Chefferie de Walendu-Bindi en Ituri, la farine de manioc redore son image vers le Nord-Est dela Rdc
👆🏿👆🏿👆🏿🇨🇩 Un groupe des mamans commerçantes photographié en 2016 au marché centrale de Gety-Etat chef lieu dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi situé en térritoire d'Irumu, province del'Ituri, vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo
Pour une petite histoire socio-politique
La chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi dans sa forme actuelle n'a pas toujours existé.
Dans l'espace actuellement occupé les Ìndrŭ dit ngiti
La chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi, y était établis des royaumes, parmi lesquels les plus importants sont ;
Zadhu, Bamuko, Boloma, Bukiringi, et Bavi.
Histoire orale renseigne que, les Ìndrŭ s'organisèrent en chefferies indépendantes, des sortes de tribus.
Mais d'abord
Les Ìndrŭ sont le peuple dela savane le mieux connu à leur mode de vie est étroitement lié à la savane et même dans la forêt, où ils trouvent leur nourriture (viande, fruits, miel, racines, etc.) et les produits médicinaux traditionnels dont ils sont des experts reconnus.
La littérature orale Ìndrŭ est très riche, en contes, proverbes et autres maximes, qui traduisent, le mode de pensée, les rites et traditions Ìndrŭ.
La musique occupe également une place importante, avec des chansons et des rythmes adaptés à toutes les circonstances de la vie : la mort, la naissance, le mariage ou encore les grandes cérémonies.
D'un point de vue culturel et linguistique, ils sont proches de leurs voisins Bhâle, et Lugbara, avec lesquels ils ont des liens historiques.
À ce sujet, nous tenons à préciser que, la langue Ndrǔna maintient pour les Ìndrŭ le souvenir de leur histoire, de leurs traditions et de leur mode de pensée, sur le mode de vie, mais permettent aussi d’édifier leur avenir.
Elle le dispose des valeurs culturelles riches et variées.
En observant l'importante de Walendu-Bindi est une chefferie traditionnelle avec ses ressources minières ainsi que son écosystème a un avenir de Cocagne.
Le sous-sol est également très riche :
Et alors même, qu’à l’instar de d’autres chefferies, les potentialités de Walendu-Bindi sont énormes en termes d’atouts naturels : présence de différents écosystèmes très riches (forêts, grottes, hodoos, escarpements, savanes…), hydrographie importante, fertilité accrue du sol, richesse du sous-sol en minerais et pierres précieuses…
On trouve des gisements des minerais non encore exploités jusque là.
Comme, le fer, le diamant, l'or, le mercure, l'uranium, le perle, le coltat, au côté du pétrole nouvellement découvert mais non encore exploité par les grandes puissances.
Cependant, le peuple Ìndrŭ offre un paradis terrestre de paix, de bonheur, d'hospitalité et de bénédictions tant, pour ses fils et filles, que pour leurs prochains qui viendraient de l'intérieur du pays ou de l'étranger afin de se mettre ensemble après les sacrifices des animaux domestique, pour l'exploitation et la mise en valeur de ses nombreuses richesses naturelles.
Situation économique
La chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi regorge des ressources naturelles incommensurables, allant des ligneuses et espèces animales, aux ressources agricoles et minières de très grande valeur.
Les sources majeures de revenus dans cette chefferie, sont l'exploitation artisanale des minerais, l'artisanat, l'agriculture, le petit commerce, l'élevage et la pêche.
· Mines
Hormis ses richesses naturelles du sol, en Walendu-Bindi regorge aussi d'immenses ressources du sous - sol :
aujourd'hui aucune société n'oeuvre dans cette chefferie, la population s'adonne à l'exploitation artisanale des minerais.
L'exploitation minière emploie très faiblement la main d'oeuvre active, exclusivement masculine, étant donné que le travail fait appel à la force musculaire faisant défaut à la femme, cette activité procure un petit revenu pour la subsistance de quelques familles.
En République démocratique du Congo l'Organisation nationale de recherche agricole, essaient de trouver de nouveaux marchés pour les producteurs de manioc dans le pays.
Cette farine est obtenue à partir d’une farine non fermentée à la fin d’un certain nombre d’étapes, dont le pelage, le lavage, le râpage, le pressage, le séchage, l’usinage et le tamisage.
« Les aliments stars de l’Afrique ».
La racine, longtemps cantonnée à être bouillie pour servir de base à l’alimentation, trouve désormais sa place en farine dans la fabrication de pains, de gâteaux ou de cookies. Un marché qui pourrait bien aider la population à faire face à l’inflation.
marchés pour les producteurs.
« Quand il y a une large récolte, une grande partie sera jetée, parce qu’on l’utilise aujourd’hui seulement comme aliment, mais si on invente des produits de valeur ajoutée, on crée aussi un marché stable et continu. Et les producteurs seront assurés d’avoir un retour sur leur investissement », promet les autorités compétentes dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.
Si le bioplastique n’est pas encore sur le marché, plusieurs entreprises ont déjà investi dans l’éthanol de manioc, notamment depuis la période du Covid-19 pour produire des désinfectants.
Au point de vue de certains notables et tous les leaders Bindi.
Voici les Constants dont nous devons prendre le courage de sensibiliser nos population à comprendre le moment où nous sommes arrivés sur tout le plan et leurs 'enseigner;{ que faire pour reosser le niveau économique de la chefferie de Walendu Bindi}.
Aujourdhui les marchés dans Walendu Bindi fonctionnent dans chaque groupement àl'aide d'un seul produit agricole qui est le consepte des manics; dont l'exportation se fait au moin à 700 tones le mois et cette farine de manioc est consommée dans la ville de Bunia et dans des centres de grande aglomération.
En effet, nous avons des espaces non cultiver dont nous sommes méchant sur l'accord de la communauté,donc ouvrons nos oriseaus pour l'occupation de nos sols au moyen de la houe.
Nos frères nandes sont venus chez nous avec la vision des projets à long et à moyen terme sur tout le plan et ils sont à l'attente d'une simple autorisation pour occuper nos espaces vierges.
Vu les surpeuplement des populations visiteurs incontrôlé dans nos villages frontaliers qui augmente jour aux jours avec l'effectif très élevé ;nous la population autochtone, ( ngiti)nous risquons d'être encore les perdants de nos terrains après une opportunité de la recuperation très facile maintenant.
Nous demandons aux jeunes qui chôment dans des ronds- Points de Bindi du matin au soir,de chercher comment s'organiser ,car cette fasson de rester ne produira rien dans l'économie Bindi et l'économie de nos ménages ne restera que en souffrance.Manager économiste, Notable: MBAPBIRI NYANZA KASORA DAVID DOLLARD.
🇨🇩⏱✍🏻 L'agriculture ; s'organise au tour del'agriculture, qui constitue leurs principale source des nourritures ils croient que leurs ancêtres les a confié son propre produits del'agricultureafin qu'ils s'en occupent.
La richesse d'un Indru est déterminée, par le champ et quelques petit et gros bétails que possède quelques familles à plus de 50%, se trouve dans une savane herbeuse, ce qui favorise l’élevage des bovins.
🇨🇩━☞L'agriculture
Elle est traditionnelle et vivrière et elle constitue une source de revenue pour une certaine catégorie des personnes qui vivent d'une part de la production de leur champ (haricot, maïs, pomme de terre, patate douce, manioc, banane et toutes sortes de légumes, ....) et d'autre part, des produits de l'industrie destinés à l'exportation (café, huile de palme, et cacao, ...).
Alors les cultivateurs parcourent des longues distances pour pratiquer l'agriculture. D'où les grandes agglomérations sont alimentée en produits agricoles venant essentiellement des milieux ruraux périphériques ( Mukato, Atelé, Janda, Alumbu, Letsudo, Karambu, Nyayigo, Nyamagaru, Tolé, Nyawanda, Mukorodo, Mukondru, Kisodjo, Mukato, Ogolô, Heru, Iya, Katoto, Matafu, Mbombi, Mbaraza, Sorodo, Mangala, Oyina, Zoko, Nyasinga, Arava, Teseni...)
La chefferie de Walendu-Bindi a la vocation agricole et emploie une frange de la population. Il s'agit d'une agriculture de subsistance, donc de type traditionnel (sans machines, matériels aratoires, ni engrais et utilise des techniques et méthodes archaïques de brulis et de jachère).
· Elevage
L'élevage occupe une place de choix dans l'économie de Walendu-Bindi, en ce sens qu'il est pratiqué presque par tous les villages, un petit cheptel de caprins (chèvres, porcs, moutons) ou d'animaux de basse cours (coqs, pigeons, poules, canards, perdrix) qui vivent en liberté autour des cases. Chaque famille dispose en moyenne de deux ou trois têtes de petit bétail qui se nourrissent sans utilisation de technique d'élevage particulière.
🇨🇩━☞L'artisanat
🇨🇩━☞ACTIVITES CULTURELES ET ARTISTIQUES
L'artisanat joue aussi un rôle important dans la création de revenus en milieu rural. La population fabrique des chaises, des grabats, des lits, des nattes, des paniers en matériaux locaux... Nous classons également les tireurs de vin et les fabricants d'alcool qui sont nombreux à travers la chefferie de Walendu-Bindi.
Les réparateurs des appareils électroniques, des motos et vélos sont disséminés à travers Walendu-Bindi et ont une ampleur particulière vu la densité de la population et le nombre croissant des motos et bicyclettes.
La forge sert à la fabrication des flèches, des lances, des couteaux, des bracelets, des anneaux à travers la préparation du fer du cuivre ou du bronze.
Et l'artisanat, surtout dela forge, sont aussi pratiqués chez les (Indru), surtout, dans le groupement de Bukiringi, au Sud dela colléctivité.
Dans le milieu, nous retrouvons aussi la menuiserie, la couture, la cordonnerie, la forge, qui constituent dans le domaine artisanal une source de revenu non négligeable dans le secteur informel.
Les activités de menuiserie, de scierie, de tissage, de vannerie, de sculpture sont bien connues dans le territoire et sont exercées avec un goût raffiné (Art indru). Fort malheureusement, ces activités ne sont pas en pleine expansion par manque d'encadrement des artisans.
L'homme et la femme s'adonnent selon le cas, à des diverses activités. L'on remarque que les hommes s'attèlent à la menuiserie, la scierie, la vannerie, la sculpture, ... tandis que la femme s'emploie davantage dans le tissage.
L'artisanat est exercé avec finesse et procure un petit revenu de subsistance aux artistes.
Par ailleurs, l'on constate que l'artisanat, une fois recadrer, redynamiser et restructurer, ouvrirait la chefferie au tourisme et procurerait des ressources considérables aux exploitations d'oeuvres d'art et partant, assurerait un revenu en plus à l'Etat.
🇨🇩━☞La VANNERIE ; est pratiquée est exercée pour la production et d'ustenstensiles d'usage courant ou des objects décoratifs très raffinés. Les hommes fabrique des objets d'usages masculin tels que les nasses, tandis que les femmes produisent les paniers, les nattes, les corbeilles, les hottes qui sont d'usage domestique, culinaire ou agricole.
🇨🇩━☞LA POTRIE ; est généralement pratiquées par les femmes sur la base de l'argile extraite par les hommes. les femmes façonnent des objects d'usage domestique comme les pots, les gobelets, les cales basses, etc.
🇨🇩━☞LE TISAGE du raphia sert à la production des étoffes et d'autres objects pour satisfaire certains besoins vitaux.
Se basant sur les différents rapports crédible, néanmoins, les gens sont restés engagées dans l'agriculture, l'entreprenariat, des commerces ouvert à un seul pay l'Ouganda, mais leurs actions restent surtout, à certains niveau des classes moyenne de certains domaines économique malgré,. . . àla base, l'absence de certaines Banques nationaux et internationaux.
Avec leurs système de vie du passé, certains Indru, ont été longtemps considéré comme sous-homme, blessé dans leurs sous développement, pour cause, certaines, personnes engagaient les membres de leurs famille et ces derniers doivent travailler comme des salariés dans les champs, des autres.
C'est après des années d'une longue marche en arrière avec la plus part des certains ouvriers agricoles venus travailler, dans les plantations faisaient non seulement subir aux une forte discrimination.
C'est acause d'une pauvreté, la plus extrême, squattant au delà des limites d’un territoire qui était autrefois le leur, ils sont devenus dépendants de la mendicité et du travail à bas salaire pour des tiers.
Moyens de subsistance: Difficulté d’accès au moyen de subsistance, travaux journaliers très limités. Risques : Accentuation de la vulnérabilité, sexe de survie, malnutrition, etc.
Cette misère qui les empirés, s’accompagnait de la diminution de leur capacité à défendre leurs droits.
Aujourd'hui, la plus part des commerçants et salariés disent que, la rigueur des structures ethniques est telle bien à creuser les disparités entre groupes ethniques dans la mesure où certains d'entre eux sont favorisés par rapport à d'autres.
Ils annoncent des actions social planifier, pour mieux sauver future génération humaine dans leurs société.
À ce point là, il doivent toujours souhaités que pour se faire enttendre, ils réviennent d'une sorte d’annulation de l’autre tout en voulant obtenir de lui paradoxalement.
C'est aussi avec l'entrée en jeux de nouvelle génération, quelques hommes d’affaires, dans le reste du térritoire d'Irumu, sont frappés par la crise économique, ce qui poussent certains opérateurs économiques de s'efforcer de prolonger de maniere miracle leurs cité rurale, grâce au petit commerces.
Penser à l’éclairage d’ambiance dans votre maison
👆🏿👆🏿👆🏿🇨🇩L’une des sublimes lampes de chevet dans un salon d'une famille totalement riche en République démocratique du Congo Rdc
Vous voulez créer un véritable cocon dans votre chambre ? Un refuge accueillant et douillet pour les soirs d’hiver ? Pour cela, rien de plus simple : redoublez le nombre d’éclairages ! Pensez à ajouter une lampe sur votre coiffeuse, à installer une guirlande lumineuse sur votre tête de lit ou des appliques murales près d’une étagère.
Comment éclairer une chambre : nos 8 conseils pour bien choisir ses luminaires.
Vous venez d’emménager dans votre nouvelle maison ? Vous souhaitez simplement changer votre décoration ? Vous devez donc vous occuper de l’éclairage de votre chambre et vous ne savez pas par où commencer ? Pas de panique, il existe de nombreux modèles et autant d’astuces pour créer un espace cocooning et agréable.
Pour dénicher le modèle qui vous convient, vous pouvez commencer par faire un tour sur Internet. Le web regorge de tous les styles possibles et imaginables, capables de s’adapter à n’importe quelle déco.
À commencer par luminaire.fr, un site ecommerce spécialisé dans le domaine de l’éclairage depuis plus de 10 ans. Cette enseigne allemande sérieuse vous propose des luminaires pour éclairer chaque pièce de votre maison et possède certainement le plus grand catalogue de luminaires disponible sur le web.
Elle vous présente également différents accessoires pour équiper l’ensemble de votre logement comme des ampoules classiques, à LED, des spots, des luminaires sur rails ou sur câble etc. Enfin, vous trouverez des objets et luminaires connectés pour contrôler votre domicile à distance !
Retrouvez dans cet article nos 8 conseils pour bien choisir vos luminaires !
Miser sur l’éclairage principal
Même si la chambre n’est pas une véritable pièce de vie, vous y passez tout de même beaucoup de temps, surtout si vous y avez installé un dressing ! C’est pourquoi, les luminaires de votre chambre doivent être adaptés à vos activités. Lampe sur pied, lampe boule, lampe de chevet (sans fil ou non), lampe tactile, il y a pléthore de choix pour sublimer une chambre d’ado comme d’adulte.
Il est essentiel d’illuminer la pièce dans son ensemble pour vous repérer facilement. Mais comment bien choisir cet éclairage principal ?
Une chambre à coucher avec des spots intégrés dans le plafond et deux suspensions design qui font office de lampe de chevet
Choisir ses luminaires selon le volume de la pièce.
Vous hésitez entre un plafonnier, un lustre ou plusieurs suspensions ? Pour faire votre choix, n’oubliez pas de prendre en compte les dimensions et le volume de la pièce.
Ainsi, si vous profitez d’une belle hauteur sous plafond, vous pouvez choisir des luminaires imposants et volumineux pour habiller l’espace. En revanche, si votre chambre se situe sous une mezzanine par exemple, installez des suspensions plus petites et plus modestes, comme les modèles équipés d’ampoules à filaments.
Acheter des modèles adaptés à votre décoration intérieure.
Pour bien choisir l’éclairage de votre chambre, pensez également à votre décoration actuelle ou à celle que vous souhaitez adopter.
Pour une ambiance exotique et bohème, vous pouvez trouver des luminaires en rotin pour un charme shabby chic. Pour une atmosphère contemporaine et moderne, optez plutôt pour des suspensions en métal.
Choisir la bonne ampoule
Quand on parle des luminaires, on parle également des ampoules ! Pour un éclairage performant, rien de tel que les modèles équipés de LED. Ces ampoules consomment très peu d’énergie et durent ainsi bien plus longtemps que les modèles traditionnels.
Pour l’éclairage principal de votre chambre, évitez les lumières froides ou neutres et préférez plutôt le blanc chaud. Vous obtiendrez ainsi une chambre plus chaleureuse et plus agréable.
En revanche pour votre lampe liseuse, sélectionnez, de préférence, une lumière blanche froide pour pouvoir lire facilement, sans plisser les yeux.
Ce qu’il faut retenir
Lorsque vous aménagez votre chambre, l’éclairage est un aspect essentiel, car garant de votre confort ! Vous devez donc choisir des luminaires performants, fonctionnels et adaptés à toutes vos activités. Si vous ne savez pas comment choisir l’éclairage de votre chambre, pensez à suivre ces 8 conseils ! Vous trouverez forcément le modèle qui vous convient.
Ainsi, vous éclairez chaque recoin de la pièce et vous profitez d’une lumière douce et agréable pour vous relaxer.
Opter pour des lampes de chevet
Pour compléter la décoration de votre chambre, n’oubliez pas les lampes de chevet ! Elles diffusent une lumière tamisée et créent une atmosphère plus intime et chaleureuse. Par ailleurs, grâce aux lampes de chevet, vous pouvez régler votre éclairage sans avoir à vous lever et donc à vous réveiller.
Sachez que si la pièce est trop étroite, vous pouvez choisir des suspensions que vous disposerez de chaque côté de votre lit. Vous gagnerez donc de la place tout en bénéficiant d’une décoration tendance et design.
L’ambiance d’abord avec cette chambre à coucher dont les lumières sont tamisées.
Penser à éclairer votre dressing
S’il y a bien un endroit où vous passez beaucoup de temps, c’est bien dans votre dressing ! Cependant, lorsque vous êtes en retard au travail, vous ne pouvez pas perdre plusieurs heures avant de trouver la tenue idéale. Vous devez donc choisir un éclairage fonctionnel et performant pour vous repérer en quelques minutes ! Pour cela, vous pouvez installer :
plusieurs spots à LED équipés de détecteurs de mouvement ;
des rubans à LED adhésifs que vous placez sur vos étagères et dans la penderie ;
un rail avec des spots que vous fixez en haut du dressing.
Trouver des abat-jour adaptés
Les abat-jour sont des accessoires indispensables que vous retrouvez sur de nombreux modèles de lampes et de lampadaires. Ils servent notamment à diffuser la lumière dans toute la pièce.
Limitez donc les abat-jour opaques qui restreignent votre champ de vision et privilégiez plutôt les modèles en forme de tambour ou de cylindre. Vous pouvez également prendre des abat-jour larges pour éclairer à la fois le haut et le bas de votre chambre.
Musege ; Un androit dela chasse communautaire du groupement Bukiringi reconnue pour son éco-système diversifié surtout à sa population d'éléphants
👆🏿👆🏿👆🏿🇨🇩Un groupe d'éléphants photographié dans la faune sauvage du groupement Bukiringi situé dans la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi en térritoire d'Irumu province del'Ituri vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo Rdc
Selon notre enquête sur place qui date dépuis 2016, c'est un espace naturel dans lequel la flore et la faune sont uniques, et où il est possible chasser, piéger, et même vivre dans une rencontre avec les grands mammifères.
Mais aussi ; On peut s’émerveiller devant la grande diversité des paysages. Entre autres les forêts, la savane, les montagnes embrumées ou les zones marécageuses, de Musege fait défiler devant vos yeux une palette de couleurs.
Au même optique, vous pouvez observer d’incroyables espèces d’oiseaux qui font de Musege un véritable paradis pour les ornithologues.
Entre les espèces de savanes et les oiseaux des forêts, il est possible de rencontrer et de photographier de magnifiques oiseaux.
Géographiquement ; Musege est situé à environ 18 km du centre commercial de Bukiringi dans une zone éloigné et préservé pour la chasse communautaire du groupement Bukiringi, au sud-est dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi, térritoire d'Irumu, province del'Ituri, vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo.
Particulièrement dans la Walendu-Bindi, qui est une chefferie traditionnelle de hauts plateaux (1800-2000 mètres) parsemée d’une grands paysages surtout dela savane.
L'absence de conflits internes est dus à la politique dans quelques rares conseils des sages dans la société.
Climat, végétation et sol
La Faune sud jouit d'un climat équatorial caractérisé par une température beaucoup plus élevée à cause de son altitude très faible, à travers une variété d'habitats allant de la savane boisée à la forêt riveraine.
Le sol est généralement sablonneux, favorable à la production agricole. Le sol rencontré dans certains milieux contient du sel mais très fertile dans la plaine.
Ce sol se chauffe rapidement à cause de la forte température du milieu, ce qui permet le développement des cultures vivrières.
Les inondations sont fréquentes durant la saisons pluvieuses.
Les températures vont de 18 à 30 °C avec relativement peu de variations dans la journée.
Le climat est chaud et humide dans la région du bassin fluvial, et plus sec et plus frais vers le sud, et bénéficie, généralement, de deux saisons, c'est-à-dire sèche et pluie.
La savane change rapidement de visage, qui présente un environnement avec ses différentes couches de forêts et végétation de type tropical alpin.
La végétation y est beaucoup moins dense et moins luxuriante.
Elle est essentiellement constituée de petits arbres ressemblant à de petits bouleaux, mais dont les racines sont géantes et qui s’entremêlent à hauteur d'homme.
Les principaux habitats sont les forêts ouvertes d'acacia-combretum et la savane herbeuse, entrecoupées de parcelles de forêt de palmiers borassus, ainsi que d'importantes ceintures de forêts riveraines le long les principaux cours d'eau.
Les renseignements recueillis aux près des villageois et certains chasseurs par notre équipe de rédaction entre 2015 et 2016, révèlent que, musege et ses alentours sont une destination extrêmement enrichissante pour tous les amoureux de la nature.
Ce camp exclusif vous permettra de séjourner au milieu de la faune qui réside ici en tout liberté. Vous pourrez alors apercevoir des éléphants se baigner dans la rivière asingyé ou encore des buffles.
C'est une zone marécageuse qui abrite plusieurs espèces d’oiseaux.
Au cœur de l’Afrique Centrale, le groupement Bukiringi vous permet de réaliser de magnifiques dans la faune, en traversant de somptueux paysages tout au long de votre itinéraire. Sur les traces des éléphants et des babuins, chimpanzés, arrêtez-vous également à la rencontre des girafes pour assurer un voyage hors du commun, à la hauteur de vos exigences !
À proximité, vous aurez l’occasion d’observer des milliers d’oiseaux aux couleurs vives, des troupeaux à la recherche d’eau, se chauffant au soleil...
Nous avons tout loisir de les voir vivre, dans leur grande famille élargie : voir les mères avec leurs petits, les mâles faire de l'intimidation, les jeunes faire les andouilles.
Si le groupe bouge, on les suit, parfois durant plusieurs heures.
Vous apprécierez voir tous ces singes s’amuser et se quereller au-dessus de votre tête dans les arbres fruitiers. Vous pouvez vous attendre à voir au moins deux ou trois autres types de primates tels que les mangabey à joues blanches ou encore les singes.
Le meilleur moment pour les observer est pendant la saison sèche.
§ La saison sèche qui va de janvier à février et de juin à Août ; Lorsque les animaux sont concentrés autour de sources d'eau prévisibles.
§ La saison pluvieuse qui s'étend entre mars à mai et de septembre à décembre,aux quels, ces animaux peuvent être suivie; cependant, ils ne sont pas très habitués, donc les observations sont très aléatoires.
Car leurs traces sont omniprésentes, ils craignent pourtant l'homme en raison d'un braconnage important.
Nous n'en verrons aucun. Ils savent que nous sommes là, et il faudrait rester calme et silencieux pendant de nombreux jours avant qu'ils n'acceptent de se montrer.
Leurs cris distinctifs peuvent souvent être entendus de loin.
Certaines routes deviennent impraticables après de fortes pluies.
C'est pour cette raison que, le groupement Bukiringi est une destination d’exception pour les amoureux de nature sauvage et de promenade dans la faune.
Au cœur de l’Afrique Centrale, Bukiringi est une destination exceptionnelle grâce à ses forêts tropicales jalousement préservée pour la chasse communautaire dans le groupement Bukiringi ancienne, et moderne.
Diversité incroyable de paysages : entre montagnes, plaines, jungle, ruisseaux, et zones désertiques.
Vous aurez la chance d’apercevoir d’autres espèces animales telles que des éléphants, des buffles, des sengiliers, ou encore des phacochères.
Vivez un spectacle haut en couleurs à musege : l’un des meilleurs endroits aussi dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi pour observer ces animaux sauvages.
La chasse
La chasse fut dans le temps une activité très importante quand les forêts furent encore denses et conservaient beaucoup d'animaux. Elle produisait beaucoup de viande dont une partie était destinée à la vente et une autre à la consommation familiale. Avec l'intensification de la chasse au fusil et l'exploitation abusive des animaux sauvages par la population, beaucoup d'espèces animales ont disparu.
Qu'est-ce que le big 5 ?
À l’origine, le terme Big 5 était tristement associé à la chasse. En effet, il fait référence à 5 animaux d’Afrique qui furent, pendant longtemps, la cible des chasseurs de trophée en raison de leur grande taille et de leur difficulté à être tués à pied. Le Big 5 comprend l'éléphant d'Afrique, le lion, le léopard, le buffle d'Afrique et le rhinocéros.
Menacés par la chasse, le braconnage, la guerre de l’ivoire, le trafic de cornes de rhinocéros, de peaux de léopard ainsi que la destruction des habitats naturels, les animaux du Big 5 ont été, pendant de longues années, décimés à grande échelle.
Fort heureusement, ces grands mammifères d’Afrique font désormais l’objet de mesures de protection par les États et les associations.
Si l’on utilise encore aujourd’hui le terme de Big 5, ce n’est plus dans le cadre de la chasse mais plutôt dans le cadre de safaris animaliers en Afrique.
Dans la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi, l'éléphant d’Afrique vit principalement dans les savanes, ou vous pourrez voir d'éléphants dans les plus grands réserves dela chasse de savane, à savoir :
Tsombé, Nguja, Musimbé, Kyagudu,bet Kpowuma
Après les éléphants, place au second félin du Big 5 : le léopard. Animal timide et nocturne, c’est le membre du Big 5 le plus insaisissable et le plus difficile à repérer. Il trouve refuge dans les habitats boisés et rocheux et réserves forestières de Walendu-Bindi.
Lors d'un voyage en Afrique en Walendu-Bindi, les léopards peuvent être observés dans plusieurs parcs et réserves du pays :
Où voir des buffles en Walendu-Bindi ?
Méfiez-vous des apparences ! Bien qu'il ne soit pas le plus gros de la bande, le buffle d’Afrique fait partie des animaux les plus redoutables des espèces de gibier d’Afrique.
C’est pour cette raison qu’il figure parmi le Big 5. Réputé pour son incroyable puissance, il est encore plus impressionnant lorsqu’on l’observe en troupeau.
Le buffle affectionne les grandes plaines herbeuses, les clairières dans les zones boisées et les savanes arbustives. En Walendu-Bindi, le buffle africain vit principalement en grands troupeaux dans la savane et en petits troupeaux dans les zones forestières.
À la périphérie de la vallée du Grand Rift, dans le sud-est du groupement Bukiringi, les forêts équatoriales abritent plus de quatre cents gorilles des montagnes, ce qui en fait le lieu protégeant la plus grande population de gorilles au monde.
Ces intelligents primates ne vivent que dans les jungles denses de Musege et le fameux ces trois derniers s’étendant tout au long de la vallée dela rivière Semliki.
Quelque chose d’idyllique émane de ces collines vertes émaillées de champs dorés.
Au loin, les vagues sombres de la forêt pénétrable créent un contraste saisissant avec ces paysages tranquilles de terres cultivées.
Des premières sources coutumières et civiles renseignement que, les habitants du sud-est du groupement Bukiringi véritablement de la tribu Ìndrŭ au sens clair, est un Groupe humain rassemblant plusieurs familles sous l'autorité d'un même chef et sur un territoire donné, où se licalise l'espace musege sont majoritairement des petits paysans immigrés qui dépendent des forêts situées le long des rivières pour couvrir leurs besoins vitaux en eau, matériaux de construction, médicaments et bois de chauffage.
Ces forêts communautaires abritent de précieuses espèces d’arbre qui fournissent du bois de construction, des poteaux et d’autres produits sylvicoles autres que le bois, ainsi que les plantes herbacées et les arbrisseaux médicinaux qui peuvent constituer une source de revenus conséquente pour la communauté.
De plus, ces forêts préservent les seules sources existantes et font le lien entre les différents espaces ce qui créé un corridor biologique de migration pour les animaux sauvages tels que l'éléphant, léopard, girafe, Zébra, panthère, etc.
Longtemps menacés, les éléphants sont actuellement de plus en plus nombreux.
Il n’est pas rare de voir la route des voyageurs momentanément interrompue par le passage d’une famille ou d’un groupe d’éléphants.
Ces colossaux animaux sont tout simplement fascinants à observer.
Les tout-petits seront éblouis par le contraste entre leur mouvement silencieux, leur taille impressionnante, leur caractère plutôt grincheux et la puissance qu’ils dégagent.
En plus des espèces terrestres, la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi regorge de nombreux d’espèces sauvage.
Les villages voisins tel que kalondro, teseni, nyawanda et tôle, tirent bénéfice de la popularité dela faune auprès des touristes : on y crée de plus en plus d’éco-auberges qui offrent de nombreuses attractions à leurs visiteurs, à la fois culturelles et sportives. Faire une promenade dans la région, en compagnie d’un guide qui vous en dira plus sur les coutumes locales et les défis auxquels fait face aux paysans, vaut vraiment le détour.
Et de ce fait, nous, les touristes, avons une opportunité de participer à des initiatives écotouristiques menées par les habitants.
Dans ces villages les chefs offrent un emploi aux adultes sans aucune expérience professionnelle.
Musege est aussi la patrimoine des Ìndrŭ, qui sont les plus vieux habitants de la région des Grands Lacs de l’Afrique Centrale.
Ces groupes des villageois Ìndrŭ ont une culture riche et profonde qu’ils sont très heureux de partager. Vous pourrez rendre visite à leur communauté, qui est sans doute l’une des expériences culturelles des plus uniques.
Autour de Musege, les anciens de la tribut Ìndrŭ, peuvent servir de guides aux visiteurs lors de la randonnée dans la forêt, au long du sentier, expliquant comment leur tribu utilise les plantes médicinales selon une tradition ancestrale.
Après le petit-déjeuner, vous recevrez des consignes de votre guide quant au repérage des gorilles. Ces excursions débutent chaque matin à partir de 8 heures et demi.
Les éléphants que vous suivrez à la trace appartiennent à un des groupes familiaux ‘habitués’ aux rébélles du village Nyawanda, au sud, et dans la chute d'eau dela rivière anjikye, au Nord.
Pendant plusieurs années, chaque groupe a subi un processus extrêmement délicat qui les a progressivement habitués à la présence des humains. Des guides expérimentés vous accompagneront durant cette excursion, beaucoup d’entre eux ont d’ailleurs été impliqué dans ce processus.
Cette rencontre sauvage avec ces primates sera certainement l’expérience la plus inoubliable de votre séjour en groupement Bukiringi.
Les produits procurés par les forêts des groupements habités par les Ìndrù sont :
Gibiers, médicaments, champignons, chenilles, fruits, lianes pour la construction des maisons et pour les métiers artistiques, miel naturel, minerais, bois de chauffe, paille pour couvrir les cases, Stick d'arbres pour la construction des maisons, résines, etc.
Alors que la chefferie de Walendu-Bindi est passée par des crises sociopolitiques multiformes qui ont anéanti son économie et détérioré les conditions de vie de sa population, ramenée au stade de la chasse et de la cueillette, la pêche a constitué un réflexe de survie pour des milliers de ménages agglutinés sur les rives du grand lac, et quelques rivières.
🇨🇩━☞EN SÉCTEUR DE TOURISME
Walendu-Bindi est une chefferie touristique par excellence de par sa variété de faune et flore, mais aussi de son relief accidenté parsemé d'un lac albert et des rivières. Il faut signaler que les routes sont dans la dégradation totale. De ce fait l'accès aux différents sites touristiques est difficile.
CONCLUSION
Sur la base de la discussion qui précède, les recommandations suivantes sont proposées à titre préliminaire:
• Formuler et mettre en œuvre des politiques ou des réglementations unifiées ou comparables à travers les limites administratives des réserves naturelles.
• Etudier et planifier avec soin la gestion des «zones tampons» et élaborer les plans d’utilisation des terres intégrés correspondants sur la base des conditions physiques, des espèces animales et végétales présentes, des conditions sociales et économiques et des besoins et des modes d’utilisation des ressources naturelles des communautés adjacentes.
• Définir clairement les fonctions et le rôle des départements gérant les réserves, en matière de développement communautaire et de gestion communautaire des forêts.
• Renforcer les capacités de gestion intégrée (aux plans social, économique et de la gestion des ressources) des communautés adjacentes.
Le rôle des femmes dans la gestion des réserves naturelles et des ressources connexes devrait également être renforcé.
• Mettre en place des filières pour garantir les échanges entre la réserve naturelle et les communautés, et perfectionner les systèmes d’incitation pour favoriser la participation des communautés à la gestion des réserves.
Au-moins 40 personnes sont tués en térritoire de Beni et Irumu en deux jours dans l'est dela République démocratique du Congo
👆🏿👆🏿👆🏿Térritoire de Beni et Irumu en proie des massacres attribués aux rébélles du groupe ADF au Nord Kivu et en Ituri, vers l'est dela République démocratique du Congo
Selon les informations en notre possession, une seri d' attaques sont menées par les rebelles des Forces démocratiques alliées (ADF) contre plusieurs villages dans la province troublée de l'Ituri, dans le nord-est de la RDCongo, a-t-on appris jeudi et vendredi derniers de source locale.
Extension du périmètre des attaques des rébélles du groupe ADF ADF souvent en térritoire de Beni et Irumu en proie des massacres attribués aux rébélles d'origine ougandaise.
Les derniers massacres d'envergure attribués aux rebelles des ADF dans l'Est de la RDC remontent au-moins 40 personnes ont été tuées dans un cycle de violences perpétrées par les rebelles d’Allied Démocratic Forces (ADF), jeudi et vendredi à Beni, une entité située dans la province du Nord-Kivu et à Irumu en Ituri.
Au Nord-Kivu, ces assaillants ont massacré au-moins 26 personnes au village Katula vers Kavaseghwe c’est dans le territoire de Beni. D’après le gouverneur en sursi, Nzanzu Kasivita Carly, ces personnes ont été tuées vendredi dans une soirée de deuil.
« Nous déplorons la mort de 26 personnes tuées et plus de 6 blessés graves par les présumés ADF au village Katula vers Kavaseghwe.
Ces victimes étaient dans une soirée de deuil hier et vendredi », explique notre source qui pense que, «l’intensification des opérations militaires est une nécessité pour arrêter ce phénomène mortel ».
Cependant, dans le territoire d’Irumu, l’on déplore les massacres d’ au-moins 13 civils.
La Convention pour le Respect des Droits de l’Homme (CRDH), qui a donné ce bilan, révèle que ces personnes ont été zigouillées dans une seule journée de jeudi. La CRDH plaide pour les opérations militaires sérieuses.
« Aucune opération militaire de traque contre ces gens circulent dans ces forêts et ce sont les populations qui sont en train d’être tués », déplore Christophe Munyanderu son coordonnateur.
Comme le Nord-Kivu, l'Ituri est placé depuis un an sous état de siège, une mesure exceptionnelle qui a donné plein pouvoir aux militaires mais n'a pas permis jusqu'à présent de mettre fin aux violences.
La partie orientale de la RDC (les régions du Kivu et de l'Ituri notamment) est en proie aux violences depuis près de 25 ans en raison de la présence de nombreux groupes armés locaux et étrangers.
Les attaques perpétrées contre des civils par des groupes armés se sont poursuivies dans deux provinces en proie aux conflits dans l’est de la République démocratique du Congo, depuis que le gouvernement a imposé l’état de siège en mai 2021, a déclaré Human Rights Watch.
L’évolution de l’informatique a toujours été une course à la puissance et à la miniaturisation
En Science Informatique !
L’équipe de recherche, dirigée par Pierre Deymier, est parvenue à créer un dispositif qui imite le comportement d’un qubit, mais à une échelle beaucoup plus grande. Pour cela, ils ont assemblé trois barres d’aluminium et ont utilisé des haut-parleurs pour créer des vibrations à une extrémité de l’assemblage.
Cependant, il est important de souligner que cette approche n’est encore qu’à ses débuts. Comme le souligne Deymier, « nous avons beaucoup de flexibilité dans ce que nous pouvons faire ici.
Et c’est un système tellement nouveau que nous n’avons pas encore découvert ses limites ». Il est donc essentiel de continuer à explorer et à tester ce système pour comprendre pleinement son potentiel et ses limites.
Ce que l’on peut en déduire en fin de compte, c’est que bien que les propriétés à comportement quantique obtenues par l’acoustique puissent ne pas suffire à remplacer un système purement quantique, elles pourraient servir de tremplin pour une meilleure compréhension de cette technologie révolutionnaire, voire d’extension pour en améliorer la stabilité.
En effet, en explorant de nouvelles façons d’imiter les propriétés quantiques, nous pourrions être en mesure de surmonter certains des défis actuels de cette technologie et de la rapprocher de son application pratique.
En ajustant les fréquences sonores, ils ont réussi à former des « morceaux » de son localisés dans les barres, qu’ils ont appelés « phi-bits ». Ces phi-bits pourraient être utilisés pour encoder de l’information, tout comme les qubits. Leurs expériences ont été présentées le 12 mai lors d’une réunion de l’Acoustical Society of America à Chicago, dans l’Illinois.
L’innovation majeure de cette approche est que ces phi-bits peuvent exister simultanément et ne sont pas indépendants les uns des autres, ce qui signifie qu’ils peuvent être forcés dans un état de superposition, tout comme les qubits.
De plus, l’équipe a développé des méthodes pour effectuer des opérations simples permettant le calcul, comme passer l’état d’un phi-bit de 1 à 0, et a créé des états plus complexes qui partagent certaines propriétés avec les particules intriquées des systèmes quantiques.
Cependant, il est important de noter que cette approche n’est pas véritablement de l’informatique quantique. Comme l’explique Gerd Leuchs de l’Université d’Erlangen-Nuremberg en Allemagne, il existe des limites fondamentales à la mesure dans laquelle un système non quantique peut imiter un système quantique.
Les objets quantiques ont des propriétés ondulatoires, ce qui signifie que certaines de leurs caractéristiques, comme la formation de superpositions, peuvent être imitées par d’autres ondes, comme le son.
Cependant, les objets quantiques ont également des modes de réponse aux interactions qui sont uniques et qui pourraient être indispensables pour obtenir tous les avantages de l’informatique quantique.
Une porte qui s’ouvre plutôt qu’une avancée majeure ?
Bien que l’approche de Deymier et de son équipe ne remplace pas les ordinateurs quantiques, elle offre une nouvelle voie pour l’exploration et la compréhension de la mécanique quantique.
En imitant certaines propriétés des qubits, ils ont créé un système qui pourrait servir de passerelle vers une meilleure compréhension de l’informatique quantique et de ses applications potentielles.
Les ordinateurs quantiques utilisent des qubits, qui, contrairement aux bits classiques, peuvent exister dans de nombreux états superposés, en plus des états 1 et 0.
Cette superposition permet aux ordinateurs quantiques de traiter une quantité massive d’informations simultanément, faisant toute leur puissance potentielle, tant convoitée. Cependant, maintenir cette superposition est un défi de taille, car la moindre perturbation de l’environnement peut la détruire.
Les vibrations sonores peuvent coder et traiter l’information comme le font les ordinateurs quantiques
Aujourd’hui, nous sommes à l’aube d’une révolution technologique qui pourrait changer la donne : l’ordinateur quantique. Cependant, la fragilité de ces systèmes et leur besoin d’isolation extrême posent des défis majeurs.
Une équipe de chercheurs de l’Université de l’Arizona propose une approche alternative : l’utilisation de l’acoustique pour imiter certaines propriétés des ordinateurs quantiques.
L’acoustique, en tant que moyen d’imiter les propriétés quantiques, présente plusieurs avantages. Tout d’abord, elle est moins fragile que les systèmes quantiques « classiques », ce qui signifie qu’elle peut fonctionner dans des conditions plus variées et moins contrôlées.
De plus, elle permet de réaliser des calculs analogues à ceux des ordinateurs quantiques à température ambiante et sur de longues périodes de cohérence. Cela pourrait ouvrir la voie à des applications pratiques de l’informatique quantique dans des environnements moins contrôlés.
Nande ( peuple ) appeler localement Mu-Yira
👆🏿👆🏿👆🏿Jeunesse du peuple Nande appeler localement Mu-Yira dans la région de Beni-Lubero situé au Nord-Kivu, à l'est dela République démocratique du Congo
🇨🇩🗣️✍🏿👁️INTRODUCTION GENERALE.
La méthode historique :
La méthode historique est celle qui consiste à revoir le passé pour mieux analyser le présent.
Il nous serait difficile d'avoir une idée d'ensemble sur les les Nande sans pour autant interroger son histoire.
Dépuis plusieurs années, la sédentarisation des Nande apparait comme une marque d'évolution. Cela apparait à travers des indices visibles tels que les transformations enregistrées au niveau de l'habitat, de l'économie, de l'éducation et de la santé.
Lentement mais progressivement.
Concernant le peuple Nande ; À notre niveau nous pouvons dire que, de toutes les formes explorées, la toponymie est celle qui nous a le plus fourni des informations.
Donc, des toponymes, chez les Nande illustrent à merveille la dynamique historique.
Ils rappellent des situations allant des migrations à la mise en place du peuplement. Ils situent les lieux de départ, indiquent les sites de bataille et précisent les différents itinéraires, tout en mettant en relief les divers soubre sauts que les peuples ont connus.
Néanmoins, en voici certaines données à notre portée :
Les ( Nande ) ou ( Wanande ) comme on peut prononcer aussi en langue swahili, ou localement wa ( Yira ) ; Sont une population bantoue d'Afrique centrale venant principalement de Kitara en Ouganda, et qui se sont installés dans la région Est de la RDC vers les années 1700 et 1800.
Ils sont le plus entreprenant sur le plan économique vers l'est dela République démocratique du Congo.
Malgré la crise économique qui frappait tout le pays durant le règne de Mobutu, la region de Beni-Lubero et la ville de Butembo ont maintenu une activité économique florissante.
L'économie est dynamique car elle bénéficie d'une politique d'ouverture aux commerces internationaux propice aux affaires.
La vie urbaine a un bon nombre d'attractions à offrir, mais les villes jumelles de Butembo et Beni constituent une étape intéressante.
Et la discrimination raciale se fait quelques fois dans certains coins de la région de Beni-Lubero.
Parallèlement, la génération de ceux qui sont nés de 2010 à nos jours, n'ont pas connu les pratiques de discrimination que faisaient anciens membres dela communauté.
En réalité,...
Au point de vue culturel et linguistique, ils sont proches de leurs voisins Konjo avec lesquels ils ont des liens historiques.
C'est pourqu' oi notre rédaction constate que, les Nandes ont une origine similaire avec d'autres groupes culturels bantous konzo, vivant dans le district de Kasese sur les pentes inférieures du Mont Rwenzori.
Ils parlent une langue bantoue. Mais aussi, les Nande sont connus pour leur fort désir d'indépendance commercial.
Ils sont généralement long gros et courts, généralement vus lors de nos voyages en Beni-Lubero.
La proximité géographique avec l’Ouganda leur a permis de s’isoler des événements affectant le pays (colonisation, guerres…), tout en gardant une ouverture internationale. Ils ont développé une organisation sociale qui leur est propre, dans laquelle hommes d’affaires et commerçants fournissent souvent les services publics que l’État n’assure pas, tel que : le commerce, l'artisanat, le transport, l'agriculture, pêche, élevage, la santé, logement, et l’éducation.
D'après Mélanie Gouby notre source
Situation géographique et administrative
Les deux Territoires de Beni et de Lubero sont situés dans la Province du Nord - Kivu, au Nord - Est de la République Démocratique du Congo. Ils ont une frontière commune à l'Est avec l'OUGANDA, au Nord avec la Province del'Ituri, au Sud avec le Territoire de Rutshuru et à l'Ouest avec le Territoire de Walikale.
1. Le territoire de Beni
Le territoire de Beni est situé dans la province du Nord Kivu, à l'Est de la République démocratique du Congo.
Démocratique du Congo. Il se situe entre 29° et 30° longitude Est. Sa superficie est de 7484 km2. Il est limité à l'Est par le mont Rwenzori (haut de 5119 m au pic Marguerite), au Sud-Est par le Lac Edouard et le territoire de Lubero, et au Nord par les territoires de Mambasa et le district de l'Ituri.
À son extrême Nord et à l'Ouest, on trouve la forêt équatoriale alors que l'Est a une partie importante couverte par le Parc National des Virunga.
Etant situé entièrement dans la zone équatoriale sous un climat tropical humide, ce milieu connaît une succession alternative des saisons pluvieuses et sèches. En effet, comme le dit Michel EECKHOUDT cité par Christien Kathaka Kiswere, les régions centrales.
Source : rapport administratif du territoire de Beni. Informations recueillies en juillet 2007.
KATHAKA KISWERE, Christien, les initiatives locales et incidences sur l'économie du territoire de Beni. Cas de l'enseignement primaire privé agréé, mémoire de licence, UNIC-BENI, 2005-2006, p.12.
situées en bordure immédiates de l'Equateur connaissent une chaleur étouffante, des pluies abondantes et répandues sur toute l'année. La température moyenne oscille entre 25 et 27°.
Du point de vue administratif, le territoire fût créé en 1894 sous la dénomination « Térritoire de la Semuliki » et dépendait du district de Kibali-Ituri, l'actuel district de l'Ituri en province Orientale. Il prendra le nom de térritoire de Wanande-Nord suivant l'ordonnance du 21 mars 1932 avec Beni comme chef lieu mais sera sous la dépendance du district de Kibali-Ituri.
Par ordonnance du 15 mars 1935, il est rattaché à la province du Kivu toujours avec le même chef lieu.
Avec l'avènement de la guerre, considérée comme guerre d'agression ou par certains de « première guerre continentale africaine 41» déclenchée sous la coalition rwando-burundo-ougandaise le 2 aout 1998 à Goma, le chef lieu a été transféré de Beni à Oicha le 1er juillet 2000 puis reconnu officiellement en 2003 par le gouvernement congolais.
Le territoire compte quatre entités coutumières dont le secteur Rwenzori, le secteur Beni-Mbau, la chefferie Watalinga et la chefferie Bashu.
À cela s'ajoutent cinq communes dont Bulongo, Lume, Oïcha, Mangina et Kyondo.
La principale ville de ce territoire est celle de Beni.
À cela s'ajoutent cinq communes dont Bulongo, Lume, Oïcha, Mangina et Kyondo.
La principale ville de ce territoire est celle de Beni.
Du point de vue démographique, le territoire de Beni est habité en général par les nandes.
Cependant, la ville de Beni est souvent appelée cosmopolite en raison de la présence de plusieurs autres ethnies qui y vivent.
Selon histoire orale qui date del'époque pré-coloniale, les Nandes sont, originaires del'empire, de kitara situé en Ouganda.
Une première cause de leur immigration dans en Beni-Lubero en particulière, était les calamités dans l'Empire Kitara, c'est la famine, et la rareté des terres fertiles et la crise économique.
Ce sont principalement des agriculteurs qui cultivent du manioc, de l'arachide, des ignames, des courges, du maïs, des haricots, du café robusta, et qui élèvent de la volaille et du petit bétail. Ils sont également de bons chasseurs dans les clairières, ainsi que, dans les forêts des Virunga et dans la rivière Semliki, qui sont les réservoirs alimentaires de la ville de Butembo et Beni.
2 . Le territoire de Lubero
Le territoire de Lubero, comme celui de Beni, est une entité décentralisée située au Nord-Kivu et mesure 18096 km2. Ce territoire se situe entre 1°de latitude Nord et 1° de latitude Sud et entre 28° et 30° longitude Est.
Traversé par l'Equateur, il est limité à l'Est par le lac Edouard, à l'Ouest par le territoire de Bafwasende, au Nord par les territoires de Beni et de Mambasa, au Sud par le territoire de Rutshuru. Le chef lieu est situé à Lubero à environ 300 km au nord de Goma.
Le territoire de Lubero couvre une superficie de 1 018 096 km2 et comprend 4 collectivités (chefferies) tandis que le Territoire de Beni s'étend sur 7 484 km2 et comprenant également 4 collectivités (chefferies). Ces deux territoires de Beni et Lubero comprennent respectivement deux villes dont la ville de Beni et celle de Butembo.
Conformément à la loi électorale, la population de la Ville de Beni est estimée à 129 163 habitants et celle de la Ville de Butembo à 220 807 habitants.
Il connaît un climat tropical d'altitude avec un relief montagneux dont l'altitude varie de 1500 à 2000 m. C'est une région qui pratique des cultures maraîchères.
La diversité des cultures agricoles est liée à celle du relief. Comme le souligne Anselme Paluku Kitakya 50 en citant Kakule Vyakuno et Kasay Lenga Lenga.
MUWIRI KAKULE et KAMBALUME, Identité culturelle dans la dynamique de développement, Academia Bruylant /Presses de l'Université Catholique de Graben, Louvain-la-Neuve/Butembo, 2002, p.20.
Source : rapport administratif du territoire de Lubero. Informations recueillies en juillet 2007.
Sur le plan administratif, le territoire de Lubero compte quatre entités coutumières (Bamate, Bapere, Baswagha et Batangi), quatre agglomérations semi-urbaines (Lubero, Kayna, Kirumba et Kanyabayonga) et une ville, celle de Butembo.
Au niveau démographique, le territoire est occupé par les nandes. Comme le dit Christian KAPARAY, il est facile de trouver ici 60 ménages au km2, alors que dans les basses terres, la densité tombe dans les 10 ménages au km2.
De plus, depuis que Butembo a le statut de ville, ses limites se sont étendues et elle a incorporé une population dépendant auparavant des entités rurales dites groupements.
On sait aussi que l'extrême est du Congo constitue une zone de concentration de peuplement où le taux de croissance démographique dépasse la moyenne nationale estimée en 1984 à 3,1 % » 52.
Sur le plan économique, le territoire de Lubero est axé sur l'agriculture. De façon générale, les cultures y pratiquées sont vivrières. Une grande partie de la récolte sert d'autoconsommation.
On y rencontre quelques cultures industrielles. Il s'agit notamment du : caféier arabica, quinquina, pyrèthre. Actuellement certaines cultures industrielles sont en pleine vulgarisation par les Organisations Non Gouvernementales d'encadrement.
Développement, population et environnement, Université Catholique de Louvain, Presses Universitaires de Louvain, Louvain-la-Neuve, 2007, p.79.
Actuellement, les Bakonzo à eux seuls comptent environ 7 000 000 personnes avec environ 1 000 000 du côté ougandais de la montagne et 5 000 000 du côté de la République démocratique du Congo et sont plus communément appelés les Banande.
Les Bakonzo et Banande appartiennent tous deux à la communauté Bayira, un peuple parlant bantu. Du côté ougandais, les Bakonzo occupent les montagnes Rwenzururu coupées à travers le district de Kasese, Kabarole et Bundibugyo.
Ceux qui sont au Congo se trouvent dans la province du Nord-Kivu avec Butembo et Beni comme grandes villes. Les Bamba qui sont subdivisés en Babwisi, Babutoku, Vonoma et occupent principalement les plaines du district de Bundibugyo.
Changeons de chapitre pour parler aussi dela composition ethnique dela province du Nord-Kivu !
La population du Nord-Kivu était estimée à 4.780.170 habitants en 2005.
Densité : 80 habitants/km 2 ; densité sur terres habitables : 250 ha bitants/km
Le dynamisme démographique est remarquable avec un taux de croissance de 3,5% par an.
· Composition ethnique :
- Territoire de Beni : Wanande, Bambuba, Balese,
Babila, Watalinga, Batwa (pygmées), les Bira, les Hema, Lokélé, et Walendu ; Dont nous avons les Bhâles, les Ìndrŭ-Ngiti, et les Lugbara, mais à moindre degré.
- Territoire de Lubero : Wanande, Bapere et Batwa.
Dans ces deux Territoires, les langues utilisées sont le Kinande, le Kimbuba, le Kilese, le Kitalinga, le Twa et le Kipere. Les Wanande se répartissent en douze clans unis par la langue et l'histoire, à savoir les Bamate, Batangi, Baswagha, Bahira, Bashu (Basukali), Bakira, Bahambo, Batike, Bavinga, Bakumbule, Bahumbi et Bito.
- Territoire de Rutshuru : habité par les Hutu, les Tutsi, les Hunde et les Nande, parlant respectivement le Kinyarwanda, le Kihunde, et le Kinande.
Territoires de Masisi et Walikale : Bahunde, Bahutu Batembo, Batutsi et Batwa dans Masisi, tandis que Walikale est essentiellement habité par les Nyanga, les Bakano, les Bakusu, les Bakumu et les Batembo.
- Territoire de Nyiragongo : peuplé par les Bakumu, les Bahunde, les Hutu, les Tutsi et les Batwa.
Origine du peuple Nande
Parlant de l'origine du peuple Nande, la tradition veut que le 17ème et le 18ème siècle, soit le temps où les divers clans Nande auraient commencé, les uns après les autres, à se mouvoir de la vallée, à monter et pénétrer dans la forêt des Mitumba suite à certains facteurs d'ordre climatologique, sécuritaire, sanitaire et peut-être démographique.
En effet, la sécheresse prolongée, les conflits avec les peuples éleveurs (les Hamites) et les maladies devenues endémiques, dont principalement la malaria, auraient contribué à ce déplacement progressif.
Dans le même chapitre ; La sédentarisation du peuple Nande a pris environs trois siècles pour être effective (16e, 17e et 18e Siècle).
Les peuples depuis les migrations, se bousculaient à la recherche des espaces vitaux.
Pour ce qui est de la traite négrière, les populations n'en gardent pas un souvenir dans la région. Cependant, la mémoire évoque avec amertume les incursions suivies d'enlèvements de certaines tribus islamisées du Nord désignés ici au nom de razzias.
Pratiques
Des razzias se pratiquaient en Afrique bien avant l’islam, dès l’époque de l’Égypte antique.
Les biens étaient pillés, les hommes massacrés, et les femmes et les enfants étaient emmenés en esclavage.
Certaines victimes devenaient des esclaves sexuels, les plus âgées et les enfants, des servants.
Ces derniers faisaient irruption dans les villages, prenaient des enfants en otage jusqu'à ce que les parents se présentent aux fins de les embarquer. Leur passage avait causé une psychose qui a profondément marqué les esprits au point où leur triste souvenir est évoqué avec émotion
C'est au bout de ces deux siècles que la confédération de Nande composée des plusieurs clans dont les Bamate, Basukali, Baswagha, et les Batangi, s'installa dans l'actuelle province du Nord-Kivu précisémentd les territoires de Beni et Lubero.
Pour eux l'homme doit jouir d'un statut privilégié aussi bien au sein de sa famille que de la société en général.
La plupart d'entre eux vivent dans la province du Nord-Kivu, principalement, en térritoires de Beni et de Lubero, qui se caractérisent par son organisation en plusieurs villages avec un habitat groupé.
Et représentés par un chef du village, assisté par les chefs de familles, ces villages sont de taille importante.
L'HISTOIRE DU PEUPLE BAYIRA DU ROYAUME RWENZURU SITUÉ DANS LA PARTIE OUEST DEL'OUGANDA
Le royaume Rwenzururu, situé dans la région des montagnes Rwenzori dans la partie sud-ouest de l'Ouganda, s'étend en République démocratique du Congo parmi les Bakonzo / Banande, Bamba et Basumba qui habitent la région montagneuse.
À Banya Rwenzururu (le peuple de Rwenzuru) Souvent ; Histoire orale des Bakonjo renseigne que, le terme Banyarwenzurururu désigne les habitants de Rwenzursuru (montagnes Rwenzori).
Banyarwenzururu signifie aussi la montagne recouverte de neige, qui a été renommée par erreur par l'explorateur H. M, Stanely dans le rôle de Ruwenzori – les montagnes de la lune.
Le royaume de Rwenzururu est une monarchie des habitants et des descendants des montagnes Rwenzori. Les Bakonzo/Banande, Bamba et Basumba sont des groupes ethniques qui vivaient à l'origine et vivent encore sur et autour des montagnes Rwenzururu.
Les Basumba sont divisés et dispersés dans les plaines du district de Bundibugyo. Ils vont et viennent dans la vallée de Semliki dans le district de Bundibugyo.
Comme tout autre groupe de personnes dans le monde vivant sur les montagnes, les Bakonzo, Bamba et Basumba sont courageux, travailleurs, autonomes et hospitaliers.
Constat de notre rédaction
Sur Internet ; Les utilisateurs de Facebook du monde entier auraient été confrontés à un problème étrange sur la plateforme
Un groupe d'utilisateurs de Facebook congolais photographié durant la journée dela fête du 01 janvier et 2022 à Beni-Rdc
Facebook : Avant le 13 mai 2923 selon les informations en notre possession, tous les utilisateurs qui avaient pris l’habitude de consulter secrètement le profil de quelqu’un ont rapidement déchanté, lorsque leur pire ennemi ou même pire s’est retrouvé avec une demande d’ami de leur part.
Donc, un bug étrange envoie une requête d’ami à tous les profils que vous consultez.

Les utilisateurs de Facebook ont été surpris par un “bug” qui enverrait automatiquement une demande d'ami à tout profil sur lequel vous cliquez. L’entreprise a rapidement été au courant du problème, et s’en est excusée publiquement.
Ceux-ci affirment que Facebook envoie de manière inattendue des « demandes d'amis automatiques » aux profils qu’ils visitent.
Des centaines de personnes ont déclaré sur les réseaux sociaux avoir été informées que des inconnus avaient accepté des demandes d'amis sur Facebook alors qu'elles affirmaient ne pas les avoir envoyées et craignaient de s’être trompés en ajoutant leur profil, ou pire, d’avoir été piratés.
FACEBOOK A CORRIGÉ RAPIDEMENT LE PROBLÈME
Dès les premiers signalements sur les réseaux sociaux, l’entreprise s’est rapidement affairée à régler le problème.
Depuis, Meta s'est publiquement excusée. « Nous avons corrigé un bug lié à une récente mise à jour de l'application qui provoquait l'envoi par erreur de certaines demandes d'amis Facebook », a déclaré vendredi un porte-parole de Meta à différents médias.
« Nous avons empêché que cela se produise et nous nous excusons pour les désagréments que cela a pu causer ».
Cependant, le mal est fait. Plusieurs utilisateurs se sont retrouvés dans des situations embarrassantes à cause de ce problème. Ceux-ci ont reçu des notifications d’acceptation de demandes d’amis de la part de personnes dont ils avaient juste consulté le profil, mais dont ils n’étaient pas les amis.
Si vous avez été touché par ce bug, n’hésitez pas à nous le dire dans les commentaires, car l’Europe semble avoir été relativement épargnée.
Heureusement, les bugs de ce type ne sont pas très courants sur les réseaux sociaux. Il y a quelques mois, Facebook avait été confronté à un autre problème puisque des utilisateurs signalaient des vagues de blocages de profils, à la suite de violations des conditions d’utilisation.
Identité religieuse dans la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi, a une grande importance dans le quotidien de la population, vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo
👆🏿👆🏿👆🏿 Église catholique dela parroise sainte famille de Gety-Mission situé dans la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi, térritoire d'Irumu, province del'Ituri, vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo
Aperçu historique de la chefferie de Walendu-Bindi et voici quelques données historiques à notre connaissance !
C'est pour dire qu'officiellement, Walendu-Bindi est une entité coutumière, d'une chefferie traditionnelle situé sur les hauts plateaux del'Ituri, localisé sur la ligne de séparation des eaux du Congo et du Nil, vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo, mais aussi au cœur de la région des Grands Lacs.
Elle a un caractère laïc et, c'est ce qui explique une multitude des religions et croyance.
Pour une petite histoire en ce qui concerne appellation de Walendu-Bindi.
La chefferie de Walendu-bindi qui conserve les tombeaux de la plupart de ses souverains et leaders d'opinion public d'une longue date, fût créé suivant le PV N⁰ 00 85 du 03 décembre 1931, par l'administrateur térritorial d'Irumu, à l'époque colonial. l'AT Halleux qui trace la carte des 5 chefferies réunifiées et la délimitation des enclaves d'une localité Lagabo, Lakpa, et Nombe, avec comme Chef-lieu Gety-Etat.
La décision de la réunification sera signée en 1929 et appliquée en 1933, ainsi, il est facile de voir que toutes ces six Chefferies et non cinq comme l'avait présentait l'invité Excellence Ministre provincial Honoraire del'ituri, que nous saluons sa mémoire Osée Didi Angaika au cours d'un débat consacrés à la page socio-culturel et histoire dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi avec un groupe des diplômés originaires dela chefferie de walendu-bindi à partir de Bunia.
Pour lui, ces dernières ont fonctionné jusqu'à 1933, ce qui a occasionné la création de l'actuelle Chefferie des Walendu-Bindi le 15 mai 1933.
Nos sources contactés pour la cause précisent que, le 05 décembre 1933 est considérée comme la date de la création officielle de la Chefferie de Walendu-Bind.
Gety-Etat a donc grandi comme le chef lieu dela chefferie dont beaucoup de bâtiments survivent encore, tels que la prison centrale de Gety-Etat, construite en 1931, les tombes de différentes autorités coutumière et l'emplacement du bureau administratif dela chefferie de Walendu-Bindi.
Avec la présence des hommes blancs, GETY s'est développé, autour d'un grand centre hospitalier et une paroisse Sainte famille implantés dans le milieu vers les années 1934 par les missionnaires Catholique venu dela sous région de Bunia, àl'époque colonial, dont le but été d'évangéliser toute population vivant, dans les cinqs groupements, dans cette entité coutumière.
Ainsi, le christianisme est la religion plus dominante et est pratiquée concurremment avec d'autres religions entre autre et d'autres croyances au culte des ancêtres (la magie et aux forces de la nature et surnaturelle).
Comme un peu partout sur le continent africain, la religion en République démocratique du Congo est d’une très grande importance dans le quotidien d’une population très croyante et très pratiquante.
Il suffit de passer devant une église un dimanche, vous serez frappés par la ferveur qui se dégage des offices.
C’est encore plus le cas pour les grandes fêtes comme par exemple Noël, fête de Nouvel An, et Pâques.
Les hommes, les femmes et les enfants portent leurs plus beaux habits, se rendent au lieu de culte le plus proche pour assister à des messes qui peuvent durer plusieurs heures. Je conseille même aux non-croyants d’observer ce spectacle hebdomadaire.
Souvent ; Les pasteurs catholique du Diocèse de Bunia encourage les fidèles à approfondir le sens et le bénéfice de la communion spirituelle, à intensifier la prière en famille, à pratiquer la visite au Saint Sacrement ou l’adoration du Saint Sacrement.
Quant aux prêtres, ils sont exhortés à sensibiliser constamment des fidèles sur les principes pastoraux fondamentaux.Cette petite part du paysage religieux est incroyablement riche et variée.
Face aux catholiques, les églises anglicanes et luthériennes prennent toujours un peu plus de place attirant un peu plus de fidèles.
Le phénomène n’est cependant pas aussi visible que dans d’autres pays africains.
Pour finir de décrire le panel religieux, le chef lieu Gety abrite des communautés surtout catholique, qui constitue même la plus grande part de fidèles dans la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.
Donc nos sources indiquent que, dans presque tous les villages enquêtés, il a été reconnu la présence d'une ou plusieurs confessions religieuses dans ou à proximité du village.
Ces églises ont pour rôles : d'enseigner l'évangile et la morale divine, adoucir les moeurs, promouvoir des microprojets de développement, surtout dans le domaine de la santé et de l'éducation.
Car les quelques écoles et structures sanitaires identifiés dans le milieu émanent, de ces confessions religieuses et ONG.
Les missionnaires chrétiens introduisirent l’idée que les esprits ancestraux étaient des démons qui devaient être chassés pour que triomphe le véritable Dieu et s’accomplisse le salut promis à travers Jésus-Christ.
En outre, l’administration coloniale belges soutint l’évangélisation missionnaire en promulguant, en 1912, àl' ordonance, qui bannissait les pratiques traditionnelles.
Cependant, malgré la flexibilité et l’ouverture du culte, les obstacles apparus durant la période coloniale freinèrent la pratique qui, bien que ne disparaissant jamais totalement, s’affaiblit en se transférant dans des lieux et à des moments (nocturnes) qui pouvaient lui garantir une certaine confidentialité.
À quoi va s'atteler la nouvelle religion dans la région ?
Trois principaux axes des combat vont préoccuper les nouveaux dirigeants au sein de la chefferie :
- L'implantation et le renforcement du pouvoir et de l'administration coloniaux sur toute l'étendue de la chefferie en étroite collaboration avec l'autorité ecclésiastique mais sans aucune prétention d'annihiler totalement le pouvoir du Mwami et de ses notables ;
- Le démantèlement de toutes les croyances, mythes, pratiques, rites, modèles et invocations « paganistes », « primitives », « sauvages », « sorcières », « indigènes », « païennes et « diaboliques » au sein de toute la population et instauration d'un modèle des croyances axées sur des valeurs chrétiennes strictement européennes.
Ainsi, chaque converti à la nouvelle religion est baptisé sous un nouveau nom, le nom de son saint patron qui guide ses pas sur la terre et qui plaide et plaidera pour que son protégé parvienne au ciel, après sa mort.
C'est cette phase qui a contribué à l'acculturation de Walendu-Bindii. On lui a ravi tout : ses croyances, ses modèles, ses chants, ses rites et pratiques, bref, il a perdu son identité et son histoire. Hélas !
-La formation en alphabétisation, en règles d'hygiènes, en méthodes culturales et le tracé des routes : c'est avec la colonisation belge que les premières chapelles-écoles (où l'on apprend à lire, écrire, mémoriser le catéchisme catholique) furent construites ; les premières installations sanitaires, c'est-à-dire des latrines avec orifice circulaire dont la profondeur dépassait rarement deux mètres virent le jour, des champs monoculturales des patates douces surtout et des boisements furent imposées à tous au sein de la chefferie de Walendu-Bindi et que les premières voies de communication routière furent tracées.
Il faut rappeler que tout cela se faisait par contrainte, sur base des coups des fouets et des brimades. Beaucoup d'hommes perdurent leurs vies au cours de ces travaux forcés.
Et aujourd'hui, quelques-unes des églises aux quelles appartiennent les Ìndrŭ et non Ìndrŭ sont !
QUATHOLIQUE, 11e CAC, CECA 20, CE 39, CBCA, NZAMBE MALAMU, TÉMOIN DE JEHOVAT, CNCA, MULIMA-SINAÏ, KAUDISME, CDA.
La République démocratique du Congo est un pays où la religion occupe une place très importante. Il est difficile de chiffrer exactement l’importance des différentes confessions.
LE CHRISTIANISME
Avec l’arrivée des Européens et des missionnaires, les religions catholique et protestante ont pénétré le territoire, parfois de manière brutale en détruisant les objets de culte traditionnels avec une volonté d’évangélisation des populations locales.
Les différentes religions
Pour décrire de façon un peu plus précise le paysage religieux que vous aurez l’occasion de découvrir au cours de votre voyage en Walendu-Bindi, il convient de savoir qu’un peu plus de 85% de la population est chrétienne, et le reste se divisant entre les animistes et d’autres communautés religieuses.
Les chrétiens se divisent en parts à peu près égales entre catholiques et protestants.
Cependant, comme un peu partout sur le continent africain, il a été observé ces dernières années une véritable montée des évangélistes, des adventistes, des baptistes, des méthodistes, des pentecôtistes et autres témoins de Jéhovah.
Quelle que soit leur confession, les Ìndrŭ pratiquent leur foi avec une grande ferveur.
Vous vous en apercevrez principalement pendant les grandes fêtes religieuses du calendrier, mais si vous vous trouvez sur place un dimanche, n’hésitez pas à assister à une messe même si vous n’êtes pas très croyants.
Ce jour, les hommes comme les femmes comme les enfants portent leurs plus beaux habits pour se rendre à des offices qui peuvent durer plusieurs heures et dont les chants s’échappent jusque dans les rues.
Le mandat belge et l’Église catholique
Au début du mandat belge en 1916, l’Administration reprit la politique de «contrôle indirect» sur les sujets Ìndrŭ et continua de s'appuyer sur les autorités en place, c’est-à-dire le mwami et l'aristocratie Ìndrŭ. Le gouvernement colonial belge confia définitivement à l’Église catholique tout le secteur scolaire et le domaine de la santé.
L’arrivée des prêtres de la Société des Missionnaires d’Afrique, dite des «Pères Blancs», en 1931 vint bouleverser la vie des autochtones, car l’Église catholique entreprit l’évangélisation massive des habitants et tenta d’éliminer toute concurrence.
Dès leur arrivée, les Pères Blancs introduisirent l'alphabet latin et plus tard, le français qui devinrent les langues d'enseignement.
Grâce à l’étroit contact qu’ils développèrent auprès des populations autochtones, les missionnaires ont vu leur implantation facilitée: en parlant le français et swahili, en s’intégrant aux Ìndrŭ, ils ont réussi à acquérir une très forte influence sociale, économique, mais également politique.
L’appartenance à la religion catholique devint un critère incontournable pour accéder ou rester dans la fonction de chef.
Évidemment, beaucoup de «chefs païens» se convertirent à la religion catholique. Signe éclatant de l’implantation du catholicisme en Walendu-Bindi en vingt ans, plus de 60 % des Ìndrŭ devinrent catholiques.
Le français demeura la langue officielle, car, la plupart des missionnaires étaient francophones (ou wallons). Cependant, une nouvelle génération de prêtres flamands, d’origine plus modeste que leurs collègues francophones (ou wallons), s’identifia davantage aux Ìndrŭ et entreprit de former une contre-élite au sein dela population locale, et leur apprit le français et swahili.
Ces derniers devinrent les leaders de la «nation Ìndrŭ» et s’impliquèrent dans la politique active.
Le Swahili
Le swahili (appelé aussi kiswahili) n'a aucun statut juridique dans la chefferie de Walendu-Bindi mais cette langue demeure importante, notamment dans les petites entreprises commerciales, alors qu'elle sert de langue véhiculaire. En fait, le swahili est la langue véhiculaire la plus importante de la région des Grands Lacs, et ce, d'autant plus que c'est la langue africaine comptant le plus grand nombre de locuteurs en Afrique de l'Est.
Les prélats doivent prêcher en langue Swahili à l'intérêt des chrétiens qui sont la plupart des Swahiliphones.
ils sensibilisent constamment des fidèles sur les principes pastoraux fondamentaux, et au respect mutuel entre les hauts cadres del'église et les chrétiens.
L'histoire del'Église n’a pas été sans heurts.
C’est ce que nous lisons souvent dans les journaux et correspondances des missionnaires qui font référence à des textes d'Évangile comparant l'Église à un bateau sur une mer agitée !
Il y avait les rivalités avec les adeptes de la religion traditionnelle, avec les anglicans et les catholique.
Malheureusement, ces rivalités et cette compétition finissaient en conflits armés : d’abord les chrétiens (catholiques et anglicans) avec les musulmans contre les adeptes de la religion traditionnelle en 1888.
Toutes ces guerres ont laissé derrière elles des plaies sociales et spirituelles qui n’ont jamais vraiment guéri.
La religion est devenue un facteur économique et politique qui continue encore aujourd’hui d'influencer, consciemment ou inconsciemment, les comportements des adeptes de ces différentes communautés de foi.
Les Pères fondateurs de l’Église catholique
Trois Instituts missionnaires classiques sont les fondateurs spirituels de cette Église.
Dans plusieurs zones dela Rdc, ce sont les Missionnaires d'Afrique, plus connus dans ce pays comme « Pères Blancs »
Aujourd'hui, ces zones géographiques d'évangélisation attribuées à différentes familles missionnaires n'existent plus.
La croissance de l'église locale et le nombre croissant des membres de ces instituts expliquent en grande partie ce changement.
L'Association des religieux en Rdc, dont ils sont également membres, a un certain nombre d'activités communes dans les domaines de formation initiale et permanente, la promotion de justice et paix, etc.
Et d’abord le renforcement de l'Église locale
Les Pères Blancs ont d’emblée donné la priorité à la construction et au renforcement de l'église locale sur la fondation du clergé local et sur l'institution des catéchistes.
Cette orientation a été conforme à l'instruction de leur fondateur leur disant que « les vrais missionnaires de l'Afrique seront les Africains eux-mêmes ».
On a créé très tôt des séminaires, et les premiers prêtres ont été ordonnés en 1913, 5 ans seulement après l'arrivée des premiers missionnaires.
L'institution des catéchistes avait commencé plus tôt, à Munobi, Nyarara, et à Gety-Mission, qui a été leur premier centre de formation.
Évangélisation intégrale
Outre leur préoccupation spirituelle et morale, les missionnaires se sont rapidement impliqués dans les secteurs de l'éducation et de la santé.
Chez la communauté catholique par-exemple ; dépuis l'indépendance du Congo à nos jours, les prêtes catholique qui arrivent souvent dans la chefferie de Walendu-Bindi encouragent les fidèles à approfondir le sens et le bénéfice de la communion spirituelle, à intensifier la prière en famille, à pratiquer la visite au Saint Sacrement ou l’adoration du Saint Sacrement.
L'église catholique pense que, l'intrusion dans l’espace politique, qui n’est pas nouvelle pour ceux qui connaissent l’histoire du peuple Ìndrŭ, ne vise pas à soutenir tel ou tel autre camp engagé dans la compétition politique.
Dit-on en grande partie par la volonté de l’Église catholique d’œuvrer pour la paix et la stabilité des États en s’attaquant aux ressorts politiques, sociaux et économiques qui déterminent les conflits et les troubles sociaux dans la région.
La communauté catholique ajoute que, la compétitions de départ et efforts de collaboration à mi-parcours, la dynamique chrétienne est résolument en marche dans ce pays qui est marqué par une diversité ethno-régionale.
En effet, avec la période d’occupation européenne, l’expansion chrétienne en Ituri est encadrée, réglementée, ceci sans doute afin de contenir les velléités d’affrontements entre missions et/ou obédiences, ou mieux encore en vue d’assainir une atmosphère déjà polluée par des tensions sur fonds de compétition religieuse, et pour certains, du fait de l’imposition des zones d’influence missionnaire.
- La politique linguistique belge
Contrairement à la France qui s'est toujours dotée d’une politique linguistique coloniale élaborée, portant sur l'imposition du français et l'éviction des langues indigènes, la Belgique eut une attitude différente.
La Belgique était un petit pays aux moyens plus limités et sans tradition coloniale.
Pratiquant une administration indirecte («contrôle indirect»), elle accorda aux langues africaines une place importante dans la gestion des colonies et laissa l’entière initiative en matière d'éducation aux missionnaires.
De plus, la Belgique était pays bilingue (français-néerlandais) aux prises avec des populations francophones et néerlandophones, qui s'opposaient à différents points de vue, notamment en éducation et en administration.
C’est à l’époque colonial belges, en 1934, que les premiers missionnaires catholiques s’installent dans la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.
Nos sources entre-coupeé renseignement que, les « pères blancs » établissent la première paroisse, celle de Gety-Mission, après la première guerre mondiale 20 ans plus tard.
On peut encore y voir la première croix de Walendu-Bindi. Les paysans ne vont vraiment se convertir au christianisme que beaucoup plus tardivement, après la seconde guerre mondiale, sous l’occupation belge. En 1922, il n’y avait que 1450 baptisés, en 1937 on en comptera 2500 et pas moin de 4000 en 1957 selon l'église catholique implaté dans la chefferie de Walendu-Bindi.
Sous la domination écransate des belges, l’église catholique, par ses missionnaires et son clergé, a vigoureusement combattu la religion traditionnelle du pays, considérée comme barbare, puis a élargi son influence grâce à ses activités éducatives, sociales et sanitaires. Elle a été en charge de l’enseignement primaire dès 1928, et a fait bâtir dispensaires, orphelinats etc.
Sa présence reste aujourd’hui encore très forte et très visible. Il y a dans chaque, village ou petit bourg du fin fond des collines au moins une église, une vie paroissiale, et souvent un dispensaire, une école catholique, etc.
Une grande partie des habitants se rend à la messe tous les jours, à la pause du midi ou le soir en sortant du travail ; le dimanche, ce sont des foules nombreuses qui se dirigent vers les églises.
Le protestantisme a pu se développer grâce à l’apport de riches congrégations européennes ou américaines ; il n’avait pas connu pareil soutien durant l’époque coloniale.
C’est après l’indépendance, notamment pendant la guerre et les années 1996, qu’il a connu un important essor en résistant à la politique de Zaïrinisation du président dictateur Mobutu Sese Seseko.
Félix Tsisekedi le président dela République démocratique du Congo, est un catholique fervent et l’on assiste aujourd’hui à un retour de la religion dans la sphère politique. Son slogan de campagne, en 2018, était « Totonga Mboka na biso na Nguya ya Nzambe en Lingala », ce qui signifie « construisons notre pay par la grâce de Dieu ».
Les croyances anciennes
Asili est souvent traduit par « dieu », mais ce n’est pas tout à fait exact, le mot représente surtout la puissance divine.
Pendant la période monarchique et avant la venue des colonisateurs, les Ìndrŭ adoraient cette puissance divine et créatrice que l’on célébrait par différents cultes, notamment celui de kagawa le plus connu.
Les évangélisateurs, pour leur part, emploieront plutôt le mot swahili de « Mungu » pour parler de Dieu.
Delà, on peut noter que, dans certaines régions, des pratiques de sorcellerie sont encore relativement présentes.
Si les religions monothéistes les ont, bien sûr, vigoureusement combattues, de nombreux habitants de Walendu-Bindi continuent à s’y adonner, notamment dans la réligion de encêtres.
Donc, l’animisme joue aussi un rôle important dans le quotidien des paysans, mais surtout dans les zones rurales. Dans les campagnes, il est plus fréquent de consulter le sorcier qu’un prêtre ou qu’un médecin. Pour de bonnes récoltes, conjurer un mauvais sort ou soigner un mal, ce sont les ancêtres et les esprits qui sont priés.
Les croyances ancestrales
Les pratiques traditionnelles des animistes sont encore très présentes dans les campagnes. C’est aussi le cas dans le chef lieu Gety mais de manière un peu plus confidentielle.
Comme c’est le cas partout sur le continent africain, les sorciers en contact avec les esprits sont énormément consultés par la population pour des raisons diverses et varier.
Pour entreprendre une nouvelle aventure professionnelle, pour prendre une décision importante, pour soigner une maladie, pour se prémunir d’un mauvais sort ou pour en jeter un, pour séduire l’être aimé ou s’assurer de la fidélité d’une épouse ou d’un mari trop volage, les sorcier vous garantissent bonheur, argent et amour en quelques rites et contre donation.
Selon les statistiques officielles, 16% des Ìndrŭ consultent un médecin traditionnel avant de se rendre dans un centre de santé. En outre, presque tous ont recours à la médecine traditionnelle. Surtout si les traitements dispensés dans les hôpitaux ne leur donnent pas satisfaction. (apic/ibc/pr)
Selon un récent rapport sur les pratiques religieuses, “six 6000 membres dela communauté Ìndrŭ croient en la sorcellerie”, révèle Adirodu Roger Androzo chercheur/blogueur.
Ce dernier pense que, cette tendance est alimentée par les leaders politiques, qui se tournent vers cette pratique afin de gagner des voix. “L’appât du gain est la principale cause de la montée en puissance de la sorcellerie.
C’est une tragédie de voir nos responsables politiques croire en des forces occultes”, a déclaré le ministre provincial del'Ituri et de l’Intégrité, à l’occasion d’un rassemblement des différentes composantes religieuses de la région des Grands lacs qui s’est tenu, fin avril, à Bunia.
L’ANIMISME
Dès leur arrivée au pays, les missionnaires ou les prosélytes tentèrent farouchement de combattre l’animisme jugé par les uns comme une non-religion, par les autres comme une religion primitive.
L’animisme ou “religion de l’âme et des esprits” n’est pas une religion universaliste, à l’opposé de la plupart des grandes religions du monde.
Chaque peuple, voire chaque village, chaque clan, possède son propre animisme, basé sur une tradition spécifique, originale, possédant des analogies avec les cultes voisins mais bien différents dans leur élaboration.
Le fétiche n’est pas la représentation d’un dieu mais il est le lien entre la Nature et le Sacré, entre le clan et le monde des ancêtres et des esprits.
Ainsi, le rituel des peuples animistes ne prend de réalité que parce qu’il cimente la société et que dans leurs rapports à l’irréel, à travers la magie, les animistes vivent bien dans le réel.
Souvent les serviteurs de Dieu pensent que, nos frères doivent apprendre à écouter le Seigneur pour arriver à mourir en soi ; à ne pas se laisser emporter par la convoitiser de notre monde actuel mais de concentrer plutôt tout leur être sur Jésus Christ à travers leur vie communautaire et apostolique. Il leur rappelait aussi que par leur engagement, ils sont appelés à découvrir et à faire la volonté de Dieu grâce au silence intérieur, la prière et la lectio divina.
La République démocratique du Congo est l’un des pays d’Afrique central où la paix sociale est encore non assurée surtout dans sa partie orientale.
Mais aussi ; Dépuis 1911 à l'époque colonial belge, l'Ituri a connu des violences interethniques récurrentes, en particulier dans l'arène politique qui, à son tour, s'est propagée à la société dans son ensemble en faisant de nombreuses victimes au cours des décennies.
Les dynamiques ethniques entre Lendu et Hema ont particulièrement façonné l'histoire del'Ituri, et la politique et sont devenues un objet d'étude majeur par les universitaires.
Devant la répression des mouvements pacifiques, elle a pris fait et cause pour la société civile. Elle offre ses bons offices dans les foyers de crise tout en condamnant publiquement la partie dont les agissements hypothéqueraient les chances d’un rétablissement de la paix.
En dehors de cette problématique, la province del'Ituri et la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi sont restés pendant plus de deux décennies dans une zone en perpétuelle insécurité dont les conséquences sont assez fâcheuses sur les tissus socioéconomiques de la population.
Pour l’évêque de Bunia, Dieudonné Uringi, la société ituriene vit jusqu’à ce jour avec les mêmes blessures que les missionnaires ont trouvé dans le pays. «Nous avons encore des mariages précoces dans toutes nos tribus.
Nous avons encore l’esclavage, dls unions polygames, les accusations de sorcellerie et la chasse aux sorcières qui, malheureusement, dans certains cas, conduit à tuer des innocents», a-t-il dénoncé.
«Nous avons encore des enfants qui n’ont pas accès à l’école, en raison de longues distances à parcourir et du manque d’infrastructures, les femmes et les jeunes filles se livrent à la prostitution pour joindre les deux bouts», a déploré encore l'église catholique (cath.ch-
Dans son homélie, l’Evêque de Bunia s’est étonné de voir la situation sécuritaire de l’Ituri s’empirer davantage malgré l’Etat de Siège.
« Quel Etat au monde peut-il accepter qu’une milice fasse loi sur son Térritoire cinq ans durant sans prendre des mesures conséquentes en vue de le mettre hors d’état de nuire ? Qu’est-ce qui manque au Gouvernement congolais pour imposer la paix ? Qu’est-ce qui se cache derrière le massacre des civils innocents à Djugu et Irumu ? … », telles sont les questions que Mgr Dieudonné Uringi s’est posé avant d’appeler les fils et filles de l’Ituri à une prise de conscience car personne, dit-il, ne viendra instaurer la paix en Ituri, si ce n’est que l’iturien lui-même.
Journée spéciale de prière pour la paix en Ituri, que retenir du discours de l’Evêque de Bunia.
Dans son discours de clôture, Son Excellence Mgr l’Evêque du Diocèse de Bunia a rappelé que le vendredi 25 mars 2022, à l’initiative du Pape François et en communion avec lui, l’on célébrait la consécration solennelle de la Russie, de l’Ukraine et de la République Démocratique du Congo au cœur de l’immaculée de Marie, Reine de la paix.
Cette célébration, dit l’Evêque de Bunia, nous a fait prendre conscience que rien n’est impossible si nous nous adressons à Dieu dans la prière, car tous, nous pouvons être des artisans de paix. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, l’initiative avait été prise pour consacrer la Province de l’Ituri au cœur immaculé de Marie pour demander la paix et la réconciliation.
Dans le même ordre d’idée, Mgr Dieudonné Uringi affirme que l’Eglise ne pouvait rester indifférente face au drame de la violence qui sévit en Ituri depuis 2017, car, offrir la paix demeure une des missions que le Christ a confiées à son Eglise.
À cause des conflits armés, a ainsi martelé l’Evêque de Bunia, des vies humaines ont été fauchées, créant des veuves et des orphelins inconsolables. Des populations ont été obligés d’abandonner leurs maisons, leurs biens et leurs terres en devenant de déplacés ou de réfugiés.
Il ajoute encore : « Des infrastructures ont été détruites et de villages entiers ont aujourd’hui disparu de la carte de l’Ituri à cause de la méchanceté du cœur de l’homme qui s’est détourné de son créateur.
Bien que la première responsabilité revienne aux politiciens, pour Mgr Dieudonné Uringi, le retour de la paix en Ituri dépend de l’effort de chaque fils et fille de l’Ituri. Tous, ils sont concernés par le combat pour le retour de la paix.
Pour nous chrétiens, dit-il, la prière reste une arme puissante dans la recherche de la paix.
C’est la raison-même de cette journée spéciale de prière. En portant haut, le cri de douleur de ceux qui souffrent, nous implorons le Seigneur, par l’intercession de la Vierge Marie, pour que cesse la violence et qu’un avenir de paix s’ouvre pour l’Ituri.
Et nous avons l’assurance que le Seigneur ne restera pas insensible à notre prière, puisqu’il prête toujours une attention particulière à la voix de Marie. Mais la prière appelle aussi un engagement ferme et résolu de la part de chacun en faveur de la paix.
Cet engagement, ajoute-t-il, commence par la conversion et le désarmement des cœurs des ituriens. La paix, en effet, est le fruit de la réconciliation et du pardon ; et il n’y a pas de pardon sans l’amour vrai et sincère.
S’adressant à la foule en ces termes : « Si nous acceptons de désarmer nos cœurs, alors, nous arriverons à régler nos problèmes de façon non violente et notre vivre-ensemble retrouvera son harmonie », l’Evêque du Diocèse pense tout de même que l’engagement en faveur de la paix exige aussi que les ituriens doivent se mobiliser tous ensembles comme fils d’une même province et parler le même langage. Pour ce faire, dit Monseigneur l’Evêque, l’iturien doit bannir les discours de haine et de division. Il doit ensuite sortir de la logique de stigmatisation et de communautarisme à outrance.
Enfin, Il doit dépasser la recherche des intérêts égoïstes.
« Seule l’unité fera la force de l’Ituri. Si nous voulons que cette journée fasse œuvre utile, engageons-nous tous à devenir artisans de paix », a ainsi conclu son message, Son Excellence Monseigneur Dieudonné Uringi, l’Evêque du Diocèse à l’espace vert EPO-Ville, avant de répondre aux questions de journalistes qui se sont joints à l’événement.
Communication Caritas Bunia
Présentation du peuple Ìndrŭ
Les Ìndrŭ constituent à la fois un ( peuple ) d'une classe minoritaire d'agriculteurs tous de race noire du sous groupes éhniques dela population Lendu d'origine Sud-Soudanaise, qui se sont implantatés progressivement à l'extrême Nord-Est de la République Démocratique du Congo, province del'Ituri, térritoire d'Irumu, justement dans la Chefferie de Walendu-Bindi qui abrite des sociétés essentiellement rurales et que les paysanneries.
Avec l'évolution du temps dépuis les temps immémoriaux, ce peuple avait un mode de vie qui les distinguait des autres populations, dans un milieu naturel de la savane, qui est aussi leur source de vie.
Cependant, un certain nombre de facteurs sont venus modifier ce mode traditionnel de vie.
Les jeunes se marient généralement à l'âge de 17 ans à 25 ans moyennant une dote équivalente d'une à deux vache et leur régime est patriarcal. Le jeune marié est le responsable et garant de toute la famille.
Milieu socio-économique
L'économie comprend trois secteurs essentiels : le primaire, le secondaire et le tertiaire.
Le secteur primaire
Ce secteur occupe la plupart des activités de la population de Butembo
qui sont essentiellement l'agriculture et l'élevage.
a) L'agriculture
Elle occupe une grande partie de la population de Walendu-Bindi.
Elle est traditionnelle et vivrière et elle constitue une source de revenue pour une certaine catégorie des personnes qui vivent d'une part de la production de leur champ (haricot, maïs, pomme de terre, patate douce, manioc, banane et toutes sortes de légumes, ....) et d'autre part, des produits de l'industrie destinés à l'exportation (café, ...).
Donc, la chefferie de Walendu-Bindi qui présente d'énormes potentialités économiques dans la province del'Ituri.
La population locale vit de l'autre part de l'agriculture et l'élevage: leur alimentation de base est le haricot, sorgho, pomme de terre, patate douce, manioc et les bananes.
Pour se faire, ils contribuent efficacement au ravitaillement de nombreux centres de consommation et commerciaux.
Les productions agricoles les plus importantes sont : le haricot, le manioc, le maïs, pomme de terre, patate douce, sorgho, bananes qui servent à l'alimentation de la population locale à la fois mais aussi sont transférées vers les grands centres commerciaux (Bunia, Niankunde, Chomia,.. ;) où le surplus exporté vers le pay voisins (Ouganda).
b) Elevage
L'élevage de petit bétail est pratiqué dans la chefferie de Walendu-Bindi, il s'agit de l'élevage des caprins, lapins et porcs, Elevage de gros bétail représenté par les bovins et pratiqué par les personnes surtout ceux qui y ont investi.
Cependant, depuis un certains temps, celui-ci est bloqué et ralenti par la dévastation causée par la guerre au profit des forces de résistance (rébellion).
c) Éducation et développement social
Il existe divers types de développement parmi lesquels nous retenons quelques-uns.
Le développement social consiste à améliorer le bien-être de la personne dans le milieu où elle vit. C'est un processus qui permet aux populations de passer d'un état malsain à un état sain, qui touche les aspects de leur vie quotidienne (éducation, eau potable, soins de santé,...).
Signalons que le développement social c'est le niveau de scolarisation. Ce que nous visons ici c'est l'hygiène, électricité, soins de santé et l'éducation qu'un membre d'une société doit suivre pour l'accroissement de ses compétences.
Les types d'écoles dans la chefferie de Walendu-Bindi
On distingue quatre types d’écoles : les écoles publiques dites d'État, les écoles publiques «sous convention», les écoles privées etl es écoles consulaires.
Les écoles publiques d'État sont celles qui sont sous la responsabilité de l’État en ce qui concerne les infrastructures et les équipements, le salaire du personnel et l’approvisionnement en matériel pédagogique comme les manuels scolaires.
Les écoles publiques «sous convention» sont des écoles publiques administrées par les congrégations religieuses, mais l’État conserve la responsabilité du personnel enseignant.
Jusqu’ à présent, cinq congrégations religieuses ont signé une convention avec l’État : l'Église catholique, l’Église anglicane, la Communauté Emmanuel C.E.E, Nzambe Malamu traduit en français un bon Dieu, et l'Église CECA 20.
Quant aux écoles privées, elles sont gérées par des institutions privées et sont normalement reconnues à la suite d'inspections réglementaires par les services habilités au sein du ministère del'Éducation.
Cette reconnaissance officielle repose sur la conformité avec les programmes publics, sauf que la langue d'enseignement peut être le français, l'anglais ou le swahili.
Dans l’enseignement primaire, les écoles privées ne représentent qu'environ 2 % de toutes les écoles, soit une quarantaine d'établissements.
Contrairement aux écoles dites «sous convention» qui sont réparties sur tout le pays, les écoles privées sont presque toutes localisées dans la chefferie de Walendu-Bindi (87,5 %).
Cependant, lorsque les enfants commencent à fréquenter l’école primaire, il n’est pas dit qu’ils termineront leurs études. En effet,seulement la moitié de la population mâle (52% des garçons) termine ses études primaires, alors que c’est 32% pour les filles, parfois moins.
Au secondaire, quelque 10% des garçons commencent leurs études secondaires, et seulement 3,6% pour les filles.
Quelques dates historiques:
* 14e au 17 e siècle : Arrivée progressive et installation des Ìndru dans la région de gety.
À partir de 1890 : période de razzia par les Arabes ;
Plusieurs expéditions de pillage des bêtes par les Banyoro/Hema de l'Ouganda par: Kabalega, Kasegame, Mugera, Kutehimba, Bomera, le dernier, assassiné en décembre 1911.
1912-1914: répression de la mort de Bomera chez par les colons
1914 : réhabilitation des 5 chefferies :
Bangajduna/Zadu, Bahinduka/ Bamuko, Fanda/Boloma, Bahura/Baviba, Kamatsi/ Bukiringi résultats de l'enquête de viabilité de l'AT Halleux Mataratara.
Le 28 mai 1914 : élaboration de la première carte dela chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi.
Le 5 mai 1918: le chef Tsupu de Libi cède une partie de son entité, Bigoro à l'AIM/ CECA20.
1922 : début effectif de l'administration coloniale chez les WB qui jusqu'à là continuaient à résister.
1928: les belges décident la réunification des 5 chefferies en une seule pour les dompter.
Jusque là les chefs Fanda s'est révolté, arrêté et relégué en prison à Biasa.
1933 : réunification forcée de ches 5 chefferies avec à sa tête, Nyanza qui devint le premier chef dela chefferie de Walendu-Bindi réunifiés.
TOUT CECI, APRES AVOIR LU LES CONTENUES DE PLUSIEURS LOIS SUR LA DÉCENTRALISATION.
Les interventions de notre invité, Excellence Monsieur le Ministre provincial Honoraire del'Ituri, Osée Didi Angaika.
Alors avec l'organisation de l'administration à partir de 1933 nous avons:
1. Nyanza qui règne de 1933 à 1936: assassiné par son frère Lyanda,
2. Kobvu, régent de 1936 à 1952;
3. Zitono de 1952 à 1958 il est empoisonné par son frère Karona ;
Bandru : de 1958 a 1968, régne puis député provincial coopté ;
Munaza Kalyaki : de 1968 à 1979;
Akobi TchoTchomi : 1979 de à 2011 ;
Peke Olivier de 2011 à 2020;
Et Mongaliema Bangajduna Fidèle de 2020,...
Avant 1910, l'actuelle Chefferie de Walendu-Bindi était subdivisée en CLANS et gérée par les Chefs de Clans.
En 1910, une organisation Administrative s'impose au Congo Belge, ainsi les WALENDU-SUD, l'actuelle Chefferie des Walendu-Bindi bénéficie de 4 Chefferies, dont LA CHEFFERIE DES KAMATSI MUKUBWA/BUKIRINGI, CHEFFERIE DES FANDA FATAKI/BOLOMA, CHEFFERIE DES BAHENDUKA/BAMUKO, LA CHEFFERIE DES BAHURA/BAVIBA.
En 1914, il y a eu la création de territoire de GETY, qui s'étendait de GORO (l'actuel BOGORO) jusqu'à ERENGETY (Nord-Kivu).
Le 05 Avril 1920, il y a la création de la Chefferie des Walendu TS'RITS' RUTS'.
En 1925, la Chefferie des BAHENDUKA sera cindée à 2 Chefferies qui sont BAHENDUKA/BAMUKO et BANGADJUNA qui est l'actuelle ZADHU. À retenir la toute dernière Chefferie à être créé est celle des ZADHU qui, malheureusement n'a fonctionné que 8 ans avant la réunification.
La décision de la réunification sera signée en 1929 et appliquée en 1933, ainsi, il est defacile de voir que toutes ces six Chefferies et non cinq comme l'avait présentait l'invité Excellence Ministre Honoraire lors de débat de la fois dernière ont fonctionné jusqu'à 1933, ce qui a occasionné la création de l'actuelle Chefferie des Walendu-Bindi le 15 mai 1933.
Aspect économique
La chefferie de Walendu-Bindi qui présente d'énormes potentialités économiques dans la province del'Ituri.
Pour se faire, ils contribuent efficacement au ravitaillement de nombreux centres de consommation et commerciaux. Les productions agricoles les plus importantes sont : le haricot, le manioc, le maïs, pomme de terre, patate douce, sorgho, bananes qui servent à l'alimentation de la population locale à la fois mais aussi sont transférées vers les grands centres commerciaux (Bunia, Niankunde, Chomia,.. ;) où le surplus exporté vers le pay voisins ( Ouganda).
La population locale vit de l'autre part de l'agriculture et l'élevage : leur alimentation de base est le haricot, sorgho, pomme de terre, patate douce, manioc et les bananes. Les jeunes se marient généralement à l'âge de 17 ans à 25 ans moyennant une dote équivalente d'une à deux vache et leur régime est patriarcal. Le jeune marié est le responsable et garant de toute la famille.
À Zunguluka-térritoire d'Irumu ; La population accuse souvent les rébélles du groupe ADF d’être à la base del'Insécurité dans cette partie situé en Ituri, en Rdc
👆🏿👆🏿👆🏿Zunguluka village situé dans la chefferie traditionnelle de Walese Vonkuku, térritoire d'Irumu province del'Ituri vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo
🔴🇨🇩🗣️✍🏿Zunguluka ; Un village dela chefferie de Walese-Vonkutu également détruit, dépeuplé, aujourd'hui et appauvri par une seri d'attaques attribuées aux rébélles du groupe ADF ces derniers mois à Zunguluka situé en térritoire d'Irumu, province del'Ituri, vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo.
Le lundi 24 avril 2023, c’est ce qu’ont rapportent certains habitants locales de Bukiringi qui condamnent l’inaction de l’armée qui pourtant aurait été alerté quatre jours au paravant sur la présence de l’ennemi ADF à Zunguluka.
« Pour eux, nous recommandons aux autorités politico-administratives et militaires de ne pas chaque fois négliger les alertes.
Selon notre source qui nous livre cette information à partir de Bukiringi, le village Zunguluka présente le visage d’une entité fantôme après le déplacement des habitants qui craignent d’autres représailles de rebelles.
« La population de Zunguluka est encore en fuite là où elle s’était réfugiée notamment à Bukiringi indique la même source.
« La population est en train de craindre la présence des rebelles tout au tour de Zunguluka. C’est pourquoi elle s’est massivement déplacée », a-t-il ajouté.
Pendant ce temps, un calme apparent s’observe à Zunguluka envahi par la grande forêt et la savane.
Il faut également retenir que, ces habitants restent sceptiques et attendent voir l’armée passer directement à l’action. « Pour nous, c’est une assurance oui de l’armée mais nous restons sceptiques parce qu’il faut voir d’abord l’armée à l’œuvre » ajoutent-ils.
Il sied de noter que la pression exercée sur les rebelles par la force conjointe FARDC-UPDF ces derniers jours, a permis le relâchement des plusieurs otages par les assaillants, qui subissent des bombardements de cette coalition dans de nombreuses zones des territoires de Beni et Irumu.
Pour une petite histoire,...
Village Zunguluka fut créé avant l'époque colonial par la population lese considérée comme les premiers habitants !
Origine du peuple Ìese
Parlant de l'origine du peuple lese, la tradition veut que le 16ème et le 17ème siècle, soit le temps où les divers clans auraient commencé, les uns après les autres, à se mouvoir et pénétrer la forêt équatoriale, dans suite à certains facteurs d'ordre climatologique, sécuritaire, et peut-être démographique.
En effet, la sécheresse prolongée, les conflits avec les peuples éleveurs (les Hamites) et les maladies devenues endémiques, dont principalement la malaria, auraient contribué à ce déplacement progressif à partir de l'Ouganda.
Communément, le peuple des forêts d’Afrique centrale sont considérés comme appartenant à trois grands groupes des Semi-Bantous.
Ils vivent dans la forêt del’Ituri (au nord-est de la République démocratique du Congo).
Ils représentent environ un tiers de la population vivant à l’intérieur de la réserve spéciale du Mont Hoyo. On pense qu’ils sont les plus anciens habitants de la région, leur mode de vie semi-nomade n’ayant pratiquement pas changé depuis des millénaires.
En raison de leur extraordinaire connaissance de la forêt, ils jouent un rôle fondamental dans tous les projets scientifiques, de conservation de la nature et de tourisme, contribuant ainsi à préserver l’élément central de leur propre culture, la forêt.
Malgré cette situation, le mode de vie traditionnel joue toujours un rôle important dans de nombreuses communautés Lese.
Dans le passé, ces groupes vivaient dans des campements temporaires établis en fonction des saisons, des différentes techniques de pêche et de l’importance des différentes activités. Ils utilisaient les différentes parties du palmier de Raphia, en particulier sa sève pour faire du vin de palme.
Vivant au ralenti, les familles ont toujours cultivé des champs, leurs principales cultures étant le manioc, le maïs, l’arachide et la banane plantain. Sur le plan linguistique, les lese appartiennent au groupe des Semi-Bantous, mais chaque clan a son propre dialecte.
En général, ces populations ont une connaissance globale des dialectes Lese et des langues de leurs voisins, comme le Mbuba, et les Pygmées.
Avant l’immigration d’autres peuples dans la région, il existait une relation commerciale traditionnelle entre les Ìndrŭ et Lese, qui échangeaient leurs produits respectifs.
Les lese ont vécu donc pendant longtemps dans cet animisme qui a régulé, façonné leurs vies, leurs modes de comportement, leurs us et valeurs.
Dans toutes les circonstances de la vie, ils adressaient dans la chefferie traditionnelle de Walendu-Bindi avec tout espoir et avec toute conviction que seul Dieu pouvait répondre favorablement à leurs préoccupations et demandes.
Si les données recueillies ont permis de mettre à jour les données de référence sur le village, elles ont également permis de prendre la mesure des bouleversements importants qui s’étaient produits dans l’univers sociopolitique villageois dépuis notre premier contact avec le village Zunguluka en 2003 et 2006.
La beauté de ses paysages naturels, la richesse de sa faune et de sa culture donnent a Zunguluka, de la découverte de ses sites historiques à l'aventure dans ses sites naturels, qui sont très attrayant.
Une forêt vierge et hostile, peuplée de serpents, de grenouilles venimeuses et de jaguars.
Avec des espaces naturels particulièrement moin conservés, Zunguluka, est sans aucun doute l’un des villages les plus emblématiques et reconnus pour l’observation des gorille dans la chefferie traditionnelle de Walese Vonkuku.
On retrouve le sens du temps, on se laisse bercer par cette cadence régulière. On croise oiseaux colorés, caméléons et varans, on pique une tête dans l’eau douce.
Sur les rives, les paysans travaillent leurs lopins de terre, à la main, au rythme du jour.
On retrouve le sens du temps, on se laisse bercer par cette cadence régulière. On croise oiseaux colorés, caméléons et varans, on pique une tête dans l’eau douce.
Également
La faune joue un rôle fondamental pour les habitants de la région, puisqu'il fournit en eau plus de deux millions de personnes.
À pied, on part traverser ses forêts afro-alpines, ses zones humides et on longe ses rivières à la rencontre de plusieurs dizaines d'espèces endémiques de plantes, de mammifères et d'oiseaux.
Aspect dela santé
Au plan de la santé, diocèse del'Eglise Anglicane du Congo implaté à Boga détient un quasi monopole sur le système sanitaire particulièrement au village Zunguluka.
Village Zunguluka compte un seul centre de santé supervisé par la zone de santé rurale ( de Boga Il s'agit de centre de santé de Zunguluka.
- Les groupes vulnérables de zone sont : les enfants orphelins, les veuves, les personnes de 3eme Age, les personnes vivants avec handicapes, les femmes enceintes, les malades chroniques, les femmes chefs de Ménages.
L’Etat a déployé de gros efforts ces dernières années pour former de nouveaux médecins et construit des centres de santé en milieu rural.
Cette politique n’a pas atteint ses objectifs d’accessibilité des populations aux soins de santé primaire à cause du départ, de plus en plus nombreux, des médecins et infirmiers.
Les médecins traditionnels, eux, ne s’intéressent pas aux conditions de travail et de rémunération à l’exterieur de Walese Vonkuku.
Selon les statistiques officielles, 60% des Ougandais consultent un médecin traditionnel avant de se rendre dans un centre de santé. En outre, presque tous ont recours à la médecine traditionnelle. Surtout si les traitements dispensés dans les hôpitaux ne leur donnent pas satisfaction.
Pressions démographiques et conflits fonciers
Dépuis l'époque colonial, village Zunguluka était peuplé esssensielement des leses.
Mais aussi des migrations antérieures et plus récentes dues à la pression démographique, ainsi que la résurgence de plus en plus fréquente de conflits fonciers entre chefs locaux et populations.
Avec les Ìndrŭ dit ngiti, leur étude révèle en outre que le métissage né des rencontres successives avec les populations locales ont permis aux lese d’acquérir des mutations génétiques ayant favorisé leur adaptation à leurs nouveaux environnements.
Secteur agricole :
Avec un sol potentiellement riche comme son sous-sol, car toutes les cultures s'y adaptent facilement sans toutefois recourir aux produits ou engrains chimiques.
L'agriculture constitue l'activité principale de la population, car un grand nombre des congolais s'y lancent.
Mais malheureusement, la production agricole est insignifiante à Zunguluka, car, d'une part, la production elle est vivrière (production familiale : on produit pour manger) et non industrielle.
- Agriculture vivrière
Les cultures vivrières les plus manifestes, par ordre d'importance, sont le bananier, le manioc, , la patate douce, le haricot, le maïs, le sorgho, les légumes, l'igname, la colocase, le soja, la canne à sucre, l'arachide, la pomme de terre, le petit pois, les cultures maraichères.
La culture de ces denrées se fait au village autour des cases tandis que les cultures maraichères se font dans les marais.
Avec l'explosion démographique, l'espace cultivable s'est rétréci et les habitants ont recouru à l'exploitation des marais (des espaces marécageux et non habités et le plus souvent appartenant à des chefs coutumiers ou au mwami).
La population Lese qui sont les premiers occupants de Zunguluka ont vécu donc pendant longtemps dans cet animisme qui a régulé, façonné leurs vies, leurs modes de comportement, leurs us et valeurs.
L'élevage
Il porte essentiellement sur les caprins (chèvre, moutons), porcins (porcs) et la volaille.
Tous ces animaux sont laissés en divagation pour leur alimentation. Ils ne bénéficient pas aussi d'un abri à l'exception de la volaille. En effet, certains poulets dorment dans les recoins des cuisines ainsi que les canards.
Les produits de cet élevage sont essentiellement destinés aux cérémonies traditionnelles (mariages, deuils, funérailles, fêtes religieuses...) et à la réception des visiteurs de marque. La vente n'intervient qu'occasionnellement.
Les croyances ancestrales
En effet, les communautés locales avaient les propriétés privées des terres qu'elles occupent de façon individuelle ou collective où elles exerçaient certaines activités, notamment l'agriculture, l'élevage, la pêche, etc. La terre avait une considération mythique et ancestrale si bien qu'il ne fallait pas la vendre.
Les pratiques traditionnelles des animistes sont encore très présentes dans les campagnes. C’est aussi le cas dans le chef lieu Ofayi mais de manière un peu plus confidentielle.
Comme c’est le cas partout sur le continent africain, les sorciers en contact avec les esprits sont énormément consultés par la population pour des raisons diverses et varier.
Pour entreprendre une nouvelle aventure professionnelle, pour prendre une décision importante, pour soigner une maladie, pour se prémunir d’un mauvais sort ou pour en jeter un, pour séduire l’être aimé ou s’assurer de la fidélité d’une épouse ou d’un mari trop volage, les sorcier vous garantissent bonheur, argent et amour en quelques rites et contre donation.
À cela s’ajoutent des problèmes reliés surtout aux transformations de l’organisation sociale et de la structure familiale. En effet, les activités agricoles et d’élevage s’effectuaient auparavant dans le cadre d’une exploitation dirigée par un seul chef de famille, lequel avait à son service une main d’œuvre nombreuse.
Aveba-Ituri ; Distribution des semences et matériels de culture agricole aux personnes vulnérables vers le Nord-Est dela République démocratique du Congo
Un groupe des bénéficiaires photographié au cours de distribution spécial qui a eu lieu le 31 mars 2023 à Aveba Ituri-Rdc
Au total 3243 ménages sur 6135 attendus dans 4 aire de santé que couvre le projet"aide d'urgence sécurité alimentaire aux populations touchées par le conflit à l'est de la RDC" dans la zone de santé rurale de Gety, bénéficient des kits pour la semence et la culture agricoles depuis les après midi de ce vendredi 31 mars 2023 à Aveba, village situé au sud d'Irumu.
Pour Monsieur Jérémie chef du projet, cette distribution sera officiellement lancé demain samedi faute de retard causé par la signature des certains documents au chef lieu du territoire d'Irumu, ayant perturbé le programme de lancement bien établi pour ce vendredi 31 mars.
Ces kits sont composé de bash, bêche, houe, jambières, râteau, aroseoire, haricot, maïs, choux, obergine...
Ce prononçant hors micro, ce dernier invite la population par village à s'emprunter ces kits pour accompagné ce projet qui ne dure qu'une année.
Signalons que ce projet est financé par l'USAID et exécuté par MAVUNO et TEARFUND, qui interviendra dans la construction des sources d'eau dans ces aires de santé de : Aveba, bilima, maga et Bukiringi, en chefferie des Walendu Bondi.
À notre source d'ajouter que,...
Apporter des vivres aux personnes démunies est depuis longtemps la pierre angulaire de l'action du Programme alimentaire mondial.
Bien que, certaines ONGS internationaux ont modifiés leur approche au cours de la dernière décennie - de l'aide alimentaire directe à l'assistance alimentaire sous forme de transferts monétaires - la fourniture de vivres en nature demeure un élément fondamental de notre travail et constitue souvent la meilleure solution dans les situations de précarité ou de crise.
Après une catastrophe naturelle, pendant les saisons creuses, ou dans des situations de conflit ou de déplacement, lorsque les populations sont coupées de leurs sources normales de subsistance et n'ont pas accès à une alimentation suffisante pour répondre à leurs besoins, l'aide alimentaire en nature du WFP cherche à compenser cette insuffisance.
Pour cela, ils distribuent une sélection d'aliments spécialement choisis pour prévenir la malnutrition et répondre aux besoins énergétiques des populations que nous aidons. Les vivres peuvent être distribués à tous les habitants d'une zone géographique ou d'un camp (on parle alors de distribution générale) ou à des individus ou groupes spécifiques considérés comme particulièrement vulnérables (distribution ciblée).
L'aide alimentaire en nature peut être de courte durée et inclut une stratégie de diminution graduelle qui permet son interruption dès que les communautés retrouvent leur autonomie ou peuvent être aidées par le biais d'autres interventions.
Ressources et activités
La population exploite la terre pour l'agriculture ainsi que l'élevage. De part sa position géographique, Boloma constitue aussi un véritable grenier de Walendu-Bindi ;
C'est l'ensemble des activités destinées à tire de la terre de la production des animaux et végétaux utiles à l'homme, notamment sur le plan alimentaire.
Elle tire ses origines à la naissance de la sédentarisation de l'homme par la domestication des plantes et des animaux est célà à l'époque préhistorique.
Dans le groupement Boloma
Ce secteur occupe la plupart des activités de la population qui sont vivent essentiellement del'agriculture et l'élevage.
Elle occupe une grande partie de la population de Boloma. Elle est traditionnelle et vivrière et elle constitue une source de revenu pour une certaine catégorie des personnes qui vivent d'une part de la production de leur champ (haricot, maïs, pomme de terre, patate douce, manioc, banane et toutes sortes de légumes, ....)
· Patate douce (Ipomoea batatas l.) : elle est très répandue et intervient en grande partie dans l'alimentation humaine et des animaux (porc, chèvre, cochon d'inde, lapin.....).
Dans sa consommation, elle s'accompagne surtout du haricot, feuille de manioc, riz,... Soit en elle seule.
· Riz : Est une culture cultivé dans la région du rift value (Grand ben). Elle est une culture prépondérante cultivé dans cette région et constitue une base économique des populations de ces régions.
· Les autres cultures : la tomate ; le Brassila deracea L (chou de chine et chou rouge), oignon (Allicum capal L), aubergine (Solanum melangene), ail, carotte, épinard,....
Le bananier (Musa L) est une culture qui se cultive dans les localités de basse et hautes altitudes en température moyennement élevée.
On en distingue les variétés suivantes :
- Bananiers plantains ;
- Le Musa spientium ;
- Le Musa paraditiala qui est l'une des variétés prédominantes à cause de son intervention pour la production de la boisson locale « bière MONGE KASIKSI » en y extrayant du jus qui est ensuite soumis à une Fermentation.
Hubert Ndodhu BINGI depuis Aveba au compte de la RCA.