du fruit d’un adultère.

 

Ainsi, le glissement des populations vers les contrées moins peuplées est déjà opérationnel.

 

. LANGUES

 

La population étant composée majoritairement de peuples de la tribu Ìndrŭ qui est un peuple d'origine sud- soudanaise, ce qui fait que, le ndrŭna reste une langue prédominante. 

 

À leur arrive, le swahili est la langue vernaculaire de liaison. Mais de plus en plus, le ndruna est adapté par d'autres tribus à raison de l'importance démographique. 

 

Pour communiquer et rester en contact avec les populations venant d'ailleurs, le peuple Ìndrŭ s'adonne aussi à la langue Nationale parlée à l'Est du Congo, le « SWAHILI ». 

 

Cette dernière est apprise à l'école, en famille et dans les centres d'alphabétisation. 

 

Elle est plus parlée dans les localités et cités se trouvant le long des routes que celles de l'intérieur.

 

Mais aussi le français, est considérés comme langue officielle et d’enseignement est parlée par une minorité instruite.

 

La langue locale est : Le Ndruna parlé par les Ìndrŭ ou ngiti ;

 

Le Swahili est apprise à l'école, en famille et dans les centres d'alphabétisation. C'est une langue plus parlée dans les localités se trouvant le long des routes que celles de l'intérieur, le français reste la langue officielle et de bureau selon les lois du pays.

 

Le Lingala est plus parlé par les migrants venus d’ailleurs et par une petite partie des originaires du térritoire national.

 

Le Français reste la langue Officielle et de Bureau selon les lois dela République démocratique du Congo.

 

Dynamiques sociales et culturelles

 

Les principales obligations sociales qui sont habituelles dans la zone sont les suivantes :

 

- Noel et nouvel an, naissance, mariage, décès, enterrement, cérémonies religieuses, les fêtes fériées,

 

- Les entraides dans la zone sont relationnelles par affinités au niveau de la communauté et font des collectes de fonds.

 

- Le salongo peut se faire chaque semaine ; soit pour le développement du milieu (traçage des routes des quartiers, avenues, des entretiens routiers non sur l'axe principal qui est couvert par Foner, construction des abris pour les paillottes politico administratives, les bénéficiaires de Salongo sont parfois la population et leurs chefs administratifs.

 

Le rassemblement se fait à l'air libre par exemple aux ronds-points, dans la cours de différentes écoles, et aux églises, et souvent ces rencontres se déroulent quand il ya appel des autorités pour le meeting populaire, des annonces politico administratives, campagne d'évangélisation, sensibilisation sur un thème donnés, au sein Barza Intercommunautaire.

 

En savoir plus sur les montagne awi.

 

Le mont awi est une haute montagne dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi


Localisation


République démocratique du Congo.

 

Altitude


Avec environ 1700 à 1800 m d'altitude le point culminant de cette montagne ce qui en fait aussi le plus haut sommet dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi au côté du mont Omi, Isura, et Alimo.


Massif Vallée du Grand Rift


Selon la cosmologie des Ìndrŭ de localité Badjanga,le mont awi possède une couverture végétale de montagne aux variations spectaculaires attribuées aux facteurs d'altitude et à d'autres facteurs comme la nature du sol, entre autres.

 

La couverture végétale change avec l’augmentation de l’altitude, c’est comme observations de différents villages et localités surtout du  groupement Boloma.


La montagne est naturellement dotée d'espèces florales riches et variées.


On y trouve la savane africaine tropicale.


Intégrite


Les problèmes auxquels est confronté le parc sont : l’utilisation qu’en fait la communauté (collecte de bambou), le développement du tourisme, la croissance démographique et les pratiques agricoles. 


L’augmentation de la population vivant autour du bien ajoute une pression sur les ressources forestières, bien que l’importance culturelle que les communautés locales attachent à cette montagne, ainsi que les avantages résultant de l’écotourisme et la réglementation de l’usage des ressources végétales sont conçues pour juguler cette menace.


En raison des rivières alimentées par des ruisseaux provenant de cette montagne qui sont souvent des sources dela rivière ambata, ipka, itsé, et kamka.

 

Visiter le mont awi vous mènera à la première, ou  deuxième plus hauts sommets dela chefferrie de Walendu-Bindi. 


Tôt le matin et en fin de journée, vous aurez peut-être l’occasion d’avoir une vue dégagée sur la montagne Awi, si le temps est clair.

 

. Expérience culturelle dans la montagne Awi.


Une autre activité intéressante autour de cette montagne est l’immersion culturelle. 


Le soir, des habitants de tous âges se réunissent pour célébrer leur culture, et un nombre limité de personnes sont invitées à se joindre à eux. 


Vous aurez la chance de participer de manière inclusive aux réjouissances traditionnelles. 


À la localité badjanga par-exemple dépuis l'époque pré-coloniale.


De ce ce vous avions entendu en 2008,..


Vous pourrez par exemple participer aux ateliers traditionnels ou simplement vous asseoir pour apprendre et apprécier la culture locale des Ìndrŭ– en observer leurs danses et écouter leurs sons entre autres. 


Pendant ou après la réception, vous pourrez acheter des souvenirs, des plats locaux ou saisir la chance de discuter avec les habitants pour en apprendre plus sur le groupement Boloma, les montagne awi et son peuple.

 

Activités

 

À partir de localité Badjanga et Aveba Mukubwa, l'approche de cette montagne n'est longue, à travers la grande savane, mais aussi son ascension n'est pas techniquement difficile.
 

Les paysages hauteur de cette montagne du groupement Boloma en font l’un des plus belle  dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.


. Randonnée et Balade Dans La Nature

 

Les balades dans la nature et les randonnées d’une journée font également partie des activités phare de la montagne awi. 


Visitez les nombreux villages à grande valeur culturelle abritant les occupants traditionnels du mont awi, connus sous le nom de awibha qui forment aussi le peuple Ìndrŭ dit (Ngiti)

 

· COMMRCE

 

Aveba Mukubwa est une localité à caractère commercial du groupement Boloma.


Mais sur terrain, le commerce se manifeste par la présence des boutiques, kiosques d'articles divers, les boutiques tout au long des rues, les mouvements d'import et export.

 

Le petit commerce, tourné exclusivement vers les produits de première nécessité, est en vogue dans la chefferie de Walendu-Bindi.

 

Il permet à certains habitants d'assurer la scolarité de leurs enfants, de se préoccuper de l'habillement de ces derniers, ainsi que de leurs soins de santé.

 

Tout compte fait, cette activité est, dans bien des cas, exercée par les indru et autres tribus environnantes.

 

On observe malheureusement la dollarisation du milieu, la flambée des prix due essentiellement à l'enclavement de l'entité de Walendu-Bindi.

 

Sur le plan économique, le groupement Boloma est axé sur l'agriculture actuellement.

 

On constate ainsi une certaine inversion sur le plan économique. 

 

ACTIVITES ECONOMIQUES

 

Taux de change flottant appliqué au 31 janvier 2021

 

Vendeur : 1$ = 2000 FC Acheteur : 1$ 2100FC

 

Nombre d’opérateurs économiques non disponible

 

Poissons (frais, salés et séchés)

 

Sauterelles

 

Chenilles

 

Le lac Albert qui est l’un des lacs les plus poissonneux du monde fournit des poissons pour la consommation des ménages.

 

Ces poissons sont consommés soit frais, séchés ou salés.

 

Les Champignons, les sauterelles, les chenilles, etc...sont prélevés périodiquement dans les forêts et consommés presque partout dans le groupement.

 

En outre, on rencontre des pharmacies, moulins, restaurants et autres activités telle que les salons de coiffure, sécretariat public, lieux de réparation radio, téléphone, déc, antenne parabolique, ordinateur, des vélos et moto.

 

Les produits commercialisés sont :

 

· Les denrées alimentaires, produits de pêche, d'élevage et de la chasse, sont vendus aux différents marchés publics organisés par l'administration nationale.

 

Principales activités des opérateurs économiques

 

Vente des produits vivriers et manufacturés

 

Vente des produits pétroliers

 

Distribution des boissons

 

Transports

 

Principales sources d’énergie

 

Bois : 100%

 

Pétrole : 90%

 

Energie solaire : 0.3%

 

Pendant la journée comme le soir, les différentes structures utilisent des groupes électrogènes fonctionnant avec du carburant.

 

Notons également une tendance grandissante de l’utilisation des panneaux solaires dans les ménages.

 

La totalité de ménages utilisent le bois (bois de chauffe et braise) pour la cuisine.

 

SÉCATEUR   CULTUREL

 

Dans le domaine de la culture et Arr !


Localité aveba mukubwa regorge d'une multitude des divers artistes : sculpteurs, peintres, cachetteries, courtiers, bijouteries, menuiseries, coiffeurs, réparateurs, mécaniciens, cordonniers, ferrailleurs, ....

 

Il existe des ,des secrétariats publics, des discothèques, centre de formation.

 

Concernant les maisons de culture, nous avons des salles de cinéma, des salles polyvalentes, stadium de football, des buvettes, bars, et hôtels. 

 

SPORT ET LOISIRS 

 

Le sport est une activité culturelle très populaire, avec des fans soutenant leurs équipes de football.

 

Dans ce registre sportif, le groupement Boloma compte pas moins de 10 clubs de football suivant ;

 

BOLOMVU qui cherche à s'engager au CEFIBIA, Agapé qui est devenu Cinquantaine, Nouveau Junior de Ruzinga, Mbala, Union d'Aveba, Foudre noire d'Aveba État, Okapi d'Ozoba, TP Avezu, ...

 

Donc Aveba abrite aussi l'un des plus grands stades sportifs de la chefferie de Walendu-Bindi achevé à la fin des années 1986.

 

La boxe karaté et la lutte sont également extrêmement populaires.

 

D'après Serges Aveba notre source

 

RÉSEAU DE TÉLÉCOMMUNICATIONS 

 

La communication est rendue possible grâce à l'arrivée des sociétés de télécommunication qui sont venues dépuis 2010 pendant les guerres. 

 

Il s'agit de VODACOM, AIRTEL.

 

La technologie faite par les maisons Airtel, et Vodacom fait à ce qu'il ait une intense communication. 

 

Africel Non

 

Airtel Oui

 

Vodacom Oui

 

Vodacom couvre environ 70% du groupement, au côté d'Airtel qui couvre plus ou moins 20% du territoire avec une bonne qualité du réseau et des produits disponibles partout.

 

MEDIA LOCALE 

 

Enfin, la communication auditive est assurée par les radios locales. Ici, on a une seul station de la radio ; Radio télévision Amani ( privée).

 

Localité Aveba Mukubwa est arrosé par les radios locales, nationales et internationales à l'estard de la radio OKAPI, DIGITAL, BBC, VOA, DW, CONGO, RTNC, R.F.I .......

 

On doit aussi noter que, l'aglommeration d'Aveba est un carrefour sanitaire et commercial .

 

C'est pour dire que, dépuis 2003, Aveba revêtait une importance capitale, eu égard à sa position stratégique del'église dela communauté CEE, et aussi, à l'implantation d'une base dela Monusco Missions des Nations Unies en République démocratique du Congo.

 

La correspondance des missionnaires CEE, communauté Emmanuel, susmentionnéss renseigne également que, les autorités compétentes ont placé ce lieu à un carrefour sanitaire et commercial, tourné vers Bunia, Nyankunde, Chomia, Kasenyi, et Komanda.

 

Quelques fois, on parle aussi de la pauvreté à Aveba.

 

La plupart des gens que nous avons contactés sur terrain ont estimé qu'à la base de la pauvreté dans le groupement Boloma, on trouve le chômage. Beaucoup n'ont pas où travailler pour satisfaire leurs besoins primaires.

 

Pour eux, la couche qui travaille, petite soit-elle, touche un salaire insignifiant ou carrément ne reçoit rien. C'est le cas d'un agent du groupement Boloma illustre non moins cette affirmation. 

 

Cet employé nous a confirmé qu'il a travaillé pendant plus de six mois sans rien toucher comme rémunération.

 

À lui d'ajouter que, dépuis 1990 à 2010, la crise qui s'ensuivit fut douloureuse et plongea la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi dans une situation économique désastreuse.

 

 ASPECTS POLITICO ADMINISTRATIVES

 

Voici les chefs des Boloma selon leur ordre de succession :

 

1.chef Fanda, chef de la chefferie de Boloma

 

Groupement

 

1.Kabona 1910-1933

 

2.Mukoale1933-?

 

3.Zadhu Ludovico

 

4.Omvunga Athanase

 

5.BadjangaTheodore

 

6.Tsera Fanda 1986-1992

 

7.Androzo Kabona1992-2017

 

8.Byaletsu Fanda 2017-

 

NB : Que celui qui a une précision de date l'ajoute pour aider les chercheurs.

 

Muno Gérard avait fait l'intérim de Badjanga, Dani avait fait l'intérim de Tsera, Bahati Kabona et pasteur Munobi avaient fait l'intérim de Androzo Kabona Ngayoyo en cas de suspension.

 

Bolo a été à l'intérim durant 9ans.

 

Selon les propos du prof Bahati Ozunza le DG del'ISP/GETY notre source

 

Dans son organisation administrative actuelle, le groupement Boloma compte 52 localités suivantes:


1. Kanyoro

2. Ruzinga

3. Aveba Mukubwa

4. Djimo

5. Ngongi-B 

6. Fungusa

7. Bunga

8. Kamatsi Mudogo

9. Kaswara

10. Anyaga

11. Modhiro

12. Mogbe

13. Luba

14. Mbise

15. Mbalagu

16. Opuku

17. Kelenzi

18. Aveluma

19. Bizo

20. Avalu

21. Avezu

22. Badjanga

23. Ozoba

24. Katorogo

25. Mawara

26. Maga

27. Kolu

28. Koho

29. Heru

30. Atelé

31. Kabona

32. Kyenga

33. Nyarara

34. Batumbi

35. Senya

36. Luba

37. Mukato

38. Nyasona

39. Mambangu

40. Awuva

41. Kima

42. Longi 

43. Mbogu

44. Mahimbi

45. Kabyangabi

46. Omina

47. Muhigi 

48 . Aveba Mudogo

49 . Ngongi-A ( Dit Tali )

50 . Tsandi

51 . Avegi 

52 . Djawi

 

Dans ces localités pré-cités, les villages de petites et de tailles moyennes sont particulièrement importantes, et les plus anciennes évidences d’occupation humaine proviennent du sud soudan.

 

Mais aussi l'augmentation rapide dela population représente une opportunité dela chefferie de Walendu-Bindi.

 

«Les migrations rurales sont une ressource complémentaire pour les ménages consacrant l’essentiel de leur temps à l’agriculture familiale.»


Des migrations en fonction des opportunités économique en chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi, où la culture du manioc s'est développée grâce à de la main-d’œuvre dans les six groupements administratifs de Walendu-Bindi.

 

Afin de satisfaire la demande urbaine, la production agricole doit augmenter, ce qui se traduirait par de meilleures conditions de vie pour les fermiers et les travailleurs agricoles.

 

Mais la fin d'une guerre civile qui avait commencé des années 2000 à 2014, a conduit au retour de milliers des villagoi-ses vers les espaces ruraux et urbains dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.


En groupement Boloma, les mouvements de va-et-vient des populations entre zones urbaines et rurales ont suivi la dynamique de l’industrie locale d'agriculture au fil du temps.


Donc, la migration rurale est largement orientée vers d’autres zones rurales. Les migrants cherchent des emplois et des terres et luttent pour ouvrir de nouvelles zones agricoles.

 

Le déclin démographique relatif s’accompagne d’une baisse effective de la population masculine.

 

Groupement Boloma est une entité certainement fragile selon  nos sources locales.

 

Au motif, les facteurs de fragilité incluent : le manque de cohésion sociale, la concentration du pouvoir politique, les disparités sociales et régionales, l'accaparement et la mauvaise gestion par l'élite des ressources naturelles, et un état d'insécurité durable alimenté par un système régional de conflit.

 

Les institutions dans plusieurs villages et localités sont faibles, puisque les citoyens ont un accès insuffisant aux services de base, le manque d'infrastructures est sévère, la violence basée sur le genre (VBG) est généralisée et le tissu social s’est détérioré entre 1999 et 2014.
 

Le climat politique reste polarisé et les tensions avec la communauté du groupement auto-proclamé ( mbala ) persistent en raison de l'évolution de la situation géopolitique, et la relocalisation initié par le nouveau, chef de Walendu-Bindi, Fidèle Bangadjuna au début août 2020 devraient contribuer à la paix et à la stabilité.

 

Les progrès du dialogue avec certains groupes armés sont essentiels pour faire avancer le programme de désarmement, démobilisation, réintégration et rapatriement.

 

La stabilisation durable des zones touchées par le conflit nécessite le rétablissement de la présence de l'État. 

 

AGRICULTURE 

 

Le groupement Boloma est une entité en vocation fortement agropastorale. La population pratique une agriculture destinée avant tout à l’autoconsommation.

 

Une autre partie de cette production est destinée au marché local pour essayer d’accroître le revenu ménager. Le manioc, le maïs, le haricot, les arachides, le sorgho et le riz constituent les principaux produits de base.

 

Notons aussi que les agrumes sont produits en térritoire d'Irumu : cette catégorie est essentiellement importée en Ouganda voisin où se trouvent des industries agroalimentaires.

 

ÉDUCATION 

 

Nombre d'Ecoles : 2

 

École primaire Aveba Mukubwa 

 

École Sécondaire

 

Aveba Mukubwa 

 

Nombre Universites : 0

 

Localité Aveba Mukubwa fait partie des localités qui affichent les plus faibles indicateurs d’instruction.

 

La durée attendue de scolarisation est de 5,3 ans pour les garçons contre 3,8 ans pour les filles.

 

La qualité de l'enseignement primaire est faible et peu de filles ont accès à l’enseignement secondaire.

 

. SITUATION SANITAIRE

 

Sur le plan sanitaire, localité Aveba Mukubwa dispose un Hôpital Général de Référence.


Quelques définitions


(1) Une institution sanitaire est une organisation à caractère médical et social dont la fonction consiste à assurer à la population des soins médicaux complets, curatifs et préventifs et dont les services extérieurs irradient jusqu'à la cellule familiale considérée dans son milieu.


Elle peut être aussi un centre d'enseignement de la médecine et des recherches biomédicales.


En d'autres termes, c'est un établissement des soins capable de recevoir des personnes atteintes des maladies ou blessures et des parturientes en leur assurant le logement ainsi que les soins médicaux plus au moins prolongés : observation diagnostic, traitement et réadaptation. Il peut, le cas échéant, offrir des services de consultation.

 

(2) L'hôpital général de référence est une formation médicale et sanitaire d'utilité publique jouissant d'une autonomie de gestion destinée à recevoir les malades ou les patients qui lui sont référés par les centres de santé de son aire de santé.


b) De l'hôpital général d'Aveba Mukubwa.


Elle supervise les aires de santé ci-après :

Centre de santé Bilima 


Centre de santé Kabona 


Centre de santé Kaswara 


Centre de santé Chekyele


Centre de santé Katorogo


V' Les données particulières à l'hôpital général d'Aveba Mukubwa.

 

Maladies Recurrentes :

 

– Paludisme ;

 

– Maladies diarrhéiques ;

 

– Infections respiratoires aiguës (IRA) :

 

– Infections sexuellement transmissibles (IST) ;

 

– Fièvre typhoïde ;

 

– Anémie.

 

Commentaire : 

 

Localité Aveba Mukubwa est surtout favorisées par la position sanitaire qu’occupe cette localité. 

 

Les maladies diarrhéiques affectent plus les enfants de moins de 5 ans de par leur vulnérabilité. 

 

L’insuffisance voire le manque de l’eau potable et le non-respect des conditions hygiéniques sont les principales causes de ces maladies diarrhéiques.

 

Le traitement des maladies simples par la population se justifie par le fait que les soins traditionnel sont liés à la culture où un praticien, non professionnel, peut soigner un malade étant donnée la nature des relations qui existent entre les deux ; ce qui n'empêche pas la population à suivre les soins dans les milieux structurés.

 

Le rapport d'activités de la Zone de Santé au quel nous avions eu accès présente certaines particularités vécues, en ce qui concerne l'accessibilité de la population aux structures de santé, la couverture sanitaire et le financement des soins. 

 

Certaines données sont intéressantes :

 

V' Environ 55% de la population ont accès aux soins dans un centre de santé à moins d'une heure ;

V' 3,7% des patients sont référés à l'HGR ;

 

V' En ce qui concerne le niveau d'utilisation de l'HGR par la population, le rapport a précisé que sur les 10 57 malades attendus à l'HGR, 4 06 ont été reçus en hospitalisation.


Les causes de cette disparité sont généralement la fréquentation des tradi- praticiens.


V' 66,1% des femmes ont accouchés en milieu surveillé, la justification de l'effectif restant est qu'il existe dans certaines aires de santé des accouchements à domicile ; cas du village Ruru et Omina.


En outre, d'autres femmes accouchent à l'HGR soit parce qu'elles n'ont pas de famille d'accueil à l'HGR ;

V' Le taux de recouvrement des recettes tourne aux environs de 71,8%.

 

LES PARTENAIRES DE LA ZSR DE GETY


LA ZS de Gety jouit de l'intervention de différents partenaires qui interviennent à des sphères diverses de la couverture et l'accessibilité sanitaire universelle dans les zones rurales : approvisionnement en médicaments, formation, l'appui aux supervisions et fonctionnement des structures, etc.


Les différents partenaires de cette hôpital général d'Aveba Mukubwa sont principalement la population locale, l'Etat congolais (surtout le gouvernement central) dela Rdc, et la communauté Emmanuel C.E.E de Nyankunde, ainsi que différents organismes internationaux : MERLIN, CARITAS, Heal Africa, CICR, SANRU, UNICEF, Action Damien, etc.).

 

6. GRATUITE DES SOINS DE SANTE DANS LA ZS

 

Suite à l'intervention des partenaires ci- haut énumérés, le coût des services de santé a diminué jusqu'à ce que l'on puisse parler de la gratuité services de santé, dont :

- La santé nutritionnelle

- La vaccination

- L'eau potable

- Le planning familial


L'INCIDENCE DU POSITIONNEMENT GEOGRAPHIQUE


Le positionnement géographique est aussi un élément important dans l'accessibilité aux soins de santé, surtout dans le cas où les ménages sont éloignés des structures de santé qu'ils sont censés fréquenter, étant donné l'importance, le mode et surtout le coût de transport pour le déplacement.


La structure de santé généralement fréquenté dans la Zone de Santé de Gety par les ménages est le Centre de Santé avec une proportion d'environ 65% de ménages.


La fréquentation d'un dispensaire agréé est due au fait que l'administration n'a pas encore installé de centre de santé dans tous les villages.


Les enquêtes révèlent que très rare sont ceux qui suivent les soins de santé au près d'un tradi- praticien, ce qui prouve l'acceptabilité des soins par la communauté paysanne et absence de conflit d'avec les coutumes locales.


Une grande partie des ménages ont suivi les soins sur telle ou telle autre structure de santé suite à la présence de certaines faveurs dont ils bénéficient sans ignorer la qualité des services.


Les faveurs résultent par le fait qu'il n'y a pas rigueur vis-à-vis de la durée de paiement des soins, il y a possibilité des consultations gratuites, etc.

 

La distance vient en troisième place, étant donné que tous les ménages dans les aires de santé sont situés à faible distance par rapport aux centres de santé les plus proches.


Parmi les 35% des ménages qui ont reconnu avoir suivi les soins au près des tradi- praticiens dépuis 2010, pour près de la moitié c'était en cas des maladies simples suivi de ceux qui ont reçu les soins pour les maladies étranges (comme du poison).


Le traitement des maladies simples par la population se justifie par le fait que les soins traditionnel sont liés à la culture où un praticien, non professionnel, peut soigner un malade étant donnée la nature des relations qui existent entre les deux ; ce qui n'empêche pas la population à suivre les soins dans les milieux structurés.

 

Source Hospitalière d'Aveba Mukubwa 

 

AIDE HUMANITAIRE D'URGENCE


ACTIVITES REALISEES PAR AGRO-ACTION ALLEMENDE AAA DÉPUIS 2008


Domaine d'intervention


AAA a conscience que la pauvreté résulte des causes multiples souvent liées les unes aux autres.


Il adopte donc des stratégies diverses pour lutter contre la pauvreté et les inégalités.


En cas de crise, AAA intervient pour apporter une assistance vitale et aide ces personnes touchées à restaurer leur moyen de substance. 


Jour après jour il s'emploi à travers des solutions concrètes et innovantes pour que chacune et chacun puisse sortir de la pauvreté et se réalise pleinement, souvent par l'exercice de ses droits fondamentaux de femme et de l'homme.


a. Alimentation durable


AAA exige un système alimentaire plus juste et plus durable pour que chacune et chacun puisse tous les jours manger à sa faim.

 

Cela implique d'investir en faveur de petits agriculteurs notamment des femmes, qui assurent la majeure partie de la productivité de petites exploitations agricoles en formant des producteurs locaux à des techniques durables.


Il aide les agriculteurs et agricultrices à s'adapter aux effets du changement climatique et à préserver leur accès à la terre.


AAA exige en outre des Etats et de grandes entreprises qu'ils réduisent leurs émissions de gaz à effet de serre, afin d'aider les agriculteurs à faire face aux changements climatiques et d'assurer que nous pouvons toutes et tous manger à notre faim.


b. INEGALITE ET ACCES AUX SERVICES ESSENTIELS

 

Les inégalités extrêmes ne sont pas une fatalité. Il est possible avec des solutions concrètes de réduire des écarts entre les plus riches et les plus pauvres.


Trop de personnes continuent à se débattre dans la pauvreté extrême. À l'inverse, la richesse se concentre de plus en plus entre les mains d'une petite minorité qui en profitent pour accaparer le pouvoir de façonner l'avenir.


Le creusement de ces inégalités mis aux économies et fait basculer davantage des personnes encore dans la pauvreté.


Que ce soit en menant campagne pour mettre fin au secret financier, qui laisse des milliers de milliards de dollars s'évaporer dans les paradis fiscaux, ou en encourageant les investissements dans l'accès universel à la santé et à l'éducation ; il s'emploi à assurer que les populations défavorisées reçoivent leur part du pouvoir et des ressources qui permettront de réduire la pauvreté et les inégalités.

 

c. LE DROIT DE SE FAIRE ENTENDRE

 

L'un des moyens les plus efficaces de réduire la pauvreté consiste à aider les personnes pauvres à réclamer leur jute part, à participer aux décisions politiques qui les touchent et à faire valoir leurs droits.


Cela suppose un environnement dans lequel elle puisse s'exprimer en toute sécurité.


L'accès à des informations fiables et la possibilité d'unir leurs voix, à d'autres pour mieux se faire entendre.


Toutes ces activités suivent une approche fondée sur les droits, car donner aux populations les moyens d'exercer leurs droits est la meilleure façon de leur assurer le bien-être et un moyen de substance.
F. SAUVER DES VIES

 

Lorsque survient un conflit armé ou une catastrophe naturelle, AAA apporte rapidement une aide humanitaire substantielle et de qualité.

 

AAA internationale conjugue aide d'urgence à court terme et projets de développement à long terme.

 

À l'Est de la RDC, AAA réalise les activités suivantes :

- Les programmes de renforcement des moyens de substances durables.

- Le soutien à l'agriculture de petite échelle

- Approvisionnement en eau, les équipements sanitaires et la santé

- La formation professionnelle pour des comités et groupements des femmes.

 

DIFFICULTES RENCONTREES

 

La grande difficulté que rencontre AAA en RDC, c'est l'état d'insécurité qui perdure dans les zones de son intervention et cela malgré la défaite de certains groupes armés rebelles.

 

Les interventions militaires à l'Est de la RDC ne favorisent pas AAA à atteindre facilement les bénéficiaires.

 

L'autre problème réside au niveau des routes qui sont de fois impraticables et bouleversent le calendrier des activités.

 

À Aveba Mukubwa, le problème réside au niveau même des bénéficiaires qui ne savent pas entretenir correctement certaines infrastructures réhabilitées par AAA.

 

🇨🇩🔴GUERRE CIVILE ET SITUATION SÉCURITAIRE DÉPUIS 1911!

                            

Durant des décennies, nous pouvons dire que, la République Démocratique du Congo a été le théâtre des conflits cruels et dévastateurs qui n'ont épargné personne. 

 

Donc dépuis plusieurs années, la province de l’Ituri est secouée par les conflits inter-ethniques, dont le plus connu est celui entre les communautés Hema et Lendu.

 

Ces deux peuples originaires du territoire de Djugu et de Irumu, sont en guerre, et cette guerre met en danger la population de la province de l’Ituri et touche même d’autres communautés voisines qui subissent les dommages collatéraux de ce conflit. 

 

L’histoire, écrite de ces deux peuples ressegne que, ils se disputent les limites des terres. 

 

Curieusement ce conflit foncier s’est vite transformé en guerre tribal faisant de nombreuses victimes.

 

Le peuple Lendu est connu comme agriculteur et chasseur pendant que les Hema sont considérés comme un peuple de pasteurs à la recherche de terres et de pâturages.

 

Le nouveau conflit débute en juin 1999, lorsqu'un petit nombre d'Hema auraient tenté d'acheter des autorités locales, afin qu'elles modifient les registres de propriété foncière en leur faveur dans la zone de Walendu Pitsi qui fait partie du district de Djugu d'Ituri. Ils auraient utilisé les faux papiers pour expulser les habitants Lendu de leurs terres comme le pensent certains Lendu du coin. Ces Lendu ont décidé de riposter. 

 

Comprenons par là, que le conflit est d'abord foncier et local. En l'absence d'une autorité locale forte, l'incident a rapidement viré à une confrontation entre les ressources et ainsi devenir ensuite, un conflit internationalisé.

 

Face à cette situation, l'opinion dela chefferie de Walendu-Bindi découvre une organisation militaire paraétatique. 

 

À la veil du 30 juin 1999, Bernard-Kakado dit recevoir une vision divine, lui ordonnant d'aller apporter des protéctions pour les Indru, des messages enverti concernant un ça ne va pas, apporté par les autorités du RCD àl'époque, en Colléctivité de Lendu-Bindi.

 

<< Bernard Kakado >>

 

Un vieux spirituel du peuple INDRU, est apparut avec ses oeuvres miraculeuses d'une héritage dela part des Ancêtres.

 

Lors de leurs propagande et que ces derniers leur ont servi de guide dans leur progression et parfois d'éclaireurs lors des différentes campagnes guerrières gagnés à 80%.

 

Pendant ce temp là, les propos de Bernard-Kakado commençant à se tourner vers des discours, contre Ernest Wamba dia Wamba, ce qui a inquièté les autorités de Bunia et leurs alliés ougandais, qui ont déployés des millitaires pour la première fois, à Aveba, dans le but de traquer Kakado et ses millices, mais sans succès.

 

C'est après avoir d'aller se rendre comtpe dela situation sécuritaire au village Nombe, Bernard-Kakado était accompagné de ses colaborateurs et aussi des miliciens qui viennent d'être appelés au service militaire au côté des civils, qui étaientt essentiellement équipée d'armes traditionnelles telles que machettes, lances, couteaux, et haches.

 

Selon des témoins del'événement, aussitôt arrivé sur le lieu de rencotre avec les Lendu du Nord leur mission principale sera insister sur les griefs historiques de son peuple et a appelé «tous les Lendu à résister à l'agression et à toutes les formes de domination qui ont fait partie de l'histoire lendu.»

 

Avec le début de son enseignement, Kakado revendique la réputation, de rendre la vue aux aveugles, de faire parler les sourds et muets, de faire marcher les paralytiques. 

 

Il était surnommé en langue Ndruna, Yesu-Ngba qui signifie « L’envoyé de notre Seigneur Jésus-Christ ».

 

🇨🇩⏱✍🏻L’autodéfense

 

Selon Katanga, il n’existait qu’un seul centre de santé à Aveba, créé par son père en 1986.

 

Pour un (...).

 

Selon le récit de Jonathan, le plus jeune frère de Germain Katanga, « à l’arrivée des Ougandais en août 1998, il n’y avait pas de combattants, les gens protégeaient leurs familles avec des lances ». Mais rapidement, les jeunes Ngiti d’Aveba et tous ceux qui en avaient la possibilité physique se mobilisèrent, organisant sous la conduite des groupes d’autodéfense, instaurant des tours de veille et installant des guettEteurs sur les collines.

 

« Ils criaient “Maï ! Maï ! [phon.]”, ce qui signifiait qu’ils ne pouvaient pas être atteints par les balles des armes à feu (...).

 

Dans ces conditions, l’essentiel de l’armement provenait, insistent les témoins, de la protection apportée aux guerriers par Kasaki : des herbes protectrices mais aussi des onguents, distribués lors de cérémonies, protections très puissantes et capables, à la condition expresse de respecter certains interdits, de rendre les combattants invulnérables selon la « tradition maï-maï » – dont l’écho des hauts faits court à travers tout l’est du Congo (Mathieu & Mafikiri Tsongo 1998).

 

En plus de se ceindre le corps d’herbes, les combattants s’enduisaient d’un onguent, un composé d’huile mêlée de substances d’arbres et de peaux d’animaux sauvages.

 

Les cris et les chants s’ajoutaient à l’arsenal du combat.

 

Des témoins ayant été victimes des attaques ngiti et lendu ont attesté au procès du fait que les guerriers ngiti poussaient le cri « Maï maï » lors de leurs attaques, parmi d’autres chants – souvent des chants à teneur eschatologique (sortie d’Égypte, retour à Sion…) de l’une des Églises évangéliques locales à laquelle appartenait le père de Katanga, mais aussi fréquentée occasionnellement par Kasaki et Kakado :

 

Germain Katanga : — Certains ne faisaient que chanter. C’était par manque de… d’armes. Donc, c’est pour cela qu’ils faisaient beaucoup de bruit pour voir si cela pouvait, peut-être, faire peur. Ils chantaient ceci : « Si je pouvais avoir les ailes comme les anges / Si je pouvais aller chercher le pays de Sion. »

 

Le procureur : — Y avait-il d’autres chants ?

 

Germain Katanga : — Oui, il y avait d’autres chansons, mais c’était comme de bruit. Ce que je viens de vous donner, c’étaient les paroles claires que j’ai entendues. Pour moi, c’était une surprise.

 

Comment est-ce qu’une personne qui allait à la guerre pouvait chanter de cette manière-là ? C’est la seule chanson que j’ai pu retenir mot à mot.

 

Mais le combat restait fortement asymétrique, l’armée ougandaise utilisant des armes lourdes et des soldats formés, tandis que les Ngiti n’étaient toujours équipés que de lances et de flèches. 

 

Katanga décrit ce rapport de force lorsqu’il rallie, fin 1998 ou début 1999, les groupes d’autodéfense d’Aveba et de la collectivité de Walendu-Bindi.

 

Il s’y fait une place grâce à la formation qu’il a reçue auprès de la garde civile, à sa connaissance du maniement des armes automatiques, et à sa parfaite connaissance du swahili local (le kingwana) – que les Ngiti apprenaient à l’école quand il y avait des écoles – et du lingala, la « langue des militaires ». 

 

Ainsi les femmes, les vieillards et les enfants pouvaient-ils fuir et se cacher « dans les brousses », comme le firent le père, l’épouse, et les enfants de Germain Katanga. Les jeunes hommes tenaient alors la garde des villages du groupement, se défendant des incursions ougandaises au moyen de lances et de flèches.

 

Toutefois, durant l’année 1999, la violence s’intensifia. Il était fréquent, au cours d’incursions dans les quartiers de villages, que les Ougandais incendient les maisons, faites de paille, de branches et de terre, volent du bétail, tirent sur les habitants, pourchassent et enlèvent des filles et des femmes, et se livrent à des pillages, notamment au centre de santé.

 

Dans leur entreprise de terrorisation, ils tiraient dépuis leurs convois de manière indifférenciée sur la population locale de la collectivité de Walendu-Bindi : il suffisait d’être ngiti pour être visé.

 

Beaucoup d’écoles de village durent fermer leurs portes, mais Katanga avait été admis dans l’une des écoles protestantes encore ouverte, une école anglicane (Meyer 2004 ; Wild-Wood 2008), l’institut Badjanga, que les Ougandais visèrent aussi. Tous les villages en bord de route se vidèrent de leurs habitants. 

 

Fondateur du groupe armé Force de résistance patriotique de l'Ituri, Bernard-Kakado après avoir servi ses millices pendant des certainnes années, il est allé se rendre avec une partie de ses collaborateurs, au millitaires Fardc basé dans la localité de Sorodho, Chefferie de Lendu-Bindi, en 2007. 

 

Arrivée là bas, il a été transferé à Boga, puis à Bunia, où il serait audionné et condamné le 9 août 2010 à Bunia par un tribunal militaire à la prison à perpétuité, à 87 ans, pour crimes de guerre perpétrés par sa milice, notamment pour des massacres en 2002 et d'autres crimes en 2006 et 2007 selon la cour. 

 

L'ONG Avocats sans frontières s'est engagée pour « défendre les droits des victimes » dans le procès, mais malheureusement, l'incriminé Bernard-Kakado est décédé en prison après avoir purgé san peine quelques années après. 

 

Lorsque le FRPI est apparut avec le système du culte aux ancêtres invisible, a était signalé au conte des nouveaux « chefs de guerre » qui se tuaients même entre eux.

 

Dans ce cas, pendant la guerre les populations vivaient souvent dans les conditions économiques et sanitaires déplorables, notamment dans les régions de l'Est où des bandes rebelles armées sèment terreur et désolation.

 

Les personnes vulnérables qui ont été le plus touchées sont les vieillards, les enfants de moins de 5 ans et les femmes qui sont soit fragiles, soit ont les moyens de défense limitée. Relevant les conséquences sociales, les cas suivants sont observés :

 

- accentuation du taux de maladie sexuellement transmissible ;

 

- destruction des infrastructures sanitaires et scolaires ;

 

- destruction des logements de la population

- non paiement des salaires et augmentation du taux de chômage ;

 

- beaucoup d'enfants enrôlés de force dans l'armée et pour certain par goût d'aventure et plusieurs ont connu la mort ;

 

- perte des parents, et certains enfants deviennent enfants de la rue à la merci des organismes humanitaires ;

 

- divorces, séparations des époux, des enfants avec leurs parents, etc.

 

· la persistance des crises politiques à tous les niveaux, des conflits armés et de l'insécurité ;

 

· l'insuffisance alimentaire ;

 

· la carence des emplois et le chômage généralisé ;

 

· les difficultés d'accès au système éducatif ;

 

· la précarité de la santé des populations en général, et en particulier celle des mères et enfants ;

 

· l'absence d'un environnement durable et d'un cadre de vie viable ;

 

· la prévalence de l'épidémie à VIH/SIDA et la malaria ;

 

· le faible respect du genre, les violences sexuelles faites aux femmes et la faible protection sociale des groupes vulnérables.

 

Ces problèmes auraient pour causes principales :

 

> la mauvaise gouvernance sur le plan politique, administratif, judiciaire et économique ;

 

> les guerres à répétition et la persistance des ex ; combattants sur le territoire congolais ; > la non implication/participation de la population à la gestion de la chose publique;

 

Un sujet toujours douloureux

 

Témoignage P-279, T-144, p. 48, audience du 20 mai 2010 à la Haye au pay-bas.

 

Àlire sur l'adresse, https://adiroduroger-rdc.over-blog.com/2022/06/boloma-l-un-des-groupements-qui-compose-la-chefferie-traditionnelle-de-walendu-bindi-situation-sociale-et-historique.html

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