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Adirodu-Roger Cyber-Notes

Chefferie de Walendu-Bindi ; L'une d'entités coutumière de la Rép dém du Congo

👆🏿👆🏿👆🏿🇨🇩 Chefferie de Walendu-Bindi situé en térritoire d'Irumu, province del'ituri, vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo

👆🏿👆🏿👆🏿🇨🇩 Chefferie de Walendu-Bindi situé en térritoire d'Irumu, province del'ituri, vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo

📑↪️🇨🇩Walendu-Bindi (officiellement ; Est une entité coutumière, est aussi une chefferie traditionnelle de hauts plateaux del'Ituri situé vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo, et d'Afrique centrale, et localisée sur la ligne de séparation des eaux du Congo et du Nil, au cœur de la région d'Afrique centrale.


De nombreux genres transmis au départ par la tradition orale sont désormais diffusés à la fois par les vecteurs oraux traditionnels mais aussi par le biais de supports écrits et de médias comme la radio, la téléphonie et Internet. 

 

En plus de l’immersion dans la grande savane majestueuses, la découverte d’un peuple Ìndrŭ vous permettra de partager des moments magiques, mais quelques fois d'une allure peu puissante.

 

Souvent on peut noter qu' un bon nombre, des Ìndrŭ sont à la taille haute, et bas.

 

Aux traits fins, ils ont de lointaines parentés surtout avec les Bhâle lendu qui habitent le térritoire de djugu, et les Lugbara qui sont localisés en térritoire d'Aru.

 

Mais aussi ; L’appellation Ìndrŭ leur permet de se différencier des autres Lendu qui sont ;

Lugbara et Bhâle !

 

Alors ; Les points suivants peuvent être retenus.

 

Physiquement ; Actuel chefferrie traditionnelle de Walendu-Bindi est occupé en majorité par les Ìndrŭ, l'une d'ethnies se trouvant à l'Est de la RD. Congo.

 

Cette entité coutumière quoi qu'étant occupés par un peuple quasi homogène présentent des diversités sur le plan physique, géographique, démographique, administratif, social et économique.

 

Situation géographique

 

a. Limites géographiques :

La Chefferie de Walendu-Bindi est limité :

- Au Nord par la Chefferie d'Andisoma ;

- Au Sud par la Chefferie de Bahema Mitego

- A l'Est par une partie dela rivière semliki, et la chefferie de Bahema Sud ;

- A l'Ouest par la Chefferie de Walese-Vonkutu.

 

b. Coordonnées géographiques :

 

Elle est situé entre latitude 1⁦1°13'00"Nord⁩ et⁦ longitude 30°06'51"Est, et s' étend environ sur 2.226 km2, donnés optenu dans le quadrillage de logiciel Google Earth, avec une altitude moyenne de 800 m au dessus de la mer.

 

En supprimant la zone urbaine, la zone d’habitation, villageoise, la zone de chasse, et dela pêche, on constate que, la superficie activement exploitée correspond à environ 30% seulement du terroir. 

 

C’est pour dire qu’il s’agit d’un terroir relativement bien peu exploité,.

 

hydrographie

 

La chefferie de Walendu-Bindi fait partie de deux bassins hydrographiques du fleuve Congo, et du Nil.

 

Au bassin du Nil ; De nombreux cours d'eaux sont acheminées par la rivière semliki et se deversent dans le lac Albert, et Nil Albert, et se dirigent vers le fleuve Nil-Victoria au Nord.

 

Mais le plus important sont :

 

anjikye, alisé, alimo, ikpa, lamatsé, asimbé, ndera, et mbilito dont les potentialités pourront être plus tard exploitées pour la production d'énergie hydroélectrique.

 

Et d'autres drainent les eaux dans la rivière, Ituri et loya, qui font partie du bassin du fleuve Congo.

 

De là, on peut avoir les rivières suivantes ;

 

talulu, avini, ambata, Angumé, lowu, tsemukoyo, libala, et lowulowu.

 

Parmi ces rivières, il y a quelques unes qui sont poissonneuses avec des poissons d'espèces variés.

 

🇨🇩━☞Le sommet le plus élevé avec une altitude d'environ 1800m à 1400m sont ; Awi, Alimo, Omi, et Isura.

 

🇨🇩━☞La chefferie regorge aussi plusieurs collines qui permettent d'atteindre de nombreux observatoires vers l'Est du Nord au Sud, et àl'Ouest, parmi lesquelles nous pouvons citer :

 

Arukyé, Nyasumbí, Odhé, Toro, Iyá, Kabhi, Mulongo, Nyapké, Nyasona, Nyata, Kurungasa, Munziya, Balimo, Obé, Djungbelé, Nyasona, Nyasumbí, Alebhé, Omina, Odzé, et Karusé,...

 

En fait, les hautes montagnes dont le Mont Bleu, constituent la chaîne des montagnes qui commence de Mahagi port et se prolonge vers le Kivu.

 

Source ; Enquête de notable Didi Osée Angaika 2008

 

Au point de vue administratif

 

La chefferie de Walendu-bindi qui conserve les tombeaux de la plupart de ses souverains et leaders d'opinion public d'une longue date, fût créé suivant le PV N⁰ 00 85 du 03 décembre 1931, par l'administrateur térritorial d'Irumu, à l'époque colonial. l'AT Halleux qui trace la carte des 5 chefferies réunifiées et la délimitation des enclaves d'une localité Lagabo, Lakpa, et Nombe, avec comme Chef-lieu Gety-Etat.

 

La décision de la réunification sera signée en 1929 et appliquée en 1933, ainsi, il est facile de voir que toutes ces six Chefferies et non cinq comme l'avait présentait l'invité Excellence Ministre provincial Honoraire del'ituri, que nous saluons sa mémoire Osée Didi Angaika au cours d'un débat consacrés à la page socio-culturel et histoire dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi avec un groupe des diplômés originaires dela chefferie de walendu-bindi, via Forum Gety Infos Total à partir de Bunia.

 

Pour lui, ces dernières ont fonctionné jusqu'à 1933, ce qui a occasionné la création de l'actuelle Chefferie des Walendu-Bindi le 15 mai 1933.

 

Donc pour plus de précision, c'est un document tiré dans les archives dela notabilité de Walendu-Bindi, grâce à Osée Didi Angaika.

 

D'une manière légal avec la loi colonial Belge, le PV cité ci-haut avait mis fin aux cinq Chefferies créés aux subdivisions administratives, des royaumes traditionnels Ìndrŭs ont été préservés avec une autonomie limitée, essentiellement culturelle par certains clans majoritaires à partir de 1915, en désaccord avec politique dela Belgique.

 

Nos sources contactés pour la cause précisent que, le 05 décembre 1933 est considérée comme la date de la création officielle de la Chefferie de Walendu-Bind.

 

EIle aspire à un peuple uni qui jouit d'une prospérité-sociaux-culturelle.

 

Sous ce rapport, tout en sachant que, la chefferie de Walendu-Bindi est une institution culturelle qui promeut aussi la participation populaire et l'unité des différents clans par le biais de programmes de développement visant à améliorer leur niveau de vie. 

 

Mais aussi ; Avant l'époque pré-colonial, les Ìndrŭ n'ont pas connu de pouvoir politique centralisé.

 

C'est pour dire que, le pouvoir s'est limité aux familles au sein desquelles les guerriers ont joué un rôle de premier ordre car ils garantissaient la paix dans la contrée. À l'époque de la pénétration arabisée et plus tard lors de l'occupation belges firent face à la résistance farouche des Ìndrŭ, dirigés par leurs principaux guerriers. 

 

🇨🇩━☞ Subdivision administrative

 

La chefferie de Walendu-Bindi compte six groupements dont ;

 

Bukiringi, Baviba, Boloma, Ts'ritsi, Zadhu, et Bamuko, fut crée par une vague migratoire, qui date du XVI et XVII siècle.

 

CONNAISSANCE GENERALE DES ENTITES COUTUMIERES DE LA PROVINCE D’ITURI

 

▶️https://www.congovirtuel.com/page_province_ituri.php

 

À cela s'ajoute ; 200 villages, qui sont beaucoup plus tranquilles, en ce qui concerne la situation sécuritaire qui se normalise jour et nuit.

 

De toute les façons au sein de plusieurs villages, chaque famille détient une maison dans la quelle on doit obligatoirement trouver des greniers à nourriture, mêmement avoir des greniers à planter, et multiples cultures, bien que la pauvreté et les problèmes économiques préoccupe la plus part des paysans, mais les Ìndrŭ sont bénis avec un sol riche, et fertile. 

 

Et puis, l’ensemble des informations recueillies au près des villageois qui sont la plupart des clairvoyants indiquent que ;

 

Dans un mode de production basé sur le travail collectif, ces gens là donc les Ìndrŭ, sont comme des machines ; Au motif, ils peuvent travailler tout le temps, et ils épuisent rapidement les sols, où éliminer très vite, les broussailles d'une étendue de terre, considérée du point de vue de sa surface, de sa propriété et de son affectation.

 

🇨🇩━☞ACCÈSSIBILITE ET VOIES DE COMMUNICATION

 

Donc ; Walendu est une entité coutumière, divisé en deux parties del'Est à l'ouest, par la route N⁰ 431 d'intérêt provincial, situé sur la crête du fleuve Congo, et du Nil.

 

Les grands axes d'échanges commerciaux sont :

 

1) Au Nord: Axe Walendu-Bindi-Bunia-Kasenyi-Chomia : cet axe est utilisé par des véhicules pour les transports des produits commerciaux. 

 

2) A l'Est : Axe Walendu-Bindi-Buguma : cet axe n'est pas utilisé par les véhicules. Il faut demi journée de marche à pied pour y atteindre les destinations.

 

3) Au Sud : Axe : Walendu-Bindi-chefferie de Bahema-Mitego, Bahema-Boga, Banyali-Tchabi, et celle du nord Kivu ; cet axe procure la chefferie en bétail d'abattage notamment les vaches, les moutons, chèvres et poules.

 

À l'Ouest : Axe : Walendu-Bindi-Andisoma-Komanda qui échangent des produits commerciaux aux marchés du groupement Bavi.

 

La principale route qui permet l’entrée et la sortie dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi c’est la RS N⁰431 route sécondaire qui part de Bogoro, en passant par Kagaba, Badjanga, Bukiringi, Mitego, Boga, Tchabi, Kainama, jusqu à Eringeti. (C'est une route qui connecte la chefferie à d'autres entités dela province del'Ituri, celle du Nord-Kivu, et même del'Ouganda, via Burasi à la frontière congolo-ougandaise.

 

Les activités commerciales et les échanges sont fréquents et réguliers, car, la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi de par sa position, se trouve intégré à des circuits d’échanges transfrontaliers importants, avec l’Ouganda.

 

Tous ces axes sont plus ou moins praticables mais ils nécessitent des interventions mécaniques à grande échelle pour leur réhabilitation car ces réseaux sont très important pour l'évacuation des produits agricoles parce qu'il s'agit des voies de desserte agricole permettant de désenclaver les zones de production.

 

La chefferie dispose également des rivières qui le traverse dont la navigabilité est possible seulement pour les pécheurs et qui le relient à quelques villages voisins. 

 

Cependant, on peut aussi accéder dans ce territoire via le lac Albert sur lequel on retrouve un bon nombre des pirogues motorisées qui font des navettes et de trafic frontalier entre Ouganda et Kasenyi mais aussi entre les villages frontaliers. 

 

Dans le térritoire, les routes sont en bon état car entretenue par le gouvernement provincial, la Monusco, le Foner et l’office des routes. 

 

Les routes des déssertes agricoles se dégradent d’avantages à cause de manque d’entrétien.

 

Souvent les grands sentiers vous fera vivre plusieurs aventures et les villages avec des cases très traditionnelles.

 

Donc les communications sont diverses formes car les routes relient les villages et localités voisines et l'extérieure, en toute saison.

 

Bien évidemment, l'ambiance qui s'observe dans certains villages pousse les visiteurs à croire que, l'image de Walendu-Bindi en est considérablement enrichie, par les montagnes et plateaux, qui abritent une diversité écologique étonnante. 

 

Sur la fin du trajet, on décide de quitter la route pour prendre un “raccourci” en terre battue, un choix qu’on ne regrette pas tant les pistes sont de plus en plus belles. 

 

En plus, sur la route, et pu se tenir un pied dans chaque hémisphère !

N’hésitez pas à visiter les petits villages et les centres culturels, où vous serez accueilli chaleureusement.

 

Quelques fois, on vous racontera l’histoire des habitants Ìndrŭ primitifs, localement, dangereux, isolés, et belliqueux, qui trouvent leurs origine dans les deux pays limitrophes de la RDC, entre autres, l'Ouganda et surtout, dans le Soudan du Sud.

 

Les routes sont les voies de communication les plus utilisées. 

 

Malheureusement, suite au manque d'entretien et des pluies diluviennes continuelles quelques fois, elles sont souvent en mauvais état.

 

Par ailleurs, il existe des ponts dont certains sont en état de délabrement posant ainsi d'énormes difficultés lors des traversées et d'autres impraticables du fait qu'ils sont inachevés. 

 

Le transport fluvial est assuré dans une partie de la rivière Semliki qui est seulement navigable en aval du Lac-Albert, jusqu'à Nyanzigo. 

 

En plus des routes, la chefferie de Walendu-Bindi dispose l'aérodrome qui reçoivent seulement des petits porteurs à Aveba, mais aussi nous sommes sans ignorer qu'à l’époque, les petits aéronefs Antonove atterrissaient à Gety pour faciliter les activités de ces derniers. 

 

À ce jour, un seul piste d'Aveba est opérationnelle.

 

Il convient de signaler que, la chefferie de Walendu-Bindi compte deux pistes d’atterrissage, l’une à Aveba qui peut se mesurer à plus de 600m de L, et 25m de largeur. Il  appartient à la communauté C.E, et autre est localisé à Gety-Mission, appartenant aux missionnaires catholique, avec une piste de 880 m qui peut accueillir des petits avions comme LET 410.

 

Source : nos enquêtes sur le terrain

 

Article détaillé 

 

 Notre étude autour des personnes qui ont certifiés l'exactitude des déclarations tiré du questionnaire d'enquête, des observations et des interviews que nous avons réalisés en juin et juillet 2007 dans les quelles on pouvait entendre que, par le passé, l'espace dela Chefferie de Walendu-Bindi partant de certains lieux riverains du bassin de la rivière Semliki, jusqu'au peripherie de Bogoro. 

 

Avant de voir sa découpage développée par le colonialisme du 19ème siècle venu créer des frontières arbitraires au sein de cette zone richesses.

 

Et compte, six groupements suivants dont ;

 

Bukiringi, Baviba, Boloma, Ts'ritsi, Zadhu, et Bamuko.

LES LIMITES

 

Pour ce qui est des limites Administratives nous prenons les grands points de repères sans pour autant entré dans les détails, mais celui qui se sent intéressé peut passer nous voir pour plus d'informations.

 

Au Nord vers Bogoro, c'est la rivière Zamvu/ Mamba. 

 

D'après la même source, la concession de JBS de Lagabo se trouve dans la chefferie de Walendu-Bindi. 

 

À l'Est, c'est la rivière Semiliki ; vers le lac, c'est Kodjodha

 

Au Sud, c'est la Chefferie de Bahema-Boga et Mitego

 

Nous partons de ZEMVU (proche de la concession de BAMANISA), nous descendons à la rivière MAMBA - bafond MBOGU - SONALALIMBI - route Kasenyi - limites NYAMAVI - SONATETE - bafond MASUNUNU - bafond gondegura - nyakembi - kadjike - kodjodha - kiege - lac Albert jusqu'à la rivière SEMILIKI - mutori "mukura" - enfluent mukatudha - ngyeri (kyareta : kihema), traverse la plaine de Karongo latéralement le boisement de kirimbi vers BUKIRINGI - passe pas les plateaux de toroko (kimama en ndruna) - boisement de pbhirimvu - rivière ngere et lamatsé - asimbé vers mitego - colline pbhiriatu - bhatoro - tchemukoyo - colline GATI - Nyakere - Katamendi - plateau - prière Wamba - afubhu (début limites avec walese vonkutu) - rivière loya - rivière talayi - passe près de E.P. MUZE - bafond dingi dingi - rivière talolo - baguma koyi - montagne Ambelu au dessus de TULABHO et droitement vers MUSA axe SONGOLO et revient jusqu'à rejoindre ZEMVU.

 

Propos del' Honorable Adabha Masumbuko Louis député provincial de l'Ituri.

 

━☞🇨🇩(Pour toute sa dimension historique),  la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi fut possédé conformément à la tradition des encêtres, qui ont vécu en société morcelées autonomes : en clans, où en lignages, structurés dans une communauté d'une longue histoire commune, qui a connu un corps de différents métiers : des chasseurs, pêcheurs, ouvriers, guerriers, agriculteurs, des chasseurs, élèveurs à certains niveau, ... et d'autres.

 

Aspects politico-administratifs

 

Toponymie

 

La chefferie de Walendu-Bindi tire son nom àl'appellation d'un ancien encêtre sortie du clan zadhu connus sous le nom de Bindi, très influent qui administra l'actuel groupement zadhu avant l'« arrivée des Blancs ». 

 

Par la tradition orale, il nous est parvenu l’anecdote suivante : 

 

L'administration coloniale belge  s’enquit, auprès des autochtones. Pour dire que, Walendu-Bindi est un nom qui symbole l'unité dérivé de l'expression colonial belge en disant à la population que, appellation Walendu-Bindi a été donnée à l'honneur d'un ancien chef qui doit être considérer comme le "père de tous les gens qui les rassemblent tous", et qui sert également de leur chef culturel.

 

Mais dans ses notes, les Belges retiendra « Bindi» et ce fut dès lors le nom donné à ce village. 

 

La sacralisation de toute parole sortant de la bouche d'un Blanc à l'époque coloniale pourrait se vérifier dans plusieurs domaines.

 

🇨🇩Les institutions politiques

 

Aspect politico administratif

 

La chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi a à sa tête un chef coutumier qui est aussi appelé MWAMI comme ce lui de la collectivité chefferie de Walendu-Bindi. 

 

Chaque localité est administré par un chef de localité secondé par son secrétaire, chaque localité est subdivisé en notabilité administré chacune d'un notable.

 

Le chef de groupement reste l'intermédiaire entre le MWAMI de la collectivité et la population. C'est lui qui transmet les doléances des notables et des chefs des villages au MWAMI.

 

Les chefs de localités quand à eux donnent leurs rapports au chef de groupement. Dans ce même groupement, nous y trouvons d'autres services de l'Etat entre autre le tribunal secondaire, l'Etat civil, l'environnement, pêche et forêt, l'agriculture, la jeunesse, la sécurité et le service de renseignement.

 

Comme, entité décentralisée, elle exécute les ordres émanant du Ministère de l'intérieur et décentralisation tant au niveau provincial que national.

 

La chefferie est dirigée par le Mwami en collaboration avec les six chefs des groupements. 

 

🇨🇩Les institutions politiques sont incarnées par le chef supérieur des groupements ensuite viennent les chefs de 2ème et de 3ème degré, et enfin les notables.

 

Genèse du mariage

 

🇨🇩Ø Les notables

 

Ils détiennent les pouvoirs spirituels de la chefferie et sont les principaux conseillers du chef.

 

🇨🇩Le chef du village de son conté est assisté de ses notables, exerce un pouvoir incontesté sur les villageois, lui-même étant soumis à l'autorité directe du chef supérieur du groupement.

 

Le Mwami est aidé dans l'Administration de sa chefferie par les chefs des groupements ou par les chefs des villages ou, par les chefs des collines ou et enfin par les chefs des familles. 

 

Chaque groupement est dirigé par un chef de groupement nommé directement par le Mwami. 

 

Généralement le chef de groupement doit être un membre de la famille royale ; il doit être donc un prince, un noble càd.

 

Mais exceptionnellement des non princes accèdent aussi à ce poste de chef de groupement. 

 

Les Mwami délèguent aux chefs des groupements les pouvoirs de donner la terre à leurs sujets. Et les chefs de groupement font le même avec les chefs villages. 

 

Chaque village est aussi divisé en un certain nombre des collines dirigées chacune par un chef de colline est nommé à son tour par le chef de groupement. 

 

Les chefs des groupements (chef des villages) et les (chef des collines) veillent au respect de l'ordre établit par le Mwami à qui, ils font rapport en suivant la hiérarchie.

 

━☞À 60 km au Sud dela Ville de Bunia chef lieu dela province del' Ituri,  et 109km àl'est d'Irumu chef lieu du térritoire qui porte le même nom, l'agglomération de GETY est traversée, par la route venant de Bunia, et à son centre commercial, il ya un rond-point, avec (un carrefour à 3voies) d'où est nait la route allant de Gety-Etat vers Bunia. 

 

Delà il y a une route qui serpente vers Gety-Mission, Munobi, Olongba, Niankunde, Aveba, Bukiringi, et Boga. 

 

À part ces deux routes cités précédemment, nous avons celle qui mene vers Aluwé, une petite coline sur la quelle est localisée le Bureau Adminisrratif de la chefferie de Walendu-Bindi.

 

Création

 

Gety-Etat est dépuis longtemps chef-lieu dela chefferie de Walendu-Bindi. En travers le térritoire d'Irumu son évolution sur le plan politique colonial belge, et démographique ainsi que des infrastructures lui a fallu successivement de statut de chef lieu à partir de 1933.

 

Pour un traitement détaillé de l’histoire ancienne de Gety 

 

Au début du XIXe siècle, lorsque les premiers visiteurs européens sont entrés dans la région, un mode de gestion « moderne », importé par la colonisation européenne, fut d'un coup infligé au peuple Ìndru.

 

Dès lors, la cohabitation de ces deux modes de gestion de l'environnement n'a pas été bien négociée par nos encêtres loints.

 

Avant d'aller plus loin, le grand père a fait savoir que, trois principaux axes des combat vont préoccuper les nouveaux dirigeants au sein de la chefferie de.Walendu-Bindi :

 

- L'implantation et le renforcement du pouvoir et de l'administration coloniaux sur toute l'étendue de la chefferie en étroite collaboration avec l'autorité ecclésiastique mais sans aucune prétention d'annihiler totalement le pouvoir du Mwami et de ses notables ;

 

- Le démantèlement à certains niveau des croyances, mythes, pratiques, rites, modèles et invocations « paganistes », « primitives », « sauvages », «sorcières », « indigènes », « païennes et « diaboliques » au sein de toute la population et instauration d'un modèle des croyances axées sur des valeurs chrétiennes strictement européennes.

 

Ainsi, chaque converti à la nouvelle religion est baptisé sous un nouveau nom, le nom de son saint patron qui guide ses pas sur la terre et qui plaide et plaidera pour que son protégé parvienne au ciel, après sa mort.

 

l'agglomération de GETY est traversée, par la route sur l'axe Boga-Bunia et à son centre commercial, il ya un rond-point, avec (un carrefour à 3voies) d'où est nait la route allant vers Gety-Mission, et celle de Bunia, Boga, et à l'Hôpital Général de Référence de Gety (HGRG) via la rivière Anjikye.

Toponymie 

 

L'agglomération de Gety tire son nom dela prononciation ingyeti.

 

Justement sur Aluwé petite colline spéciale d'une importante histoire de Gety, sur la quelle les Belges ont construit leurs base à l'époque où la République démocratique du Congo était un protectorat dela Belgique.

 

Dans ce chapitre historique, la première information en notre possession révèle que, les blancs avaient demandé à la population le lieu de rassemblement, et les vieux sages ont choisi la ou était fixé la cloche. "Ingye ti." Ingye=la cloche et Ti= près de.

 

Donc près de la cloche) et les hommes blancs qui avaient peine d'écrire ingyeti vont écrire Gety, et devient chef lieu dela chefferie de Walendu-Bindi. Un nom qui va rester jusqu'en ce jour comme Bunia, zaïre, Dakar,......

 

La zone consistait en plusieurs villages : celle de Gety avait été choisie pour la garnison belge, et celle de GETY-MISSION accueillait la mission catholique et celle d'Isura était investie par la mission protestante del'église anglicane.

 

Donc Gety-Etat a donc grandi comme le chef lieu dela chefferie dont beaucoup de bâtiments survivent encore, tels que la prison centrale de Gety-Etat, construite en 1931, les tombes de différentes autorités coutumière et l'emplacement du bureau administratif dela chefferie de Walendu-Bindi.

 

C'est après 1908 que les Belges installent un poste d'État dans ce qui est le territoire administratif actuel de Gety. 

 

Avant cette date, les archives sur la chefferie de Walendu-Bindi sont toutes constituées de la mine d'informations recueillies auprès des missionnaires catholiques de la Société des missionnaires d'Afrique (ou Pères blancs) qui s'étaient lancés à la conquête spirituelle de cette contrée où ils craignaient d'être devancés par des anglicans anglophones venant de l'Ouganda ainsi que par d'autres missions protestantes.

 

Quelques dates historiques:

 

* 14e au 17 e siècle : Arrivée progressive et installation des Ìndru dans la région de gety.

 

À partir de 1890 : période de razzia par les Arabes ;

 

Plusieurs expéditions de pillage des bêtes par les Banyoro/Hema de l'Ouganda par: Kabalega, Kasegame, Mugera, Kutehimba, Bomera, le dernier, assassiné en décembre 1911.

 

1912-1914: répression de la mort de Bomera chez par les colons

 

1914 : réhabilitation des 5 chefferies : 

 

Bangajduna/Zadu, Bahinduka/ Bamuko, Fanda/Boloma, Bahura/Baviba, Kamatsi/ Bukiringi résultats de l'enquête de viabilité de l'AT Halleux Mataratara.

 

Le 28 mai 1914 : élaboration de la première carte dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.

 

Le 5 mai 1918: le chef Tsupu de Libi cède une partie de son entité, Bigoro à l'AIM/ CECA20.

 

1922 : début effectif de l'administration coloniale chez les WB qui jusqu'à là continuaient à résister.

 

1928: les belges décident la réunification des 5 chefferies en une seule pour les dompter.

 

Jusque là les chefs Fanda s'est révolté, arrêté et relégué en prison à Biasa.

 

1933 : réunification forcée de ches 5 chefferies avec à sa tête, Nyanza qui devint le premier chef dela chefferie de Walendu-Bindi réunifiés.

 

TOUT CECI, APRES AVOIR LU LES CONTENUES DE PLUSIEURS LOIS SUR LA DÉCENTRALISATION.

 

Les interventions de notre invité, Excellence Monsieur le Ministre provincial Honoraire del'Ituri, Osée Didi Angaika.

 

Alors avec l'organisation de l'administration à partir de 1933 nous avons:

 

1. Nyanza qui règne de 1933 à 1936: assassiné par son frère Lyanda,

 

2. Kobvu, régent de 1936 à 1952;

3. Zitono de 1952 à 1958 il est empoisonné par son frère Karona ;

 

Bandru : de 1958 a 1968, régne puis député provincial coopté ;

 

Munaza Kalyaki : de 1968 à 1979;

Akobi TchoTchomi : 1979 de à 2011 ;

Peke Olivier de 2011 à 2020;

Et Mongaliema Bangajduna Fidèle de 2020,...

 

Avant 1910, l'actuelle Chefferie de Walendu-Bindi était subdivisée en CLANS et gérée par les Chefs de Clans. 

 

En 1910, une organisation Administrative s'impose au Congo Belge, ainsi les WALENDU-SUD, l'actuelle Chefferie des Walendu-Bindi bénéficie de 4 Chefferies, dont LA CHEFFERIE DES KAMATSI MUKUBWA/BUKIRINGI, CHEFFERIE DES FANDA FATAKI/BOLOMA, CHEFFERIE DES BAHENDUKA/BAMUKO, LA CHEFFERIE DES BAHURA/BAVIBA.

 

En 1914, il y a eu la création de territoire de GETY, qui s'étendait de GORO (l'actuel BOGORO) jusqu'à ERENGETY (Nord-Kivu).

 

Le 05 Avril 1920, il y a la création de la Chefferie des Walendu TS'RITS' RUTS'.

 

En 1925, la Chefferie des BAHENDUKA sera cindée à 2 Chefferies qui sont BAHENDUKA/BAMUKO et BANGADJUNA qui est l'actuelle ZADHU. À retenir la toute dernière Chefferie à être créé est celle des ZADHU qui, malheureusement n'a fonctionné que 8 ans avant la réunification.

 

La décision de la réunification sera signée en 1929 et appliquée en 1933, ainsi, il est defacile de voir que toutes ces six Chefferies et non cinq comme l'avait présentait l'invité Excellence Ministre Honoraire lors de débat de la fois dernière ont fonctionné jusqu'à 1933, ce qui a occasionné la création de l'actuelle Chefferie des Walendu-Bindi le 15 mai 1933.

 

Avant l'investiture

 

Désignation

 

Pour accéder au pouvoir dans la société Ìndrŭ traditionnelle, il n'y avait ni élection, ni désignation ou nomination. La communauté elle-même se soumettait progressivement à un individu au regard de ses qualités telles qu'observées dans sa vie quotidienne.

 

Il s'agit des qualités ci-après :

 

- La capacité de bien accueillir et de nourrir les membres de la famille ;

- Un sens de partage éprouvé ;

- Un esprit d'équité et un sens social bien développé ;

- Le respect de la personne humaine, de tous les membres de la famille sans exception et l'obéissance aux personnes âgées et la classe dirigeante ;

- La connaissance de la tradition et le respect des règles de la coutume dans son ensemble,

- Les qualités morales, parfois physiques,

- L'initiation au « Mwami», (= Circoncision)  (épreuves de souffrances multiples qu'on peut rencontrer dans la vie) et parfois au Bwami.

 

L'initiation amène à quitter le monde des non initiés appelés jouissant de peu de considération en société et contient des enseignements primaires indispensables à l'accession au bwami qui est l'école de la sagesse Ìndrŭ.

 

Toutes ces qualités traduisent le sens de responsabilité et ses exigences dont le chef doit avoir conscience dans l'exercice de ses fonctions.

 

. Rythme de sa vie vis-à-vis des autres membres de la tribu

 

L'intronisation du chef : Cette cérémonie oblige la présence d'un mouton, un coq, un bouc et une chèvre.

 

? Le mouton symbole de la paix est destiné à représenter la royauté et les hommes lui fait porter ainsi un bracelet pour imager ce pouvoir de paix. Dans la vie courante, si un mouton crie lors de son abattage, il devient impur et on l'abandonne.

 

? Le coq doit chanter pour que la population qui n'est pas généralement présente dans les cérémonies d'intronisation sache que le nouveau chef est accepté par les ancêtres. Si le coq ne chante pas, alors le chef est refusé par les ancêtres.

 

? La chèvre et le bouc symbolise la fécondité d'autant plus que c'est dans la famille du chef que viendra son successeur. Si le bouc et la chèvre ne sont pas présentés, la génération suivante trouvera des chefs dans d'autres familles à cause de la perturbation de la fécondité dans la famille du chef n'ayant pas présenté la chèvre et le bouc.

 

? La chair des autres animaux peut être consommée dans la fête mais pas dans le rituel d'intronisation. La présence de l'oncle du nouveau chef est obligatoire puisqu'il est considéré comme témoin de l'accession de son neveu au trône. 

 

Les personnes destinées à introniser un chef sont culturellement connues et maîtrisent eux même toutes les étapes de rites à la matière. La cérémonie se déroule la nuit.

 

. Les Ìndrŭ considèrent un Mwami comme un homme parfait de par son comportement exemplaire et son respect strict des règles sociales. 

 

C`est ainsi qu'un homme qui s'illustre par des actes indécents, sera obligé à devenir Mwami afin de subir une transformation l'amenant ainsi à devenir un modèle dans la société.

 

« Les Ìndrŭ peuvent contraindre par force) certains hommes, coupables de transgressions à se faire initier pour les transformer en personnes nobles et bonnes >>

 

On distingue deux types de transgressions :

 

a) la violation des règles sociales désignées sous le vocable parmi lesquelles nous citons :

- L'adultère avec la femme  ;

- Le meurtre, accidentel ou non, d'un mwami,

- Le vol ou destruction d'objets du bwami.

b) actes immoraux considérés comme  péché mortel parmi lesquels nous citons :

- Parler des interdits;

- Les injures ;

- Le fait se soulager en public ;

- se déshabiller et exhiber sa nudité en public ;

- Porter atteinte à l'intégrité physique des parents;

- L'inceste. 

L'accession au pouvoir au sein de la communauté Ìndrŭ, dépendait des mérites personnels d'un chacun et seule, la personne qui se distinguait quelle que soit son origine clanique pouvait accéder au pouvoir politique ou succéder au Chef décédé.

 

Le successeur du chef décédé doit être un rassembleur, condamné à ne faire que du bien. Telle est la tradition, la coutume lega en matière de la gestion du pouvoir politique.

 

Il n'avait pas ni droits ni avantages particuliers sous forme de tribut. Bref, sa vie doit être au service de la communauté, et non l'inverse.

 

Il importe à ce niveau de souligner que le mode d'accession au pouvoir et celui de succession ont subi une profonde modification à la suite de l'occupation arabe et européenne des térritoires Ìndrŭ comme résumé ci-dessous :

 

Pour l'occupation arabe, la pénétration des Arabes dans la région des « Ìndrŭ » a été marquée par une cruauté sans pareille accompagnée de pillages de richesses et causant des pertes en vies humaines. 

 

Sur toutes les informations recueillies lors de campagnes de recherches réalisées sur le terrain, voici ci-dessous une liste des Chefs coutumier, dépuis l'époque plus ancienne au plus récent, àla quel, les dates mois et années, ne sont pas exactement, mentionnées.

 

🇨🇩´━☞Traditionnellement le chef coutumier ne peut être remplacé seulement lors du décès de son prédecesseur mais peut aussi être destitué suite au manquement à certaines règles et loi coutumières. 

 

PEKE KALIAKI OLIVIER est le second Chef à subir ce coup sur sa propre violation de coutume contrairement au Chef KOGVU destitué pour la violation de règle coutumière faite par les filles qui auraient déplacé le tambour royal de la place où il était conservé par les gardiens de coutume dans une autre maison.

 

Comme les objets de pouvoir coutumier ne peuvent être manipulés seulement par les MASADHU, ce fait a été sanctionné par la destitution du Chef KOBVU. 

 

Alors par rapport à celui-ci OLIVIER n'a même pas merité de revenir gouverné la Chefferie après son forfait sauf qu'il a été soutenu par le fort Joseph Kabila de Kinshasa. C'est les propos de Louis Mbafele contacté à ce sujet.

 

À lui d'ajouter que, il y a peut être une confusion de penser que BANDRU est chef de Grpt BAMUKO à vérifier. 

 

Mais dans l'histoire W/B PBHANGADJUNA est le Chef qui a fait écrire par les colons notre histoire et origine ainsi que la délimitation de notre Chefferie avant son emietement par les HEMA qu'il a complement decrit comme les Ougandais.

 

🇨🇩´━☞Les élites intérieures et extérieures.

 

Ce sont les notables et les riches qui vivent au village, en ville ou à l'extérieur du pays. Ils sont capables d'influencer les décisions dans le village grâce au poids que leur donnent leurs richesses matérielles et financières, ils jouent aussi un rôle déterminant dans le développement du village (tracé des routes, électrification, bornes fontaines, établissements scolaires, etc.)

 

En dehors d'une histoire politique dynastique des trois derniers siècles, reconstituée sommairement grâce aux traditions orales, qui correspond aux longs règnes des Indru, qui se sont organisés bien avant l'arrivée des colonisateurs en dynasties. 

 

Cette dynastie a été fusionnée pour céder la place à des structures issues de la colonisation afin de bien pratiquer leurs activités économiques précitées. 

 

Celle-ci furent réunies en une seul Chefferie à partir de 1943, sous une seul même autorité.

 

De fait, à l'arrivée de colons belges, le pouvoir colonial décida par le décret du 06 octobre 1891 d'intégrer, les chefs coutumiers dans l'administration de ce qui était à l'époque l'Etat Indépendant du Congo.

 

Par le décret du 03 juin 1906, il était dit par exemple : « tout indigène est réputé faire partie d'une chefferie, sauf les exceptions résultant de dispositions légales ».

 

C'est ainsi que dans l'Etat Indépendant du Congo en général, les chefferies indigènes furent vite reconnues par le Roi Léopold II. 

 

Car les chefferies semblaient être le passage obligé pour asseoir la domination belge.

 

Si nous en revenons à l'histoire ancienne, nous devons retenir que, la Chefferie de Walendu-Bindi a été créé aussi à la demande des autorités coloniales, dans le but de reconnaître clairement l'autorité des chefs coutumiers autochtones, ayant ensuite obtenu de constituer une seul chefferie après la première guerre mondiale.

 

L'octroi aux Chefs coutumiers du statut d'agents de l'Etat visait, aux dires des autorités coloniales elles-mêmes, à contourner la barrière des civilisations qui rendait difficile les rapports entre ces autorités et la population colonisée.

 

La providence choisit un chef pour les Indru désormais réunies, dans la maison d'AZATA. 

 

Ainsi Nyanza fut imposé par l'administration colonial Belges comme le chef suprême des Indru.

 

 Alors que il avait été qu'un simple Boy puis policiers des blancs avant sa désignation à cette lourde résponsabilité. Son assassinat le 05 mars 1936 par son frère LYANDA dans une rixe prouve insuffisance son immaturité à la gestion dela chose ' publique.

 

Invistture de Nyanza comme chef suprême des Indru avait soulèvé des contestations au sein dela communauté en colère.

 

Le système ancien d'alliance fondé sur le besoin réciproque dépuis un temp récculé, s'est transformé en conséquence en un système autoritaire.

 

D'après la loi N°08/016 du 07 octobre 2008 portant composition, organisation des entités térritoriales décentralisées et leurs rapport avec l'Etat et les provinces, la chefferie est un ensemble généralement homogène de communautés traditionnelles organisées sur base de la coutume et ayant à sa tête un Chef désigné par la coutume, reconnu et investi par les pouvoirs publics.

 

Dépuis un certain temp en Chefferie de Walendu-Bindi, le conflit a comme source la crise de leadership dans cette partie de la province del'Ituri, au sud du térritoire d'Irumu, c'est en République Démocratique du Congo.

 

En effet, certains prétendent être les mieux placés par rapport aux autres pour mériter la part importante dans la redistribution des richesses nationales.

 

Les autres membres utilisent la carte de la minorité ethnique pour justifier leur « peur » et par conséquent leur souci d'agir les premiers pour imposer aux autres leur position.

 

Au-delà de tout ce qui vient d'être dit, la chefferie si elle est gérée par quelqu'un d'un clan minoritaire, il n'est pas aimé par les clans majoritaires et même combattit et vice versa. 

 

Cette situation a un impact sur la gouvernance parceque la rivalité nuit dans les fonctions politiques administratives. 

 

Pratique de tribalisme par les dirigeants politique et la négligence des tribus minoritaires qui ne participent pas à la gestion de la colléctivité.

 

Donc souvent c'est par la manipulation des haines les même indrus est devenue un instrument privilégié de stratégies de conquête du pouvoir.

 

La crise de grande envergure, la faiblisse, voire l'absence effective des institutions gouvernementales rend extrêmement difficile l'apport de services à la population.

 

Dès lors, l'espace politique devient un enjeu qui alimente les mécontentements, les débats politiques, les positions sociales, les symboles et idéologies dans l'imaginaire collectif.

 

Cette situation a un impact sur la gouvernance parceque la rivalité nuit dans les fonctions politiques administratives. 

 

Pratique de tribalisme par les dirigeants politique et la négligence des tribus minoritaires de la province qui ne participent pas à la gestion de la chefferie.

 

Ainsi une cause aussi anodine fut-elle, était une source de violence pouvant dégénérer à tout moment en conflit armé.

 

🇨🇩´━☞LES CAUSES ENDOGENES

 

Sans vouloir être exhaustif, nous retiendrons : l'absence d'un Etat de droit, le refus de l'ouverture a la Démocratie, les dérives autoritaires et crispation conservatrice de certains chefs d'Etats.

 

Le non respect des textes constitutionnels légaux, les manipulations idéologiques et la main mise de la conscience tribale et ethnique sur la conscience nationale. 

 

La politisation de l'armée comme moyen de conquêt de l'exercice et de conservation du pouvoir, les violations systématique et flagrante des droits de l'homme à l'assujettissement de certains leaders aux intérêts nationaux, la clochardisation de la population.

 

La manipulation des clivages ethniques, l'aggravation des problèmes fonciers, l'affaiblissement de la cohésion interne de l'Etat. 

 

Appréciations et attentes de la population

 

En géneral:

 

- Les populations ne sont pas systématiquement informées des activités menées par les chefs de village/quartier et les conseillers de village/quartier ;

- les populations ne se sentent pas associées à la gestion des affaires locales ;

- les populations se plaignent souvent de l'indisponibilité des élus locaux ;

- elles se plaignent également de l'absence d'harmonisation entre les prix des prestations d'un quartier/village a un autre ;

- leur principale attente, est d'être davantage informées sur la gestion des affaires de leurs localités et de ne pas être associées uniquement lors des travaux communautaires.

 

Les difficultés et les besoins des conseillers de village/quartier de ville et des chefs de village/quartier de ville sont interdépendants.

 

Donc nous reconnaissons l'importance du dialogue pour restaurer la paix , la stabilité et le développement dans la région sont confrontés , ainsi qu'apportant des suggestions pratique sur la manière de résoudre de tels défit dans une perspective à court , moyen et long terme ;

Depuis le discours présidentiel du 24 avril 1990, la RD Congo a opté pour la démocratie. 

 

Les résultats escomptés jusque-là ne sont pas encore atteints.

 

Il se fait constater que ce processus avance lentement. 

 

Cette démocratisationsemble être graduelle et nécessite non seulement l'implication des institutions du gouvernement central de la République mais aussi celles des entités territoriales. 

 

Dans l'affaire de dernière règne au sein de la Chefferie des W/B, personne n'ignore que Monsieur PEKE KALIYAKI Alexendres Olivier a été investi officiellement devant un milier de personnes composé de ses dirigés par son Excellence Jefferson ABDALLAH PENEMBAKA le Gouverneur de l'Ituri, àlépoque représenté par son ministre provincial des affaires coutumières. 

 

En effet, pendant son règne très brillant la chefferie a connue un multiples développement observée dans les différents secteurs (Économique, Social, Sécurité, Santé....) qui nous a été utile tel que la réhabilitation des routes de désertes agricoles ainsi que de routes principales, son apport dans la pacification d'Irumu a été viable avec des organisations des Matchs amicaux interethniques, la création de l'orchestre W/B MUSIC, la création des espaces et des hôtels sur l'ensemble de la Chefferie, n'oublions pas que c'est sous son règne qu'il y'a eu l'arrivée massive des Radios Communautaires, des Athènes de téléphonie mobile (connexion internet, stabilité de reseau d'appel) and so on....... 

 

Néanmoins il était environ plus de 10 mois que un groupe des gouvernés ont accusé Monsieur le chef PEKE KALIYAKI Alexendres Olivier, au cours de l'année 2016 pour cause de détournement passif des biens communautaires. 

 

Suite à ses griefs, il a été suspendu pour une durée ne dépassant pas 3 mois avec restitution total des tout les biens communautaires, ceci sur proposition du Ministre Provincial de l'intérieur, ordre public, déstalinisation, population et droits humains.

 

En se jour plusieurs questions se posent et tension s'observe sur l'auto réhabilitation de Monsieur PEKE KALYAKE Alexendres Olivier dans ses fonctions de CHEF DE CHEFRERIE DE W/B. 

 

À cette tension qui s'observe ce dernier jour dans la Chefferie de W/B entre les mêmes fils, nous demandons d'observer les calmes et de faire recours à la loi du pays sur base de la coutume puis de n'est pas céder à une quelconque manipulation des certains acteurs politiques qui pourrait nous ramené l'infrantercide et que la vérité soit établie le plus tôt possible. Faisons beaucoup d'attention.

 

Cela suggère aussi que, acien chef dela collectivité de W-Bindi Akobhi-Tsomi-Katorogo que nous saluons sa mémoire, a tenu à rappellé durant un moment donnée,  que, l'administration des colons belges dela ont créés un climat des tensions, qu' on en remarqué une immixtion des politiciens dans les affaires coutumière avec une crise persistante qui a eu au sein d'une partie dela communauté ÌNDRŬ, où cette pratique qui a pérennisé les conflits de leadership au sein de cette structure, jusqu' en la mort de ZITONO. 

 

Le travail produit représente alors une nouvelle piste de recherche dont l'importance sur le plan historiographique est notable.

 

À nos jours la pratique et la coutume du milieu sont d'application. 

 

Le léopard est considéré comme un animal sacré, et symbole de l’intelligence.

 

Nombreux seront les dignitaires à porter un chapeau léopard en guise de couronne.

 

Les vieillards sont très respectés et écoutés avec des masadu, gardiens des traditions et omnipuissants guerrières.

 

Ils sont indispensables dans l'investiture des chefs coutumiers, car chaque région a ses indrus d'investiture.

 

En meme temp, les chansons restent l'une des formes d'expression couramment utilisées dans la société. 

 

Certaines personnes contacté par notre rédaction à ce sujet précisent que, des cérémonies rituelles, aux réjouissances populaires en passant par l'invocation du courage ou la gestion du temps mort, le chant intervient toujours. 

 

Transmis entre les générations, il évoque des situations vécues qui sont dignes de mémoire ; un accent étant mis sur les qualités et les défauts. 

 

Ainsi le message magnifie les vertus et dénonce les vices.

 

Le héros qui peut être un grand chasseur ou un guerrier courageux est glorifié, tandis que le paria tel l'épouse infidèle ou le paresseux est hué dans les mélodies.

 

Dans cette page, on doit rendre compte que, Walendu-Bindi est une appellation appliqué par colonie belge, qui désigne les institutions socio-politiques et typiques, à caractère coutumier, comme une forme intermédiaire entre le royaume, et les sociétés lignagères, composés des membres quasi homogène, qui présentent des diversités sur le plan physique, démographique, administratif, social et économique.

 

🇨🇩🇨🇩🇨🇩 Le Régime foncier

 

En Walendu-Bindi comme chez tous les Ìndru, la terre est régie par la culture dans laquelle un chef terrier est propriétaire et distributeur des terres suivant la convention de payement de la redevance coutumière ou une poule, chèvre, vache, argent, compte tenu de l'étendu du terrain alloué.

 

 Et chaque chef de ménage, membre de la communauté, jouit d'un lopin de terre à transmettre aux générations futures.

 

Pour cela, c'est dans le but de

 

1. Faire un état des lieux des problèmes qui rongent et guettent la Communauté ainsi que l’autocritique.

 

2. Puiser dans les valeurs de la culture Indru, pour réfléchir sur des règles économiques et sociales que devrait observer chaque membre de la Communauté pour garantir la paix, la sécurité, le travail et le développement ainsi que servir de modèle idéal pour les autres.

 

3. Cultiver l’amour dans la Communauté et entre les Communautés pour en tirer la paix, la sécurité et le développement.

 

4. Éviter de récours, à la violence pour n'est pas créer un climat des tension,  dans la société. 

 

5. Opposer la paix à la guerre, afin que tout protagoniste manque d’adversaire.

 

Avec toutes ces actions menées la chefferie tire des profits sur les impôts et taxes. Selon nos enquêtés la population ne tire pas tellement le profit car ses actions sont exploitées en désordre par les agents de l'administration publique.

 

En ce qui concerne, la gouvernance locale, il faut tout d'abord connaitre que la gouvernance en République Démocratique du Congo, la gouvernance est comprise dans le sens que lui donne le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). 

 

Elle est donc définie comme l'exercice des pouvoirs économique, politique et administratif pour gérer les affaires d'un pays à tous les niveaux.

 

Elle comprend les mécanismes, procédés et institutions par lesquels les citoyens articulent leurs intérêts, exercent leurs droits légaux, remplissent leurs obligations et gèrent leurs différences. 

 

La gouvernance sera bonne ou mauvaise en fonction de la capacité des gouvernants et des administrations à respecter des principes qui favorisent l'adhésion et la participation de l'ensemble des acteurs de la société civile aux politiques qui les concernent.

 

Le Gouvernement de la République Démocratique du Congo s'est doté d'un contrat de bonne gouvernance pour la période 2007-2011 comprenant les deux principaux axes prioritaires suivants :

- La restauration de l'autorité de l'Etat sur l'ensemble du territoire. Le fonctionnement efficient et efficace des institutions et la réussite de la décentralisation, la lutte contre l'impunité (particulièrement en matière de violence sexuelle) et la séparation des pouvoirs en sont les paramètres essentiels afin d'atteindre un développement rapide au niveau local et national.

 

- La lutte contre la corruption, la malversation et l'iniquité doit mobiliser les efforts du Gouvernement pour endiguer ce fléau qui gangrène tous les secteurs de la vie de la nation.


En ce qui concerne, la gouvernance locale, il faut tout d'abord connaitre que la gouvernance en République Démocratique du Congo, la gouvernance est comprise dans le sens que lui donne le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). 


Elle est donc définie comme l'exercice des pouvoirs économique, politique et administratif pour gérer les affaires d'un pays à tous les niveaux. Elle comprend les mécanismes, procédés et institutions par lesquels les citoyens articulent leurs intérêts, exercent leurs droits légaux, remplissent leurs obligations et gèrent leurs différences. 


La gouvernance sera bonne ou mauvaise en fonction de la capacité des gouvernants et des administrations à respecter des principes qui favorisent l'adhésion et la participation de l'ensemble des acteurs de la société civile aux politiques qui les concernent.

 

Le Gouvernement de la République Démocratique du Congo s'est doté d'un contrat de bonne gouvernance pour la période 2007-2011 comprenant les deux principaux axes prioritaires suivants :


- La restauration de l'autorité de l'Etat sur l'ensemble du territoire. Le fonctionnement efficient et efficace des institutions et la réussite de la décentralisation, la lutte contre l'impunité (particulièrement en matière de violence sexuelle) et la séparation des pouvoirs en sont les paramètres essentiels afin d'atteindre un développement rapide au niveau local et national.


- La lutte contre la corruption, la malversation et l'iniquité doit mobiliser les efforts du Gouvernement pour endiguer ce fléau qui gangrène tous les secteurs de la vie de la nation.


Pour ce qui est des ETD et la chefferie de Walendu-Bindi en particulier, il faudra assurer la bonne gouvernance, conformément à l'opinion soulevée dans le plan d'action du gouvernement provincial et au DSCRP, il sera procédé au renforcement des capacités institutionnelles et opérationnelles de la chefferie de Walendu-Bindi. 


Il faut créer des cadres de collaboration entre la populations et chefferie. La chefferie doit former et sensibiliser la population sur les droits et obligations mais aussi elle doit vulgariser les textes des lois et il faut également renforcer la capacité de la chefferie dans les thématiques de la gestion du ETD (planification participatif, le budget participatif : les thématiques du développement locale, le genre, la protection de l'environnement,...) et réhabiliter et équiper les bâtiments administratif de la chefferie. 


Toutes ces actions doivent être menées par l'Etat congolais, la chefferie, la population et les partenaires au de développement.

 

Une bonne gouvernance locale implique un ensemble de mesures destinées à assurer et optimiser la gestion des affaires locales aux plans économique, politique et administratif. 


Une gouvernance locale est performante lorsque la gestion des problèmes et ressources est effective, efficace et répond aux besoins essentiels de la société. 


Dans cette perspective, la gestion des affaires locales par des autorités locales doit se caractériser essentiellement par :

Ø la participation des populations locales ;

Ø L'information des populations locales et la transparence dans la gestion des affaires locales ;

Ø La redevabilité des autorités locales vis - à - vis des populations locales ;

Ø L'efficacité et l'efficience des services publics locaux;

Ø La durabilité ;

Ø La primauté du droit et la place d'un environnement juridique favorable au développement local.
 

Problème de gouvernance locale

 

Ce secteur est plus important car c'est lui qui gère et organise les autres.

 

Mais quelques part, il existe un blocage pour le dialogue et échange pour le développement de la chefferie. L'administration de la chefferie a une faible productivité, les conditions difficiles de travail et l'inefficacité des services de la chefferie freinent tout développement. 

 

Du côté de population il y a une perte de confiance de celle-ci vis-à-vis des services rendus par l'administration publique et le manque de collaboration cohabitation entre ces deux parties. 

 

La plus part de nos enquêté nous ont révélé que la cause du sous-développement de Walendu-Bindi est presque partout. 

 

Il y a aussi l'insuffisance des concertations entre les acteurs de la chefferie (chefferie, société civil, notabilité,...) et non-respect des droits des personnes l'ignorance des droits et obligation des citoyens et la non application des textes. 

 

Le grand problème de la gouvernance locale ici c'est l'insuffisance des capacités techniques opérationnelles et institutionnelle de l'administration de la chefferie. 

 

La cause de tout ceci est la vétusté du bâtiment abritant les bureaux administratifs le Sour équipement de la chefferie (mobilier, matériel roulant, kits informatique,...) et le personnel de l'administration public est trop vieille non fermé et reculé pas de cadre concertation entre les acteurs politiques et cela entraine la perte de confiance de la population à la chefferie et les mésententes. 

 

Les agents sont mal payés à cause de l'insuffisance financière. Mais aussi la population se plaigne que les impôts et taxes sont mal gérés d'après certains agents fonctionaires del'état, contacté par notre rédaction à ce sujet.

 

Pour eux, certains dirigeants ne sont pas animés d'un esprit patriotique.

 

On trouve les infrastructures collectives

 

suivantes :

 

- Des lieux de cultes (Catholiques, Protestantes,... et bien ailleurs

- Des terrains de foot Ball ;

- Des bâtiments administratifs ;

- Des bâtiments scolaires décrits dans les lignes précédentes ;

- Des infrastructures sanitaires décrites au aussi précédemment ;

- Le marché ;

Le chômage est élevé à la suite du taux faible des emplois capables de consommer l'importante masse laborieuse disponible et compétente. 

 

Les structures économiques sont désarticulées au point de limiter la production des richesses pour un développement local et la compétition économique nationale et internationale.

 

Les besoins alimentaires vont croissants, la production se doit d'évoluer à un rythme au moins égal.

 

Une augmentation de l'offre de produits alimentaires est aussi nécessaire pour faire face à la croissance démographique. 

 

L'accroissement de la population est sans aucun doute le mieux connu de tous les problèmes du développement économique.

 

L'une des conséquences immédiates de ce phénomène serait logiquement la baisse de production liée à la pression sur les terres arables et sur l'environnement. 

 

Les boisements artificiels

 

Elle est une végétation artificielle constituée d'arbres généralement des essences importées par la colonisation.

 

On trouve principalement des eucalyptus, des cipres, des pins, les grévilléas,... et tant 5 arbres fruitiers.

 

Actuellement, les eucalyptus occupent la première place du point de vue économique dans la chefferie grâce aux planches qu'ils produisent, lesquelles sont sollicitées lors de la construction.

 

Avec changement climatique, les bananes, avocats, marakudja,...manioc bamitu qui jadis existaient chez WB, ont disparu, d'où la nécessité de plantation des arbres s'avère indispensable par la population locale, il revient à la nouvelle équipe dirigeante de la chefferie d'accompagner la population dans ce sens.

 

Tresor Bahati Abàdhú Yédhù ‎GETY-INFO_TOTAL(GIT)


La plus part des  paysannes quittent chaque jours matin la houe à l'épaule pour le champ, suite à une mauvaise gestion des terres alluvionnaires, des zones maraîchers, des adrets et ubacs par un reboisement ; aujourd'hui, ils parcours des dizaines et vingtaines des kilomètres pour les pratiques agricoles, mais la production par des moyens et techniques rudimentaires reste moins inférieurs à cause des mauvaises pratiques des techniques culturales, de la réduction et même l'exclusion de la jachère, les changement climatique , l'accroissement de la population, une sylviculture motivée par les ONGs et Associations qui sont exigeantes .....

 

De son conté, l'ancien commisaire du peuple IRIBI-KOKORO à fait savoir que, le déssechement des sols par le gros bétail est comme cause del'infertilité du sol à Gety.

 

- L'approvisionnement suffisant en eau potable

 

🇨🇩━☞Le Petit commerce

 

Cette activité est pratiquée partout dans le district de l'Ituri, à différents niveaux.

 

Les marchandises vendues en gros ou en demi-gros dans le centre urbain sont détaillées de village en village selon les besoins et les moyens des autochtones. 

 

Cette activité est influencée surtout par la stabilité du pays, le pouvoir d'achat des clients, le prix du carburant à la pompe, l'état des routes et aussi les différentes taxes imposées par l'administration locale.

 

MEESSEN. Op Cit. P . 110

 

Son premier chef est :  Nyanza dans le but d'attirer plus des populations et soucieux d'ériger Gety en une entité autonome, distribuera gratuitement des parcelles à la population. 

 

Cette pratique attirait la population périphérique ainsi que les prêtres catholiques qui sent installés ou chef-lieu du territoire Gety-État à l'époque au sud de Bunia, aujourd'hui, chef-lieu de la province de l’Ituri.

 

 

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