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Adirodu-Roger Cyber-Notes

Un bon nombre de jeunes bénitiens vivent sans emplois en Beni ville et térritoire à quelques jours dela festivité de Noël

Un groupe des jeunes informaticiens de Beni Rdc 🇨🇩🇨🇩🇨🇩

Un groupe des jeunes informaticiens de Beni Rdc 🇨🇩🇨🇩🇨🇩

🎄🎄🎄🇨🇩✍🏿 Il  faut dire par ailleurs que, la situation  sécuritaire de la région de Beni  est une autre cause des difficultés socio-économiques que connait Beni ville et térritoire.

A j-5 de  la fête de Noël,  l’engouement sur le marché est encore sombre selon certains commerçants abordés par notre rédaction le lundi . Les rues et les marchés de la capitale économique de Beni ne connaissent pas l’ambiance habituelle. 

Des rêves pour 2021

Divisés sur les préparatifs des fêtes de fin d’année, tous ces jeunes souhaitent voir leurs rêves se réaliser en 2022.

Pour sa part, Papy Inusi imagine un Kivu beaucoup plus stable pour accroître son activité commerciale. «Je suis convaincu que nous aurons déjà la paix. Alors, je pourrai faire de mon petit commerce une grande maison de ravitaillement en aliments».

Joëlle Bwende informaticiens de son état rêve de quitter son pays natal pour le Canada. «C’est la prière de beaucoup d’autres jeunes qui y trouvent un moyen d’échapper à l’instabilité de la province».

Dans les marchés, les commerçants se plaignent de ne pas vendre comme ils l’espèrent indiquent certains opérateurs économiques abordés par notre rédaction le lundi 20 décembre 2021 en Beni ville .

Donc les fêtes de Noël et de nouvel An approchent à grands pas. Par contre à Oicha chef lieu du térritoire de Beni malgré cela, les rues ne sont pas embellies comme il est de coutume à cette période de l’année

Noël se fête presque dans l’indifférence de la population comme nous le témoigne  Jeannine Immaculée  une sexagénaire rencontrée dans une boutique de vêtements sur le boulevard Nyamisi.

Selon elle, il y a une grande différence dans la célébration de ces fêtes de fin d’année par rapport aux années antérieures. « Il y a quelques années, l’arrivée des fêtes de Noël et de fin d’année se faisait sentir partout à travers la ville.

 Les marchés étaient bruyants et les jeux de lumière et les guirlandes illuminaient les espaces publics. 

Cette atmosphère est réputée inexistante de nos jours, l’ambiance qui a toujours existé à la veille de la fête de Noël ne fait  plus partie de l’habitude des gens ».

 La  plupart des jeunes  contactés par notre équipe de rédaction pensent qu' avec la principale voie routière Mbau Kamangu, impraticable pour de raison sécuritaire.

Donc, ils souhaitens à ce que le problème-là puisse être résolu », a-t-il plaidé.

Côté des cultivateurs, les choses sont les mêmes. 

« Évidemment ; Ils souhaitent à ce que le problème-là puisse être résolu », a-t-il plaidé.de clients qui peuvent même venir acheter nos produits. 

Ils affirment que ça soit l’huile de palme, mais aussi comme l’activité principale là de cacao aussi connait de difficultés. Il n’y a pas d’acheteurs qui soient capables de couvrir toute la zone, nous connaissons aujourd’hui de grands problèmes parce que ça impacte négativement la vie socioéconomique ».

Pour eux ; Aussi longtemps que le gouvernement n'a pas encore mis en oeuvre une bonne politique d'encadrement de la jeunesse, celle-ci demeurera un danger pour le pays".

Malgré cela, les jeunes s’accrochent à leurs rêves de fêter la nativité dans la joie. Certains d’entre eux veulent respecter la tradition. Mais «depuis l’avènement des massacres reccurentes en ville et térritoire de Beni ’argent ne circule plus. Les gens n’achètent pas trop», a déclaré Papy Inusi, un jeune vendeur.

Meschack, un jeune dessinateur, multiplie ses «dessins sur la guerre dans l’est de la RDC pour trouver de quoi se réjouir les jours de fête».

À kasindi Lubiriha ;  Depuis, un climat austère règne dans la ville.

Notre source sur place précise qu'àla  veille de Noël, les clients se font rares.

Dans les rues, seuls quelques panneaux publicitaires signalent des offres de Noël. Les sapins et autres produits ne trouvent pas preneurs.

Pour d’autres jeunes, Noël et la Saint-Sylvestre sont des dates comme les autres. «Je ne vois pas pourquoi faire des préparations trop impressionnantes», a souligné Joëlle Bwende.

Selon le constat de notre rédaction, ces derniers jours , les autorités politico -administrative, continuent à appeler les jeunes à la méfiance des groupes armés et d'adhérer aux forces armées de la RDC et à la police nationale congolaise où se trouvent actuellement des postes vacants.

Dans le même chapitre, de nombreuses ONGs, ne cessent d'organiser des activités de sensibilisation des jeunes sur l'auto prise en charge pour un avenir meilleur.

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