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Adirodu-Roger Cyber-Notes
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En ituri-Rdc de triste événement nous a été rapporté lors d'un huis-clos accordé par les autorités en mission dans le térritoire de Djugu

6 Octobre 2020 , Rédigé par La rédaction

ituri-Rdc en proie des massacres

ituri-Rdc en proie des massacres

HONTE À TA BALLADE LOGORRHÉIQUE.

Bonjour, Bana Membres.

Il s'est passé quelques d'hallucinant lors de la visite de son Exc le ministre de la défense en Ituri qui risque de passer inaperçu parcqu'on n'en parle pas assez par peur,par complicité, par ignorance, etc, j'en sais rien.

De quoi s'agit-il ?

Son Exc le ministre de la défense avait accordé l'audience aux forces vives et communautés.

En pleine séance, un intervenant, présent ds la salle, sexagénaire révolu, bien connu du milieu, féru de la politique localiste des divisionnisme communautariste à l'iturienne, à qui la parole a été accordée, se lève, d'un ton menaçant, brisant le droit de réserve reconnu à la sagesse due à son âge, apparemment agité par le poid de la responsabilité, rongé par la culpabilité d'un acte pour lequel il a du mal à assumer pdt qu'il se prétend souvent un rassembleur, il assène,mot par mot, hésitant, douteux, farfelu, léger, bizarre, son visage rabougri de colère, reflétant la noirceur de son âme :

«(....)les lendus ne sont pas faits pour être des dirigeants, ils sont des fainéants,(...)».

Cette communauté ciblée est pourtant connue pour sa vaillance, sa droiture et son intransigeance, ce qui n'a rien à voir.

En réalité, j'ai failli en rigoler quand j'ai appris de qui venait le propos,un monsieur que je connais parfaitement bien,à qui j'ai bcp de respect.

Mais, c'était bien que ça arrive un jour pour révéler au grand jour son vrai visage, que nous connaissions déjà malgré l'image qu'il veut refléter de lui, d'un sage rassembleur, pourtant un extrémiste de mauvais alois de première heure.

Ce sentiment de haine révélé au grand jour, c'est l'image k'il fuit de lui, laissant transparaître par hypocrisie une image édulcorée loin de ce k'il représente réellement.

Ça ne m'a pas étonné. Sa présence a cette réunion était due à son appartenance au G5. Des idées distillées là-bas ne sont pas loin, car là-bas, au nom de la défense de droits de qqs victimes, on prône la vengeance et la haine de l'autre. Ce n'était donc pas étonnant. Qd j'ai appris cela, je me suis rappelé de récents souvenirs de la personne.

Lors du deuil de la regrettée épouse du président Tms, l'intéressé s'est improvisé pr appeller tous les hemas à adhérer à l'UPC,comme si l'UPC était un parti tribal. Il a été immédiatement recadré par le parti suffisamment représenté à la cérémonie.

Lors de même allocation, il va s'identifier comme le président des prisonniers ituriens à Kinshasa, chose jamais connue. A la qst de savoir depuis quand, puisque la structure n'a jms existé , il n'aura pas de réponse. Je le nommerai alors "Président autoproclamé", terme qui lui fera bcp plaisir. Le mensonge chez la personne est une seconde nature.

En défaut de répondre à de tels propos divisionnistes, ethnicistes, extrémistes, dangereux, etc, alimentant des stéréotypes au sujet des peuples comme des vérités absolues,qui n'honorent pas son auteur, moins encore son âge, j'appelle les ituriens à la tolérance et au respect de la différence. L'Ituri sera fort avec tous ses filles et fils ainsi que tous ceux qui ont choisi de vivre ici. Ces propos sont juste graves et inacceptables, mais il faut srt les comprendre ds son contexte.

Les crimes commis par le codeco ou un autre groupe armé ne donnent pas le droit de s'en prendre aux communautés, moins encore associer les différentes communautés à l'entreprise criminelle de groupes armés, dont FPIC, ZAÏRE, ainsi CODECO k'on peut associer à tort aux Biras,Hémas et Lendu.

Le combat de la paix ne sera pas gagné tant que l'Ituri ne s'acceptera pas lui-même avec ses forces et ses faiblesses.

Nous en appellons à la responsabilité de tout un chacun, car la paix est une affaire de tous,en commençant par les aînés qui nous ont légué cette culture de haine à bannir depuis les colons. La culture de la paix demande un dépassement de soi pour reconnaître ds l'autre ce que l'on est soi-même.

Ds son élan de gloriole, l'intéressé n'a rien à démontrer, car connu ds son entreprise de divisionniste, il a fait sa vie et aujourd'hui, il n'est pas un modèle et une référence.

Pour reprendre les propos du Pape François : 

«Le chemin de la réconciliation exige patience et confiance. On n'obtient pas la paix si on ne l'espère pas.»

Acceptons-nous avec nos différences.

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Encore 6 civils sont tués par les rebelles ADF à Mamove c'est en térritoire de Beni vers l'est dela Rdc selon la (Société Civile)

5 Octobre 2020 , Rédigé par La rédaction

Un groupe des femmes en colère après l'incursion des ADF qui a fait 6 morts conté civile à mamove

Un groupe des femmes en colère après l'incursion des ADF qui a fait 6 morts conté civile à mamove

Six personnes ont été tuées par les rebelles ADF ce lundi 05 Octobre 2020 dans la localité de Mamove, en groupement Bambuba-Kisiki, secteur de Beni-Mbau en territoire de Beni.

Selon Kinos Katuo, président des forces vives dans cette agglomération contacté par la rédaction Lekinois.cd, ces assaillants ont surgi dans cette contrée vers 5 heures du matin, heure locale et ont commencé a exécuté les civils par armes blanches et à feu.

« Les rebelles ADF ont encore une fois attaqué la localité de Mamove la matinée de ce lundi 05 Octobre 2020.

Pendant leur opération, ils ont tué six personnes dans le centre de cette entité. Mais jusqu’à présent le nombre exact des victimes n’est pas encore connu car pour l’instant, la population est dans une débandade totale », a indiqué Kinos Katuo.

Rappelons que, le weekend dernier, 7 personnes étaient encore tuées par les rebelles ADF dans cette même entité de Mamove.

Le général -major FARDC Étienne Kasereka Sindani de préciser :« Déjà à l’époque, les ADF/NALU s’adonnaient aux enlèvements de plusieurs personnes comme méthode de recrutement.

Ils pouvaient prendre en otage toute une population le jour du marché, toute une école, voire même une église le jour de dimanche et amener les kidnappés dans la montagne où étaient certains de leurs maquis.

Le jour du marché, l’axe Beni-Kasindi était l’objet des embuscades, braquage, enlèvements et pillage des véhicules ». Ils se cherchent une identité qui les rattachent aux autres islamistes du monde.

Au regard de différentes nationalités qui composent cette nébuleuse, ils prennent l’appellation de Muslim Defence international (MDI). Faute de preneurs, elle sera de courte durée.

Les visites des émissaires, frères de l’Oumma des croyants leur servent à rectifier l’idéologie pour se rapprocher des autres jihadistes. Ils montent des ONG pour le financement de leurs activités depuis l’extérieur. Ils imitent dans les prêches et le comportement les autres jihadistes à travers le monde.

Des jeunes qui sont séduits portent en plein jour des soutanes dans les agglomérations du Grand Nord et laissent pousser la barbe. Lors des défilés sur les grands artères, on admire de dizaines filles musulmanes porter le burq’a avec fierté.

Les ADF ont gardé le lien avec les Tabliq de l’Ouganda mais aussi ont fortifié leur foi en tissant d’autres liens avec les commerçants des produits pétroliers dont la plupart sont des Somaliens et des Kenyans. Les ADF/NALU.

À la chute d’Idi Amin, l’Ouganda connaît la résurgence des groupes armés. Outre la LRA, on compte Uganda Muslim Liberation Army (UMLA) créés par Ali Bwambale et Issa Lubega.

Ce mouvement militaro-religieux est basé sur les enseignement du Tabliq. Le Tabliq est une secte rigoriste, piétiste née en Inde vers les années 1920 qui a pour but la propagation de la foi et la recherche des brebis égarées musulmanes.

Ce mouvement se radicalise vers 1991 et occupe la grande mosquée Old Kampala.

Après la guerre du Rwanda, le président Museveni réunit toute son opposition armée à l’exception de la LRA. De cette fusion de la UMLA avec Allied Democratic Movement et les NALU, naîtra l’appellation ADF.

 

Muhindo Mathe

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Affrontements entre l'armée et les combattants du FRPI à Gety-Etat en ituri-Rdc ; Le vrai obstacle reste le retard dans l'exécution des clauses de l'accord

5 Octobre 2020 , Rédigé par La rédaction

Le gouverneur Bamanisa après la signature avec le FRPI à Gety-Etat

Le gouverneur Bamanisa après la signature avec le FRPI à Gety-Etat

Un concours des évènements malencontreux et inopportuns a dangereusement failli compromettre tout l'accord de paix du 28 février signé entre le gouvernement de la Rdcongo et la FRPI à Gety.


Pour d'aucuns, le nom du coupable s'appelle : le colonel MUSEKURA.


Ce nom est plutôt la goutte d'eau qui a déversé la vase.

Les deux contractants ont des devoirs et des obligations qui leur incombent ds cet accord, cependant, de l'avis de quasiment tous, l'exécution tarde ou avance très timidement.


L'interruption de prise en charge, les menaces, l'amnistie,le grade, la réinsertion, les enfants, etc, ce sont là les points d'achoppement qui nécessitent des réponses à l'urgence pour sécuriser l'accord, sinon ca sera de la peine perdue.


MUSEKURA est l'agent d'exécution d'un plan de de sabotage de cet accord pour provoquer le chaos ds la région et ds l'Ituri en particulier.

Heureusement, il s'est buté à une telle.


volonté de la part de toutes les parties contractantes, les forces vives, la socit ainsi que la population,etc, de mener à son terme le processus. Toutes nos félicitations à tous ceux ki ont travaillé pr protéger cet accord.


Nous encourageons toutes les parties à donner le meilleur d'elles-mêmes pour l'aboutissement heureux de ce processus de paix qui a tant duré(il a fallu 20 ans pour en arriver à ce niveau), car l'Ituri n'a pas droit à l'erreur afin de barrer la route aux oiseaux de mauvaises augures, aux pyromanes et sapeurs pompiers qui rôdent tt autour et ki n'attendent qu'un simple incident de parcours vienne interrompre la marche pour la paix en territoire d'irumu. Ils travaillent jour et nuit.


Nous condamnons les actes de violence inutiles,cpt,avc conséquences déplorables, et encourageons les parties à rétablir la confiance entamée par l'incident malheureux et appellons la population à regagner leurs villages et à vaquer librement à leurs occupations.
Que vive la paix en Ituri.

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Les massacres des civiles agriculteurs des cacaos dans le térritoire de Beni continuent avec une violence inouïe

5 Octobre 2020 , Rédigé par La rédaction

Un groupe des agriculteurs de cacao en térritoire de Beni-Rdc

Un groupe des agriculteurs de cacao en térritoire de Beni-Rdc

Cacao et massacres de Beni. Quels liens ?

 

Les attaques des agglomérations répondent de ce que l’on nomme dans la guerre asymétrique « opération de déception ». Elle comprend dissimulation, diversion et intoxication. Les ADF et Cie poursuivent un double objectif, à savoir éloigner les cultivateurs de leurs champs par la peur de se faire tuer (une peur réelle puisqu’ils sont effectivement tués) et récolter le cacao pour le revendre à leur compte. Malheureux est celui qui combat victorieusement sans penser aux butins de guerre, rappelle Sun Tzu.

 

Ainsi donc les massacres des populations se déroulent dans les zones à forte concentration des champs de cacao. Les ADF/MTM sont actifs dans le bassin de production du acaco : Mughalika/Mwalika (dans le Bashu), l’axe Mbau-Kamango, Kokola-Maymoya, Mamove, Halungupa dans le Ruwenzori, Kainama et l’axe Mangina-Biakato fontière Beni-Mambasa. On observe une « paix » de cimetière vers Bovota dans les groupements Bahumu et Bwisa ( Kikingi, Ndama, Kisegeta) où ils ont leurs propres champs.

 

D’où cette question simple mais qui pourrait énerver certaines consciences : « Le cacao soulage-t-il ou augmente-il la souffrance des populations civiles dans les zones où il est cultivé ? »

 

A cette question surgit une autre : « La Banque Centrale du Congo contrôle-t-elle le flux monétaire en circulation dans cette zone « rouge » mais prospère ? » « Par quelles portes officielles sort le cacao produit dans le territoire de Beni ? »

 

On pourra à l’envi poser d’autres questions et, des réponses qui viendraient, chacun pourra tirer les conclusions qui lui conviennent.

Les commentaires y vont dans tous les sens. Une analyse géopolitique des conflits récurrents commande de prendre en compte tous les paramètres en y incluant les saisons (temps et l’espace) pour une lecture plus ou moins correcte de la situation.

Force est de constater que c’est pendant la saison de récolte des produits agricoles industriels d’exportation (dont le cacao) que les tueries d’une rare violence sont commises avec plus d’ampleur sur les populations civiles sans défense. Ainsi la lecture des tueries nous amène à ceci :

 

– Pendant la période de culture et toute la période de désherbage des champs, il s’observe une certaine accalmie. Les cultivateurs regagnent leurs champs et y élisent domicile sans être inquiétés. Ils y cultivent et y consacrent tous les soins pour une meilleure récolte de cacao.

 

– Lorsqu’ on approche la saison de récolte qui correspond avec le début du mois de septembre, les tueries reprennent avec une bestialité insupportable. Ces tueries durent généralement quatre mois (septembre, octobre, novembre et décembre) avec une baisse observée fin décembre.

 

L’explication est simple. Pendant la période des champs, les ADF et leurs acolytes laissent les cultivateurs travailler librement en les rassurant de leur protection.

Certains ADF sillonnent même les champs pour « sécuriser » les cultivateurs. Or, ces visites servent au recensement des champs. Ce sont des visites de routine de renseignement sur l’emplacement des champs. À l’arrivée de la saison de récolte, les attaques contre les cultivateurs se multiplient. D’abord elles visent ceux qui vont dans leurs champs, ensuite vient le tour de ceux qui habitent la périphérie des champs. Enfin, les attaques sont dirigées dans les agglomérations.

 

Quelle est la valeur réelle des conflits de l’est ?

 

En effet, les spécialistes du brassage de l’argent sale sont formels : « La valeur réelle d’un conflit réside dans la maîtrise de la dette que ce conflit génère à travers la vente des armes légères et de petit calibre dont les banques se portent comme intermédiaires ». Le thermomètre du financement illicite des conflits notamment à l’est de la RD Congo se mesure dans la création des groupes armés, de la publicité dans les médias internationaux autour des seigneurs de guerre et des fonds alloués sans cesse aux « experts et/ou chercheurs occidentaux » qui sillonnent la région mais également à la diabolisation des forces loyalistes dans leur incapacité à vaincre les groupes armés. Les experts et autres chercheurs spécialistes du pays commencent d’abord par étudier les structures du pouvoir politique et de l’armée loyaliste. Dans ce genre de business, ils utilisent les ONG locales et les médias occidentaux pour vilipender à longueur de journées les forces loyalistes. Comme dit un adage de ce milieu de la mafia organisée : « Dans une jungle, quand le lion tue, c’est le chacal qui en profite ».

 

Il est important de savoir que chaque société multinationale a grandement besoin de banques pour opérer dans les zones grises ou noires (zones à conflits où la faillite de l’État profite à des seigneurs de guerre). Les paradis fiscaux et leurs banques participent régulièrement dans l’appui des multinationales prédatrices.

 

Pour mettre fin aux conflits récurrents à l’est de la RD Congo, il ne suffit pas de faire des cartographies de groupes armés ni de vilipender à longueur de journées le gouvernement empêtré dans bien des problèmes dont la corruption, le clientélisme et l’absence de vision, il suffit simplement de partir du point de départ. En effet, le point de départ des conflits réside dans l’industrie de l’armement. L’on sait qu’avec la chute du mur de Berlin (fin de la guerre froide), ce qui était l’URSS est devenu un grand pourvoyeur des armes légères et de petit calibre dont la fameuse kalachnikov (AK 47). L’Ukraine et la Chine sont présentées comme étant le grand marché de ces armes. Les experts et autres chercheurs qui débarquent en RD Congo ne font que rarement allusion aux pays occidentaux fabricants des armes.

 

Les conséquences de la fraude du cacao du Ruwenzori

 

Lorsqu’on interroge l’ONAPAC (ex-ONC), on en sort enrhumé. Les actions agronomiques qui devraient être analysées au niveau du laboratoire de l’ONC ne sont pas effectuées, pire sabotées. Ce qui a pour conséquence :

 

1. Le manque de suivi de traçabilité à tous les stades de la production, de la récolte, de la transformation, du transport, du stockage, du conditionnement, de l’expédition, du travail des enfants, sur l’impact environnemental, etc.

 

2. La fraude documentaire. Les 20 % du cacao de Beni sorte sous la qualité « cacao conventionnel » qui n’en est pas une et qui ne se retrouve pas dans la Mercuriale. Cela favorise la fraude parce qu’on applique n’importe quel prix, et constitue un manque à gagner pour le pays.

 

3. Marquage conventionnel : les produits agricoles exportés ne respectent pas les instructions de marquage conventionnel destiné aux pays producteurs pour une réexportation. Conséquence, les statistiques de la RDC sont faussées et/ou inexistantes. Les 80 % du cacao congolais produit dans une zone en sang restent inconnus sur les marchés internationaux.

 

Les Coulisses septembre 25, 2020 

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Face aux massacres réccurent dans la région de Beni-Rdc ; ONGDH le CEPADHO propose le recrutement des mercenaires.

5 Octobre 2020 , Rédigé par La rédaction

Insécurité en ville et térritoire de Beni-Rdc

Insécurité en ville et térritoire de Beni-Rdc

Beni: consterné par les massacres de près de 3500 civils en 6 ans, le CEPADHO propose le recrutement des mercenaires.

Le Centre d’étude pour la promotion de la paix, la démocratie et les droits de l’Homme( CEPADHO), une structure citoyenne, se dit consterné par les massacres odieux et crapuleux de près de 3500 civils en 6 ans, dans cette partie de la RDC.

 

Dans une déclaration faite samedi 03 octobre 2020 dont une copie est parvenue dimanche à Ouraganfm.cd, cette structure propose au chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi, de prendre de nouvelles initiatives pour faire face au terrorisme des rebelles ougandais de l’ADF( Forces démocratiques alliées).

 

Cette déclaration est rendue publique en marge, non seulement des massacres de 7 civils dont 4 hommes, 2 femmes et 1 enfant perpétrés vendredi dernier au village Mamove, groupement Batangi-Mbau , territoire de Beni, mais également des 6 ans d’anniversaire des massacres des civils dans la région.

 

Selon le document signé par le vice-président du Conseil d’administration de cette sttucture, Me Omar Kavota, les nouvelles initiatives à prendre par le président de la République sont entre autres le recrutement des mercenaires capables de s’adapter au terrorisme afin de bouter hors du territoire congolais ces ennemis du peuple.

 

« Le CEPADHO estime qu’à 6 ans de monotonie contre les ADF/MTN, le président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi , devrait prendre des nouvelles initiatives.Ainsi, faute de solidarité manifeste de grandes puissances et des États amis de la RDC dans le combat contre les terroristes ADF/MTN, le CEPADHO propose au chef de l’État de procéder au recrutement des mercenaires ayant l’expertise de la guerre asymétrique en appui aux FARDC », peut-on lire dans ce document.

 

À en croire cette structure citoyenne, l’autorité budgétaire devra aussi adopter au cours de cette session la contribution attendue de chaque citoyen pour suppléer l’initiative de recrutement des mercenaires.

 

« Et, au cas où cette initiative nécessitera de fortes implications financières pour la République, que le Parlement fixe dans la loi budgétaire à adopter au cours de cette session, la contribution attendue de chaque citoyen épris de paix et de compassion sans être forcé », a poursuivi le CEPADHO.

 

Cependant cette structure citoyenne déplore le récent massacre commis à moins d’une semaine de la mission dans la région de Beni du ministre de la Défense et des Anciens combattants.

 

« Le CEPADHO déplore cette tragédie intervenue en plein sixième anniversaire depuis l’avènement de la série des massacres des civils le 02 octobre 2014. Cela, à moins d’une semaine après la visite à Beni du ministre national de la Défense qui a publiquement déclaré à l’attention de la population que ces ADF vous ne les reverrez plus. 6 ans durant, le CEPADHO a enregistré près de 3.500 civils tués dont 929 au cours de 11 derniers mois. Cela sans compter les portés disparus ».

 

Pour cette structure, « le passage à Beni du ministre de la Défense n’a rien produit, même s’il peut encore être tôt de le juger », a-t-elle conclu.

 

Pour rappel, des combattants ADF ont signé une nouvelle incursion punitive dans la soirée du vendredi au village Mamove, territoire de Beni ayant coûté la vie à 7 civils.

 

Philémon Kachelewa

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🇨🇩🇨🇩🇨🇩L'IMPORTANCE DES VILLAGES LACUSTRE POUR LA POPULATION RIVERAINE DELA CHEFFERIE DE WALENDU-BINDI SE TROUVANT EN TÉRRITOIRE D'IRUMU PROVINCE DEL'ITURI, RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO

5 Octobre 2020 , Rédigé par La rédaction

Zone lacustre dela Chefferie de Walendu-Bindi

Zone lacustre dela Chefferie de Walendu-Bindi

Lorsque nous parlont souvent des villages Koga, Kombi, Kagoro, et Kanzoka, sont une zones aquatiques situé au bord du Lac-Albert qui ont été décimée depuis longtemps par la population en quête de dela pêche.

🇨🇩🇨🇩🇨🇩Je crois c'est dans le groupement Zadhu, situé vers le nord-est de Walendu-Bindi

Les caractéristiques dominantes de ces villages sont : le lac Albert dans toutes les parties Est et les hautes montagnes dans la partie Ouest, et d'une grande plaine à sa proximité, qui offre un cadre approprié pour l’élevage et la demande en produit dela pêche et d’élevage ne fait que croître étant donné l’augmentation croissante de la population.

La pêche est une activité aussi très pratiquée en Ituri. Elle est surtout lacustre et en majorité artisanale, à part l'exploitation effectuée par quelques commerçants Grecs (exemple la COGEPA) qui produisaient une grande quantité des poissons. Les autres entreprises comme la SGA sont tombées en faillite suite aux multiples crises qu'a connues le pays.

Le lac Albert situé à l'Est de ce district, à la frontière avec l'Ouganda, réputé être le plus poissonneux du Congo, permettait à l'époque de fournir une grande quantité de poissons dans la majeure partie de la Province orientale et du Nord Kivu.

La pêche se pratique principalement dans le Lac Albert, de façon artisanale. Les espèces des poissons capturés sont : Les capitaines, Sardines, silures et autres.

La pêche industrielle est inexistante et les gros poissons restent éternellement dans le fins fonds des eaux du Lac.

Ces poissons, avec leurs prédateurs constitués des grands poissons communément appelés petit, ou capitaine sont d’une grande valeur économique avec un potentiel de 200.000 tonnes de prise par an pour toute la cote congolaise.

Ce sont principalement les hommes qui pêchent tandis que les femmes travaillent dans la filière comme mareyeuses, ou grossistes en poisson.

La présence répétée du poisson est également un facteur à prendre en compte.

Enfin, les poissons, pour les plus petits, sont consommés ou, pour les plus grands, vendus directement à l’acheteur ou à une mareyeuse.

De sa situation géographie, ces villages lacustre sont des carrefours sur lequel passent ceux qui vont et reviennent del'ouganda, Chomia, Kasenyi, et Niamavi.

La zone recèle de ressources en eaux importantes, tant en surface qu'en profondeur.

Les potentialités du Lac peuvent se décliner en termes de : ressources halieutiques ; ressources géologiques ; potentiel touristique ; position géographique et navigabilité.

Donc le développement de la pêche constitue donc une priorité pour lutter contre l’insécurité alimentaire, le poisson pouvant facilement compléter les besoins en protéines animales des populations les plus pauvres.

Ont trouvé des populations venus souvent du groupement Zadhu, Bukiringi, Bamuko, Boloma, Baviva, qui se sont déjà installées, et rejoints plus tard par d'autres qui seront attirés par la fertilité du sol de cette contrée, à l'abri desquels les gens jouissent d'une protection constante et sûre, vivent, se multiplient et meurent selon les lois de la République démocratique du Congo.

En terrain plat, on rencontre des savanes arborées (étendues herbeuses parsemées de bouquets d'arbres) où le temps est continuellement brumeux.

 

🇨🇩Les grands sentiers vous fera vivre plusieurs aventures et les villages avec des cases très traditionnelles.


Donc les communications sont diverses formes car les routes relient les villages et localités voisines et l'extérieure, en toute saison.


Les sentiers et routes sont les voies de communication les plus utilisées.
Malheureusement, suite au manque d'entretien et des pluies diluviennes continuelles, elles sont souvent en mauvais état.


Il y a également, pour la fierté de nos chefs de terres, qui sont contents de voir nombreuses rivières arrosent leurs espaces.
Pour eux, les ressources aquatiques ont largement régressé, tant en surface qu'en quantité.


Par ces mêmes sources, ils ajoutent que, le massif montagneux qui offre une vue superbe sur le lac de loin, est accessible à partir de la Chefferie de Walendu-Bindi la source de plusieurs rivières qui coulent sur les flancs orientaux pour se jeter dans le Lac, tandis que d'autres alimentent une grande quantité d’eau la rivière Semliki qui elle-même alimente le Nil.


Ils constatent que cette large régression est due à la croissance démographique (croissance due à l'accroissement constat de la population humaine et celui de ses activités d'exploitation, de transformation et de consommation des ressources).


Dans ce même article, la plus part des habitants penssent que, la plaine offre un cadre approprié pour l’élevage et la demande en produit d’animaux d’élevage ne fait que croître étant donné l’augmentation croissante de la population.


Les informations livré par certains pêcheurs à notre rédaction révèlent que, dans ces villages la nuit tombe à 18 h " et il fait noir en quelques minutes, environ une semaine et demi comme si quelqu'un tirait les rideaux.


Les hippopotames sortent de l'eau et circulent autour des tentes en émettant un grognement sourd... ouh, ouh, ouh...


Les bruits la nuit dans les capements sont totalement assourdissants. Il faudra 3 nuits pour s'y habituer et trouver enfin le sommeil!
Ce sont plusieurs centaines d’hippopotames qui grognent et soufflent dans cette eau limpide.


Si ce gros pachyderme paraît parfaitement paisible, il faut pourtant se méfier, car l’hippopotame est l'animal qui tue le plus en Afrique.


Sa vitesse de course est époustouflante. S'il charge, il est impossible de lui échapper. l’hippopotame est capable de broyer un homme d'un seul coup de gueule.


Dans la nuit, c'est impossible de dormir, pour les visiteurs, tellement les bêtes sauvages hurlent, crient, grognent, aboient.


Partout beaucoup des casses ne comportent ni barrière, ni clôture.


Mais nous savons que ils sont dans un espace réservé aux pêcheurs et ces derniers le savent.


Nos sources dans cette contrée précisent que, oiseaux solitaire Marabouts, règnent en maître sur un territoire d'environ 5 km². Se nourrissant principalement de poissons, serpents et petits oiseaux.


Le bec en sabot, dont le bec est parfaitement adapté à la capture de ses proies, est un oiseau plutôt vorace, dont la cruauté maternelle fait froid dans le dos.
Bec-en-sabot du Nil.


(Famille : balaenicipitidés).


Parler de marabout ou de la cigogne, cet échassier est assez atypique et aux allures préhistoriques. Sa durée de vie est de 25 ans. On le trouve en Afrique en ituri-Rdc, (Soudan, Zambie, et Tanzanie..)


PRINCIPALES ACTIVITÉS C'EST LA PÊCHE


À côté de la pêche s’aligne un élevage extensif de bœufs, porcs, chèvres et de la volaille. Le petit et le grand commerce occupe aussi une portion importante de la population.


L’élevage aussi est porteur de potentialités d’investissement.


Les commerçants, s’approvisionnant localement ou à l’extérieur ne sont encore pas tous répertoriés.


La vente des produits agricoles et des produits de première nécessité en provenance del'ouganda.

Pour la plus part des vendeurs consultés, à cette situation affirment que, la vision de maximisation de recette n'est pas encore perçue, ces activités sont effectuées d'abord pour satisfaire les besoins immédiats du ménage et non investir dans le long terme.

Par ailleurs, une grande partie de la production du maïs est utilisée pour la fabrication locale des boissons alcoolisées ( kaipko) et ne profite pas à l'alimentation du ménage.

Trois décennies d’absence de l’autorité de l’état conjuguée avec la désarticulation de l’administration et le déficit d’encadrement de l’activité de pêche ont livré le lac à la merci de toutes sortes de délits et de problèmes.

On a déploré la surpêche, l’envahissement des zones de frayère, la pêche illicite avec du matériel prohibé, la réduction des captures, la disparition des espèces endémiques et emblématiques parmi lesquelles le menu poisson Fodho Fodho et le poisson électrique Tira.

Alors que la chefferie de Walendu-Bindi est passée par des crises sociopolitiques multiformes qui ont anéanti son économie et détérioré les conditions de vie dela population, de cette partie de Walendu-Bindi ramenée au stade pêche, a constitué un réflexe de survie pour des milliers de ménages agglutinés sur les rives du grand lac.

PRINCIPAUX PRODUITS AGRICOLES

Manioc

Patate douce

Maïs

Religion et Croyance

Dans presque tous les villages lacustre enquêtés, il a été reconnu la présence d'une ou plusieurs confessions religieuses dans ou à proximité du village.

Ces églises ont pour rôles : d'enseigner l'évangile et la morale divine, adoucir les moeurs, promouvoir des microprojets de développement, surtout dans le domaine de la santé et de l'éducation.

Car les quelques écoles et structures sanitaires identifiés dans le milieu habiter à grande échelle par les Ìndru émanent de ces confessions religieuses et ONG.

Alors quelques fois, les infrastructures sont en très mauvais état.

Les taxes sont perçues par les services de l’Etat, mais les retombées ne sont pas visibles.

Certainement les opérateurs économiques se plaignent du fait qu’un cette zone n’est toujours pas une ville pour pouvoir gérer ses recettes afin de travailler pour la population.

L’élevage aussi est porteur de potentialités d’investissement. La plaine de la offre un cadre approprié pour l’élevage et la demande en produit d’animaux d’élevage ne fait que croître étant donné l’augmentation croissante de la population.

Les autorités et services de l'Etat sont en difficulté de faire respecter les règles de protection de l'environnement pour l'avenir économique, social et nutritionnel (sanitaire) des riverains.

Egalement, les riverains ont difficultés à accepter que leurs pratiques d'exploitation sont à l'origine de la dégradation du lac, facteur influencé par leur sous information et participation à toute prise des mesures réglementaires de l'exploitation.

Alors l’exploitation artisanale y bat son plein. Des kilos et des kilos des produits sont exploités, mais ceci étant fait dans l’informel, aucune statistique n’est disponible sur cela.

La FEC non plus ne peut répertorier ses adhérents, la personne qui s’en chargeait ayant perdu la vie il y a deux ans. La nouvelle personne engagée pour cela se recherche encore. N’étant pas permanent, elle est moins performante.

Sur toutes les informations recueillies lors de campagnes de recherches réalisées sur le terrain, dans des villages situés aux périphéries du lac notament à Kanzoka, Kombi, Koga, Kagoro, au cours du juillet à septembre 2020, à l'approche des villages les barrages militaires se font de plus en plus fréquents, et même sur le pont Kaporo.

Souvent les usagers de ce trôncon dénoncent les tracasseries lacustres dont elle est victime ainsi que l’indifférence du Gouvernement provincial face au débordement du lac Albert.

« Les mêmes sources ajoutent que, c’est depuis plus de 7 ans que ce phénomène de tracasserie se pratique sur le lac Albert surtout par les forces navales…elles pillent les filets de la population et perçoivent illicitement de l’argent auprès des pêcheurs», témoigne un défenseur de droits humains de la place à notre rédaction.

La population victime nous dit souvent que, les millitaires bien connus dans la région sont mal payés, mal équipés, alcoolisés ou drogués, ce qui ajoute un climat peu rassurant.

L'objectif est de raquetter les passants, de leur soutirer de l'alcool, des cigarettes, de la drogue, de l'argent...

Le mieux est de rester calme, patient, mais ferme et de ne rien céder.

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Beni-térriroire-Rdc ; La société civile dela chefferie de Watalinga se dit contente après l'ouverture de tronçon routier Mbau-kamango en Rép Dém d Congo

1 Octobre 2020 , Rédigé par La rédaction

La rédaction

La rédaction

Au Nord-Kivu : la société civile salue la réouverture du tronçon Mbau-kamango vers l'est dela Rdc

 

La coordination de la société civile, noyau de la chefferie de Watalinga, territoire de Beni au Nord-Kivu a salué la réouverture de la route Mbau-Lama par le ministre de la Défense et des Anciens combattants, Aimé Ngoyi Mukena.

 

Le président de cette organisation, David Muwaze a remercié à juste valeur la remise de ce tronçon routier à la population qui est la seule voie d’entrée et de sortie pouvant désenclaver cette entité.

 

« L’arrivée du ministre de la Défense a été salutaire pour la chefferie de Watalinga avec l’objectif de remettre la route à l’utilisation de la population civile. C’est quelque chose qui nous a plus rassuré parce que nous resterons connectés au reste du territoire national.

 

 Ce tronçon routier est l’unique et la seule voie qui nous relie avec l’extérieur.

 

 Ne pas la rendre opérationnelle était une façon d’enclaver l’ensemble de la chefferie », a souligné David Muwaze dans un entretien qu’il a accordé à Ouraganfm.cd.

 

Cependant, l’activiste a exprimé son inquiétude de constater que lors de la cérémonie, le ministre de la Défense n’ait pas franchi tout l’axe routier afin de se rendre compte du bon déroulement des travaux de réhabilitation.

 

Pour lui, Ngoyi Mukena devrait aller jusqu’à la rivière Lamia limitrophe de l’Ouganda où s’arrête cette route pour se rendre réellement compte de l’état de sa réhabilitation.

 

« Notre inquiétude et notre indignation sont liées au choix du lieu où s’est déroulée la cérémonie.

 

 Quand nous voyons que la route Mbau-Kamango s’arrête jusqu’à la rivière Lamia qui partage la frontière avec l’Ouganda, mais nous nous inquiètons. Et puis, nous nous posons la question de savoir si la route se limite-t-elle au pont Semuliki pour que le ministre s’arrête là. 

 

Comme le ministre venait de remettre la route au niveau du pont Semuliki, s’est-il rassuré du bon déroulement des travaux d’entretien sur la partie qu’il n’a pas visité ? », s’est interrogé David Muwaze, le président de cette structure de défense des intérêts de la population.

 

Pour rappel, le ministre de la Défense et des Anciens combattants, Aimé Ngoy Mukena a remis à l’utilisation civile l’axe routier Mbau-Lamaia, long de 72 Kilomètres reliant le secteur de Beni-Mbau à la Chefferie des Watalinga.

 

Cette route était interdite à la circulation depuis 3 ans suite à l’activisme des rebelles ougandais de l’ADF(Alliance des forces démocratiques).

 

Philémon Kachelewa

 

 

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